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Wangen (Bas-Rhin)

Wangen (en alsacien Wànge) est une commune française, située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est. Ses habitants sont nommés les Wangenois et Wangenoises.

Wangen
Wangen (Bas-Rhin)
Blason de Wangen
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement Molsheim
Intercommunalité Communauté de communes de la Mossig et du Vignoble
Maire
Mandat
Yves Jung
2020-2026
Code postal 67520
Code commune 67517
DĂ©mographie
Population
municipale
654 hab. (2020 en diminution de 6,57 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 169 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 37′ 06″ nord, 7° 28′ 02″ est
Altitude 287 m
Min. 176 m
Max. 400 m
Superficie 3,87 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Marlenheim
(banlieue)
Aire d'attraction Strasbourg (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Molsheim
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Wangen
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Wangen
Liens
Site web http://www.wangen-alsace.net/

    Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

    GĂ©ographie

    La commune de Wangen se situe près de la ville de Wasselonne, au nord-ouest de l'Alsace et s'Ă©tend sur 3,87 km2. Une rivière borde le village d'ouest en est : la Mossig. La rĂ©gion de la commune de Wangen possède un relief propice Ă  la culture de la vigne, qui a d'ailleurs Ă©tĂ© un pilier de son histoire depuis sa crĂ©ation. Le village se situe en zone AOC.

    Wangen était autrefois située sur la ligne de chemin de fer reliant la ville de Sélestat à celle de Saverne, avant la dépose du tronçon Molsheim - Saverne en 1967 qui a été remplacé par une piste cyclable.

    Wangen se situe sur la Route des vins d'Alsace.

    Communes limitrophes de Wangen
    Wasselonne Marlenheim
    Wangen
    Westhoffen Kirchheim

    Urbanisme

    Typologie

    Wangen est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Marlenheim, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 5 communes[4] et 7 368 habitants en 2017[5] - [6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[7] - [8].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (51,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (39,9 %), forêts (38,3 %), zones urbanisées (7,3 %), terres arables (6,9 %), prairies (6,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Histoire

    Période médiévale

    Les premières mentions connues du village de Wangen remontent au IXe siècle, lorsque certaines parcelles de terres sont données à l'abbaye féminine Saint-Étienne de Strasbourg[11]. Cette dernière contrôle le village de Wangen jusqu'à la Révolution française, et permet à une noblesse locale de se former et de prospérer. La viticulture contribue ainsi à donner aux Von Wangen, nobles et défenseurs du village, une richesse et un socle économique permettant leur établissement. Ils construisent ainsi un château de base octogonale au cours du XIIIe siècle, dont ils restent propriétaires jusqu'en 1566, date à laquelle ils vendent l'édifice à l'abbaye Saint-Étienne. Le château est démembré par la suite pour permettre la construction et l'agrandissement de certaines maisons du village, notamment le Freihof, ensemble important de l'histoire de Wangen. En effet, après son accession au statut de cour colongère au IXe siècle, soit une organisation rurale spécifique, Wangen possède en seigneur de ses terres l'abbesse de l'abbaye Saint-Étienne. Quand cette dernière se rendait à Wangen, sa demeure était le Freihof, situé actuellement au 179, rue Basse. Cet ensemble de bâtiments lui permettait de faire valoir ses privilèges, notamment celui de justice. L'abbesse utilisait le tilleul, placé au milieu de la cour du Freihof, pour rendre justice auprès des gens de Wangen.

    Pendant la pĂ©riode trouble du Moyen Ă‚ge, une enceinte est Ă©rigĂ©e tout autour de Wangen. Longue de 1 100 mètres, d'une hauteur pouvant aller jusqu'Ă  7 mètres et possĂ©dant une Ă©paisseur entre 1,10 et 1,70 mètre, elle possède trois portes, la Niedertor, la Sommertor et la Motscheltor.

    Mais les seigneurs du village n'oublient pas d'offrir un support religieux Ă  leurs sujets. Ainsi est attestĂ©e la prĂ©sence de l'Ă©glise Ă  sa place actuelle dès 1214, date inscrite sur le tympan roman de cette Ă©glise Ă  l'histoire chargĂ©e. SurĂ©levĂ©e en 1581 Ă  la demande de l'abbesse Odile de DĂĽrmentz, elle devient une Ă©glise dite simultanĂ©e Ă  la fin du XVIIe siècle, Ă  la suite de l'introduction du simultaneum en Alsace par Louis XIV. Cette utilisation de l'Ă©glise par catholiques et protestants est visible aussi au cimetière. DĂ©placĂ© du centre du village vers la pĂ©riphĂ©rie au XVIIe siècle, le cimetière est divisĂ© entre catholiques et protestants. Construit notamment grâce Ă  d'anciennes pierres tombales, le mur du cimetière possède plusieurs pierres datant de 1648, date de la fin de la guerre de Trente Ans.

