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Bolandoz

Bolandoz est une commune française située dans le département du Doubs, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Bolandoz
Bolandoz
Vue sur le village et son territoire.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
DĂ©partement Doubs
Arrondissement Besançon
Intercommunalité Communauté de communes Loue-Lison
Maire
Mandat
Marie-Pierre Grandjean
2020-2026
Code postal 25330
Code commune 25070
DĂ©mographie
Gentilé Bolandoziens, Bolandoziennes[1]
Population
municipale
377 hab. (2020 en stagnation par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 30 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 01′ 10″ nord, 6° 06′ 43″ est
Altitude Min. 590 m
Max. 910 m
Superficie 12,60 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton d'Ornans
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Bolandoz
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Bolandoz
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Bolandoz
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Bolandoz

    Ses habitants se nomment les Bolandoziens et Bolandoziennes.

    GĂ©ographie

    SituĂ© Ă  une altitude allant de 650 m (village) Ă  950 m (cĂ´te de Bolandoz « Les PrĂ©dits Â»), Bolandoz se trouve sur le plateau d'Amancey (chef-lieu de canton situĂ© Ă  km), Ă  35 km de Besançon et 25 km de Pontarlier.

    Bolandoz.

    Le plateau karstique sur lequel se situe le village est encadré à l'est par la vallée de la Loue et à l'ouest par la vallée du Lison (affluent de la Loue, elle-même affluent du Doubs).

    Cette partie du plateau est majoritairement constituĂ©e de pâturages pour la zone situĂ©e autour du village, et de forĂŞts Ă  majoritĂ© d'Ă©picĂ©as pour la zone s'Ă©levant vers le sud, appelĂ©e « cĂ´te de Bolandoz Â». Cette « cĂ´te Â» est en fait une crĂŞte montagneuse avoisinant les 1 000 mètres d'altitude et qui s'Ă©tend de DĂ©servillers jusqu'Ă  Longeville, en passant par Bolandoz, Reugney, et Amathay-VĂ©signeux. Plusieurs points de vue s'offrent aux regards, un en particulier situĂ© en direction de Reugney au lieu-dit Le Temps, permet d'apercevoir les Alpes par temps clair.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Bolandoz est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5] - [6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (63,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (35,6 %), forêts (32,8 %), zones agricoles hétérogènes (15,5 %), terres arables (12,3 %), zones urbanisées (3,8 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    Bollando au XIIIe siècle ; Bois Lando en 1311 ; Bolando en 1318 ; Boislando en 1367 ; Boislandol en 1410 ; Bolando en 1509 ; Bolandoz depuis 1629[9].

    Histoire

    L'origine du nom n'est pas exactement définie, on peut cependant dire qu'au XIIIe siècle ce nom fait peut-être référence au patronyme de « Boland », et aurait été interprété par la suite comme le « bois de Landoz »

    Dès l'âge du fer, l'homme signale sa présence sur la partie nord de la commune et se fixe sur une croupe qui commande à la fois ce terroir fertile et la voie Ornans-Salins.

    Au Moyen Âge, Bolandoz est sous la tutelle de la seigneurie de Maillot. Patrie de Jean de Bolandoz (dit capitaine Brisbarre), chef des Grandes Compagnies qui, au XIVe siècle, s'empara du château fort du comte de Scey et terrorisa toute la région.

    En 1364, le châtelain de Scey devient donc Jean de Bolandoz. Après s'être attiré les foudres de la comtesse Marguerite, pour s'être attaqué à un des membres de la famille comtale (Henri de Vienne), celle-ci le fait exécuter et confisque ses biens. En 1698, le peuple de Bolandoz profite d'un édit royal, pour acheter la « Justice » du village, et de ce fait devient son propre seigneur. Dans le même temps, un vicaire résident est affecté à Bolandoz afin d'y desservir son église. Ceci n'empêche pas le village de continuer de dépendre de la paroisse de Chantrans (à laquelle il est rattaché depuis le XIIIe siècle).

