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Vesta

Vesta (prononciation latine : [ˈuÌŻÉ›sÌ tÌȘĂ€]) est la dĂ©esse du foyer du peuple romain[2] - [3] et, par extension, de la maison et de la famille dans la religion romaine[4]. Sa prĂ©sence Ă©tait symbolisĂ©e par le feu sacrĂ© qui brĂ»lait dans son foyer et ses temples.

Vesta
DĂ©esse de la mythologie romaine
Vesta selon le Promptuarii Iconum Insigniorum de Guillaume Rouillé (1553)
Vesta selon le Promptuarii Iconum Insigniorum de Guillaume Rouillé (1553)
Caractéristiques
Fonction principale Déesse du foyer, de la fidélité et du feu
RĂ©sidence Forum romanum
PĂ©riode d'origine Rome antique
Équivalent(s) par syncrĂ©tisme Hestia
Culte
Temple(s) temple de Vesta Ă  Rome, temple de Vesta Ă  Tivoli
Famille
PĂšre Saturne
MĂšre Ops
Fratrie Jupiter, Neptune, Pluton, Junon, CĂ©rĂšs
Conjoint aucun
Symboles
Attribut(s) Feu sacré.
Animal Âne[1]

L’importance de Vesta dans la religion romaine Ă©tait telle que le culte qui lui Ă©tait consacrĂ© Ă  Rome Ă©tait le seul Ă  y disposer Ă  temps plein d’un collĂšge d’officiantes vierges, les Vestales, recrutĂ©es entre les Ăąges de six Ă  dix ans comme « prĂȘtresses de feu Ă©ternel » pour maintenir la flamme du temple qui lui Ă©tait dĂ©diĂ©. La fĂȘte religieuse romaine de Vesta, observĂ©e du 7 au 16 juin, avait cours lors des Vestalia.

Origine

cette photo est le temple dans lequel la flamme sacrée brûlait
Le temple de Vesta Ă  Tivoli.
Image du temple dans lequel la flamme sacrée brûlait.

Il existe plusieurs divinitĂ©s fĂ©minines du foyer dans le monde indo-europĂ©en. Il semble que les peuples indo-europĂ©ens devenus sĂ©dentaires tels les Romains ou les Grecs aient prĂ©fĂ©rĂ© une dĂ©esse (du) foyer Ă  un dieu (du) feu, le foyer Ă©tant une rĂ©alitĂ© quotidienne, saisissable et toujours bĂ©nĂ©fique alors que le feu est ambigu et peut ĂȘtre redoutable[5].

Le culte de Vesta ne se limite pas Ă  Rome et il est probable qu'il existait chez d'autres peuples italiques, notamment chez les Vestini Ă  en juger par leur nom et chez les Ombriens. Le verbe ombrien vestikā- « faire des libations » Ă©voque les monnaies romaines de Vesta versant la libation[6]. Ces parallĂšles italiques rendent improbable un emprunt Ă  la GrĂšce mĂȘme si cette idĂ©e est partagĂ©e par plusieurs auteurs romains (CicĂ©ron, Servius). Rien n'atteste l'existence d'un doublet *westā en GrĂšce[6].

Néanmoins, le fait que Vesta n'ait originellement aucune place dans le culte du foyer familial suggÚre un culte emprunté : celui du foyer du roi sabin Numa qui serait devenu le culte du foyer public. De plus, il semble avoir existé un feu perpétuel antérieur, celui de Caca[6]. Ceci explique comment Romulus et Rémus ont pu naßtre d'une Vestale alors que le collÚge des Vestales romaines a été institué par Numa[7].

Selon l'ÉnĂ©ide, elle Ă©tait honorĂ©e Ă  Troie[8], longtemps avant la ruine de cette ville, et ce fut ÉnĂ©e qui, croit-on, apporta en Italie son culte et son symbole[9] : il l’avait parmi ses dieux pĂ©nates.

