Wisembach
Wisembach est une commune française située dans le massif des Vosges, à l'est du département des Vosges, en région Grand Est. Ses habitants sont appelés les Carfeuillats. Une autre appellation patoisante existe sous la forme de wisabé mais elle est aujourd'hui inusitée.
Wisembach | |
Le centre : la mairie et l'église. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Vosges |
Arrondissement | Saint-Dié-des-Vosges |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Saint-Dié-des-Vosges |
Maire Mandat |
Rachel Voinson 2020-2026 |
Code postal | 88520 |
Code commune | 88526 |
Démographie | |
Gentilé | Carfeuillats, Wisabés |
Population municipale |
423 hab. (2020 ) |
Densité | 37 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 15′ 29″ nord, 7° 06′ 25″ est |
Altitude | 500 m Min. 420 m Max. 982 m |
Superficie | 11,3 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Ban-de-Laveline (banlieue) |
Aire d'attraction | Saint-Dié-des-Vosges (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Saint-Dié-des-Vosges-2 |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | wisembach.fr |
Géographie
Localisation
(carte postale Adolphe Weick).
Wisembach est un village rural de taille modeste dépend du canton et de l'arrondissement de Saint-Dié-des-Vosges, acculé dans une gorge, entourée de hauteurs excepté à l'ouest où elle s'ouvre sur la vallée de la Fave et la vallée de la Meurthe menant vers Saint-Dié.g
Wisembach est située au pied du col de Sainte-Marie (772 mètres d'altitude) qui s'ouvre sur l'Alsace, à 14 kilomètres de Saint-Dié sur la route départementale 459 reliant Sélestat à Nancy.
C'est une des 188 communes[1] du Parc naturel régional des Ballons des Vosges.
Communes limitrophes
La commune de Wisembach est limitrophe de quatre communes : Gemaingoutte, Combrimont Bertrimoutier et Lusse, et une commune alsacienne : Sainte-Marie-aux-Mines.
Hameaux
Wisembach compte 3 hameaux sur l'ensemble du territoire communal.
- Le Repas, très proche de Gemaingoutte dont il est séparé par la rivière
- Diarupt
- Trou-des-Chevaux
Écarts et lieux-dits
Wisembach compte 10 lieux-dits et écarts sur l'ensemble du territoire communal.
- Aubrigoutte
- La Basse du Coucou
- La Chavée
- Le Chener
- La Cude
- La Gravelle
- Grospeaux
- Les Yraux
- Le Mont
- Si-la-Côte
Hydrographie
La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau le Blanc et le ruisseau de la Cude[2] - [Carte 1].
La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Urbanisme
Typologie
Wisembach est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Dié-des-Vosges, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[6] - [7].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (80,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (80,3 %), prairies (17,7 %), zones urbanisées (1,9 %)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].
Toponymie
Attestations anciennes
Le nom de la localité est mentionné sous les formes [Ulricus de] Wesembeg en 1180 (AD Vosges, G 566), Wisembach en 1250 (Rappoltst. Urk., I, 85), Wizembeiche en 1290 (Rappoltst. Urk., I, 138), Wyzemberche en 1290 (AD Meuse, B 256, fol. 4), Wissembeche en 1295 (Paris BnF (Mss.), Français 11823, f. 73), Wizemberche au XIIIe siècle (AD Meuse, B 256, f. 8), Wisaimbach en 1301 (AD Meuse, B 256, f. 64v), Albus Rivus en 1313 (AD Meurthe-et-Moselle, B 700, n° 10), Wyzembeche en 1340 (AD Vosges, G 261), [Arluyn de] Wycember en 1360 (AD Meurthe-et-Moselle, B 902, n° 18), Wyzembach en 1361 (AD Vosges, G 404), [Ecclesiam de] Vyzembacho en 1362 (AD Vosges, G 808), Wiscemberch en 1364 (Paris BnF (Mss.), NAL 2548, n° 96), Wysembech en 1381 (AD Meurthe-et-Moselle, B 902, n° 30), Wyzanbach en 1394 (Paris BnF (Mss.), NAL 2548, n° 125), Wyzemberch au XIVe siècle (AD Meurthe-et-Moselle, B 902, n° 322), Wysembach, Wysbaiche, Wyzembaiche au XIVe siècle (Paris BnF (Mss.), NAL 1546, p. 62, 101 et 222), Wysambach en 1402 (pouillés Trèves, p. 319), Wyssembech en 1435 (AD Meurthe-et-Moselle, B 902, n° 40), Wyssemberch en 1468 (AD Vosges, G 406), Wysembach en 1480 (AD Vosges, G 475)[10].
