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Brue-Auriac

Brue-Auriac est une commune française située en Pays de La Provence Verte dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Elle est membre de la communauté de communes Provence Verdon.

Brue-Auriac
Brue-Auriac
Chapelle de Notre-Dame Ă  Brue-Auriac.
Blason de Brue-Auriac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
DĂ©partement Var
Arrondissement Brignoles
Intercommunalité Communauté de communes Provence Verdon
Maire
Mandat
Dominique Richard
2020-2026
Code postal 83119
Code commune 83025
DĂ©mographie
Gentilé Brussois, Brussoises
Population
municipale
1 440 hab. (2020 en augmentation de 11,71 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 39 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 31′ 42″ nord, 5° 56′ 43″ est
Altitude Min. 199 m
Max. 466 m
Superficie 36,73 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Marseille - Aix-en-Provence
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Brue-Auriac
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Brue-Auriac
Liens
Site web http://www.brue-auriac.fr

    GĂ©ographie

    Localisation

    Petit village, se situant dans le centre Var, Brue-Auriac appartient Ă  l’aire d’attraction des agglomĂ©rations de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, 24 km de Brignoles et Ă  km de Barjols[1].

    GĂ©ologie et relief

    D'ouest en est, 4 unités topographiques parallèles constituent le paysage communal[2] :

    • Ă  l'ouest, un vaste plateau boisĂ© entaillĂ© par de nombreux vallons (vallon de Valtorte, vallon de Cabris[3], vallon de Cantarelle, le vallon de la CurniĂ©, vallon des Derrots…) occupe le tiers ouest du territoire[4] ;
    • au centre, une dĂ©pression, oĂą se concentrent routes, espaces cultivĂ©s et urbanisĂ©s ;
    • Ă  l'est, un secteur de basses collines (300 Ă  360 mètres d'altitude) sĂ©parĂ©es par des espaces plans gĂ©nĂ©ralement cultivĂ©s ;
    • la frange est, haute vallĂ©e de l'Argens, dont seule la rive gauche de la rivière appartient Ă  la commune.
    Panorama du village depuis la chapelle Notre-Dame.

    Hydrographie et les eaux souterraines

    • Actuellement, la ressource en eau de Brue-Auriac provient de l’Argens[5].
    • Forage sur le haut de la colline de SiguĂ©rane[6].
    • Ruisseau Mère Vieille[7].
    • Vallon de Cabris[8].
    • Saut du Bacon - Cascades de Montaud - L'Argens Ă  Brue-Auriac[9].

    Climat

    Climat classé Csb dans la classification de Köppen et Geiger[10].

    Voies routières

    • La Route dĂ©partementale (RD 560) constitue l’axe routier principal de la commune[11].

    Transports en commun

    Communes limitrophes

    Sismicité

    Il existe trois zones de sismicités dans le Var :

    • Zone 0 : Risque nĂ©gligeable. C'est le cas de bon nombre de communes du littoral varois, ainsi que d'une partie des communes du centre Var. MalgrĂ© tout, ces communes ne sont pas Ă  l'abri d'un effet tsunami, liĂ© Ă  un sĂ©isme en mer ;
    • Zone Ia : Risque très faible. Concerne essentiellement les communes comprises dans une bande allant de la montagne Sainte-Victoire au massif de l'Esterel ;
    • Zone Ib : Risque faible. Ce risque le plus Ă©levĂ© du dĂ©partement (qui n'est pas le plus haut de l'Ă©valuation nationale), concerne 21 communes du nord du dĂ©partement.

    La commune de Brue-Auriac est en zone sismique de très faible risque « Ia Â»[13].

    Intercommunalité

    Commune membre de la Communauté de communes Provence Verdon et du Pays de la Provence Verte.

    Urbanisme

    Typologie

    Brue-Auriac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17] - [18].

    La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[19]. Elle est également membre du Syndicat mixte du Pays de la Provence Verte, compétent en matière de Schéma de cohérence territoriale (SCoT).

