Brue-Auriac
Brue-Auriac est une commune française située en Pays de La Provence Verte dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Elle est membre de la communauté de communes Provence Verdon.
Brue-Auriac | |||||
Chapelle de Notre-Dame Ă Brue-Auriac. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
DĂ©partement | Var | ||||
Arrondissement | Brignoles | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Provence Verdon | ||||
Maire Mandat |
Dominique Richard 2020-2026 |
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Code postal | 83119 | ||||
Code commune | 83025 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Brussois, Brussoises | ||||
Population municipale |
1 440 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 39 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 43° 31′ 42″ nord, 5° 56′ 43″ est | ||||
Altitude | Min. 199 m Max. 466 m |
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Superficie | 36,73 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Marseille - Aix-en-Provence (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume | ||||
Législatives | Huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Var
GĂ©olocalisation sur la carte : Provence-Alpes-CĂ´te d'Azur
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Liens | |||||
Site web | http://www.brue-auriac.fr | ||||
GĂ©ographie
Localisation
Petit village, se situant dans le centre Var, Brue-Auriac appartient à l’aire d’attraction des agglomérations de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, 24 km de Brignoles et à 9 km de Barjols[1].
GĂ©ologie et relief
D'ouest en est, 4 unités topographiques parallèles constituent le paysage communal[2] :
- à l'ouest, un vaste plateau boisé entaillé par de nombreux vallons (vallon de Valtorte, vallon de Cabris[3], vallon de Cantarelle, le vallon de la Curnié, vallon des Derrots…) occupe le tiers ouest du territoire[4] ;
- au centre, une dépression, où se concentrent routes, espaces cultivés et urbanisés ;
- à l'est, un secteur de basses collines (300 à 360 mètres d'altitude) séparées par des espaces plans généralement cultivés ;
- la frange est, haute vallée de l'Argens, dont seule la rive gauche de la rivière appartient à la commune.
Hydrographie et les eaux souterraines
Climat
Climat classé Csb dans la classification de Köppen et Geiger[10].
Voies routières
- La Route départementale (RD 560) constitue l’axe routier principal de la commune[11].
Transports en commun
- Transport en Provence-Alpes-CĂ´te d'Azur
- RĂ©seau Tranbus[12].
- RĂ©seau Zou.
Communes limitrophes
Sismicité
Il existe trois zones de sismicités dans le Var :
- Zone 0 : Risque négligeable. C'est le cas de bon nombre de communes du littoral varois, ainsi que d'une partie des communes du centre Var. Malgré tout, ces communes ne sont pas à l'abri d'un effet tsunami, lié à un séisme en mer ;
- Zone Ia : Risque très faible. Concerne essentiellement les communes comprises dans une bande allant de la montagne Sainte-Victoire au massif de l'Esterel ;
- Zone Ib : Risque faible. Ce risque le plus élevé du département (qui n'est pas le plus haut de l'évaluation nationale), concerne 21 communes du nord du département.
La commune de Brue-Auriac est en zone sismique de très faible risque « Ia »[13].
Intercommunalité
Commune membre de la Communauté de communes Provence Verdon et du Pays de la Provence Verte.
Urbanisme
Typologie
Brue-Auriac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17] - [18].
La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[19]. Elle est également membre du Syndicat mixte du Pays de la Provence Verte, compétent en matière de Schéma de cohérence territoriale (SCoT).
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (67,5 %), cultures permanentes (18,1 %), zones agricoles hétérogènes (8,8 %), zones urbanisées (2,6 %), terres arables (1,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %), zones humides intérieures (0,5 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Économie
Agriculture
- Domaine de Cantarelle (AOP Coteaux-varois-en-provence)[22] - [23].
- Coopérative vinicole La Brussoise, actuellement Fontaillade[24].
Tourisme
La commune bénéficie du label « Pays d’art et d’histoire » attribué au Pays de la Provence Verte en 2005.
En matière d'accueil, la commune dispose de :
Commerces
- Boulangerie.
- Commerces de proximité à Barjols, Saint-Martin-de-Pallières[29].
Toponymie
Auriac est un nom de domaine gallo-romain formé avec le suffixe -ac sur le nom de personne latin Aurius[30].
Histoire
Village atypique, Brue-Auriac est né, au XVIIIe siècle de l’union de deux villages, Brue et Auriac et du rêve du seigneur Georges Roux de Corse (1703-1792), fondateur de Brue.
