Accueil🇫🇷Chercher

Allanche

Allanche est une commune française située dans le département du Cantal, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle est commune adhérente du parc naturel régional des Volcans d'Auvergne.

Allanche
Allanche
Le village et les vestiges des remparts.
Blason de Allanche
Héraldique
Allanche
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Cantal
Arrondissement Saint-Flour
Intercommunalité Hautes Terres Communauté
Maire
Mandat
Philippe Rosseel
2020-2026
Code postal 15160
Code commune 15001
Démographie
Gentilé Allanchois
Population
municipale
796 hab. (2020 en augmentation de 3,24 % par rapport à 2014)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 13′ 48″ nord, 2° 56′ 07″ est
Altitude Min. 784 m
Max. 1 295 m
Superficie 49,89 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Murat
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Allanche
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Allanche
Géolocalisation sur la carte : Cantal
Voir sur la carte topographique du Cantal
Allanche
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Allanche
Liens
Site web http://www.allanche.fr

    Géographie

    Localisation

    Allanche est située dans le sud du Cézallier, dans le nord du département du Cantal. La commune fait partie du parc naturel régional des volcans d'Auvergne. À vol d'oiseau, Massiac se trouve 20 km à l'est, Aurillac à 54 km au sud-ouest et Clermont-Ferrand à 62 km au nord.

    Climat

    Le , une tornade a été observée dans les environs de la commune[1].

    Urbanisme

    Typologie

    Allanche est une commune rurale[Note 1] - [2]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3] - [4]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 1] - [I 2].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (52,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (36,5 %), prairies (24,2 %), zones agricoles hétérogènes (20,3 %), forêts (17 %), zones urbanisées (1,9 %)[5].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    • Quartiers du bourg : la place du Cézallier, la Grand'Rue de l'Abbé de Prat, la place du Marché, l'avenue du Puy-Mary, le Pont Romain, la place Saint-Jean, la rue des Forgerons, la rue du 19-Mars-1962, la rue du 11-Novembre-1918, le Faubourg Terre Vermeille, le Pont Valat, la rue Saint-Eloi, place Mercoeurs, place de l'Église, rue de la Pierre-Grosse…
    • Lieux-dits et hameaux : le Baladour, Maillargues, Coudour, Lapeyrot, Romaniargues, Chastre, les Clauzels, Chavanon, Béteil, Feydit, Roche, le Bac, Lorillou Fourche, Fromageade, Donnenuit, Combalut, Gouay, les Planes, Rouchy, Lampres, Chameille.

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 673, alors qu'il était de 677 en 2013 et de 691 en 2008[I 3].

    Parmi ces logements, 59,4 % étaient des résidences principales, 19,5 % des résidences secondaires et 21,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 87,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 11,9 % des appartements[I 4].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Allanche en 2018 en comparaison avec celle du Cantal et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (19,5 %) inférieure à celle du département (20,4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 74,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (70,8 % en 2013), contre 70,4 % pour le Cantal et 57,5 pour la France entière[I 5].

    Le logement à Allanche en 2018.
    Typologie Allanche[I 3] Cantal[I 6] France entière[I 7]
    Résidences principales (en %) 59,4 67,7 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 19,5 20,4 9,7
    Logements vacants (en %) 21,1 11,9 8,2

    Voies de communication et transports

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté en 1332 sous la forme latine Alancha[6].

    En occitan auvergnat, le nom de la commune est Alancha en graphie classique de l'occitan[7] - [8] ; l'altération de -l- intervocalique, typique de la Haute-Auvergne et d'une partie de la Basse, n'est pas notée en graphie classique[9] - [10].

    Histoire

    À l'est du bourg d'Allanche, au puy de Mathonière, se trouve une agglomération antique d'au moins vingt hectares dotée d'un fanum[11].

    Créée en 1790, elle intègre l'ancienne commune de Chanet le [I 8] dans le cadre d'une fusion simple. Elle est le chef-lieu du canton d'Allanche jusqu'en 2015.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune d'Allanche est membre de l'intercommunalité Hautes Terres Communauté[I 9], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le , dont le siège est à Murat, après avoir fait partie de la communauté de communes du Cézallier de 1998 à 2016. Cette intercommunalité est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[12].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Flour, à la circonscription administrative de l'État du Cantal et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 9].