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (67,5 %), cultures permanentes (18,1 %), zones agricoles hétérogènes (8,8 %), zones urbanisées (2,6 %), terres arables (1,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %), zones humides intérieures (0,5 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Économie

    Agriculture

    Tourisme

    La commune bénéficie du label « Pays d’art et d’histoire » attribué au Pays de la Provence Verte en 2005.

    En matière d'accueil, la commune dispose de :

    • 2 chambres d'hĂ´tes (La bastide Collombe[25] et le domaine de la Procureuse[26]) ;
    • 1 maison d'hĂ´te[27] ;
    • 1 gite (Bellone-en-Provence[28]) ;
    • 1 studio de tourisme en centre-ville.

    Commerces

    • Boulangerie.
    • Commerces de proximitĂ© Ă  Barjols, Saint-Martin-de-Pallières[29].

    Toponymie

    Auriac est un nom de domaine gallo-romain formé avec le suffixe -ac sur le nom de personne latin Aurius[30].

    Histoire

    Village atypique, Brue-Auriac est né, au XVIIIe siècle de l’union de deux villages, Brue et Auriac et du rêve du seigneur Georges Roux de Corse (1703-1792), fondateur de Brue.

    Jusqu’en 1751, l’actuel territoire de Brue-Auriac est, plus ou moins, divisé en trois fiefs : le Val de Brue, Auriac, et Saint Estève, dont on retrouve des traces dès 1252. Ces territoires sont alors tous trois dirigés par Foulque III de Pontevès, ils resteront sous la domination des Pontevès jusqu’en 1666, date à laquelle Henri de Laurens achète le Val de Brue à François Simiane de Pontevès. En 1720, François Nicolas Dupin, alors conseiller royal, le rachète aux Laurens.

    En 1746, Georges Roux, dit le Corse, achète le Val de Brue et les terres qui l’entourent ; il est alors parsemé de bastides isolées comptant une centaine d’habitants. Riche armateur, il fait ériger ses terres en marquisat (février 1750), et dès le , la première pierre du nouveau village de Brue est posée. Le hameau de Saint Estève sera rattaché à Auriac le [31].

    Le nouveau marquis fonde une importante magnanerie en 1757. En parallèle, le village se dote de trois tanneries, une chapellerie (20 ouvriers Ă  l’annĂ©e, 12 000 chapeaux par an), deux fabriques de cadis (draps de laine grossiers) une fabrique de siamoise et de mouchoirs, une manufacture de toile Ă  voile, une faĂŻencerie (12 ouvriers en 1763) ainsi qu’une installation de teinturerie. L’ensemble de ces activitĂ©s favorise le dĂ©veloppement dĂ©mographique et Ă©conomique du village.

    En 1765, l’agglomĂ©ration culmine Ă  832 habitants. Elle se dĂ©veloppe grâce Ă  ses industries de soie, de faĂŻence et de drap.

    Les deux villages de Brue et Auriac ne sont définitivement rattachés qu’en 1840.

    Faits historiques

    • Bourg castral de la Bastidonne[32].
    • Bourg castral de Brue[33].
    • Bourg castral d'Auriac[34].

    HĂ©raldique

    Blason de Brue-Auriac

    Les armes peuvent se blasonner ainsi : D'argent Ă  la bande d'azur[35].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs Ă  partir de 1896
    Période Identité Étiquette Qualité
    1896 1904 M. Louis Aumage
    1904 1919 M. CĂ©lestin Codonnel
    1919 1930 M. Antoine Moisson
    1930 1944 M. Paul Guigou
    1944 1957 M. Albert Reynier
    1957 1959 M. Jean Doudon
    1959 1965 M. Marceau Moisson
    1965 1989 M. Georges Jean PS
    1989 1995 M. Robert Hugou PS
    1995 2001 M. Guy Codonnel
    2001 2020 M. André Rousselet
    2020 En cours M. Dominique Richard

    Budget et fiscalité 2020

    En 2020, le budget de la commune était constitué ainsi[36] :

