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Avesnes-Chaussoy

Avesnes-Chaussoy est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Avesnes-Chaussoy
Avesnes-Chaussoy
Le château d'Avesnes.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité CC Somme Sud-Ouest
Maire
Mandat
Benoît Beaucourt
2020-2026
Code postal 80140
Code commune 80048
Démographie
Population
municipale
64 hab. (2020 en stagnation par rapport à 2014)
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 54′ 09″ nord, 1° 52′ 29″ est
Altitude Min. 74 m
Max. 147 m
Superficie 6,12 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Poix-de-Picardie
Législatives 3e circonscription de la Somme
Localisation
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Avesnes-Chaussoy
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Avesnes-Chaussoy

    Géographie

    Description

    Vue générale du village.

    Avesnes-Chaussoy est un village rural picard situé au sud d'Abbeville et à l'ouest d'Amiens, accessible par la RD 157 qui constitue la limite sud-est de la commune.

    Par la route, Avesnes-Chaussoy se situe à 37 km d'Amiens via la D901, 30 km d'Abbeville via la D29 et 12 km d'Oisemont via la D29[1].

    Communes limitrophes

    ²

    Urbanisme

    Typologie

    Avesnes-Chaussoy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5] - [6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80 %), forêts (11,7 %), prairies (6,1 %), zones agricoles hétérogènes (2,2 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté précocement sous la forme Avisnas en 750[9]. La commune est instituée sous la dénomination de Avesnes Chaulsoix en 1793, Avesnes et le Sauchoy en 1801. Elle prend ultérieurement son toponyme actuel de Avesnes-Chaussoy[10].

    Ernest Nègre explique le type toponymique Avesnes, dont la répartition est limitée au Maine, à la Normandie, la Picardie et le Nord-Pas-de-Calais, par l'ancien français avenesne[11] ou le bas latin *avenesna (non attesté) au sens de « terre propice à l'avoine »[12], en supposant un hypothétique passage de *Avenesne à Avesne. En effet, *Avenesne n'est jamais mentionné en tant que forme ancienne des différents toponymes Avesnes ou en -avesne, alors même que ce type toponymique est attesté dès le Haut Moyen Âge, ce qui est rarement le cas pour des localités rurales. Albert Dauzat considère qu'il y a un problème avec le type Avesnes, c'est pourquoi il exclut Avesnes-Chaussoy de la série des toponymes contenant l'élément avena « avoine » et le qualifie simplement d'obscur[13].

    Les formes les plus anciennes sont du type Avis(i)n- et non pas *Avenesne. Ainsi en témoignent encore Avesnes (Somme, Vron, Avisnis en 844), Avesnes-le-Sec (Nord, Avisinas en 775), Avesnes-en-Bray (Seine-Maritime, Avisnis en 842). Le radical Avisn- est en revanche semblable au mot germanique avisna / afisna « pâturage »[14] - [15] (cf. vieil anglais æfesn « pâturage »). En outre, des formations toponymiques avec l'article défini l ou les, plus tardives, confirment ce sens, par exemple : Les Avesnes (Seine-Maritime, Communes patures nommées les Avesnes dans le fief de Montérolier 1455).

    On le retrouve également dans des composés de type germanique comme Haravesnes.

    Histoire

    Le , Jehan de Calonne achète la seigneurie d’Avesnes et ses fiefs. Il construit le château, qui est resté depuis dans sa famille[16].

    Première Guerre mondiale

    Le château a été utilisé pendant la Première Guerre mondiale a été utilisé comme centre de repos et de soins pour les soldats canadiens, américains et français. Un soldat anglais est d'ailleurs enterré dans le parc du château[17].

    Seconde Guerre mondiale

    Vestiges de la Seconde Guerre mondiale.
    Hommage aux soldats du 53e RICM exécutés par l'assaillant Nazi parce que noirs...

