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Abbaye d'HĂ©rivaux

Hérivaux est un écart de la commune de Luzarches, dans le département du Val-d'Oise, situé à l'orée de la forêt de Chantilly et à environ 30 kilomètres au nord de Paris. Ce site classé abrite les ruines de l'ancienne abbaye d'Hérivaux, fondée au XIIe siècle, et pour l'essentiel détruite sur ordre de Benjamin Constant, qui acquiert le domaine comme bien national durant la Révolution française.

Abbaye d'HĂ©rivaux
Image illustrative de l’article Abbaye d'Hérivaux
Vue des ruines de l'ancienne abbatiale
Présentation
Culte Catholique (désaffectée)
Type Abbaye
Rattachement Abbaye Saint-Victor de Paris
puis Abbaye Sainte-Geneviève de Paris
DĂ©but de la construction 1160
Fin des travaux Début XIIIe siècle
Autres campagnes de travaux XVIIe , XVIIIe siècle, 1934
Style dominant Gothique
Protection Logo monument historique Inscrit MH (1926, 1998)
GĂ©ographie
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
DĂ©partement Val-d'Oise
Ville Luzarches
CoordonnĂ©es 49° 07′ 02″ nord, 2° 28′ 36″ est[1]
GĂ©olocalisation sur la carte : ĂŽle-de-France
(Voir situation sur carte : ĂŽle-de-France)
Abbaye d'HĂ©rivaux
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Abbaye d'HĂ©rivaux
Ruines de l'église d'Hérivaux, vue de l'intérieur de la nef sur le portail. À gauche, le logis de l'abbaye jouxtait l'église. Vers 1880.

Histoire

La fondation

En 1140, Ascelin, dit « l'Ermite », seigneur de Marly-la-Ville, quitte son château de Marly et se retire en cet endroit alors inhospitalier (locum horroris et vaste solituninis) baptisé Herremivallis, le val de l'ermite. Une partie du terrain lui appartenait déjà, et les comtes de Beaumont et Clermont lui cèdent volontiers les autres terres. Rejoint par d’autres compagnons, ils défrichent le terrain situé dans une dépression boisée formant vallon dans lequel coulent plusieurs sources, et fondent l'abbaye d'Hérivaux. La construction des bâtiments définitifs commence en 1160, et en cette même année l'évêque de Paris demande le rattachement de l'abbaye à l'ordre des Augustins. Il devint effectif en 1188, année de la mort d'Ascelin. L'évêque de Paris Maurice de Sully déclare le lieu institution canonique et rattache la nouvelle abbaye à la juridiction de l'abbaye de St-Victor. Maurice Sully se fit mécène de l'abbaye et finança l'église et le cloître, mais il encouragea aussi les seigneurs des alentours à aider l'abbaye[2]. Son histoire est profondément liée à celle du village voisin de Fosses, dont l'église fut longtemps un prieuré d'Hérivaux.

Le Moyen Ă‚ge

Au XIIIe siècle, Hérivaux deviendra paroisse. Une Jeanne de Meudon, femme de Guillaume le Bouteiller de Senlis, mourut en 1353 et fut inhumée dans l'église de l'abbaye d'Herivaux. Entre 1470 et 1475, les habitants de la vallée furent affranchis et l'on comptait alors douze ménages, plus quatorze autres ménages au hameau de la Grange au Bois, limitrophe avec le domaine de l'abbaye, soit plus d'une centaine d'habitants. Le dernier abbé régulier, Jean III Ciret, fut nommé le . Tous les abbés suivants furent donc commendataires. L'abbaye prospère, touchant les bénéfices de quatre cures, Saint-Étienne de Marly, Saint-Étienne de Fosses, Saint-Nicolas de Bellefontaine et Saint-Jean de Montepiloi, auxquels s'ajoutaient les revenus de deux prieurés et de très nombreux domaines en Île-de-France, dont la superficie n'a pas encore été évaluée[3]. Une partie de la forêt de Coye appartenait également à l'abbaye avant qu'elle ne fût achetée par le Prince de Condé. Hérivaux fut l'instigateur de cultures de plantes tinctoriales, comme la gaude, destinées à la manufacture de draps du seigneur de Rocourt, à Fosses, et fit introduire d'autres cultures comme la vesce et le pavot[4].

