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Amayé-sur-Orne

Amayé-sur-Orne est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée en 2015 de 1 067 habitants[Note 1]. Elle fait partie de la communauté de communes Vallées de l'Orne et de l'Odon depuis le à la suite de la fusion des communautés de communes d'Évrecy-Orne-Odon et de la Vallée de l'Orne.

Amayé-sur-Orne
Amayé-sur-Orne
L'église Notre-Dame.
Blason de Amayé-sur-Orne
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Caen
Intercommunalité Communauté de communes Vallées de l'Orne et de l'Odon
Maire
Mandat
Sylvain Colino
2020-2026
Code postal 14210
Code commune 14006
Démographie
Gentilé mayéen
Population
municipale
1 067 hab. (2020 en augmentation de 8 % par rapport à 2014)
Densité 202 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 05′ 06″ nord, 0° 26′ 20″ ouest
Altitude Min. 7 m
Max. 109 m
Superficie 5,29 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Caen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Évrecy
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Amayé-sur-Orne
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Amayé-sur-Orne
Liens
Site web amaye-sur-orne.fr

    Géographie

    La commune se situe dans le Calvados, à seize kilomètres au sud-ouest de Caen et à six kilomètres d'Évrecy, sur l'Orne.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 740 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Fresney Le Vieu », sur la commune de Fresney-le-Vieux, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 809,3 mm pour la période 1981-2010[9].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à 11 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,2 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Amayé-sur-Orne est une commune rurale[Note 7] - [14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15] - [16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66 %), zones urbanisées (17,5 %), prairies (10,8 %), forêts (5,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Mae en 1165 et 1205 [21], Almaicum super Olnam au XIVe siècle[22], Amaie en 1460[23], Maye sur Orne au XVIIIe siècle[24] - [25], Amaye sur Orne en 1793[26].

    L'Orne est un fleuve côtier, dans les deux départements de l'Orne et du Calvados.

    Histoire

    Le village s'est développé à l'époque romaine sur la route reliant Aregenua Viducassium, aujourd'hui le village limitrophe de Vieux, à Jublains dans la Mayenne. Le village se développe alors le long de l'Orne, à l'emplacement de l'actuel hameau du Pont du Coudray.

    Au Moyen Âge, le village s'organise plus haut sur le coteau autour de la motte féodale, située aujourd'hui sous la mairie.

    À la Révolution, le village est rattaché au canton de Maltot, qui est dissous quelques années plus tard, et Amayé est alors rattachée au canton d'Évrecy.

    En 1873, la gare de Mutrécy située juste de l'autre côté du Pont du Coudray est mise en service sur la ligne de chemin de fer Caen-Flers-Laval. Elle porte le nom de Mutrécy car c'est bien sur cette commune qu'elle se situe mais elle est bien plus proche des bourgs d'Amayé et de Clinchamps. Cette gare permet le développement de quelques activités de plaisance, l'ouverture de la fameuse auberge du Pont du Coudray et sa guinguette connue dans toute la région. De nombreux Caennais se font également construire quelques villas le long de l'Orne.

    En 1880, le péage sur le pont est supprimé et permet de faciliter les transits entre Évrecy et Argences.

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, le château de Vaux est réquisitionné par les Allemands. Lors de la bataille pour la libération de la plaine de Caen, Amayé a la chance, contrairement à nombre de villages voisins, de ne compter aucun mort dans sa population. Les bombardements stratégiques alliés font cependant des dégâts, car si le bourg ressort relativement intact, le hameau du Pont du Coudray et son pont ainsi que la gare de Mutrécy sont rasés. L'auberge et les villas ne sont plus que ruines. Un bac permet après la guerre de passer d'une rive à l'autre.

    Le pont est reconstruit dans les années 1950 quelques dizaines de mètres en aval de l'ancien[27].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1994 Jacques Dolley SE Professeur
    mars 2001 André Porcher SE Chef d'entreprise
    mars 2008 Nicole Perly SE
    En cours Sylvain Colino[28] SE Sapeur-pompier
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelage(s)

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

    En 2020, la commune comptait 1 067 habitants[Note 9], en augmentation de 8 % par rapport à 2014 (Calvados : +0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Amayé-sur-Orne était historiquement une petite commune agricole. Elle a connu l’exode rural de la fin du XIXe siècle à la décennie 1960-1970. La croissance de la population a été très forte à la fin du XXe et au début du XXIe siècle, modifiant radicalement les caractéristiques sociologiques de la commune. Les agriculteurs ont été remplacés par une population de salariés ou de travailleurs indépendants exerçant pour la plupart leur activité professionnelle dans l’agglomération caennaise. L’habitat est désormais constitué de maisons individuelles construites à partir des années 1970.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    483407432465405421461414401
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    464462455400392406421391351
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    365341306317281259246246252
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    2612574207327226869451 019993
    2018 2020 - - - - - - -
    1 0091 067-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'économie du village est basée depuis sa fondation sur l'agriculture. L'élevage de bovins ainsi que les grandes cultures, typiques de la plaine de Caen dont Amayé est en bordure, sont les principales sources d'emploi du village jusque dans les années 1970. Il ne reste plus qu'une demi-douzaine d'exploitants agricoles dans le village, dont quelques-uns se sont convertis à la vente directe de volailles, de viande bovine ou de légumes.

