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Belle-Isle-en-Terre

Belle-Isle-en-Terre (prononcer [bɛlilɑ̃tɛʁ]) est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement des CĂŽtes-d'Armor, en rĂ©gion Bretagne.

Belle-Isle-en-Terre
Belle-Isle-en-Terre
Kastell Mond, au centre-ville.
Blason de Belle-Isle-en-Terre
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement CĂŽtes-d'Armor
Arrondissement Guingamp
Intercommunalité Guingamp-Paimpol Agglomération
Maire
Mandat
François Le Marrec
2020-2026
Code postal 22810
Code commune 22005
DĂ©mographie
Gentilé Bellilois(e)
Population
municipale
1 029 hab. (2020 en diminution de 4,81 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 73 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 32â€Č 44″ nord, 3° 23â€Č 36″ ouest
Altitude 99 m
Min. 77 m
Max. 266 m
Superficie 14,11 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Callac
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Belle-Isle-en-Terre

    Ses habitants sont appelĂ©s les Bellilois ; Ă  noter que les habitants de Belle-Île-en-Mer partagent le mĂȘme gentilĂ©.

    La commune est labellisée Village étape depuis 2017.

    GĂ©ographie

    La commune est situĂ©e au milieu d'une rĂ©gion pittoresque dans le Pays du TrĂ©gor, de forĂȘts, de collines et de ravins, au confluent du Guer et du Guic, lesquels forment le LĂ©guer quand ils se rejoignent Ă  la sortie de Belle-Isle. La richesse du site se prĂȘte Ă  de nombreuses activitĂ©s de promenade et de dĂ©couverte (flore et faune) ainsi qu'Ă  la pĂȘche aux salmonidĂ©s et Ă  la pratique du canoĂ«-kayak. Au sud de la commune se trouvent les forĂȘts de Coat-an-Noz et Coat-an-Hay, sĂ©parĂ©es par la route D 33.

    Le Guic au bourg de Belle-Isle.

    Communes proches

    GĂ©ologie

    Le gisement ferrifĂšre de Belle-Isle-en-Terre s'Ă©tend du nord de Lohuec Ă  l'ouest jusqu'Ă  Gurunhuel Ă  l'est en passant par Loc-Envel[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 11 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 973 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 15,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Louargat », sur la commune de Louargat, mise en service en 1987[8] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 013,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Brieuc », sur la commune de TrĂ©muson, mise en service en 1985 et Ă  40 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă  11,2 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  11,4 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Belle-Isle-en-Terre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (46,8 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (45,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (46,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (36,3 %), zones urbanisĂ©es (7 %), terres arables (6,7 %), prairies (2,5 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (0,7 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le nom en breton de la commune est Benac'h[22].

    L'origine du nom breton Benac'h pourrait se baser sur pen, qui dĂ©signe la tĂȘte et donc le dĂ©but gĂ©ographique d'un fleuve (ici le LĂ©guer). Le suffixe ac'h dĂ©signerait le confluent (Ă  rapprocher du mot aber)[23]. C'est en effet dans ce village que se situe le confluent des riviĂšres du Guer et du Guic, oĂč ils forment le LĂ©guer.

    Histoire

    Une occupation préhistorique y est attestée, une voie gallo-romaine et quelques traces de cette période (bornes, soubassements de petits fanums) y furent découverts.

    Au XIIe siÚcle, des moines seraient venus fonder un monastÚre sur le site de Locmaria[24]. Ces moines venant de Belle-Ile-en-Mer, le nom français actuel Belle-Isle-en-Terre aurait donc été retenu par opposition[25].

    À l'Ă©poque des croisades, on y fait construire un hospice afin de soigner les croisĂ©s et les pĂšlerins.

    Le nom de la ville, au XVIIe siÚcle, est Bellisle. Au siÚcle suivant, le qualificatif « en terre » est ajouté. La forme définitive du nom de « Belle-Isle-en-Terre » date apparemment de 1776. Ce nom viendrait des moines venus de Belle-Ile-en-Mer et qui auraient fondé un monastÚre vers le XIe siÚcle à Loc Maria. Belle-Isle-en-Terre aurait donc été appelée ainsi par opposition à Belle-Ile-en-Mer.

    La commune de Belle-Isle-en-Terre est formée de nombreux hameaux, situés aux alentours du bourg : Run ar manac'h, Loguellou, Lesléo, Coat-Malouarn, Locmaria, Pen-an-Nec'h, la BoissiÚre, le Foz, Penquer, Galvezan, KerguiguÚs-Angall, Penbleiz, Panfourby, la Bosse, etc.

    Les guerres du XXe siĂšcle

    Le monument aux morts porte les noms de 99 soldats morts pour la Patrie[26] :

    • 83 sont morts durant la PremiĂšre Guerre mondiale ;
    • 13 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale ;
    • 3 sont morts durant la guerre d'AlgĂ©rie.

    Henri Prual, brigadier de police nĂ© Ă  Belle-Isle-en-Terre en 1918, rejoint le maquis de Pont-Melvez au dĂ©but de 1944. Alors que son groupe venait d'exĂ©cuter des sabotages sur les lignes tĂ©lĂ©phoniques, il fut arrĂȘtĂ© en mĂȘme temps que ses camarades, sur dĂ©nonciation[27] le 27 juin 1944. IncarcĂ©rĂ© Ă  la maison d'arrĂȘt de Guingamp, il subit d'affreuses tortures. JugĂ© et condamnĂ© Ă  la peine de mort pour attentats et attaques Ă  main armĂ©e contre l'occupant, il fut fusillĂ© le 3 juillet 1944 au camp de Servel (CĂŽtes-du-Nord). Il avait 26 ans.