Origine attestée
Le nom sous sa forme actuelle est déjà attesté en 1250 et repose peut-être sur les éléments vieux haut allemand (h)wīʐ « blanc » (alsacien wiss, allemand weiß, même sens) et bah « ruisseau » (alsacien Bàch, allemand Bach, idem), c'est en tout cas cette signification que possède la traduction latine Albus Rivus de 1313. Albert Dauzat qui ne cite que Wesembeg en 1180, préfère pour expliquer le premier élément, le germanique wisa « prairie » (allemand Wiese « prairie ») et pour le second, le germanique bach « ruisseau »[11], d'ailleurs la forme allemande moderne Wiesenbach va dans ce sens. Par « germanique », on ne sait guère ce qu'il entend : soit il s'agit du germanique commun auquel cas, l'astérisque est nécessaire (termes non attestés) et les mots donnés par lui ne conviennent pas, mais plus précisément le germanique commun *wisō et *bakiz, soit d'une langue germanique indéterminée. Si l'on émet l'hypothèse que le toponyme s'est formé entre le VIIIe siècle et le XIe siècle, la langue germanique est du vieux haut allemand, ancêtre de l'alémanique alsacien et les formes sont wisa et bach.
Interrogation sur les origines
Une interrogation subsiste cependant à propos du second élément -bach (et ses variantes), car il est cité alternativement avec un autre élément : -berch et ce, jusqu'au XVe siècle. Il y avait sans doute deux noms de lieux contigus bien distincts, basés sur deux appellatifs différents, comme c'est souvent le cas en toponymie. -berch représente vraisemblablement le vieux haut allemand berg « mont » (alsacien barg « mont »).
D'après Nicolas François Gravier[12], le village de Wisembach doit son nom à une colonie allemande qui, arrivée dans le val de Galilée par les gorges de Sainte Marie-aux-Mines, se fixa dans ce lieu. Près de Wisembach, il existe une montagne connue anciennement sous le nom de Woed, qui a été francisé par le mot Varde. C'est sous ce nom que les anciens titres désignent le territoire de Wisembach et ses dépendances. Le démembrement de 1594 désigne la commune ainsi: la terre de Wurde de Wuisembach, et plus bas : Wuisembach où sont les fonderies pour les mines de la croix.
La forme patoise est Vouzèbè qui semble une adaptation romane du nom germanique altéré.
La Varde-de-Wisembach
La Varde-de-Wisembach est attestée sous les formes [Une certenne terre… on val Sainct Diey, c'on dit] la Warde de Wisembech en 1381 (arch. de Meurthe-et-Moselle, B 902, n° 30), [La terre de] la Warde de Wissembach en 1473 (arch. de Meurthe-et-Moselle, B 902, n° 44), [La terre de] la Warde de Wysembach en 1480 (arch. des Vosges, G 475), [La terre et seigneurie de] la Warde en 1512 (arch. des Vosges, G 475, n° 60). Warde (> Varde) est la forme commune dans les dialectes d'oïl septentrionaux pour Garde (cf. la Warde à Courtémont ; Lawarde-Mauger, Somme ; Vardes, Seine-Maritime, etc.). Garde avait le sens de tour de garde et par extension de forteresse[13].
Il s'agissait d'une seigneurie qui comprenait, avec Wisembach, le Repas, Layegoutte, Bonipaire, Combrimont et Verpellière (Alix, nos 275-280). Le souvenir de cette seigneurie paraît être rappelé par le nom du bois de La Garde, communes de Combrimont et de Lesseux[14].
Histoire
Origines
Wisembach est mentionnée dès la fondation du monastère de Jointures à Saint-Dié. Ce monastère ne pouvant accueillir tous les disciples, saint Déodat (ou Dieudonné) fit bâtir une chapelle à Wisembach qu'il dédia à saint Barthélémy.