De 1500 jusqu'Ă  la dissolution en 1790

Sous l'impulsion de multiples dérives dans la vie abbatiale, le cardinal François de La Rochefoucauld (1558-1645) imposa une réforme des monastères augustiniens en 1622 et fit transmettre sa décision par l'intermédiaire du chanoine régulier Pierre Baudoin, en date du . En raison de multiples résistances, la décision ne fut pas exécutée et le finalement, le père Faure de Senlis prenait possession de Hérivaux, accompagné par six religieux et aidé par le lieutenant civil et criminel du bailliage de Senlis. Ce même père Faure fut également responsable de la réforme de l'abbaye de la Victoire[5]. Le rattachement à la congrégation de France et plus particulièrement à l'abbaye Sainte-Geneviève ne devint donc effectif qu'à cette date, avec seize ans de retard. Entre-temps, elle faillit disparaître dans un incendie, qui se déclara le vers onze heures du soir. Sans faire de victimes, il endommagea gravement le logis, et manqua de peu de gagner l'église. Les réparations durèrent jusqu'au mois de mars 1634. Il ne nous est pas possible d'établir si ce fut à ce moment qu'Hérivaux perdit son aspect médiéval ou antérieurement.

Dans la pĂ©riode qui suivait, l'abbaye fut victime de la mauvaise gestion de l'abbĂ© François MolĂ© nommĂ© en 1647 et qui resta en fonction jusqu'Ă  son dĂ©cès le , Ă  l'âge de 87 ans. MolĂ© dĂ©pensait largement plus d'argent que l'abbaye ne gagnait et l'archidiacre de Paris constata lors de sa visite en 1673 que la voĂ»te du rĂ©fectoire Ă©tait en ruine et le pavĂ© de l'Ă©glise dĂ©labrĂ©, les autres bâtiments menaçant ruine Ă©galement. Ă€ ce moment, les hameaux de HĂ©rivaux et de la Grange-aux-Bois n'Ă©taient plus peuplĂ©s ou avaient disparu, car dans l'ensemble de la paroisse de HĂ©rivaux ne vivaient que douze Ă  quinze personnes, l'abbĂ©, ses domestiques et les moines compris. Ceci n'empĂŞche pas des revenus toujours très importants, de l'ordre de 11 750 livres par an, dont 8 000 livres reprĂ©sentant la mense abbatiale. L'abbaye avait donc besoin d'une reconstruction, qui eut lieu en 1735 grâce Ă  une donation du duc Louis IV Henri de Bourbon-CondĂ©[6].

La fin de l'abbaye en 1790

Le pavillon des hôtes du logis abbatial, tel qu'il se présentait après les démolitions sous Benjamin Constant en 1796 et avant la construction des ailes latérales en 1934 par l'architecte Ruaud.

En 1785, les bergeries et porcheries de la ferme furent frappées par un incendie et reconstruits[7]. En 1790, après la Révolution, ne restaient plus que le prieur, Étienne Taibout, et deux moines. L'Assemblée constituante de 1789 vota la suppression des ordres réguliers hors éducation et œuvres de charité, mais Hérivaux fut exempté puisqu'une pension fut accordée au prieur et aux moines. Cependant, au cours de l'année, les officiers municipaux de Coye-la-Forêt et de Luzarches tentèrent tous les deux de dresser un inventaire des biens en vue de leur confiscation et s'affrontèrent par ce fait devant la justice, qui donna raison à Luzarches. L'expertise des biens eut lieu en octobre et novembre, pour une vente aux enchères le . Ne restait à ce moment qu'un dernier moine à l'abbaye, Adrien Delaporte du Castellier.