    À la Révolution, Bolandoz, profondément attaché à sa pratique du culte, n'accepte pas les lois de la République. L'armée interviendra en 1793 mais le village restera « rebelle » jusqu'à la fin du XVIIIe siècle. Jusqu'au milieu du XIXe siècle, le village de Bolandoz prospère grâce à une économie axée sur la production laitière. En 1848, il y a trois fromageries dans le village. En 1851 celui-ci compte 620 âmes, à cette époque, existaient trois hameaux dépendants de Bolandoz :

    • les moulins du ruisseau de Rochanon (on devine encore les vestiges de cette activitĂ© minotière) ;
    • la ferme de la Ravière installĂ©e sur la CĂ´te de Bolandoz (aujourd'hui disparue) ;
    • ainsi qu'un hameau se dĂ©veloppant Ă  proximitĂ© de la chapelle de Notre-Dame-des-Aventures, (elle-mĂŞme construite sur le site d'une ancienne maladrerie). Ce hameau a Ă©galement disparu, la chapelle a quant Ă  elle subsistĂ©.

    Aujourd'hui, le village ne compte plus que 390 habitants, la principale activité reste l'élevage de vaches laitières (8 exploitations agricoles en activité au début du XXIe siècle) et la production de fromages, parmi lesquels le comté. Il ne subsiste plus qu'une seule fromagerie (fruitière aussi appelée « chalet »). Une petite usine de tôlerie industrielle s'est installée à la sortie du village en direction de Reugney. Quelques activités touristiques se sont développées (randonnée, gîte d'étape et piste de ski de fond)[10].

    Le Tour de France cycliste est passé par Bolandoz le 12 juillet 2019[11].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mai 2020 Jean Pierre Débois[12] DVD[13] Agriculteur retraité
    mai 2020 En cours Marie-Pierre Grandjean [14]
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[16].

    En 2020, la commune comptait 377 habitants[Note 2], en stagnation par rapport Ă  2014 (Doubs : +1,96 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    497505525528537540563601618
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    554522530508510510480465463
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    457460483451429427442385372
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    322294290294316299332342372
    2018 2020 - - - - - - -
    366377-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee Ă  partir de 2006[18].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Personnalités liées à la commune

    • Pierre Baudouin-Bugnet, dĂ©putĂ© sous la Troisième RĂ©publique.
    • Jean Victor Corbet[19], nĂ© le 27 vendĂ©miaire de l’an VIII de la RĂ©publique (18 octobre 1799) Ă  Bolandoz, canton d’Amancey, Ă  3 heures du matin, fils de Jean Georges Corbet, cultivateur et de Marie-Joseph Demontrond.

    Il fait ses humanités à Besançon, se consacre à la médecine et sera professeur à l’École de médecine de Besançon, nommé chirurgien-chef de l’hôpital et chef du service Saint-Joseph le 2 juin 1840. Il a le grand mérite d’introduire l’anesthésie à l’éther dès le mois de janvier 1847 à Besançon, trois mois et demi après la première mondiale de Boston et quarante jours après la première réussite parisienne ; il fut aidé en cela par monsieur Petey, dentiste industrieux. Il meurt le 24 août 1861 à 5 heures du matin à Montfaucon, au lieu-dit la Charade. Il est inhumé au cimetière de Morre.

    Lieux et monuments

    Tumulus

    Construit de 550 Ă  450 av. J.-C., il est fait de terre et pierre[10].

    De nombreux tertres funĂ©raires ont Ă©tĂ© dĂ©couverts vers la fin du XIXe siècle, par l'archĂ©ologue Auguste Castan. Ces tumuli attestent de l'importance de l'occupation de la commune Ă  l'Ă©poque du Hallstatt (de 900 et 450 av. J.-C.). Citons le tertre funĂ©raire circulaire de « Derrière le Mouthier » qui a un diamètre de 5 mètres. Parmi les vestiges trouvĂ©s sous un lit de pierres de 40 cm, citons : du charbon, des poteries fragmentĂ©es, rouelles, fibules et autres bracelets. Tous ces objets, comme ceux des autres tumuli de Bolandoz ont aujourd'hui disparu[10].

    Église

    Église de Bolandoz.

