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Ventilation en pression positive continue

La ventilation en pression positive continue (PPC), ou en anglais CPAP (pour Continuous Positive Airway Pressure), est un mode d'assistance respiratoire permettant de traiter certains troubles respiratoires. Elle est notamment trÚs couramment utilisée pour traiter le syndrome d'apnée du sommeil (SAS).

CPAP sur enfant.

En 2014, plus de 828 000 patients bĂ©nĂ©ficient en France d’une assistance ventilatoire nocturne en pression positive continue[1].

Elle a Ă©galement transformĂ© la prise en charge de la maladie des membranes hyalines du prĂ©maturĂ© et des formes graves de la tachypnĂ©e transitoire du nouveau-nĂ© en cas d'Ă©chec de la prĂ©vention en Ă©vitant ou en raccourcissant la phase oĂč l'intubation est nĂ©cessaire[2].

Elle constitue le premier niveau de ventilation assistée dans les protocoles de traitement des complications respiratoires de la Covid-19 depuis 2021 améliorant le pronostic et diminuant le recours à l'intubation et à l'utilisation des respirateurs artificiels[3].

Elle fait partie des VNI (ventilations non invasives).

Invention de la ventilation en pression positive continue

En 1973, dans le service de rĂ©animation du professeur Pierre Huguenard (1924-2006) Ă  l'hĂŽpital Henri-Mondor de CrĂ©teil sont hospitalisĂ©s trois des survivants du crash du vol Varig 820, accident dĂ» Ă  un feu en cabine. Chez ces patients, qui prĂ©sentent une hypoxĂ©mie due Ă  une atteinte sĂ©vĂšre des poumons, l’intubation n’est pas indiquĂ©e. Pour leur assurer l'oxygĂ©nation, le docteur Georges Boussignac bricole un casque fait d’un sac en plastique transparent, avec une chambre Ă  air de vĂ©lo d’enfants pour rĂ©aliser l'Ă©tanchĂ©itĂ© autour du cou et des tuyaux immergĂ©s dans un bocal d’eau pour assurer une pression positive, l’étanchĂ©itĂ© des diffĂ©rentes parties Ă©tant obtenue avec du sparadrap. Ce dispositif permet aux trois blessĂ©s de s’en sortir[4] - [5].

Par la suite, le docteur Boussignac parvient Ă  mettre au point un dispositif de ventilation en pression positive continue utilisable dans les hĂŽpitaux, dispositif qui sera produit par le groupe Vygon en 1991. Ce systĂšme sera utilisĂ© dans des situations d’hypoxie non traumatique : le syndrome d'apnĂ©es du sommeil ou chez les patients atteints de la Covid-19 en service de rĂ©animation[6].

Le docteur Boussignac, inventeur prolifique avec plus de 124 brevets, dĂ©veloppera ensuite d’autres systĂšmes comme le tube RCP adaptĂ© Ă  la prise en charge des accidents cardiaques ou le dispositif d’insufflation par flot continu d’oxygĂšne (B-CARD pour Boussignac Cardiac Arrest Resuscitation Device)[4].

RĂŽle

Le traitement par CPAP, avec un masque de ventilation nasal ou bucconasal, permet à la fois de réduire le ronflement et l'apnée du sommeil.

La ventilation en pression positive continue (PPC) maintient ouvertes à tous les stades du cycle respiratoire les voies aériennes supérieures. Elle semble aussi en partie efficace sur les apnées centrales.

L’application d’une PPC dans les voies aĂ©riennes supĂ©rieures empĂȘche le collapsus du pharynx pendant le temps inspiratoire et expiratoire. La PPC agit donc comme une attelle pneumatique pharyngĂ©e et provoque une augmentation de la surface de section pharyngĂ©e. Dans la plupart des cas, le traitement doit ĂȘtre poursuivi pendant des annĂ©es et tout arrĂȘt, dĂšs la premiĂšre nuit, se solde par une rĂ©cidive du SAS.