Aucun acquĂ©reur ne se prĂ©senta pour les bâtiments, et leur utilisation pour des fins religieuses fut compromis par la valeur Ă©levĂ©e du domaine. Il a fallu organiser une seconde vente, Ă  l'issue de laquelle un M. Gressier acquit l'abbaye proprement dite pour 220 000 livres ; les deux autres lots rapportant quant Ă  eux 154 000 livres. Une partie des 24 stalles trouvèrent un nouveau domicile dans l'Ă©glise paroissiale de Luzarches, et les boiseries dans celle de Fosses. Ă€ la suite de la crise Ă©conomique, M. Gressier ne put s'acquitter du prix convenu et l'abbaye devint la propriĂ©tĂ© d'un M. Petit de Paris en aoĂ»t 1792. Mais ce dernier la revendit Ă  Benjamin Constant le 20 thermidor an III ()[8]. Tous les bâtiments Ă©taient restĂ©s intacts jusque-lĂ , mais Constant les fit dĂ©molir Ă  l'exception de la ferme et du pavillon des hĂ´tes du logis abbatial, oĂą il logea Madame de StaĂ«l[9] qu'il avait connue un an auparavant. En 1796, Constant fut Ă©lu[10] reprĂ©sentant dans l'assemblĂ©e locale du canton de Luzarches[8].

À Hérivaux, Constant rédigea Des réactions politiques et Des effets de la Terreur. Il revendit la propriété d’Hérivaux - trop coûteuse à entretenir - le , et achèta la propriété des Herbages[11](aujourd'hui disparue), près de Saint-Martin-du-Tertre à l'orée de la forêt de Carnelle[12].

Époque contemporaine

Durant l'entre-deux-guerres, elle fut acquise par le grand joailler de la place Vendôme Georges Mauboussin qui la restaura et y fit bâtir par l'architecte Paul Ruaud (1882-1960) deux ailes perpendiculaires. Sous l'occupation à partir de l'été 1940, l'ancienne abbaye devient un lieu de repos pour les officiers supérieurs de l'armée allemande[13].

Aujourd'hui l'ensemble est une propriété privée en lotissements, mais quelques ruines de l'église sont encore visibles de la route[14]

Liste des abbés

  • 1175-1195. Thibaud de Saint-Victor.
  • 1195-1218. Eudes.
  • 1218-1239. Pierre I.
  • 1239-1247. Guillaume I de Fosses.
  • 1247-1257. Arnoul.
  • 1257-1269. HervĂ©.
  • 1269-12??. Simon.
  • 12??-1301. Jacques de Fontenay.
  • 1301-1311. Evrard.
  • 1312-1349. Pierre II de Châtenay.
  • 1349-1354. Guillaume II d’Ermenonville.
  • 1354-1370. Herbert Camus.
  • 1371-1393. Renaud du Val.
  • 1393-13??. Pierre III de La Barre.
  • 13??-1406. Pierre IV de Gerville.
  • 1406-1412. Thomas Finet.
  • 1412-1422. Pierre V Bourset.
  • 1422-1450. Robert Begnet.
  • 1450-1469. Jean I Ganeau.
  • 1469-1490. Jean II Ciret.
  • 1490-1499. Jean III de Montmorency.
  • 1499-1529. Richard Le RouillĂ© de Meslay.
  • 1529-1559. RenĂ© Ier Le RouillĂ© de Meslay.
  • 1559-1578. Pierre VI Le RouillĂ© de Meslay.
  • 1578-1624. RenĂ© II Le RouillĂ© de Meslay.
  • 1624-1642. Pierre VII de VaudĂ©tar de Persan.
  • 1642-1652. Édouard MolĂ© de Champlâtreux.
  • 1652-1712. François MolĂ© de Champlâtreux.
  • 1712-1713. Jean IV Matthieu Deschamps.
  • 1713-1713. Louis I Pierre Le Fèvre de Beauvrey.
  • 1714-1756. Denis Chaussepied de Puymartin.
  • 1756-1776. Jean-Jacques-Antoine Boisot.
  • 1776-1784. Pierre VIII François d’Albignac de Castelnau.
  • 1784-1791. Charles-Alexandre de Damas d'Antigny.