Plusieurs auteurs romains rapportent que son culte aurait Ă©tĂ© amenĂ© d’Albe Ă  Rome par la mĂšre de son fondateur, RhĂ©a Silvia. Selon la tradition, c’est le fils de Romulus, Numa Pompilius qui, en signe de gratitude Ă  la dĂ©esse, Ă©tablit, Ă  Rome, son culte qui a durĂ© jusqu’à la fin du paganisme, en y faisant bĂątir un temple circulaire[10].

Parenté

Fille de Saturne et Ops et sƓur de Jupiter, Neptune, Pluton, Junon et CĂ©rĂšs, son plus proche Ă©quivalent dans la mythologie grecque est Hestia, mot qui dĂ©signe le « foyer de la maison », bien que le culte romain ait pris plus d’importance. Selon certains mythes concernant la fondation de Rome, Vesta parait avoir intercĂ©dĂ© en faveur de RhĂ©a Silvia, violĂ©e par Mars pendant qu’elle dormait, et enceinte des jumeaux Romulus et RĂ©mus.

Il importe de ne pas confondre la vierge Vesta, dĂ©esse du feu ou le feu lui-mĂȘme, avec l’antique Vesta, c’est-Ă -dire TitĂ©ia ou GaĂŻa (la dĂ©esse Terre), mĂȘme si, chez les poĂštes, ces deux divinitĂ©s paraissent souvent ĂȘtre confondues[11].

Culte et rituels

Sous sa dĂ©nomination bien attestĂ©e de Vesta P(opuli) R(omani) Quiritium, elle prĂ©side au foyer national. CicĂ©ron prĂ©cise que son culte est cĂ©lĂ©brĂ© « dans l'intĂ©rĂȘt du peuple romain, des Quirites »[12] Sa place essentielle pour l'État explique l'emplacement de l’aedes Vestae et de l’atrium Vestae Ă  proximitĂ© de la Regia de Numa.

Son culte consistait principalement Ă  entretenir le feu qui lui Ă©tait consacrĂ© et Ă  prendre garde qu’il ne s’éteigne jamais.

C'est au milieu de son temple dont l'accĂšs Ă©tait interdit Ă  tous, sauf aux Vestales et au Grand Pontife, que l'on entretenait le feu sacrĂ© avec d'autant plus de vigilance qu’il Ă©tait regardĂ© comme le reflet du feu central de la Terre[13]. Si ce feu venait Ă  s’éteindre, la vestale Ă©tait frappĂ©e de verges par le pontife et on rallumait le feu en frottant deux morceaux de bois pris Ă  un arbre de bon augure (arbor felix) – probablement un chĂȘne[14] –, alors qu’en GrĂšce, on ne devait le rallumer qu’aux rayons du soleil, au moyen d’une sorte de miroir[11]. MĂȘme non Ă©teint, le feu Ă©tait renouvelĂ© tous les ans, le premier jour de mars[11]. Le vestibule, oĂč, autrefois se trouvait le foyer (mais cette explication et cette Ă©tymologie est discutĂ©e[15]), tire sans doute son nom de Vesta, qui, dans les sacrifices, Ă©tait toujours invoquĂ©e la derniĂšre[16].

Vesta.

Chaque ville avait sa Vesta et ses PĂ©nates ; et chaque colonie allumait le feu de sa Vesta au foyer de la mĂ©tropole. C’est ainsi que Rome honora spĂ©cialement la Vesta et les PĂ©nates d’Albe-la-Longue, puis, aprĂšs la destruction d’Albe, ceux de Lavinium, considĂ©rĂ©s comme les PĂ©nates mĂȘmes de Troie, Sacra principia populi romani, c’est-Ă -dire les objets sacrĂ©s auxquels se rattachaient les origines de Rome et de toute la nation latine. Un temps vint, oĂč Vesta, sans cesser de rĂ©sider dans le feu, et non seulement dans celui du foyer national, mais encore dans les feux allumĂ©s sur l’autel de toute divinitĂ©, prit une figure humaine, et prĂ©sida en personne au culte qu’on lui rendait dans son atrium, devenu son temple[17].