    Plombier nĂ© en 1924 Ă  Belle-Isle-en-Terre, Jean-Baptiste Le Tallec rejoint un groupe d'une vingtaine de jeunes rĂ©sistants, des Ă©tudiants rennais pour la plupart. BasĂ©s Ă  Senven-LĂ©hart, peu armĂ©s, ils furent rapidement repĂ©rĂ©s par les autoritĂ©s d'Occupation. Le 12 juin 1944, Jean-Baptiste Le Tallec fut arrĂȘtĂ© avec onze autres maquisards et transfĂ©rĂ© Ă  la prison de Guingamp oĂč il fut torturĂ© en mĂȘme temps que ses camarades. Il fut fusillĂ© le 16 juin 1944. Au moment de son exĂ©cution, son pĂšre, Ange-Marie, Ă©tait dĂ©tenu dans la mĂȘme prison pour aide active Ă  deux rĂ©sistants[28]. Jean-Baptiste Le Tallec avait 20 ans.

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    De gueules au croissant d'argent accompagné de trois coquilles renversées d'or[29].

    Les coquilles Saint-Jacques font rĂ©fĂ©rence Ă  un hospice oĂč, du temps des croisades, les pĂšlerins de Compostelle Ă©taient soignĂ©s[30].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1935 1948 Ange Le Tallec
    1948 mars 2001 Jean Le Roux
    mars 2001 28 mars 2014 Jean David PS Consultant
    28 mars 2014 En cours
    (au 31 mai 2020)
    François Le Marrec[31] - [32]
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026
    PCF Conducteur de travaux

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[34].

    En 2020, la commune comptait 1 029 habitants[Note 7], en diminution de 4,81 % par rapport Ă  2014 (CĂŽtes-d'Armor : +1,05 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7418128169051 0791 3781 7401 8511 600
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6021 2722 0511 8761 9201 9971 9451 9291 944
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8961 8621 7481 6121 6591 6191 5081 5011 284
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 2311 1421 1851 2041 0671 0991 0501 0791 034
    2020 - - - - - - - -
    1 029--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee Ă  partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Langue bretonne

    L’adhĂ©sion Ă  la charte Ya d’ar brezhoneg a Ă©tĂ© votĂ©e par le Conseil municipal le 26 novembre 2007. Le elle a reçu le label de niveau 1 de la charte.

    Lieux et monuments

    BĂątiments et lieux publics remarquables

    • Kastell Mond (ou chĂąteau de Lady Mond) - 1939, qui abrite la mairie et la bibliothĂšque.
      Le Kastell Mond, réplique du chùteau de Coat-an-noz.
    Ce chĂąteau abrite Ă©galement le Centre d'initiation Ă  la riviĂšre depuis 2000.

    BĂątiments religieux

    • Église Saint-Jacques-le-Majeur.
      Église Saint-Jacques-le-Majeur.
    • Église Saint-Jacques-le-Majeur.
      Église Saint-Jacques-le-Majeur.
    • Ancienne Ă©glise Saint-Jacques.
      Ancienne Ă©glise Saint-Jacques.
    • Chapelle de Locmaria.
      Chapelle de Locmaria.

    Musées

    L'Aquarium des Curieux de nature, qui se trouve au chùteau de Lady Mond (dans les locaux du Centre régional d'initiation à la riviÚre), présente une dizaine d'aquariums contenant des spécimens représentatifs de la faune des riviÚres de Bretagne.

    Autres

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Louis Chauris, "Minéraux de Bretagne", éditions du Piat, 2014, (ISBN 978-2-917198-22-3).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Louargat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Belle-Isle-en-Terre et Louargat », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Louargat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Belle-Isle-en-Terre et Trémuson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    22. « Villes bretonnes, nom breton », Geobreizh (consulté le ).
    23. aber sur le wiktionnaire
    24. « infobretagne, Histoire de Belle-Isle-en-Terre » (consulté le ).
    25. « Office de Tourisme du Pays de Belle-Isle-en-Terre (restaurants, hébergements, loisirs,...) », sur www.ot-belle-isle-en-terre.com (consulté le ).
    26. « MémorialGenWeb Tableau des morts de la commune », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
    27. Prigent Alain et Tilly Serge, "Les fusillés et décapités aprÚs jugement d'un tribunal militaire allemand (CÎtes-du-Nord, 1940-1944)", Les cahiers de la Résistance populaire, mai 2011, page 134..
    28. Prigent Alain et Tilly Serge, "Les fusillés et décapités aprÚs jugement d'un tribunal militaire allemand (CÎtes-du-Nord, 1940-1944)", Les cahiers de la Résistance populaire, mai 2011, page 101.
    29. Banque du Blason
    30. « Office de Tourisme de Guingamp - Baie de Paimpol », sur Office de Tourisme de Guingamp - Baie de Paimpol (consulté le ).
    31. « François Le Marrec a été élu maire. Il a été élu par 12 voix et 3 nuls », Ouest-France, 29 mars 2014
    32. « RĂ©pertoire national des Ă©lus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des donnĂ©es publiques de l'État (consultĂ© le ).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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