    Durant la bataille de France, au début de la Seconde Guerre mondiale, le , les troupes allemandes, arrivées sur la rive gauche de la Somme depuis le 21 mai, franchissent le fleuve à bord de canots pneumatiques. Le village est défendu par des unités du 53e régiment d'infanterie coloniale français, et notamment la 7e compagnie, composée majoritairement de tirailleurs sénégalais et du capitaine N'Tchoréré. Ses positions sont prises les unes après les autres après d'âpres combats. « Mais elle finit par déclarer forfait. Les Allemands trient les prisonniers, séparent les Africains des Européens. Le capitaine N'Tchoréré est sauvagement exécuté. Les autres Africains sont emmenés à Dromesnil où 120 d'entre eux sont fusillés[18] ». Une stèle inaugurée en 2013 leur rend hommage[19].

    À partir de , une cinquantaine de militaires allemands lancent des V1 vers l'Angleterre pendant deux mois et demi, à partir d'une rampe et ses annexes construites dans le parc du château[20] - [17].

    Politique et administration

    La mairie.

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouvait jusqu'en 2009 dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. De 2009 à 2016, elle est intégrée à l'arrondissement d'Abbeville, avant de réintégrer le l'arrondissement d'Amiens[21]. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la troisième circonscription de la Somme.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton d'Oisemont[10]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Poix-de-Picardie.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la petite communauté de communes de la Région d'Oisemont (CCRO), créée au .

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

    Ce projet prévoit la « fusion des communautés de communes du Sud-Ouest Amiénois, du Contynois et de la région d'Oisemont », le nouvel ensemble de 37 412 habitants regroupant 120 communes[22] - [23]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[24], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en Å“uvre de la fusion[25].

    La communauté de communes Somme Sud-Ouest (CC2SO), dont est désormais membre la commune, est ainsi créée au [26].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[27]
    Période Identité Étiquette Qualité
    février 1793 Jean-Baptiste Magnier[28] officier public
    An VI M. Labbé [28] agent municipal
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1995 2008 Francis Lamotte UMP

    .

    mars 2008[29] mai 2020 Roland de Calonne[30] DVD
    2020[31] En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Benoît Beaucourt

    Politique de développement durable

    Le conseil municipal a donné un avis défavorable en mars 2020 à la création d'un parc éolien qui serait réalisé sur la commune et celle d'Épaumesnil, il comprendrait 4 aérogénérateurs[32].

    En 2022, la commune n'a pas de « moulin à vent » sur son territoire mais est entourée par celles des communes voisines[33].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].

    En 2020, la commune comptait 64 habitants[Note 2], en stagnation par rapport à 2014 (Somme : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    327251342238240234213209210
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    210203188187179184176156161
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    151130131117100105907785
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    665865585153545467
    2014 2019 2020 - - - - - -
    646364------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[10] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Château d'Avesnes, des XVIe et XVIIIe siècles[37] avec un jardin à la française[38], résidence de la famille de Calonne d'Avesnes.
      Une tour d'escalier hexagonale, une poivrière, jouxte le bâtiment principal[39].
      . Le parc du château accueille un pigeonnier en torchis de 600 cases, toujours en service[17], ainsi que la reconstitution d'un V1 sur les lieux où une base de lancement a été active en 1944. Des vestiges ont été remis en valeur et rendus visitables[20] - [40] - [41].
    • Église Saint-Denis.
    • Chapelle Notre-Dame-de-la-Salette, près du bois du mont d'Avesne. Elle a été édifiée par la famille de Calonne, propriétaire du château, après la disparition de huit de ses dix enfants, atteints de tuberculose en 1850[42].
    • Chapelle funéraire du Chaussoy. Elle remonte au XVIIIe siècle. Dédiée primitivement à saint Antoine de Padoue, elle appartient aux familles Martin, Houbard et Dumesnil[42].
    • Église Saint-Denis.
      Église Saint-Denis.
    • Façade de l'église
      Façade de l'église
    • Reproduction de V1 dans le parc du château
      Reproduction de V1 dans le parc du château
    • Le pigeonnier
      Le pigeonnier
    • Monument aux morts
      Monument aux morts
    • Chapelle Notre-Dame de la Salette.
      Chapelle Notre-Dame de la Salette.