    Après la Révolution française

    Du fait de la Révolution et de la mise en place de la République, Wangen voit les différents privilèges touchés par les nobles supprimés, et est élu à sa tête un premier maire. Jean Adam Laugel, élu en 1792, alors vigneron, démontre à lui seul l'attachement de Wangen à sa viticulture, malgré les événements qui précipitent l'Alsace au centre des préoccupations, territoire français à la frontière entre le Saint-Empire romain germanique et la France. Dès 1819, et l'utilisation de l'établissement des jeunes aveugles de Paris pour se couvrir, le greffier du tribunal de commerce de Strasbourg, monsieur Martha, essaie de remettre en place le bodenzinßwin sur la commune de Wangen et demande 600 mesures de vin par an. Jugée une première fois par la cour royale de Colmar le , puis arrêtée par la cour de cassation de Paris le , la rente en vin est jugée comme féodale et supprimée.

    Grâce à ces deux jugements successifs, le conseil municipal de Wangen se réunit, avec à sa tête le maire Jean-Georges Strohl, le [12]. Cette session met en avant la suppression de cette rente féodale comme un bienfait pour Wangen. Voulant perpétuer le souvenir de cet évènement, vécu comme une libération, est instaurée la fête de la Fontaine. Elle est mise en place dans un premier temps pour récompenser les défenseurs, monsieur Lauth, avocat à Strasbourg, messieurs Sandherr et Bletry, avocats à Colmar et monsieur Guichard père, avocat au Conseil d'État et à la cour de cassation de Paris. Les mandataires, monsieur Charles Moll, percepteur de Wangen, Georges Strohl, alors maire et Christian Ostermann, meunier, sont aussi à l'honneur. Il est décidé que la fête de la Fontaine doit être organisée le premier dimanche après le 2 juillet de chaque année selon une exécution programmée à l'avance. Il s'agit dans un premier temps de cérémonies religieuses pour les catholiques et les protestants du village. Suivent une distribution de prix d'encouragements aux écoliers et aux habitants méritants, ainsi que des réjouissances publiques. En 1834 voit le jour une fontaine monumentale près de l'église de Wangen pour célébrer la victoire lors du procès, et le conseil municipal du [12] établit les inscriptions qui doivent orner cette fontaine. Est aussi décidé que cette fontaine recevra un système pour permettre une distribution en vin, par le maire ou tout représentant de l'ordre, lors de la fête de la Fontaine, tradition tenue jusqu'à aujourd'hui.

    HĂ©raldique

    Blason de Wangen

    Les armes de Wangen se blasonnent ainsi :
    « D'azur à saint Étienne de carnation, vêtu d'une robe et d'un camail, la tête entourée de rayons, tenant de sa dextre une palme, le tout d'or. »[13].

    Politique et administration

    Mairie-Ă©cole (1902).

    La commune de Wangen a compté, depuis la période révolutionnaire, 22 mandats de maire successifs, et ceci malgré les sursauts de périodes royales et impériales[14].

    Liste des maires de Wangen
    Début de mandat Fin de mandat Identité Étiquette Métier
    1792 1793 Jean Adam Laugel Vigneron
    1794 1795 Hans Bohnert Vigneron
    1795 1797 Jean Georges Strohl Tonnelier
    1798 1807 Jean Pierre Laugel Tonnelier
    1807 1809 Pierre Becker Cordonnier
    1809 1811 Jean Michel Lorentz Tonnelier
    1811 1834 Jean Georges Strohl Tonnelier
    1834 1837 Jean Moll Tonnelier
    1837 1843 Georges Schwach Vigneron
    1843 1846 Jean Moll Tonnelier
    1846 1848 Jean Simon Tonnelier
    1848 1854 Georges Strohl Tonnelier
    1854 1860 Jacques Zimmer Secrétaire
    1860 1884 Georges Strohl Tonnelier
    1884 1902 Auguste Lorentz Vigneron
    1902 1919 Charles Fritsch Vigneron
    1919 1941 Jean Georges Strohl NĂ©gociant en vin
    1941 1945 Edouard Lorentz
    1945 1971 Georges Bohnert Vigneron cultivateur
    1971 1989 Jean-Georges Unterreiner Viticulteur et gérant
    1989 2008 Paul Heinrich Cadre bancaire
    2008 au 31 mai 2020 Yves Jung [15]
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026
    Délégué du Préfet

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[17].