Le , le duc Ferry III de Lorraine engagea à Anselme, sire de Ribeaupierre, la garde de Wisembach, son ban et en justice, et son droit de péage de beffroi pour 560 francs que le duc lui devait. Il est dit dans ces lettres, que les hommes de la garde de Wisembach devaient le cri en armes depuis les montagnes d'Alsace jusqu'à Beauregard, château au-dessus de Raon-l'Étape. Il existe encore des engagements de la terre de varde de Wisembach, l'un de 1381, l'autre de 1473.
Wisembach était le chef-lieu d'un doyenné du district de Saint-Dié, comprenant les villages de Wisembach, Layegoutte, Repas, Bonipaire, une partie de Combrimont et Verpeillière, où les sujets étaient de mortemain, de sorte que lorsqu'un d'eux venait à décéder sans enfants, ses meubles revenaient au domaine, même lorsqu'il y avait des enfants pauvres qui fussent mariés, même si l'un d'eux ne l'était pas. Les habitants de la varde de Wisembach devaient annuellement au domaine une taille de 54 francs. Chaque nouvel habitant payait, pour droit d'entrée et de bourgeoisie, la somme de dix francs. Mais si ces nouveaux venus épousaient des filles du lieu, ils ne payaient que moitié du droit de bourgeoisie. Tous ceux qui vendaient du vin payaient 10 francs par an.
Le Châtel-sur-Faîte
Sur le point culminant de la montagne qui sépare les Vosges de l'Alsace, le duc Thiébaut avait fait construire, vers la fin du XIIIe siècle, un château fort auquel il avait donné le nom de Châtel-sur-Faîte[15], et qui était destiné à contenir les invasions et à protéger le péage. Ce château a été entièrement détruit mais on ignore à quelle époque. Les derniers débris du château ont été récupérés après la Révolution par un habitant de Wisembach pour la construction de sa maison.
Norbépaire
À un kilomètre de Wisembach, sur le chemin qui conduit au Repas, il existait autrefois un village appelé Norbépaire. L'époque de sa destruction n'est pas connue ; on prétend seulement qu'il fut, il y a longtemps, ruiné par un incendie. On a trouvé sur son emplacement un âtre de cheminée.
Église Saint-Barthélémy
La construction de la tour de l'église de Wisembach remonte au XIIe siècle. La nef et le chœur ont été rebâtis en 1782, la nef par les habitants de la paroisse et le chœur par le chapitre de Saint-Dié, qui était chargé de l'entretien de cette partie de l'église à raison des dîmes qu'il percevait à Wisembach. La tradition fait remonter la construction de l'église au temps de Charlemagne, vers l'an 800. L'ancienne tour existe toujours, mais la nef et le chœur ont été reconstruits en 1779.
Maire et écoles
La mairie et les écoles ont été construites en 1848. En 1814, le village fut rançonné par les armées de passage. Lors de la guerre de 1870, les combats furent limités, les Prussiens n'ayant pas emprunté le col de Sainte-Marie.
Première Guerre mondiale
La commune de Wisembach a été décorée, le , de la Croix de guerre 1914-1918[16].
Politique et administration
Budget et fiscalité 2014
En 2013, le budget de la commune était constitué ainsi[18] :
- total des produits de fonctionnement : 319 000 €, soit 751 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 276 000 €, soit 650 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 116 000 €, soit 273 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 72 000 €, soit 169 € par habitant.
- endettement : 99 000 €, soit 233 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 21,55 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 10,55 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 26,97 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 38,75 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 20,05 %.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[20].
En 2020, la commune comptait 423 habitants[Note 3], en augmentation de 4,19 % par rapport à 2014 (Vosges : −2,99 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Vie locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Tour de l'enceinte du village, datant du XVe siècle.
- Église Saint-Barthélemy, érigée en 1782, et son orgue[23], réalisé en 1930 par Edmond Alexandre Roethinger[24] - [25].
- Calvaires, fontaines, frontons de porte.
- Monument aux morts[26].
- Anciennes fonderies.
