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André Pieyre de Mandiargues

André Pieyre de Mandiargues est souvent considéré comme un écrivain surréaliste, et, même s'il le rejoint sur certains aspects, il ne pourrait y être totalement rattaché. De fait, il est aussi membre inavoué du romantisme noir et constitue l'un des derniers représentants du symbolisme.

André Pieyre de Mandiargues
Nom de naissance André Paul Édouard Pieyre de Mandiargues
Naissance
17e arrondissement de Paris
Décès
4e arrondissement de Paris
Nationalité Drapeau de la France Française
Activité principale
écrivain, poète, dramaturge
Distinctions
prix Goncourt pour La Marge en 1967
Auteur
Langue d’écriture français
Mouvement surréalisme

Ĺ’uvres principales

De nationalité française, il est né le à Paris, où il meurt le .

Son œuvre comprend des poèmes, des contes et des romans (notamment Le Musée noir, en 1946, Soleil des loups, en 1951 et Feu de braise, en 1959), des essais sur l'art et la littérature, des pièces de théâtre (Isabella Morra, 1973), des recueils de poèmes (L'Âge de craie, 1961) ainsi que des traductions. Il a également reçu le Prix Goncourt en 1967 pour son roman La Marge, et le Grand prix de poésie de l'Académie française en 1979.

Biographie

Armes de la famille Pieyre de Mandiargues (modèle de 1815).
Portrait de Lucie BĂ©rard par Renoir

André Pieyre de Mandiargues naît le 14 mars 1909[1] dans une famille appartenant à la noblesse d’Empire de tradition calviniste[1]. Son père est languedocien[1] et cévenol, sa mère normande[1], Lucie Bérard, est la fille de Paul Bérard, collectionneur d'art et mécène de Renoir.

Il entreprend des études de lettres avant de se passionner pour l'archéologie et notamment la civilisation étrusque. Il visite l'Europe[1] et le bassin méditerranéen avant la Seconde Guerre mondiale. En 1943, il se réfugie à Monaco[1] où il publie son premier recueil : Dans les années sordides. Rentré à Paris en 1945, il fait la connaissance en 1947 de l'artiste-peintre, Bona Tibertelli de Pisis (1926-2000), nièce du peintre ferrarais Filippo De Pisis, qu'il épouse en 1950.

Il signe en 1960 le Manifeste des 121 titré « Déclaration sur le droit à l’insoumission dans la guerre d’Algérie ».

En 1967, année de sa consécration, sort le film La Motocyclette, adapté par Jack Cardiff d'après son roman du même nom[1], un road movie psychédélique avec Alain Delon et Marianne Faithfull[2]. C'est aussi l'année du prix Goncourt pour son roman La Marge[1] - [3] - [4] qui est adapté au cinéma presque 10 ans plus tard par Walerian Borowczyk sous le même titre, La Marge, en 1976. L'une de ses nouvelles, La Marée, est également adaptée comme saynète avec Fabrice Luchini et Lise Danvers dans le film érotique Contes immoraux du même Walerian Borowczyk en 1974[5].

En 1979, André Pieyre de Mandiargues reçoit le Grand prix de poésie de l'Académie française[3].

Proche de la NRF, André Pieyre de Mandiargues a laissé une correspondance importante avec Jean Paulhan et nombre d'écrivains, comme Nelly Kaplan[6]. Il a été proche également de beaucoup de peintres comme Wilfredo Lam ou Guillaume Corneille. Ses archives — et celles de son épouse Bona — sont déposées à l'Institut mémoires de l'édition contemporaine (IMEC), à Saint-Germain-la-Blanche-Herbe, dans l'abbaye d'Ardenne près de Caen.

Grand amateur d'érotisme, il a préfacé les œuvres de Pierre Louÿs éditées en 10/18, et plusieurs de ses œuvres ont une inspiration érotique[5] - [7].

Il meurt en décembre 1991 et est inhumé au cimetière du Père-Lachaise (13e division). En 1993, un roman posthume inédit est publié, Monsieur Mouton, écrit en 1933[8] - [9].

Il a été influencé par le romantisme allemand et par les écrits d'André Breton, mais ne peut cependant pas être assimilé au groupe des surréalistes[3]. Il est quelquefois considéré comme l'un des derniers représentants du symbolisme[10] - [11].