    L'Église dédiée à saint Georges est du type église-halle ; elle date du XVIIIe siècle. Entièrement reconstruite en 1723, à l'exception du clocher-porche qui a été construit en 1860. Cette église, dont les vitraux viennent d'être restaurés, recèle de très belles pièces entre autres :

    • Vierge Ă  l'Enfant
    Une des pièces les plus intéressantes se trouvant dans cette église est une « Vierge à l'Enfant ».
    Cette statuette en bois polychrome et dorĂ© datant du XVe siècle, de 98 cm par 61 cm, est logĂ©e dans une niche datant du XVIIIe siècle.
    Elle reprend les caractéristiques stylistiques de la sculpture bourguignonne de la fin du Moyen Âge (Cl. M.H. 1916)[10].
    • Saint Georges Ă©questre
    On trouve Ă©galement dans cette Ă©glise qui lui est dĂ©diĂ©e, une statuette de saint Georges, sur un cheval reprĂ©sentĂ© de façon naĂŻve. Cette sculpture en bois polychrome et dorĂ©, de 70 cm par 50 cm, date vraisemblablement du milieu du XVe siècle. L'Ă©quipement du chevalier : salade Ă  visière mobile, selle et harnachement, sont des Ă©quipements de chevalier du milieu du XVe siècle. Exceptionnellement, saint Georges est ici Ă©quipĂ© d'une hache d'hast destinĂ©e Ă  l'infanterie, au lieu de sa traditionnelle lance ou Ă©pĂ©e, ce qui laisse Ă  penser que la statuette aurait subi une restauration (Cl. M.H. 1916)[10].
    • Dalle funĂ©raire
    Une dalle funĂ©raire en calcaire de 100 x 200 cm environ, reprĂ©sentant un clerc, et datant de vers 1500 environ se trouve dans le dallage sur le cĂ´tĂ© sud de l'Ă©glise oĂą elle a Ă©tĂ© rĂ©utilisĂ©e.
    Outre le dessin représentant le défunt les mains jointes, une épitaphe est inscrite à ses pieds. La traduction partielle de celle-ci est : « Cy git discrète personne […] de cette chapelle dont Dieu ait l'âme » nous rappelle qu'à cette époque, Bolandoz ne possède pas d'église, mais seulement une chapelle (Cl. M.H. 1916)[10].
    • Boiseries du chĹ“ur
    Ces boiseries datant du XVIIIe siècle (époque Louis XVI) seraient l'œuvre de Claude Brachotte, menuisier de Valdahon. Huit panneaux en bois cirés « à la capucine » complétés par les portes de la sacristie, (de même hauteur) sont recouverts de chutes d'ornement sacerdotaux, et de gros rubans sculptés. L'ensemble est surmonté par une corniche ornée de triglyphe et de drapés antiquisants (Cl. M.H. 1916)[10].
    • Vierge de PitiĂ©
    Une statue de la Vierge Marie, reprĂ©sentant Marie qui tient le cadavre de son fils, a Ă©tĂ© construite au XVIe siècle. Elle est en bois polychrome et dorĂ©, et mesure 74 Ă— 45 cm.
    • Vitraux Ă©glise.
      Vitraux Ă©glise.
    • Vierge Ă  l'Enfant.
      Vierge Ă  l'Enfant.
    • Saint Georges Ă©questre.
      Saint Georges Ă©questre.
    • Dalle funĂ©raire.
      Dalle funéraire.
    • Boiseries du chĹ“ur.
      Boiseries du chœur.

    Fontaines

    Il existe trois « fontaines » (nom donnés aux lavoirs / abreuvoirs dans le Haut-Doubs) à Bolandoz.

    Située dans la Grande rue à l'intersection des routes menant à Reugney, Nans-sous-Sainte-Anne et Flagey, elle est de loin la plus belle et a été construite au XIXe siècle par l'architecte Sauterey. Décriée par la population locale du fait qu'elle soit surmontée d'un buste en fonte représentant Marianne, attribué au sculpteur Gauthier. Ce buste commémore le centenaire de la République, comme l'indiquent les trois médailles ornant le collier porté par l'effigie. On peut y lire : « 1789 » « RF » et « 1889 ». La borne d'arrivée d'eau de cette fontaine, placée au centre d'un bassin servant d'abreuvoir, porte la date de 1875, à l'arrière s'élève un lavoir couvert dont les caractéristiques (bassin rectangulaire, colonnades d'ordre toscan en façade) relève d'un type très répandu dans le nord de la Franche Comté[10].
    • La grande fontaine
    Située plus haut dans la Grande rue, c'est un bâtiment de 21m de long dont le toit est soutenu par 8 piliers en pierre et agrémenté d'une pile de jet centrale surmontée d'un vase en pierre.
    • La fontaine Marianne.
      La fontaine Marianne.
    • La grande fontaine.
      La grande fontaine.