- Depuis le site du château de Châtel-sur-Faîte, point de vue admirable sur la plaine d'Alsace et les crêtes des Ballons des Vosges.
Fermes
Une enquête thématique régionale (architecture rurale des Hautes-Vosges) a été réalisée par le service régional de l'inventaire[27] :
- La Belle Vue ;
- Varépré.
Communication locale
La communication au sein de la commune de Wisembach se fait à travers deux média :
Personnalités liées à la commune
- Jean Basin, chanoine de Saint-Dié, linguiste, fut nommé curé de Wisembach le . Son nom est associé au Gymnase Vosgien réuni par Vautrin Lud.
- François Vaxelaire, né à Wisembach, entrepreneur belge fondateur des grands magasins Bon marché de Belgique[30]. Un monument en son honneur, placé près de la mairie et surmonté de son buste a été inauguré le .
- Albert Görge (1884-1970) parlementaire français de Seine-et-Marne né à Wisembach.
Héraldique
Blasonnement :
Coupé au 1er d'azur à deux monts de sinople entre lesquels coule une rivière d'argent, chargé d'un cerf d'argent au dextre et d'un sapin de même au sénestre. Au second parti au 1) d'azur à la croix de Lorraine d'or et au 2) aussi d'or à la bande de gueule chargée de 3 alérions d'argent.
Commentaires : blason adopté lors de la réunion du conseil municipal du 4 novembre 2008 et validé lors de la délibération du 2 décembre de la même année. On y voit la ligne bleue des Vosges, le col, le Blanc Ru et la forêt giboyeuse. Les armes en pointe sont de l'arrondissement de Saint-Dié et de la Lorraine. |
Pour approfondir
Bibliographie
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Wisembach p. 1258
- Charles-Laurent Salch, Atlas des villes et villages fortifiés en France, Début du Ve siècle à la fin du XVe siècle, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 495 p.Wisembach p. 456 et Carte n°5 des Vosges, B.38.688.87
- Le Château de Faîte ou du Haut de Faîte, 638 ans d'activité militaire
- La tête du Violu
- Appellations anciennes synonymes de Wisembach
- Le paysage minier des sites métalliques des Vosges et de la Forêt-Noire, Pierre Fluck Bruno Ancel, Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, Année 1989, Volume 96 Numéro 2; pp. 183–201
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Wisembach sur le site de l'Institut géographique national
- Wisembach sur le site de l'Insee
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la Région Lorraine
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Carte globale Lorraine CARMEN - DREAL Lorraine
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Wisembach » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022)..
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
Références
- Liste des 188 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3e Charte 2012 - 2024.
- « Fiche communale de Wisembach », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Dié-des-Vosges », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Dictionnaire du département : Vosges » in Dictionnaire topographique de la France : comprenant Les noms de lieux anciens et modernes (lire en ligne).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 734b.
- Receveur des domaines et de l'enregistrement à Saint-Dié au début du XIXe siècle, auteur d'une Histoire de la ville épiscopale et de l'arrondissement de Saint-Dié
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit., p. 310b.
- « Dictionnaire du département : Vosges » in Dictionnaire topographique de la France comprenant LES NOMS DE LIEUX ANCIENS ET MODERNES, p. 437 (lire en ligne)
- Le Château de Faîte ou du Haut.
- Communes décorées de la Croix de guerre 1914-1918.
- Site municipal
- Les comptes de la commune de Neufchâteau « Copie archivée » (version du 23 mars 2015 sur Internet Archive).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- L'intervention de la Fondation du patrimoine pour la restauration de l'orgue.
- (fr) Site sur les orgues de la région : Page sur l'orgue de Wisembach.
- Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, , 677 p. (ISBN 2-87692-093-X), p. 638 à 640Présentation des orgues de l’église Saint-Barthélémy de Wisembach.
- Monument aux morts de Wisembach.
- Inventaire de l'architecture rurale
- « Mairie de Wisembach », sur Administration illiwap (consulté le )
- « Wisembach », sur Le Lavelinois (consulté le )
- Biographie de François Vaxelaire, Dictionnaire des vosgiens célèbres, sur ecrivosges.com, consulté le 21 juin 2016.