Son frère cadet, Alain (1915-2008), a été le premier mari d'Éliane Victor.

Ĺ’uvres

Poésie

  • Dans les annĂ©es sordides, frontispice et deux dessins de Leonor Fini, 280 exemplaires numĂ©rotĂ©s, Ă  compte d'auteur, Monaco, 1943.
    • Dans les annĂ©es sordides, Paris, Gallimard, coll. "MĂ©tamorphoses", Ă©dition augmentĂ©e, 1948.
  • Hedera ou la persistance de l'amour pendant une rĂŞverie, Monaco, Hommage, 1945.
  • Les IncongruitĂ©s monumentales, Paris, Robert Laffont, 1948.
    • Les IncongruitĂ©s monumentales, avec 33 lithographies d'Enrico Baj, Paris, Michel CassĂ©, 1967.
  • Astyanax, dessins de Bona, Paris, Le Terrain Vague, 1957.
  • Cartolines et dĂ©dicaces, Paris, Le Terrain Vague, 1960.
  • L'Ă‚ge de craie, suivi de Hedera, "premier cahier de poĂ©sie", Paris, Gallimard, 1961.
  • La Nuit l'amour, avec 15 eaux-fortes de Bernard Dufour, Paris, Chez Pierre Loeb, 1961.
  • Astyanax, prĂ©cĂ©dĂ© de Les IncongruitĂ©s monumentales et suivi de Cartolines et dĂ©dicaces, "troisième cahier de poĂ©sie", Paris, Gallimard, 1964.
  • Le Point oĂą j'en suis, suivi de Dalila exaltĂ©e et de La Nuit l'amour, "quatrième cahier de poĂ©sie", Paris, Gallimard, 1964.
  • Larmes de GĂ©nĂ©raux, lithographies d'Enrico Baj, Stockholm, Hermann Igell, 1965.
  • Jacinthes, eaux-fortes d'Alexandre Bonnier, Paris, O.L.V., coll. "Paroles peintes", 1967.
  • Ruisseau des solitudes, suivi de Jacinthes et de Chapeaugaga, "cinquième cahier de poĂ©sie", Paris, Gallimard, 1968.
  • Le Lièvre de la lune, avec 2 eaux-fortes d'Enrico Baj, Milan, M'Arte Edizioni, 1970.
  • Chapeaugaga ovvero Academic Micmac, avec 15 eaux-fortes d'Enrico Baj, Milan, Edizioni d'Arte Grafica Uno, 1er may 1970 (100 exemplaires).
  • Croiseur noir, avec 6 eaux-fortes de Wifredo Lam. Paris, O. Lazar-Vernet, 1972.
  • L'Ivre Ĺ’il, suivi de Croiseur noir et de Passage de l'Égyptienne, "sixième cahier de poĂ©sie", Paris, Gallimard, 1979.
  • Sept Jardins fantastiques, avec 7 eaux-fortes de Kiyozumi Yamashita, Tokyo, Éditions Muleta, 1983.
  • Cuevas blues, Montpellier, Fata Morgana, 1986.
  • Carrare, Paris, avec 4 aquarelles de Osa Sherdin, 1987
  • Passage de l'Égyptienne, eaux-fortes de Miro, R.L.D., 1987.
  • Écriture ineffable, avec 2 eaux-fortes de Mehdi Qotbi, Montpellier, Fata Morgana, 1988.
  • Les Portes de craie, illustrations de Pierre Alechinsky, Paris, Robert et Lydie Dutrou, 1989.
  • Les Variations citadines, avec 4 lithographies de Bona. Postface de GĂ©rard MacĂ©. Paris, Chez Michel CassĂ©, 1992.
  • Gris de perle, suivi de Les portes de craie, Cuevas blues, Sept jardins fantastiques et Variations citadines, "dernier cahier de poĂ©sie", Paris, Gallimard, 1993.
  • L'Ă‚ge de craie, suivi de Dans les annĂ©es sordides, Astyanax et Le Point oĂą j'en suis, PoĂ©sies complètes, tome I, Paris, PoĂ©sie / Gallimard, 2009.
  • Écriture ineffable, prĂ©cĂ©dĂ© de Ruisseau des solitudes, de L'Ivre Ĺ’il et suivi de Gris de perle, PoĂ©sies complètes, tome II, Ă©dition Ă©tablie par Claude Leroy, Paris, PoĂ©sie / Gallimard, 2009.