Un temple de Vesta construit à Tibur au Ier siÚcle av. J.-C., est toujours présent à Tivoli[18].

Vesta est la dĂ©esse protectrice du foyer domestique, des familles, des villes, des colonies, de la sĂ©rĂ©nitĂ© religieuse et du feu. DĂ©esse du foyer, elle est le symbole de la puretĂ©, honneur de la vie familiale ; ternir cette puretĂ©, c’est offenser Vesta et s’exposer Ă  sa juste colĂšre[19].

Représentation

VouĂ©e au rituel, Vesta n'est pas ou n'est plus reprĂ©sentĂ©e Ă  date ancienne[15]. Elle n'avait d'autre image ou d'autre symbole que le feu sacrĂ©[20]. Ovide dit que Vesta n’est rien d’autre que la flamme vive[21]. Mais, elle est reprĂ©sentĂ©e par la suite notamment sur les monnaies[15].

Lorsqu’elle Ă©tait reprĂ©sentĂ©e, c’était en habit de matrone, vĂȘtue de la stola[22], tenant de la main droite un flambeau ou une lampe[23], ou une patĂšre[24], vase Ă  deux anses, appelĂ© capeduncula[25], quelquefois aussi un palladium[26] ou une petite Victoire. Parfois, au lieu de la patĂšre, elle tient une haste[27], javelot sans fer, ou une corne d’abondance[28]. Sur les mĂ©dailles et les monuments, les titres qu’on lui donne sont Vesta la sainte, l’éternelle, l’heureuse, l’ancienne, Vesta la mĂšre[29], etc.

Comme son homologue Hestia qui appartient à la premiÚre génération divine, Vesta est une vieille déesse « aux cheveux blancs »[30]

Nature et attributs

Ses attributs sont le feu sacré et la corne d'abondance.

Vierge mĂšre ?

Vesta Mater.

Vesta a pour trait commun avec Hestia la chasteté, mais la virginité est propre à cette derniÚre. A Rome, la virginité ne vaut que pour les desservantes du culte, les Vestales, alors que Vesta n'est qualifiée de vierge que tardivement par assimilation à Hestia, et sur le modÚle des Vestales. En effet, cette prétendue virginité se concilie mal avec le qualificatif de « mÚre » qui est attribué à Vesta et qui est confirmé par l'iconographie. De plus, la présence d'un phallus dans l'aedes Vestae constitue une difficulté supplémentaire. Enfin, Vesta a pour attribut l'ùne qui est l'animal de Priape et des satyres[31].

La comparaison avec le monde indien permet de comprendre que le feu a été conçu anciennement comme fils de mÚres et nourrices virginales. Ce sont ces figures qui expliquent la virginité d'Hestia et le fait que des jeunes filles sont affectées à l'entretien du feu perpétuel de Vesta[32].

Phallus

Le membre viril (fascinus) dont la représentation était conservée au temple de Vesta est un symbole du Feu divin. Il représente la tariÚre servant à produire le feu dans le foyer du foret à feu.

Cette prĂ©sence du Feu divin explique l'obligation de chastetĂ© faite aux Vestales. Le Feu est dĂ©crit comme un mari jaloux, car mĂšres et nourrices du Feu, elles en sont Ă©galement les Ă©pouses. Il en est de mĂȘme pour Hestia et Vesta qui ne sont pas des Feux divins mais les Ă©pouses d'un ancien dieu Feu disparu[33].

Vesta et les cultes domestiques

Vesta n'incarne pas le foyer focus en général ni aucun autre foyer que le « foyer de la Ville ». Les divinités du foyer domestique sont les Lares, les Pénates et le Génie du maßtre de maison. Le nom latin du vestibule n'atteste pas une Vesta domestique. D'ailleurs, le foyer ne se trouvait pas dans cette piÚce. Contrairement à Hestia, son théonyme est seulement un nom propre[15].