Jusqu’en 1751, l’actuel territoire de Brue-Auriac est, plus ou moins, divisé en trois fiefs : le Val de Brue, Auriac, et Saint Estève, dont on retrouve des traces dès 1252. Ces territoires sont alors tous trois dirigés par Foulque III de Pontevès, ils resteront sous la domination des Pontevès jusqu’en 1666, date à laquelle Henri de Laurens achète le Val de Brue à François Simiane de Pontevès. En 1720, François Nicolas Dupin, alors conseiller royal, le rachète aux Laurens.
En 1746, Georges Roux, dit le Corse, achète le Val de Brue et les terres qui l’entourent ; il est alors parsemé de bastides isolées comptant une centaine d’habitants. Riche armateur, il fait ériger ses terres en marquisat (février 1750), et dès le , la première pierre du nouveau village de Brue est posée. Le hameau de Saint Estève sera rattaché à Auriac le [31].
Le nouveau marquis fonde une importante magnanerie en 1757. En parallèle, le village se dote de trois tanneries, une chapellerie (20 ouvriers à l’année, 12 000 chapeaux par an), deux fabriques de cadis (draps de laine grossiers) une fabrique de siamoise et de mouchoirs, une manufacture de toile à voile, une faïencerie (12 ouvriers en 1763) ainsi qu’une installation de teinturerie. L’ensemble de ces activités favorise le développement démographique et économique du village.
En 1765, l’agglomération culmine à 832 habitants. Elle se développe grâce à ses industries de soie, de faïence et de drap.
Les deux villages de Brue et Auriac ne sont définitivement rattachés qu’en 1840.
Faits historiques
Politique et administration
Budget et fiscalité 2020
En 2020, le budget de la commune était constitué ainsi[36] :
- total des produits de fonctionnement : 1 072 000 €, soit 765 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 929 000 €, soit 663 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 435 000 €, soit 310 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 753 000 €, soit 537 € par habitant ;
- endettement : 273 000 €, soit 195 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 12,00 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 15,00 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 64,00 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2016 : médiane en 2016 du revenu disponible, par unité de consommation : 23 010 €[37].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[39].
En 2020, la commune comptait 1 440 habitants[Note 3], en augmentation de 11,71 % par rapport Ă 2014 (Var : +4,52 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Établissements d'enseignements [42] :
- École primaire.
- École maternelle.
- Collège à Barjols.
- Lycées à Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, Brignoles.
Santé
Professionnels et établissements de santé[43] :
- médecins à Barjols, Saint-Maximin-la-Sainte-Baume;
- pharmacies Ă Barjols, Bras, Saint-Maximin-la-Sainte-Baume;
- hĂ´pitaux Ă Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, Brignoles.
Cultes
- Culte catholique, Paroisse Saint-Georges[44], Diocèse de Fréjus-Toulon.
Personnalités liées à la commune
- Georges Roux de Corse, fondateur de Brue[45], né à Tino en 1703 et mort à Brue le 12 mars 1792.
Manifestations culturelles et festivités
- FĂŞte de la Saint-Georges (fin mai).
- grillades sur le cours du village.
- repas traditionnel sur le cours.
- Fin juin fĂŞte de la Musique.
- Fin avril Foire aux Bestiaux.
Lieux et monuments
Galerie
- L'Ă©glise Saint-Georges.
- Le cours Roux-de-Corse.
- Vue sur le pigeonnier.
- Église de Notre-Dame.
- Vue de l'Ă©glise.
- Façade.
- Arrière.
- Monument aux morts.
* Le Pigeonnier de Roux de Corse.
Il doit sa création à Georges Roux de Corse en 1754. C'est une tour cylindrique de 22,50 mètres de haut et plus de 12 mètres de diamètre. Les pigeonniers, qu’ils soient isolés comme celui de Brue-Auriac ou incorporés aux bâtiments de ferme, étaient un élément essentiel de la vie quotidienne provençale. En effet, ils constituaient un garde-manger de grand intérêt et permettaient la constitution d’un engrais très appréciable. Avant la Révolution, la structure des pigeonniers indique la qualité de leurs propriétaires. Ainsi, seuls les pigeonniers seigneuriaux pouvaient être « à pied », c'est-à -dire ceux pour lesquels les nids de pigeons étaient bâtis du rez-de-chaussée au sommet de l’édifice. C’est le cas du pigeonnier de Brue-Auriac.
Ce type « seigneurial » s’opposait au pigeonnier simplement situé dans la partie supérieure d’un bâtiment, système le plus communément utilisé. De plus, seuls les seigneurs pouvaient avoir des pigeonniers avec meurtrières et créneaux et, ce, pour éviter que tout autre pût faire de cette architecture un élément défensif.
Le pigeonnier de Brue-Auriac, le plus grand recensé en France du XVIIIe siècle, est construit sur un plan circulaire, de manière à pouvoir installer une échelle tournante permettant d’accéder individuellement à chacun des nids appelés « boulins » : un arbre vertical élevé au centre de la tour soutenait une échelle verticale ou inclinée se déplaçant à une faible distance de la paroi.