    Depuis, la population se constitue principalement de salariés, cadres pour beaucoup puisque Amayé est dans le premier quartile des villages les plus riches du Calvados (en revenu par ménages). Dans les années 2000, le village accueille près de l'église une supérette ainsi qu'un salon de coiffure. Une entreprise de menuiserie est également présente sur le territoire de la commune.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Lavoir public.
    • Château de la Butte du XIXe siècle.
    • Château de Vaux du XVIIIe siècle.
    • L'église Notre-Dame-de-l'Assomption, d'origine romane.
    • Vestiges de l'enceinte[33].
    • L'if du cimetière.
      L'if du cimetière.
    • Lavoir public.
      Lavoir public.
    • Grand murin.
      Grand murin.
    • L'église Notre-Dame.
      L'église Notre-Dame.
    • Le clocher de l'église Notre-Dame.
      Le clocher de l'église Notre-Dame.
    • Cartes postales anciennes
    • Vue du village vers 1910.
      Vue du village vers 1910.
    • Vue du village vers 1925.
      Vue du village vers 1925.
    • Barques sur l'Orne.
      Barques sur l'Orne.
    • L'hôtel de la gare vers 1907.
      L'hôtel de la gare vers 1907.
    • Le pont du Coudray.
      Le pont du Coudray.

    Patrimoine naturel

    • Les ifs du cimetière sont un site naturel classé par arrêté du [34]
    • La butte dominant l'Orne est un site naturel classé par arrêté du [35]
    • Les combles du clocher de l'église Notre-Dame accueillent une colonie reproductrice de grands murins et sont inscrits site d'importance communautaire (SIC)[36].

    Activité et tourisme

    La course XTREM VTT Trail Normandie se déroule tous les ans au mois de septembre sur le stade de la commune. C'est une course de VTT ainsi que de running autour du village et jusqu'au cœur de la Suisse normande. Pendant tout un week-end se déroulent de nombreuses courses accessibles au plus grand nombre ainsi que des animations, des démonstrations et des concerts, depuis quatre éditions, la XTREM a accueilli plusieurs milliers de personnes.

    L'ouverture de la voie verte Caen - Thury-Harcout puis Clécy vers la Suisse normande a été une opportunité pour la commune de développer ou revitaliser ses activités touristiques comme la location de pédalos sur l'Orne ou le vélo-rail qui attire également de nombreux touristes sur les rails de l'ancienne voie ferrée Caen - Flers. L'auberge du Pont du Coudray qui voyait sa fréquentation baisser, attire une nouvelle clientèle.

    Héraldique

    Les armes de la commune d'Amayé-sur-Orne représentent le drapeau normand avec à croix scandinave (surnommé croix de Saint-Olaf) et les armoiries normandes avec les deux léopards d'or. Au-dessous, on trouve une représentation du Pont du Coudray, symbole de la commune.

    Armes d'Amayé-sur-Orne

    Les armes de la commune d'Amayé-sur-Orne se blasonnent ainsi :
    Coupé : au premier de gueules à la croix estrée d'or chargée d'une croix de gueules, le montant déporté vers dextre, cantonnée en chef à dextre de deux léopards aussi d'or l’un sur l’autre, au second d’argent au pont droit de deux arches soudé d’or sur une rivière d’azur mouvant de la pointe, aux berges de sinople.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    7. « Station Météo-France Fresney Le Vieu - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    8. « Orthodromie entre Amayé-sur-Orne et Fresney-le-Vieux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Fresney Le Vieu - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Amayé-sur-Orne et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 640 - (ISBN 2600028838).
    22. Livre pelut de Bayeux.
    23. Aveu de l’évêché de Bayeux
    24. Archives d’Harcourt, l. 307.
    25. Célestin Hippeau, Dictionnaire topographique du département du Calvados, Année de parution : 1883, p. 5 (lire en ligne) .
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Super User, « Histoire d'Amayé-sur-Orne », sur www.amaye-sur-orne.fr (consulté le ).
    28. Réélection 2020 : « Municipales à Amayé-sur-Orne. Sylvain Colino a été réélu maire de la commune », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    29. Les communes jumelées du Calvados.
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. Charles-Laurent Salch, Atlas des villes et villages fortifiés en France : Début du Ve siècle à la fin du XVe siècle siècle, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 495 p. (OCLC 28516867), p. 286.
    34. Ifs du cimetière.
    35. Butte dominant l'Orne.
    36. « Site d'Importance Communautaire (SIC) - Combles de l'église d'Amayé-sur-Orne », sur Ministère de l'écologie et du développement durable.
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