Vesta Ă©tait particuliĂšrement importante pour les femmes car le foyer Ă©tait l’endroit oĂč l’on prĂ©parait Ă  manger, et le repas Ă©tait consommĂ© tandis que des offrandes Ă©taient jetĂ©es dans le feu pour prĂ©dire grĂące Ă  la façon dont il brulait. L’importance de Vesta et du foyer Ă  l’époque romaine subsiste dans la langue moderne, Ă  travers les divers usages, Ă  la fois scientifiques et mĂ©taphoriques, du terme foyer (focus en latin).

Vesta hors de Rome

Le culte de Vesta est attestĂ© Ă  Bovillae, Lavinium et Tibur. Bovillae accueillait les (Albanae Longanae Bovillenses), censĂ©es continuer les vestales albaines. Lavinium avait les vestales des Laurentes Lavinates. Ces deux ordres s’enracinaient dans la plus ancienne des traditions antĂ©rieure Ă  Rome. L’épigraphie atteste que Tibur disposait Ă©galement de ses propres vestales.

Des vestales furent peut-ĂȘtre prĂ©sentes dans le sanctuaire de Diana Nemorensis prĂšs d’Aricia[34].

Vestalia

Intérieur du temple de Vesta.

Vesta Ă©tait cĂ©lĂ©brĂ©e pendant les Vestalies ou Vestalia, pĂ©riode, Ă  Rome, du 7 au 15 juin[35], durant laquelle le temple de Vesta Ă©tait ouvert aux matrones. Le premier jour, on ouvrait le penus Vestae, sanctuaire du temple de la dĂ©esse habituellement cachĂ© par des rideaux[36]. Tant que le rideau restait ouvert, les matrones pouvaient venir, pieds nus et Ă©chevelĂ©es, dĂ©poser des offrandes Ă  la dĂ©esse en Ă©change de sa bĂ©nĂ©diction pour elles et leur famille[37]. Ces offrandes incluaient le sacrifice d’un fƓtus de veau retirĂ© du ventre de sa mĂšre[38]. Le 15, jour notĂ© QSDF (quando stercum delatum fas), le penus Vestae Ă©tait refermĂ© et l’affliction remplaçait l’allĂ©gresse ; la Flaminica Dialis observait le deuil, et le temple faisait l’objet d’une purification[39] appelĂ©e stercoratio : les immondices Ă©taient balayĂ©s du temple pour les transporter ensuite, par la voie dite clivus Capitolinus et les jeter dans le Tibre.

Les vestales

Le temple de Vesta Ă  Rome.

Chez les Romains, le feu sacrĂ© de Vesta Ă©tait gardĂ© et entretenu par des prĂȘtresses vierges, les vestales. Elles Ă©taient choisies dans les plus grandes familles de Rome, Ă  l’ñge de six Ă  dix ans. Elles restaient au service de la dĂ©esse pendant une durĂ©e de trente ans. Elles rentraient ensuite au sein de la sociĂ©tĂ© romaine, avec la permission de se marier. Mais, durant leur sacerdoce, les Vestales qui laissaient le feu s’éteindre Ă©taient sĂ©vĂšrement et mĂȘme cruellement punies : celle qui violait ses vƓux de virginitĂ© Ă©tait mise Ă  mort, emmurĂ©e dans un tombeau ou entre deux murs[40].

En compensation de toutes ces rigueurs, les Vestales Ă©taient l’objet d’un respect universel : comme les hauts dignitaires, elles Ă©taient prĂ©cĂ©dĂ©es d’un licteur, ne dĂ©pendaient que du pontifex maximus ; elles Ă©taient appelĂ©es souvent pour apaiser les dissensions dans les familles : on leur confiait les secrets des particuliers et quelquefois ceux de l’État. C’est entre leurs mains qu’étaient dĂ©posĂ©s les testaments. Les vestales avaient un pouvoir tel que, lorsqu’elles croisaient un condamnĂ© Ă  mort, celui-ci Ă©tait libĂ©rĂ©[40].