Contes et nouvelles

  • Le MusĂ©e noir, Paris, Robert Laffont, 1946 ; recueil de nouvelles.
  • L'Étudiante, Paris, Fontaine, coll. « L'Ă‚ge d'or ». Recueilli dans Soleil des loups (1951).
  • Soleil des loups, Paris, Robert Laffont, 1951.
  • Feu de braise, Paris, Grasset, 1959 [12].
  • La MarĂ©e, Le Cercle du livre prĂ©cieux, HC, 1962. Recueilli dans Mascarets (1971)[5].
  • Sabine, Paris, Mercure de France, 1963. Recueilli dans Porte dĂ©vergondĂ©e (1965).
  • Porte dĂ©vergondĂ©e, rĂ©cits, Paris, Gallimard, coll. « Le Chemin », 1965[7].
  • Le Marronnier, Paris, Mercure de France, 1968. Recueilli dans Mascarets (1971).
  • La Nuit de mil neuf cent quatorze, Paris, L'Herne, 1971.
  • Mascarets, rĂ©cits, Paris, Gallimard, coll. « Le Chemin », 1971[5]..
  • Sous la lame, rĂ©cits, Paris, Gallimard, coll. « Le Chemin », 1976.
  • Le Deuil des roses, nouvelles, Paris, Gallimard, 1983.
  • RĂ©cits Ă©rotiques et fantastiques, Paris, Gallimard, coll. « Quarto », 2009.

Romans

  • Marbre, rĂ©cit, Paris, Robert Laffont, 1953.
  • L'Anglais dĂ©crit dans le château fermĂ© (sous le pseudonyme de Pierre Morion), Oxford & Cambridge, 1953.
    • L'Anglais dĂ©crit dans le château fermĂ© (sous son nom), Paris, Gallimard, 1979.
  • Le Lis de mer, rĂ©cit, Paris, Robert Laffont, 1956.
  • La Motocyclette, Paris, Gallimard, 1963[2].
  • La Marge, Paris, Gallimard, 1967. Prix Goncourt.
  • Tout disparaĂ®tra, rĂ©cit, Paris, Gallimard, 1987[11].

Posthume :

  • Monsieur Mouton, Montpellier, Fata Morgana, 1993[8] - [9].

Théâtre

  • Isabella Morra, Gallimard, 1973, d'après Isabella Morra
  • La Nuit sĂ©culaire, Gallimard, 1979.
  • Arsène et ClĂ©opâtre, Gallimard, 1981.

Essais

  • Masques de LĂ©onor Fini, avec quatre planches de dessin de Leonor Fini et dix photographies d'AndrĂ© Ostier, Paris, La Parade, 1951.
  • Les Monstres de Bomarzo, avec trente-six photographies de Glasberg, Paris, Grasset, coll. "La Galerie en images", 1957.
  • Le Cadran lunaire, Paris, Robert Laffont, 1958.
  • Le BelvĂ©dère, Paris, Grasset, 1958.
  • SugaĂŻ, Paris, Georges Fall Ă©diteur, coll. "Le MusĂ©e de poche", 1960.
  • Deuxième BelvĂ©dère, Paris, Grasset, 1962.
  • Les Corps illuminĂ©s, photographies de FrĂ©dĂ©ric Barzilay, Paris, Mercure de France, 1965.
  • Beylamour, Paris, Jean-Jacques Pauvert, 1965.
  • Critiquettes, eaux-fortes de Bona, Montpellier, Fata Morgana, 1967.
  • Troisième BelvĂ©dère, Paris, Gallimard, 1971.
  • Bona l'amour et la peinture, Genève, Skira, coll. "Les Sentiers de la crĂ©ation", 1971.
  • Arcimboldo le merveilleux (en coll. avec Yasha David), Paris, Robert Laffont, 1977.
  • Le TrĂ©sor cruel de Hans Bellmer, Paris, Le Sphinx, coll. "Le Plan des Sources", 1979.
  • Aimer Michaux, Montpellier, Fata Morgana, 1983.