    • total des produits de fonctionnement : 1 072 000 â‚¬, soit 765 â‚¬ par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 929 000 â‚¬, soit 663 â‚¬ par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 435 000 â‚¬, soit 310 â‚¬ par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 753 000 â‚¬, soit 537 â‚¬ par habitant ;
    • endettement : 273 000 â‚¬, soit 195 â‚¬ par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 12,00 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s bâties : 15,00 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 64,00 % ;
    • taxe additionnelle Ă  la taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clĂ©s Revenus et pauvretĂ© des mĂ©nages en 2016 : mĂ©diane en 2016 du revenu disponible, par unitĂ© de consommation : 23 010 â‚¬[37].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[39].

    En 2020, la commune comptait 1 440 habitants[Note 3], en augmentation de 11,71 % par rapport Ă  2014 (Var : +4,52 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    259314323407396463558564503
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    536565582529527486427438439
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    471450436507508514508422432
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    3964253804296308881 1211 1401 210
    2015 2020 - - - - - - -
    1 3221 440-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee Ă  partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    L'Ă©cole.

    Établissements d'enseignements [42] :

    • École primaire.
    • École maternelle.
    • Collège Ă  Barjols.
    • LycĂ©es Ă  Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, Brignoles.

    Santé

    Professionnels et établissements de santé[43] :

    • mĂ©decins Ă  Barjols, Saint-Maximin-la-Sainte-Baume;
    • pharmacies Ă  Barjols, Bras, Saint-Maximin-la-Sainte-Baume;
    • hĂ´pitaux Ă  Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, Brignoles.

    Cultes

    Personnalités liées à la commune

    Manifestations culturelles et festivités

    • FĂŞte de la Saint-Georges (fin mai).
    • grillades sur le cours du village.
    • repas traditionnel sur le cours.
    • Fin juin fĂŞte de la Musique.
    • Fin avril Foire aux Bestiaux.

    Lieux et monuments

    Galerie

    • L'Ă©glise Saint-Georges.
      L'Ă©glise Saint-Georges.
    • Le cours Roux-de-Corse.
      Le cours Roux-de-Corse.
    • Vue sur le pigeonnier.
      Vue sur le pigeonnier.


    • Église de Notre-Dame.
      Église de Notre-Dame.
    • Vue de l'Ă©glise.
      Vue de l'Ă©glise.
    • Façade.
      Façade.
    • Arrière.
      Arrière.
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.

    * Le Pigeonnier de Roux de Corse.

    Le pigeonnier.

    Il doit sa crĂ©ation Ă  Georges Roux de Corse en 1754. C'est une tour cylindrique de 22,50 mètres de haut et plus de 12 mètres de diamètre. Les pigeonniers, qu’ils soient isolĂ©s comme celui de Brue-Auriac ou incorporĂ©s aux bâtiments de ferme, Ă©taient un Ă©lĂ©ment essentiel de la vie quotidienne provençale. En effet, ils constituaient un garde-manger de grand intĂ©rĂŞt et permettaient la constitution d’un engrais très apprĂ©ciable. Avant la RĂ©volution, la structure des pigeonniers indique la qualitĂ© de leurs propriĂ©taires. Ainsi, seuls les pigeonniers seigneuriaux pouvaient ĂŞtre « Ă  pied », c'est-Ă -dire ceux pour lesquels les nids de pigeons Ă©taient bâtis du rez-de-chaussĂ©e au sommet de l’édifice. C’est le cas du pigeonnier de Brue-Auriac.

    Ce type « seigneurial » s’opposait au pigeonnier simplement situé dans la partie supérieure d’un bâtiment, système le plus communément utilisé. De plus, seuls les seigneurs pouvaient avoir des pigeonniers avec meurtrières et créneaux et, ce, pour éviter que tout autre pût faire de cette architecture un élément défensif.