Elles avaient la tĂȘte ceinte de bandelettes de laine blanche, qui leur retombaient gracieusement sur les Ă©paules et de chaque cĂŽtĂ© de la poitrine. Leurs vĂȘtements Ă©taient d’une grande simplicitĂ©, mais non dĂ©pourvus d’élĂ©gance. Par-dessus une robe blanche elles portaient une sorte de rochet de la mĂȘme couleur. Leur manteau, qui Ă©tait de pourpre, leur cachait une Ă©paule et laissait l’autre demi-nue. Primitivement elles se coupaient les cheveux, mais plus tard elles portĂšrent toute leur chevelure. Quand le luxe se fut rĂ©pandu dans Rome, on les vit se promener en somptueuse litiĂšre, mĂȘme dans un char magnifique, avec une nombreuse suite de femmes et d’esclaves.

Culture

Notes et références

  1. Jacques-Numa Lambert, Georges PiĂ©ri, Symboles et rites de l’ancestralitĂ© et de l’immortalitĂ©, Dijon, Éditions universitaires de Dijon, 1999, 327 p., (ISBN 978-2-90596-536-3), p. 179.
  2. (de) Angelo Brelich, Vesta, ZĂŒrich, Rhein-Verlag, 119 p., 1949.
  3. (de) Carl Koch, Drei Skizzen zur Vesta-Religion, 1953.
  4. Jean-Paul Roux, La Femme dans l’histoire et les mythes, Paris, Fayard, 2004, 426 p., (ISBN 978-2-21361-913-2).
  5. Jean Haudry, Le feu dans la tradition indo-européenne, ArchÚ, Milan, 2016 (ISBN 978-8872523438), p.219
  6. Jean Haudry, 2016, p.500
  7. Jean Haudry, 2016, pp.224-225
  8. Annie Dubourdieu, Les Origines et le dĂ©veloppement du culte des pĂ©nates Ă  Rome, Rome, École française de Rome, , 566 p. (ISBN 978-2-72830-162-1), p. 294.
  9. Dubourdieu, op. cit., p. 468.
  10. Juste Lipse, Vesta et les vestales (De vesta et vestalibus), Ă©d. Filip Vanhaecke, Peeters Publishers, 2006, 212 p., (ISBN 978-9-04291-821-4), p. 93.
  11. Pierre Commelin, Mythologie grecque et romaine, Paris, Armand Colin, 2005, 407 p., (ISBN 978-2-20034-275-3).
  12. Jean Haudry, 2016, p.226
  13. Adolf Edward Jacobi, Dictionnaire mythologique universel, ou, Biographie mythique des dieux et des personnages fabuleux de la Grùce, de l’Italie, de l’Égypte, trad. Thalùs Bernard, Paris, Firmin Didot frùres, 1846, 515 p., p. 502.
  14. Henry Thédenat, Le Forum romain et les forums impériaux, Paris, Hachette et Cie, 1908, p. 89-90.
  15. Jean Haudry, 2016, p.225
  16. Philippe Dain, Mythographe du Vatican III, vol. 3, Besançon, Presses Univ. Franche-Comté, 2005, 275 p., (ISBN 978-2-84627-080-9), p. 467.
  17. AndrĂ© LefĂšvre, Revue des traditions populaires, Paris SociĂ©tĂ© des traditions populaires au MusĂ©e d’ethnographie du TrocadĂ©ro, 1886-1919, (ISSN 0996-2689), p. 208.
  18. John Bryan Ward-Perkins, Architecture romaine, Paris, Gallimard, 1994, 205 p., (ISBN 978-2-07015-015-1), p. 40, 1983.
  19. André Baudrillart, La Religion romaine, Paris, Bloud, 1905, 64 p., p. 15.
  20. François-Joseph-Michel Noël, Dictionnaire de la fable, 3e éd., t. 2, Paris, Lenormant, 1810, p. 802.
  21. Dain, op. cit., p. 46.
  22. David Étienne Choffin, Dictionnaire abrĂ©gĂ© de la fable ou de la mythologie, Halle, La maison des orphelins, 1750, p. 432.
  23. Bernard de Montfaucon, L’AntiquitĂ© expliquĂ©e, Paris, Florentin Delaulne et al., 1722, p. 371.
  24. Léopold Welzl de Wellenheim, Catalogue de la grande collection de monnaies et de médailles, vol. 1, Vienne, J.-P., Sollinger, 1844, p. 150.
  25. Dictionnaire universel françois et latin, Paris, Compagnie des libraires associés, 1771, p. 372.
  26. Ginette Dubosc, Recherches sur les empereurs romains et la déesse Minerve, Atelier national de reproduction des thÚses, 2004, 555 p., p. 488.
  27. Actes de l’AcadĂ©mie nationale des sciences, belles-lettres et arts de Bordeaux, 7e annĂ©e, Bordeaux, Charles Lawalle, HĂŽtel des sociĂ©tĂ©s savantes, 1845, p. 611.
  28. Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers, t. 32, GenÚve, Pellet, 1779, p. 211.
  29. Dictionnaire universel de mythologie : ancienne et moderne, t. 10, Paris, Jacques-Paul Migne, 1855, 1519 p., p. 1478.
  30. Virgile, Enéide, 5,744 ; 9,259
  31. Jean Haudry, 2016, p.230
  32. Jean Haudry, 2016, p.232
  33. Jean Haudry, 2016, p.232-233
  34. (it) Maria Grazia Granino Cecere, « Vestali non di Roma », Studi di Epigrafia Latina, no 20, 2003, p. 67-80.
  35. Jules Marouzeau, Revue des Ă©tudes latines, SociĂ©tĂ© d’Édition Les Belles Lettres, 2006, p. 39.
  36. Dubourdieu, op. cit., p. 454.
  37. Pierre BrulĂ©, La Fille d’AthĂšnes : la religion des filles Ă  AthĂšnes Ă  l’époque classique : mythes, cultes et sociĂ©tĂ©, Paris : Belles lettres, 1987, 455 p., (ISBN 978-2-25160-363-6), p. 112.
  38. (en) R. Joy Littlewood, A Commentary on Ovid : Fasti book VI, Oxford ; New York, Oxford University Press, 2006, 259 p., (ISBN 978-0-19927-134-4).
  39. Marouzeau, op. cit..
  40. Pierre Grimal, Rome et l’Amour, Vierges et matrones, Robert Laffont, 2007, (ISBN 978-2-22110-629-7), p. 460.