Posthumes :

  • Quatrième BelvĂ©dère, Paris, Gallimard, 1995.
  • Ultime BelvĂ©dère, Montpellier, Fata Morgana, 2002.
  • Les Rougets, illustrĂ© par une soixantaine d'artistes chargĂ©s chacun de six Ă  trente volumes, Montpellier, Fata Morgana, 2003.

Traductions

  • Octavio Paz, La Fille de Rappacini, Paris, Mercure de France, 1972.
  • W. B. Yeats, Le Vent parmi les roseaux, eaux-fortes de Miro, O. L. V., 1972.
  • Filippo de Pisis, La Petite Bassaride, L'Herne, 1972.
  • Filippo de Pisis, 11 + 1 poèmes, eaux-fortes de Bona, Rome, Carlo Bestetti, 1975.
  • Yukio Mishima, Madame de Sade, Gallimard, 1976 (avec Nobutaka Miura).
  • Yukio Mishima, L'Arbre des tropiques, Gallimard, 1984 (avec Jun Shiragi).

Entretiens

  • Le DĂ©sordre de la mĂ©moire, entretiens avec Francine Mallet, Gallimard, 1975.
  • Un Saturne gai, entretiens avec Yvonne Caroutch, Gallimard, 1982.

Correspondance

  • Lettres Ă  Jean Paulhan, La Nouvelle Revue Française no 554, .
  • Bona et AndrĂ© Pieyre de Mandiargues, Correspondances, Ă©ditions Filigranes, coll. "Saison", nos 22, 2005.
  • « Écris-moi tes hauts faits et tes crimes », correspondance avec Nelly Kaplan de 1962 Ă  1991, Paris, Tallandier, 2009[6].
  • AndrĂ© Pieyre de Mandiargues et Jean Paulhan, Correspondance 1947-1968. Édition Ă©tablie, annotĂ©e et prĂ©facĂ©e par Éric Dussert et Iwona Tokarska-Castant, Paris, Gallimard, coll. Les Cahiers de la NRF, 2009.
  • Leonor Fini et AndrĂ© Pieyre de Mandiargues, L'Ombre portĂ©e. Correspondance 1932-1945. Traduit de l'italien par Nathalie Bauer. Paris, Le Promeneur, 2010
  • AndrĂ© Pieyre de Mandiargues et Francis Ponge, Lettres familières 1950-1980. Édition Ă©tablie, annotĂ©e et prĂ©sentĂ©e par GĂ©rard Farasse, La Rochelle, Éditions Himeros, 2011.

Hommage

Il existe depuis 1999 une rue André-Pieyre-de-Mandiargues dans le 13e arrondissement de Paris. Plaque de rue de la rue André-Pieyre-de-Mandiargues.

Notes et références

  1. A. B., « André Pieyre de Mandiargues », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  2. Jean de Baroncelli, « " La Motocyclette " », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  3. « André Pieyre de Mandiargues », sur Evene / Le Figaro
  4. « Goncourt : André Pieyre de Mandiargues. Renaudot : Salvat Etchart », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  5. Jacqueline Piatier, « Mascarets et autres textes », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  6. Pierre-Robert Leclercq, « "Ecris-moi tes hauts faits et tes crimes. Correspondance 1962-1991", de Nelly Kaplan et André Pieyre de Mandiargues : une amitié amoureuse », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  7. Jacqueline Piatier, « " Porte dévergondée ", d'A. Pieyre de Mandiargues », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  8. « Le style et le chat », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  9. Laurent Demanze, « Mon tout est Mouton », Roman 20-50, no hors série n° 5,‎ , p. 81-90 (DOI 10.3917/r2050.hs5.0081, lire en ligne)
  10. « Rapport du Jury de lettres - CAPES 2019 » [PDF], sur gouvernement.fr, (consulté le )
  11. « Les fantasmagories de Mandiargues », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  12. « Le prix de la nouvelle à M. A. Pieyre de Mandiargues », Le Monde,‎ (lire en ligne)