Il s'agit de traiter des patients qui prĂ©sentent des pauses prolongĂ©es et rĂ©pĂ©tĂ©es de la respiration pendant le sommeil (de dix secondes jusqu'Ă  deux minutes). Ce dĂ©rĂšglement entraĂźne un sommeil incomplet (dĂ» aux micro-rĂ©veils automatiques Ă  chaque apnĂ©e), et donc une fatigue pendant la journĂ©e, et d'autre part, une diminution du taux d'oxygĂšne dans le sang qui peut avoir des effets Ă  long terme (notamment sur le systĂšme cardiaque). Ce syndrome se rencontre principalement dans la population ĂągĂ©e, ainsi que parmi les personnes souffrant de BPCO (bronchopneumopathie chronique obstructive) ou d'obĂ©sitĂ©. Le dispositif est aussi utilisĂ© dans l'OAP (ƓdĂšme aigu du poumon) cardiogĂ©nique si l'oxygĂ©nothĂ©rapie au masque est insuffisante.

Types d'appareil

Appareil complet de ventilation en pression positive continue

La PPC peut ĂȘtre :

  • simple, l'appareil dĂ©livrant le mĂȘme niveau de pression lors des phases inspiratoires et expiratoires et ce durant toute la nuit. L’appareillage se compose d’un gĂ©nĂ©rateur de dĂ©bit d’air, d’un systĂšme de tuyaux Ă  basse rĂ©sistance, d’un dispositif pour rĂ©gler la pression d’air et d’un masque qui s’adapte au nez du patient ;
  • avec relĂąchement de pression Ă  l'expiration (diffĂ©rents modes, propres Ă  chaque fabricant, sont disponibles : A-Flex, C-Flex et P-Flex (Respironics), EPR (ResMed), iSleep 20+ eAdapt (Breas), SoftPAP (Weinmann)) avec une rĂ©duction de pression au dĂ©but de l'expiration afin de rĂ©duire la gĂȘne expiratoire ;
  • auto-pilotĂ©e par adaptation spontanĂ©e aux besoins de pressions au cours de la nuit variables : position de sommeil, stade du sommeil, rĂ©duction d’adaptation en dĂ©but de traitement, mĂ©dicaments ou alcool, etc.
  • Ă  double niveau de pression (S9 VPAP ResMed, BiPAP Respironics, iSleep 25 Breas) avec un appareil dĂ©livrant une pression moindre Ă  l’expiration et plus forte Ă  l'inspiration pour favoriser le confort respiratoire ;
  • Ă  double niveau de pression auto-pilotĂ©e (BiPAP Auto Respironics, S9 Auto 25 ResMed) les 2 pressions Ă©tant automatiquement ajustĂ©es au cours de la nuit selon les besoins du patient ;
  • Ă  trois niveaux de pression auto-pilotĂ©e (SOMNOvent Auto ST Weinmann), les 3 niveaux de pressions sont autopilotĂ©s au cours de la nuit afin de lever d'Ă©ventuelles obstructions et d'assurer une aide inspiratoire efficace en continu. Les 3 niveaux de pressions permettent une ventilation efficace avec des pressions moyennes plus basses de 2,1 hPa qu'une ventilation Ă  2 niveaux de pressions ;
  • Ă  double niveau de pression avec ventilation auto-asservie et aide inspiratoire variable en cas de besoin (S9 AutoSet CS ResMed, BiPAP Auto SV Respironics, SOMNOvent CR Weinmann) pour les patients souffrant d’apnĂ©es centrales et/ou mixtes, de respiration pĂ©riodique et de respiration de Cheyne-Stockes, avec ou sans apnĂ©es obstructives (SAOS).

Il faut prendre en considération le problÚme de la PPC Autopilotée avec les apnées centrales : la montée en pression exige de limiter la pression haute[7].

Cette image montre un cycle PPC sous les conditions de pression et de flux

Caractéristiques des appareils

Ces appareils :

  • dĂ©livrent des pressions de quatre Ă  vingt cm H2O Ă  des dĂ©bits de 20 Ă  60 l min−1 ;
  • pĂšsent de 1 Ă  2 kg ;
  • ont un bruit qui varie de 25 Ă  30 dB ;
  • ont des masques qui sont trĂšs variĂ©s, en silicone ou en gel avec dispositif de maintien : sangle, harnais
 Il faut une « fuite calibrĂ©e » pour Ă©liminer le CO2. Le calibrage des pressions de ventilation se fait au cours d’un deuxiĂšme enregistrement polysomnographique en dĂ©butant en dĂ©but de nuit par des pressions faibles progressivement augmentĂ©es par paliers de quelques minutes pour faire disparaĂźtre les apnĂ©es, les hypopnĂ©es, les « Ă©vĂ©nements respiratoires » et les ronflements.