Bibliographie

  • (de) Angelo Brelich, Vesta, ZĂŒrich, Rhein-Verlag, 119 p., 1949.
  • Pierre Commelin, Mythologie grecque et romaine, Paris, Armand Colin, 2005, 407 p., (ISBN 978-2-20034-275-3).
  • Annie Dubourdieu, Les Origines et le dĂ©veloppement du culte des pĂ©nates Ă  Rome, Rome, École française de Rome, , 566 p. (ISBN 978-2-72830-162-1).
  • Ginette Dubosc, Recherches sur les empereurs romains et la dĂ©esse Minerve, Atelier national de reproduction des thĂšses, 2004, 620 p., (ISBN 978-2-28403-966-2).
  • Georges DumĂ©zil, La Religion romaine archaĂŻque, avec un appendice sur la religion des Étrusques , Payot, 1966, 1974, pp.318-332
  • Pierre Grimal, Rome et l’Amour, des femmes, des jardins, de la sagesse, Robert Laffont, 2007, 1029 p., (ISBN 978-2-22110-629-7).
  • Jean Haudry, Le feu dans la tradition indo-europĂ©enne, ArchĂš, Milan, 2016 (ISBN 978-8872523438), p. 219-241
  • (de) Hildebrecht Hommel, « Vesta und die fruhrĂŽmische Religion », Aufstieg und Niedergang der römischen Welt, I, 2, 1972.
  • Juste Lipse, Vesta et les vestales (de vesta et vestalibus), Ă©d. Filip Vanhaecke, Peeters Publishers, 2006, 212 p., (ISBN 978-9-04291-821-4).
  • Henry ThĂ©denat, Le Forum romain et les forums impĂ©riaux, Paris, Hachette et Cie, 1908.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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