Annexes

Bibliographie

Monographies
  • Denise Bourdet, AndrĂ© Pieyre de Mandiargues, dans: Visages d'aujourd'hui, Paris, Plon, 1960.
  • Bond David J., The Fiction of AndrĂ© Pieyre de Mandiargues, Syracuse, N.Y., Syracuse University Press, 1982
  • Cadorel Raymond, RĂ©surgences mexicaines dans l'Ĺ“uvre de Mandiargues, Recifs, Sorbonne nouvelle, Paris III
  • Castant Alexandre, EsthĂ©tique de l'image, fictions d'AndrĂ© Pieyre de Mandiargues. Publications de la Sorbonne, Paris, 2001.
  • Demornex Jacqueline, Le Pire, c'est la neige, Paris, Sabine Wespiesser Ă©diteur, 2009.
  • Gras-Durosini Dominique, Mandiargues et ses rĂ©cits : L'Ă©criture en jeu . Paris, L'Harmattan, 2006.
  • Grossman Simone, L'Ĺ“il du poète. Pieyre de Mandiargues et la peinture, Paris-Caen, Lettres modernes-Minard, "Archives des lettres modernes" nos 273, 1999.
  • Laroque-Texier Sophie, Lecture de Mandiargues, Paris, L'Harmattan, 2005.
  • Leroy Claude, Le mythe de la passante de Baudelaire Ă  Mandiargues. Paris, P.U.F., 1999.
  • Martellucci Filippo, L'occhio libro. Studio sul linguaggio dell'immagine nella poesia di Pieyre de Mandiargues, Roma, Bulzoni, 1995.
  • Mallard Alain-Paul et Pieyre de Mandiargues Sibylle (dir.), AndrĂ© Pieyre de Mandiargues / Pages mexicaines", Gallimard / Maison de l'AmĂ©rique latine, 2009.
  • Patriarca Francesco et Pieyre de Mandiargues Sibylle, L'appartement. Filigranes Éditions, 2004.
  • Pierre JosĂ©, Le BelvĂ©dère Mandiargues. Paris, Biro/ArtCurial, 1990.
  • Rambures, Jean-Louis de (entretien avec), Comment travaillent les Ă©crivains, Paris, Flammarion, 1978.
  • StĂ©tiĂ© Salah, Mandiargues. Paris, Seghers, 1978.
  • StĂ©tiĂ© Salah, « Pieyre de Mandiargues AndrĂ© », Dictionnaire de poĂ©sie de Baudelaire Ă  nos jours (dir. Michel Jarrety), Paris, PUF, 2001.
  • Ternisien Caecilia, Mandiargues. L'Entrelacs du corps et du romanesque, coll. "Savoir Lettres", Ă©d. Hermann, 2016.
Ouvrages collectifs, revues, catalogues
  • Livres de France, no 9, .
  • Cahiers Renaud-Barrault, no 86, 1974 (sur Isabella Morra).
  • Cahiers du 20e siècle, Paris, Klincksieck, no 6, 1976.
  • Revue des Sciences Humaines, no 193, 1984-1.
  • Lendemains, no 91/92, TĂĽbingen, Stauffenburg Verlag, 1998.
  • De la bibliothèque de Bona et AndrĂ© Pieyre de Mandiargues, Paris, catalogue de la Librairie galerie Emmanuel Hutin, 2005.
  • Catherine BerniĂ©-Boissard, Michel Boissard et Serge Velay, Petit dictionnaire des Ă©crivains du Gard, NĂ®mes, Alcide, , 255 p. (prĂ©sentation en ligne), p. 192-193
  • AndrĂ© Pieyre de Mandiargues. De La Motocyclette Ă  Monsieur Mouton, sous la direction d'Yves Baudelle et de Caecilia Ternisien, Roman 20-50, no 5, .
  • AndrĂ© Pieyre de Mandiargues, Europe, no 981-982, janvier-.
  • Plaisir Ă  Mandiargues, sous la direction de Marie-Paule Berranger et de Claude Leroy, Paris, Hermann, 2011.
  • L'Ĺ’il d'un poète, collection AndrĂ© et Bona Pieyre de Mandiargues, catalogue de la vente chez Christie's, Paris, .

Articles connexes

Liens externes

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