Cette premiÚre nuit est importante car elle permet parfois un sommeil de qualité, vécu comme réparateur avec régression de la somnolence diurne, elle est un bon critÚre pronostic de compliance à la PPC.

Gestion automatique de la pression

On emploie également le terme de APAP (Automatic Positive Airway Pressure) qui est en fait un mode particulier de fonctionnement de l'appareil APAP (si cette fonctionnalité est présente) et qui permet un réglage automatique de la pression délivrée en fonction des évÚnements détectés par la machine, pour améliorer sensiblement la thérapie (diminution des apnées). Ces appareils sophistiqués permettent également de détecter des hypopnées ainsi que les ronflements, qui peuvent constituer un symptÎme de l'apnée obstructive du sommeil.

Aide au diagnostic

Les appareils CPAP récents (c'est-à-dire à partir de 2009) sont dotés de connecteurs de carte mémoire, servant à sauvegarder les données accumulées par la machine pendant les périodes d'utilisation, et qui permettent aux médecins d'interpréter ces données pour adapter la thérapie de la maniÚre la plus optimale.

Options

Masque de ventilation en pression positive continue

Le systÚme se complÚte par l'utilisation d'un tube et d'un masque (oral, nasal, ou narinaire). De plus en plus souvent un humidificateur (intégré dans l'appareil, ou relié) est utilisé pour améliorer le confort du patient, notamment pour éviter le dessÚchement des voies respiratoires. Mais ce dessÚchement persiste parfois, malgré l'humidificateur.

On note l'existence d'un autre type de machine de respiration utilisée à domicile, les machines « bi-niveaux » (bi-levels), qui délivrent alternativement deux niveaux de pression, un pour la phase d'inspiration et un autre plus faible pour la phase d'expiration. Ils sont habituellement prescrits pour des problÚmes d'apnées centrales (non obstructives) ou d'insuffisance respiratoire. Il existe également des appareils spécifiques à la médecine néo-natale.

Rappels

En juillet 2021, le constructeur Philips a engagĂ© une procĂ©dure de rappel de ses appareils Ă  pression positive continue et ventilateurs d’assistance respiratoire fabriquĂ©s avant le car ils utilisaient une mousse d'insonorisation en polyurĂ©thane Ă  base de polyester (PE-PUR) qui, en prĂ©sence d'humiditĂ©, se dĂ©gradait en composĂ©s organiques volatils parmi lesquels du diĂ©thylĂšne glycol (DEG), des isomĂšres de diaminotoluĂšne (TDA) et des isomĂšres de diisocyanate de toluĂšne (TDI)[8] - [9]. Il ne faut surtout pas interrompre le traitement dont les bĂ©nĂ©fices sont nettement supĂ©rieurs aux dĂ©sagrĂ©ments ou Ă©ventuels risques induits par ces composĂ©s organiques volatils.

Bénéfices

En 1981, le médecin australien Colin Sullivan marque l'entrée dans l'Úre moderne en montrant l'efficacité de la ventilation par pression positive continue, imposant ce traitement comme la référence pour l'apnée du sommeil[10].

Les avantages principaux concernent l’amĂ©lioration de la vigilance diurne et de la qualitĂ© de vie[11] ; de plus certaines Ă©tudes font Ă©tat d’une rĂ©duction de la mortalitĂ© et du nombre d'accidents cardiaques[12], d’une baisse des accidents de la route. L’amĂ©lioration de l’hypertension artĂ©rielle est controversĂ©e semblant modĂ©rĂ©e[13] - [14], voire absent en cas d'apnĂ©e du sommeil sans somnolence diurne[15].

Tolérance

Patient avec ventilation en pression positive continue (PPC)

Le taux initial d’acceptation est de 70 Ă  80 %, avec un maintien Ă  80 % Ă  distance[16] mais avec des durĂ©es d’utilisation variable (modules externes transmettant les donnĂ©es principales - tels que la pression efficace, le nombre d’évĂ©nements par heure de traitement et le nombre d'heure d'utilisation par nuit - pour les appareils rĂ©cents). L’observance dĂ©pend de la prise en charge et de l’information des patients, et en particulier de la gestion des effets secondaires mineurs de la PPC. L'acceptance du patient dĂ©pend de plusieurs facteurs ; elle est liĂ©e[7] :

  • Ă  l’état du patient : sĂ©vĂ©ritĂ© du SAS et de ses corollaires : somnolence, etc.
  • au soignant : la mise en place en structure spĂ©cialisĂ©e, information du patient sur les maladies et risques, importance de l’implication du mĂ©decin prescripteur et du suivi mĂ©dical, Ă©limination des effets secondaires ;
  • au prestataire : importance des premiĂšres visites et de leur frĂ©quence ;
  • Ă  l'acceptation du conjoint mĂȘme s'il semble que malgrĂ© le bruit, les conjoints s'y habituent relativement bien.