Source : Gallia Christiana

Les bâtiments

La ferme de l'abbaye ; de gauche à droite : le logis d'autour de 1700, un corps de ferme de 1786, une grange à l'emplacement du logis de l'abbé disparu. Le toit derrière la ferme est celle de la grange dîmière du XIIe siècle.
Le « château d'Hérivaux », bâtiment conventuel profondément modifié du XVIIe et XVIIIe siècle. À gauche, une tour qui fait partie des communs construits en 1820.
  • L'Ă©glise Sainte-Marie d'HĂ©rivaux Ă©tait parallèle Ă  l'actuel château d'HĂ©rivaux. La construction s'Ă©chelonna de 1160 jusqu'au dĂ©but du XIIIe siècle, la dĂ©dicace ayant eu lieu en 1188. L'Ă©difice Ă©chappa Ă  l'incendie de 1632 et conserva probablement sa forme simple d'origine jusqu'Ă  la disparition de l'abbaye. La nef unique Ă  large transept se terminait par une abside profonde munie de contreforts saillants. Depuis le transept, on pouvait accĂ©der directement au premier Ă©tage du logis. Dans le chĹ“ur se trouvaient plusieurs pierres tombales des abbĂ©s successifs et de seigneurs locaux qui avaient dotĂ© la communautĂ© religieuse. Il n'en subsiste que de petits fragments. L'Ă©glise fut dĂ©molie en mĂŞme temps que les autres bâtiments conventuels Ă  l'Ă©poque oĂą Benjamin Constant Ă©tait propriĂ©taire, après 1796. Subsistent la façade nord-est de la nef avec le portail, et partiellement les murs latĂ©raux, lĂ  oĂą ils ont Ă©tĂ© intĂ©grĂ©s dans des bâtiments postĂ©rieurs. Le plan de l'Ă©glise est visible au sol grâce au dĂ©gagement des fondations entrepris vers 1913. Les trois statues qui ornent de nos jours la façade de l'Ă©glise datent des XIIe au XVIe siècles, mais ne proviennent pas de l'abbaye[15]. L'ensemble des vestiges de l'Ă©glise a Ă©tĂ© inscrit monument historique en date du [16].
  • La grange dite « dimière » est mentionnĂ©e pour la première fois en 1187. Le bâtiment comprend trois vaisseaux, le vaisseau central et deux bas-cĂ´tĂ©s, Ă  cinq travĂ©es chacun. Le vaisseau central s'ouvre sur les bas-cĂ´tĂ©s par de hautes arcades en arc brisĂ©, qui reposent sur des piliers quadrangulaires. Les collatĂ©raux sont divisĂ©s, au niveau des piliers, par des murs percĂ©s d'arcs en plein cintre avec chanfrein. Cette disposition peu fonctionnelle fut nĂ©cessaire pour stabiliser le bâtiment, qui avait Ă©tĂ© construit sur un marais assĂ©chĂ©. Par ailleurs, les piliers prirent le dĂ©vers sans doute dès leur construction, pour cette mĂŞme raison ; on peut supposer que les murs mentionnĂ©s furent ajoutĂ©s de ce fait. Le haut toit en bâtière de la grange est visible derrière les bâtiments de la ferme, mais la grange elle-mĂŞme n'est pas visible depuis le domaine public. Un incendie dĂ©truisit la ferme, Ă©tables et porcheries le , et ces bâtiments furent reconstruits peu après[7]. C'est eux que l'on aperçoit depuis la route. Le logis de la ferme est plus ancienne ; il est datĂ© fin XVIIe / dĂ©but XVIIIe siècle. La grange dĂ®mière fut inscrite monument historique en date du [3].
  • Le logis abbatial Ă©tait perpendiculaire Ă  l'Ă©glise. Le corps principal a disparu ; le bâtiment subsistant et transformĂ© en « château d'HĂ©rivaux » n'Ă©tait que le pavillon des visiteurs. Ce dernier formait la base d'un T dont la barre Ă©tait reprĂ©sentĂ©e par le logis Ă  gauche (nord-est) et une autre aile plus petite Ă  droite (sud-ouest), ajoutĂ©e vers 1700. Le « château d'HĂ©rivaux » ne permet pas de se figurer l'aspect des bâtiments abbatiaux tels qu'ils se prĂ©sentaient avant la sĂ©cularisation : l'ensemble de l'ornementation ne date que du XXe siècle. En 1913, les fenĂŞtres Ă©taient ornĂ©es d'agrafes sculptĂ©es ; en 1934, les avant-corps latĂ©raux, un balcon et un perron furent ajoutĂ©s, suivant les plans de l'architecte Ruaud. Le parc date de 1913. DĂ©jĂ  en 1735, les bâtiments avaient Ă©tĂ© rĂ©habilitĂ©s et reconstruits selon le style classique[17]. Entre fin 1632 et mars 1634, le logis avait Ă©tĂ© reconstruit une première fois, Ă  la suite d'un incendie[6]. Par ailleurs, l'abbaye de HĂ©rivaux perdit son cloĂ®tre au moins depuis la reconstruction de 1632-1634 selon les descriptions et documents iconographiques connus. Le « château » et les communs furent rĂ©cemment transformĂ©s en appartements de grand standing.
  • Les communs entre l'actuel château et les ruines de l'Ă©glise sont postĂ©rieurs Ă  l'existence de l'abbaye : ils datent de 1820 et comprennent une tour d'allure toscane. Les ornementations comportent des vestiges lapidaires de provenance incertaine.
  • Plusieurs autres bâtiments monastiques se situaient sur le domaine de l'abbaye : le logis de l'abbĂ© entre la ferme et l'Ă©glise, un moulin Ă  eau, un colombier…