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Avesnes-Chaussoy », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Viamichelin.
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 41b.
    10. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    11. Avesna et Avenesne sont mentionnés par Du Cange dans des textes tardifs du XIIIe siècle.
    12. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. I : Formations préceltique, celtiques, romanes, Genève, (lire en ligne), p. 349.
    13. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit..
    14. Maurits Gysseling, Toponymisch woordenboek van België, Nederland, Luxemburg, Noord-Frankrijk en Duitsland (vóór 1226), Deel I, Belgisch Interuniversitair Centrum voor Nederlandistiek, 1960, p. 86 (lire en ligne)
    15. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 35.
    16. Lydaille, « Ma mission est de garder le patrimoine familial » : Rencontre avec Roland De Calonne qui entretient avec passion le château familial à Avesnes-Chaussoy », L'Informateur - L'Éclaireur,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    17. Samuel Laporte, « L'incroyable histoire du Château d'Avesnes-Chaussoy à découvrir jusqu'au 22 août : Inscrit au titre des Monuments historiques, le château d'Avesnes-Chaussoy a d'abord été consacré à l'élevage avant de connaître des bouleversements au XXe siècle. », L'Éclaireur du Vimeu],‎ (lire en ligne, consulté le ).
    18. Discours du maire, Roland de Calonne, lors de l'inauguration de la stèle commémorative en 2013.
    19. Patrick Piérard, « Pensée pour les tireurs sénégalais : Une commémoration a eu lieu en mémoire des tireurs sénégalais tombés lors des combats de juin 1940. Tous se sont retrouvés au pied de la nouvelle plaque », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    20. FR3 Picardie, actualités régionales, 29 août 2015.
    21. « Arrêté du Préfet de région du 23 décembre 2016 portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme », Recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-France, no 200,‎ , p. 321 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
    22. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    23. Benoît Delespierre, « Intercommunalité : La carte qui fait peur aux élus locaux », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
    24. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
    25. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes du sud-ouest Amiénois, de la communauté de communes du Contynois et de la communauté de communes de la région d'Oisemont », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 93-95 (lire en ligne [PDF]).
    26. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Somme Sud-Ouest issue de la fusion de la communauté de communes du Continois, de la communauté de communes de la Région de Oisement et de la communauté de communes du Sud Ouest Amiénois à compter du » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
    27. « Les maires d'Avesnes-Chaussoy », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    28. Registre d'état-civil de la commune.
    29. Le réveil du 3 avril 2008
    30. Réélu pour le mandat 2014-2020 : éélu pour le mandat 2014-2020 : « Liste des maires de la Somme » [PDF], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    31. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    32. Benoît Delespierre, « Quatre éoliennesà l’étude entre Épaumesnil et Avesnes-Chaussoy : Une « étude de préfaisabilité » prévoit « environ quatre éoliennes » à une distance de 500 mètres des habitations les plus proches. Une commune a déjà dit non, l’autre attend après les élections. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    33. « Le pactole diversement apprécié de la fiscalité éolienne : Avesnes-Chaussoy : de l'argent sale », Courrier picard,‎ , p. 18.
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. « Le château d'Avesnes », notice no PA00116086, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. « Jardin d'agrément du château d'Avesnes-Chaussoy », notice no IA80000373, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. Le Courrier picard, édition Picardie maritime, Avesne-Chaussoy, le château et son histoire ouverts jusqu'au 22 août, 26 juillet 2016, p. 2.
    40. Émilie Da Cruz, « Le tourisme reprend ses quartiers à Poix et Conty : Les bureaux d’information touristique de Conty et Poix ont rouvert pour la haute saison. Avec à la clé, la publication d’un nouveau guide et un projet pour attirer plus de touristes », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    41. Blandine Thoreux, « Le château des De Calonne rouvre ses portes au public : Cet été, le château d'Avesnes-Chaussoy est ouvert aux visiteurs. Outre le château du XVe siècle, le parc abrite une base de lancement d'une des armes secrètes d'Hitler : le V1. », L'Informateur - L'Éclaireur,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    42. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 94-95 (ASIN B000WR15W8).
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