Ce pigeonnier a fait l’objet d’une inscription sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du [46]. Il nécessiterait des travaux d'entretien urgents.
* La Magnanerie
L’élevage des vers à soie (magnans) permettait un complément de revenus pour les villageois. Le Var était un département séricicole important : en 1896, on comptait 9555 éleveurs. Les familles élevaient les vers à soie dans des pièces inoccupées de la maison, dans les greniers et parfois même cédaient leurs pièces de vie pendant les cinq à six semaines d’éclosion. Certaines fermes avaient des magnaneries réservées à cet usage. Afin de permettre aux œufs d’éclore plus rapidement, les femmes les plaçaient dans la chaleur de leur corsage. Après leur naissance, les vers étaient placés des canisses et nourris avec des feuilles de mûriers. Ils bâtissaient par la suite leurs cocons sur des branchages. Une fois décrochés, ils étaient « débavés » c'est-à -dire que la soie qui entoure le cocon (la bave ou la bourre) était retirée. Elle était alors envoyée dans les filatures : en 1840, on en comptait vingt-huit dans le Var.
Dès 1757, Georges Roux de Corse installe une fabrique à organiser les soies qui compte deux moulins et, rapidement, devient une véritable manufacture. En 1766, elle comporte ainsi 23 grands moulins et peut se vanter d’un chiffre d’affaires conséquent : 360 000 livres. Le fil de soie, ainsi produit, approvisionne par la suite les filatures lyonnaises.
* La chapelle Notre-Dame Cet édifice[47] - [48] a fait l'objet d'une inscription sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du 15 octobre 1971. La cloche est du XIXe siècle[49].
* Le Monument aux morts
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Distance par la D 560
- Révision n°1 du PLU de Brue-Auriac | Rapport de présentation : Diagnostic. 2.1 Situation. 2.1.1 Localisation géographique, p.9
- Vallon de Cabris
- Le village occupe un site de plaine viticole creusé de de nombreux vallons
- Affluents du fleuve l'Argens
- Forage sur le haut de la colline de Siguérane
- Ruisseau Mère Vieille
- Vallon de Cabris - Brue-Auriac
- Saut du Bacon - Cascades de Montaud - L'Argens Ă Brue-Auriac
- Table climatique
- Route départementale D560
- RĂ©seau Tranbus
- L’Etat dans le Var-Préfecture de Toulon (83), « L’Etat dans le Var - Préfecture de Toulon (83) », sur www.var.gouv.fr, (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- PLU
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Domaine de Cantarelle
- Un domaine de 135 hectares
- Coopérative vinicole La Brussoise, actuellement Fontaillade
- La bastide Collombe
- La Procureuse
- Bastide Saint-Estève
- Bellone en Provence
- Commerces de proximité
- Le Haut-Var d'antan : Brue-Auriac
- Le hameau de Saint-Estève
- Bourg castral de la Bastidonne
- Bourg castral de Brue
- Bourg castral d'Auriac
- L'Armorialdes villes et villages de France
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Établissements d'enseignements
- Professionnels et établissements de santé
- Paroisse Saint-Georges
- Roux de Corse Georges (ROUX Georges dit)
- « Pigeonnier de Roux de Corse », notice no PA83000016, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Chapelle Notre-Dame
- Prieuré Notre-Dame, dit aussi chapelle Notre-Dame
- Cloche de la Chapelle Notre-Dame
- Monument aux morts
Voir aussi
Bibliographie
- Jaques Martin-Laval, Si Brue m'était conté, 149 p., p. 10 à 25
- Charles Carrière, Georges Roux de Corse, l'histoire d'un armateur marseillais
- Coopérative vinicole La Brussoise, actuellement Fontaillade, Étude historique et architecturale.
- Barrages de tufs calcaires et cascades dans le Centre-Var : rapport avec les eaux des sources karstiques, historique et déclin actuel
- Brue-Auriac, sur www.provence7.com/
- Brue-Aurac paroisse, sur dignois.fr/
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Brue-Auriac sur le site de l'Institut géographique national
- Office de Tourisme de La Provence Verte
- Régions, Architecture, Mobilier, Images, Vocabulaires, Collections, Bibliographie, Accès géographiques, Ethnologie, dans les Bases Mérimée, Palissy, Mémoire, ArchiDoc, Commune de Brue-Auriac
- Brue-Auriac, POP : la plateforme ouverte du patrimoine
- Système d’information géographique du Var (SIG Var) : Brue-Auriac et Inventaires et protections réglementaires de l'environnement