Notes et références

  1. Google Maps
  2. Ducos et Ducos 2004, p. 80-81
  3. Notice no PA95000003, base Mérimée, ministère français de la Culture
  4. Ducos et Ducos 2004, p. 81
  5. Cf. Louis Moréri, Claude-Pierre Goujet et Étienne-François Drouet, Le Grand Dictionnaire historique : Le mélange curieux de l’Histoire sacrée et profane, tome dixième, Le Mercier, Paris, 1759 (nouvelle édition), 1039 p. , p. 584.
  6. Ducos et Ducos 2004, p. 81-82
  7. Crnokrak et al. 1998, p. 54
  8. Jean-Michel Rat et Rénée Baure, Luzarches : Histoire d'une ville en pays de France, des origines à 1914, Syndicat d'initiative de Luzarches, Luzarches, 1983, 164 p., (ISBN 978-2-904494-00-0), p. 76.
  9. La première invitation qu'il adresse à elle date du 1er juillet 1797, date quand les travaux d'aménagement étaient terminés.
  10. Ducos et Ducos 2004, p. 83-84. Contrairement à ce qui est prétendu dans cet ouvrage, Constant ne fut pas élu maire.
  11. Cf. Luzarches : Histoire d'une ville en pays de France, des origines Ă  1914, op. cit., p. 80.
  12. Selon Ducos et Ducos 2004, p. 83-84. Selon Luzarches : Histoire d'une ville en pays de France, des origines à 1914, op. cit., p. 80, cette propriété se serait située en Suisse.
  13. Jean et Gilberte Ducos, 1939-1947, La vie dans notre région : L'invasion, la résistance, la libération, C.G.H.F.M., Fosses s.d. (mais pas avant 2004), 142 p., (ISBN 978-2-9522444-1-1), p. 31.
  14. Office de tourisme intercommunal.
  15. Crnokrak et al. 1998, p. 53
  16. Notice no PA00080107, base Mérimée, ministère français de la Culture
  17. Crnokrak et al. 1998, p. 52

Voir aussi

Bibliographie

  • Anne Candele, « L'Abbaye d'HĂ©rivaux, aux XIIe et XIIIe siècles : Étude Ă©conomique », Comptes rendus et mĂ©moires de la SociĂ©tĂ© d'Histoire et d'ArchĂ©ologie de Senlis, Senlis, Imprimeries RĂ©unies de Senlis,‎ 1973-74, p. 21-44
  • Catherine Crnokrak, Isabelle Lhomel, Christian Olivereau et Agnès Somers (photogr. Jean-Yves LacĂ´te), En pays de France : Cantons de Luzarches, Gonesse et Goussainville, Cergy-Pontoise, Association pour le patrimoine d'ĂŽle-de-France et conseil gĂ©nĂ©ral du Val-d'Oise, coll. « Images du patrimoine », , 104 p. (ISBN 2-905913-23-1), p. 52-55
  • Joseph Depoin, HĂ©rivaux (canton de Luzarches) : notes historiques et archĂ©ologiques, Versailles, Imprimerie Cerf et Cie., , 26 p. (lire en ligne)
  • Jean Ducos et Gilberte Ducos, Contribution Ă  l'Histoire de la Commune de Fosses : Le Village, l'Ă©glise St-Étienne, l'abbaye de HĂ©rivaux, Fosses, C.G.H.F.M., , 112 p. (ISBN 2-9522444-0-5), p. 79-84

Articles connexes

Liens externes

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