    Le pigeonnier de Brue-Auriac, le plus grand recensé en France du XVIIIe siècle, est construit sur un plan circulaire, de manière à pouvoir installer une échelle tournante permettant d’accéder individuellement à chacun des nids appelés « boulins » : un arbre vertical élevé au centre de la tour soutenait une échelle verticale ou inclinée se déplaçant à une faible distance de la paroi.

    Ce pigeonnier a fait l’objet d’une inscription sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du [46]. Il nécessiterait des travaux d'entretien urgents.

    * La Magnanerie

    L’élevage des vers à soie (magnans) permettait un complément de revenus pour les villageois. Le Var était un département séricicole important : en 1896, on comptait 9555 éleveurs. Les familles élevaient les vers à soie dans des pièces inoccupées de la maison, dans les greniers et parfois même cédaient leurs pièces de vie pendant les cinq à six semaines d’éclosion. Certaines fermes avaient des magnaneries réservées à cet usage. Afin de permettre aux œufs d’éclore plus rapidement, les femmes les plaçaient dans la chaleur de leur corsage. Après leur naissance, les vers étaient placés des canisses et nourris avec des feuilles de mûriers. Ils bâtissaient par la suite leurs cocons sur des branchages. Une fois décrochés, ils étaient « débavés » c'est-à-dire que la soie qui entoure le cocon (la bave ou la bourre) était retirée. Elle était alors envoyée dans les filatures : en 1840, on en comptait vingt-huit dans le Var.

    Dès 1757, Georges Roux de Corse installe une fabrique Ă  organiser les soies qui compte deux moulins et, rapidement, devient une vĂ©ritable manufacture. En 1766, elle comporte ainsi 23 grands moulins et peut se vanter d’un chiffre d’affaires consĂ©quent : 360 000 livres. Le fil de soie, ainsi produit, approvisionne par la suite les filatures lyonnaises.

    * La chapelle Notre-Dame Cet édifice[47] - [48] a fait l'objet d'une inscription sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du 15 octobre 1971. La cloche est du XIXe siècle[49].

    * Le Monument aux morts

    Monument aux morts[50] : Conflits commémorés : 1914-1918 - 1939-1945.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Distance par la D 560
    2. Révision n°1 du PLU de Brue-Auriac | Rapport de présentation : Diagnostic. 2.1 Situation. 2.1.1 Localisation géographique, p.9
    3. Vallon de Cabris
    4. Le village occupe un site de plaine viticole creusé de de nombreux vallons
    5. Affluents du fleuve l'Argens
    6. Forage sur le haut de la colline de Siguérane
    7. Ruisseau Mère Vieille
    8. Vallon de Cabris - Brue-Auriac
    9. Saut du Bacon - Cascades de Montaud - L'Argens Ă  Brue-Auriac
    10. Table climatique
    11. Route départementale D560
    12. RĂ©seau Tranbus
    13. L’Etat dans le Var-Préfecture de Toulon (83), « L’Etat dans le Var - Préfecture de Toulon (83) », sur www.var.gouv.fr, (consulté le ).
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. PLU
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Domaine de Cantarelle
    23. Un domaine de 135 hectares
    24. Coopérative vinicole La Brussoise, actuellement Fontaillade
    25. La bastide Collombe
    26. La Procureuse
    27. Bastide Saint-Estève
    28. Bellone en Provence
    29. Commerces de proximité
    30. Le Haut-Var d'antan : Brue-Auriac
    31. Le hameau de Saint-Estève
    32. Bourg castral de la Bastidonne
    33. Bourg castral de Brue
    34. Bourg castral d'Auriac
    35. L'Armorialdes villes et villages de France
    36. Les comptes de la commune
    37. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    42. Établissements d'enseignements
    43. Professionnels et établissements de santé
    44. Paroisse Saint-Georges
    45. Roux de Corse Georges (ROUX Georges dit)
    46. « Pigeonnier de Roux de Corse », notice no PA83000016, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    47. Chapelle Notre-Dame
    48. Prieuré Notre-Dame, dit aussi chapelle Notre-Dame
    49. Cloche de la Chapelle Notre-Dame
    50. Monument aux morts

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

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