    En 2020, la commune comptait 654 habitants[Note 3], en diminution de 6,57 % par rapport Ă  2014 (Bas-Rhin : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    684671688756782781750776759
    1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
    744771750772731745793722713
    1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    722715683624614653623584619
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    599570589572656704705693720
    2014 2019 2020 - - - - - -
    700670654------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee Ă  partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Les anciennes fortifications du village, composĂ©es d'un mur d'enceinte englobant toute la partie mĂ©diĂ©vale du village, et les trois portes, la Niedertor, la Sommertor et la Motscheltor.
    • La partie historique du village, datant de l'Ă©poque mĂ©diĂ©vale et ayant Ă©voluĂ© avec son temps.
    • Les bâtiments formant l'ensemble du Freihof.
    • Sommertor ou Porte du Sud.
      Sommertor ou Porte du Sud.
    • Niedertor ou Porte Basse.
      Niedertor ou Porte Basse.
    • Rue du Puits.
      Rue du Puits.
    • Rue du Poteau.
      Rue du Poteau.
    • Le Freihof (XVIe-XVIIIe),179 rue Basse.
      Le Freihof (XVIe-XVIIIe),
      179 rue Basse.
    • Maison (XVIIIe),158 rue Basse.
      Maison (XVIIIe),
      158 rue Basse.
    • Maison (1595),178 rue Basse.
      Maison (1595),
      178 rue Basse.
    • Maison de tonnelier (1742),133 rue du Colonel-Moll.
      Maison de tonnelier (1742),
      133 rue du Colonel-Moll.
    • Maison de tanneur en ruines (XVIe-XVIIe-XVIIIe),66 rue du GĂ©nĂ©ral-Strohl.
      Maison de tanneur en ruines (XVIe-XVIIe-XVIIIe),
      66 rue du Général-Strohl.
    • Presbytère protestant (1864), 89 rue du GĂ©nĂ©ral-Strohl.
      Presbytère protestant (1864), 89 rue du Général-Strohl.
    • Maison,90 rue du GĂ©nĂ©ral-Strohl.
      Maison,
      90 rue du Général-Strohl.
    • Maison dite Castel des Garat (XVIIIe-XIXe), WangenmĂĽhle.
      Maison dite Castel des Garat (XVIIIe-XIXe), WangenmĂĽhle.
    • La chapelle Sainte-Croix construite en 1833, et composĂ©e notamment d'Ă©lĂ©ments gothiques des XIIIe-XIVe siècles.
    • Église simultanĂ©e Saint-Étienne de Wangen.
      Église simultanée Saint-Étienne de Wangen.
    • Vue intĂ©rieure de l'Ă©glise.
      Vue intérieure de l'église.
    • Orgue Wetzel (1880).
      Orgue Wetzel (1880).
    • Tympan roman « Agneau mystique » (1214).
      Tympan roman « Agneau mystique » (1214).
    • Tableau de Sorg « Lapidation de saint Étienne » (1846).
      Tableau de Sorg « Lapidation de saint Étienne » (1846).
    • Chapelle Sainte-Croix.
      Chapelle Sainte-Croix.
    • IntĂ©rieur de la chapelle.
      Intérieur de la chapelle.

    Personnalités liées à la commune

    • Georges Strohl, gĂ©nĂ©ral de brigade (1839-1901) : le nom d'une rue lui est dĂ©diĂ© Ă  Wangen, son village natal.
    • Augusta Moll-Weiss (1863-1946), fondatrice de l'École des mères.
    • Charles Auguste Moll (1821-1881), colonel du GĂ©nie, rentrĂ© Ă  l'Ă©cole militaire en 1843 et parti en retraite en 1881.
    • Dominique Riehl (1910–1995), psychologue française, y est nĂ©e et dĂ©cĂ©dĂ©e.

    Voir aussi

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Marlenheim », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Xavier Ohresser, « L'abbaye Saint-Étienne de Strasbourg. Origines et fondations », in Annuaire de la SociĂ©tĂ© des amis du Vieux Strasbourg, 1971, p.  13-26
    12. Archive 8E517/18 Registre servant à inscrire les Délibérations du Conseil Municipal de la Commune de Wangen, commencé le 6 novembre 1815 et finit en 1842. Détenu par les Archives Départementales du Bas-Rhin
    13. Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur http://www.labanquedublason2.com (consulté le ).
    14. « Liste des maires de Wangen », www.wangen-alsace.net,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    15. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    20. Bernard Vogler, « Liste de localités ayant de nos jours une église simultanée », in Antoine Pfeiffer (dir.), Protestants d'Alsace et de Moselle : lieux de mémoire et de vie, SAEP, Ingersheim ; Oberlin, Strasbourg, 2006, p. 298 (ISBN 2-7372-0812-2).
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