    Chapelles

    • La chapelle de Notre-Dame-des-Aventures (Ă©galement appelĂ©e chapelle des Aventures ou chapelle Notre-Dame-de-la-Bonne-Aventure) se trouve Ă  environ un kilomètre en direction de DĂ©servillers. Cette chapelle a Ă©tĂ© construite sur le site d'une ancienne maladrerie, et abrite une statue de Notre-Dame-des-Aventures datant du XVe siècle[10] - [20].
    • La chapelle dĂ©diĂ©e Ă  Jean-Antoine Demontrond situĂ©e route de Salins, au carrefour avec la route d'Amancey.
    • Chapelle Notre-Dame-des-Aventures.
      Chapelle Notre-Dame-des-Aventures.
    • Chapelle dĂ©diĂ©e Ă  J-A Demontrond.
      Chapelle dédiée à J-A Demontrond.

    Rocher, cascade et moulins de Rochanon

    Sur la « côte » de Bolandoz, se trouve le site de Rochanon. On peut voir sur ce site, but de promenade, le rocher de Rochanon, la Vierge de Rochanon (statue de la Vierge située dans une cavité en surplomb de la route) ainsi que la cascade de Rochanon[21].

    C'est en 1721 qu'un certain Guyonvernier habitant déjà sur le site de Rochanon (étymologiquement : « roche à eau ») construisit sur les ruines d'un ancien bâtiment du XVIe siècle, un petit hameau constitué de deux maisons d'habitation, d'un bâtiment abritant trois moulins et une forge (appelé moulins de la Roche), d'un autre bâtiment avec une scierie, une huilerie et une ribe (sorte de moulin comtois servant à broyer le lin et le chanvre).

    Un étang servait de réservoir afin d'alimenter les moulins, permettant ainsi aux habitants de Bolandoz de venir y faire moudre leurs récoltes et profiter des services offerts par la forge, la scierie et l'huilerie.

    Malheureusement, cet endroit très difficile d'accès fut rapidement délaissé pour d'autres moulins situés dans des endroits plus accessibles et au fonctionnement plus régulier (le débit du ruisseau de Rochanon est en effet très fluctuant). Ce fut donc la ruine pour le hameau de Rochanon qui disparut juste avant la guerre de 1870. Il ne subsiste aujourd'hui, pratiquement aucune trace de ces moulins[22].

    • DĂ©filĂ© de Rochanon.
      Défilé de Rochanon.
    • Cascade du rocher de Rochanon.
      Cascade du rocher de Rochanon.
    • Moulin de Rochanon.
      Moulin de Rochanon.
    • Vestiges du moulin de Rochanon.
      Vestiges du moulin de Rochanon.

    Oratoire Notre-Dame-le-Refuge-des-PĂŞcheurs

    Datant de 1841, cet oratoire mesure 270 cm sur 270 cm. Il se trouve Grande-Rue.

    Mairie-Ă©cole

    Une mairie-école, datant de 1841 et 1842, construite selon les plans de Baille et Deville, règne au 1, rue de la Mairie.

    Croix de mission

    En pierre, fer et fonte, elle fut construite pendant la seconde moitié du XIXe siècle. Rue de l'Église.

    Ancienne gare

    Construite de 1907 à 1910, l'ingénieur de cette dernière fut Laborie. Elle se trouve 27, rue de Salins.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. https://www.habitants.fr/doubs-25
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Jean COURTIEU, Dictionnaire des communes du département du Doubs, t. 1, BESANÇON, CÊTRE, .
    10. Guide des communes du Doubs - Édition Flohic
    11. Maxime C., « Le Tour de France en Franche-Comté ce vendredi », sur macommune.info, (consulté le ).
    12. [PDF] Site officiel de la préfecture du Doubs - liste des maires
    13. https://www.lemonde.fr/bourgogne-franche-comte/doubs,25/bolandoz,25070/
    14. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    19. CHU muséum de Besançon
    20. La route des communes de Franche-Comté (Doubs - Haute-Saône - Territoire de Belfort - Jura)
    21. La Route des Communes du Doubs - Ă©dition 2001
    22. Rochanon : eau et cascades - Doubs
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