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Murat pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 9], et de la deuxième circonscription du Cantal pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[13].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1855 1874 Durand-Louis Bonnet Légitimiste
    modéré
    Notaire, juge de paix, conseiller général du canton d'Allanche (1833-1857)
    Les données manquantes sont à compléter.
    1897 1903
    (décès)[14]
    Marie-Henry Bonnet
    (petit-fils du précédent)
    Républicain
    Libéral
    Avocat, conseiller général du canton d'Allanche (1892-1903)
    1904 1919 Justin Veisset Rad. Négociant, conseiller général du canton d'Allanche (1903-1925)
    Les données manquantes sont à compléter.
    1945 1948 Roger Alheinc Rad. Docteur en droit, conseiller général du canton d'Allanche (1945-1951)
    1948 1971 Maurice Peschaud CNIP Conseiller général du canton d'Allanche (1951-1970)
    1971 1995 Pierre Jarry CNIP puis UDF Médecin, conseiller général du canton d'Allanche (1970-1994)
    1995 2001 Christian Léoty RPR Médecin
    mars 2001 2008 André Papon
    mars 2008 décembre 2016
    (démission)[15]
    Christian Léoty LR Médecin, conseiller général du canton d'Allanche (1994-2015)
    décembre 2016 En cours
    (au 28 mai 2020)
    Philippe Rosseel[16] DVD 3e vice-président de Hautes Terres Communauté chargé de
    la voirie, des déchets ménagers et assimilés et des relations
    avec le Syndicat des Territoires de l’Est Cantal (SYTEC) (2020 → )

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[18].

    En 2020, la commune comptait 796 habitants[Note 2], en augmentation de 3,24 % par rapport à 2014 (Cantal : −1,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 4972 0202 5082 3942 5022 5342 6052 5832 356
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 2882 1252 0561 8391 9591 9872 0131 8851 890
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 9961 7601 8091 8891 6871 7921 6461 5361 467
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 4781 5131 3981 2861 2201 101947903784
    2018 2020 - - - - - - -
    805796-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 17,0 %, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (27,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (51,1 %) est supérieur au taux départemental (35,5 %).

    En 2018, la commune comptait 394 hommes pour 411 femmes, soit un taux de 51,06 % de femmes, inférieur au taux départemental (51,13 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 10]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,8
    90 ou +
    5,4
    16,2
    75-89 ans
    23,1
    28,9
    60-74 ans
    26,5
    21,6
    45-59 ans
    19,7
    12,7
    30-44 ans
    10,0
    9,1
    15-29 ans
    5,4
    9,6
    0-14 ans
    10,0
    Pyramide des âges du département du Cantal en 2018 en pourcentage[21]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,1
    90 ou +
    2,8
    9,9
    75-89 ans
    13,8
    21,8
    60-74 ans
    21,4
    22,4
    45-59 ans
    20,9
    16,5
    30-44 ans
    15,5
    13,7
    15-29 ans
    11,9
    14,6
    0-14 ans
    13,7

    Manifestations culturelles et festivités

    Tous les ans au mois de mai, la fête de l'Estive[22] célèbre la montée des troupeaux de bovins de race Salers dans les pâturages d'altitude. Les troupeaux défilent depuis le village de Maillargues jusqu'au centre d'Allanche.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'école Saint-Joseph où ont été cachés des enfants juifs.

    Autrefois (1971/1989), sur les pentes du puy de Mathonière, se trouvait un téléski avec 2 pistes pour pratiquer le ski alpin.

    Personnalités liées à la commune

    • Dominique Dufour de Pradt (1759-1837), dit l'abbé de Pradt, né à Allanche ;
    • Charles Ganilh (1758-1836), économiste, né à Allanche ;
    • Armand Bory (1844-1931), député du Cantal (1891-1898) et (1910-1914), né à Allanche ;
    • SÅ“ur Marie-Angèle (née Jeanne Dessaigne) et sÅ“ur Marie-Étienne (née Philomène Rolland), directrice et enseignante, pendant la Seconde Guerre mondiale, de l'école Saint-Joseph, y ont caché, de 1942 à 1945, des enfants juifs. Elles ont été reconnues Justes parmi les Nations par le comité français pour Yad Vachem en 2002[27] ;
    • Jean-Paul Belmondo (1933-2021), comédien, séjourna à Allanche dans sa jeunesse[28].

    Héraldique

    Blason de Allanche Blason
    D'or aux deux clefs de sable passées en sautoir[29].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Bibliographie

    • Nos ancêtres auvergnats, L'immigration auvergnate en Bretagne, Serge Duigou, Éditions Ressac, Quimper, 2004. [le mouvement migratoire qui partit du Cézallier vers la Bretagne aux XVIIIe et XIXe siècles - et notamment d'Allanche avec les Albaret, Chabrier, Laymet, Mainhes, etc.]

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Site de l'Insee

    1. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    2. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    3. « Chiffres clés - Logement en 2018 à Allanche » (consulté le ).
    4. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Allanche - Section LOG T2 » (consulté le ).
    5. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Allanche - Section LOG T7 » (consulté le ).
    6. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Cantal » (consulté le ).
    7. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    8. « Modifications de communes : suppressions/fusions pour le Cantal de 1943 à 2019. », sur Insee (consulté le )
    9. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune d'Allanche » (consulté le ).
    10. « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Allanche (15001) », (consulté le ).

    Autres sources

    1. Tornade dans le Cantal le 24 juin.
    2. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    6. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 423.
    7. Cristian Omelhièr, Petit Dictionnaire français-occitan d'Auvergne, Éd. L'Ostal del Libre, Aurillac, 2003, p. 291
    8. (oc) Josiane Guillot, Tiène Codert, Daniel Brugès, Parlem ! Vai-i qu'as paur ! : Revista trimestrala auvernhata, t. 18 : Los iganauds en Auvèrnha, Clermont-Ferrand / Thiers, Institut d'études occitanes, (lire en ligne)
    9. Jean Roux, L'auvergnat de poche, Chennevières-sur-Marne (Val-de-Marne), Assimil, coll. « Assimil évasion », , 246 p. (ISBN 978-2-7005-0319-7).
    10. Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie nord-occitane (Périgord, Limousin, Auvergne, Vivarais, Dauphiné), Bordeaux, Éditions Sud Ouest, coll. « Sud-Ouest université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-507-1, présentation en ligne)
    11. Maxime Calbris, « L’évolution du lieu de culte de l’agglomération antique de Mathonière à Allanche (Cantal) : apports des prospections pédestres, aériennes et géophysique », Siècles, no 48,‎ (ISSN 2275-2129, lire en ligne, consulté le ).
    12. « Hautes Terres Communauté - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
    13. « Découpage électoral du Cantal (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    14. « Journal officiel de la République française. Lois et décrets », sur Gallica, (consulté le ).
    15. « Christian Léoty démissionne de son poste de maire. », sur La Montagne,
    16. « Les nouveaux conseillers se sont réunis. », sur La Montagne, (consulté le )
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    21. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Cantal (15) », (consulté le ).
    22. Fête de l'Estive à Allanche.
    23. « Église Saint-Jean-Baptiste d'Allanche », notice no PA00093429, base Mérimée, ministère français de la Culture
    24. « Église Saint-Julien-de-Chanet », notice no PA00093430, base Mérimée, ministère français de la Culture
    25. « Chapelle de Maillargues à Allanche (15). », sur petit-patrimoine.com (consulté le )
    26. « Ancien château de Mercoeur, à Maillargues », notice no PA00093428, base Mérimée, ministère français de la Culture
    27. « Dossier n°9625. », sur Comité français pour Yad Vashem. (consulté le )
    28. « Belmondo a le souvenir de "journées formidables" dans le Cantal. », sur La Montagne,
    29. Armorial général de France dressé en vertu de l'édit de 1696 par Charles d'Hozier (lien sur Gallica)
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.