Les effets secondaires peuvent ĂȘtre mineurs :

  • irritation cutanĂ©e par un masque inadaptĂ© ;
  • rhinite voire obturation nasale (humidification chauffante) ;
  • conjonctivites causĂ©e par une fuite d'air du masque vers un Ɠil (bruit peu souvent Ă©voquĂ©).

ou plus importants :

Suivi

Il y a deux types de suivi[7] :

  • suivi technique : visite ou appel dĂšs les premiers jours (< 7 jours), puis visites adaptĂ©es Ă  la tolĂ©rance et Ă  la compliance, puis visites au minimum tous les ans ;
  • suivi mĂ©dical :
    • consultation Ă  1 Ă  1,5 mois, puis Ă  3 Ă  6 mois, puis tous les ans. Consultations supplĂ©mentaires sans limite si tolĂ©rance ou compliance problĂ©matiques avec recherche de l'efficacitĂ© clinique, de l'existence d’effets secondaires,
    • enregistrement de contrĂŽle si persistance d’une somnolence ou rĂ©cidive de la symptomatologie, ou si mĂ©tiers Ă  risque (chauffeur professionnel
) ou encore si SAS mixte avec contingent d’apnĂ©e centrale,
    • aprĂšs 1 Ă  2 ans : vĂ©rification de la persistance de l’indication et de l’efficacitĂ© du traitement.

Prise en charge par la sécurité sociale en France

Le coĂ»t est de 840 € par an en 2017. L'assurance maladie le prend en charge Ă  60 %. La prise en charge des patients par l’Assurance Maladie dĂ©pend du respect des indications mĂ©dicales suivantes :

  • lors de l’instauration du traitement[17] :
    • un indice d’apnĂ©es/hypopnĂ©es (IAH) ≄ Ă  30/heure
    ou
    • un indice d’apnĂ©es/hypopnĂ©es (IAH) < Ă  30 avec au moins 10 micro Ă©veils/heure
  • lors du renouvellement du traitement :
    • une observance de 3 heures minimum chaque nuit, sur une pĂ©riode de 24 heures
    et


La SĂ©curitĂ© sociale pense qu'« il y a eu des abus. ». 30 % environ des patients renoncent au traitement Ă  cause des contraintes d'utilisation. Aussi, un arrĂȘtĂ© publiĂ© le [18], stipule que le patient « doit utiliser son appareil Ă  PPC pendant au moins 84 heures et avoir une utilisation effective d'au moins trois heures par 24 heures pendant au moins 20 jours faute de quoi il ne sera plus remboursĂ©[19] ».

Cependant, aprĂšs avoir dans un premier temps suspendu l'arrĂȘtĂ© conditionnant le remboursement des appareils de pression positive continue (PPC) Ă  la bonne observance des patients le , le Conseil d'État a dĂ©finitivement annulĂ© ces arrĂȘtĂ©s le [20] - [21].

En , les rĂšgles de remboursement et d'utilisation changent [22].

Notes et références

  1. « 830.000 Français sous ventilation à cause des apnées du sommeil », sur sante.lefigaro.fr, (consulté le )
  2. Arcangela Lattari Balest, « Syndrome de détresse respiratoire chez le nouveau-né : Maladie des membranes hyalines », sur Le manuel MSD, (consulté le ).
  3. B. Ben Dhia, F. Essafi et al., « Ventilation non invasive chez les patients atteints de pneumonie liée au COVID-19 : faisabilité et impact clinique », sur Elsevier emergency heailth collection, (consulté le ).
  4. Julia Tournet, Entretien #31 : Georges Boussignac, « tout mettre en Ɠuvre pour trouver la solution », SecoursMag, 28 mai 2020. Page consultĂ©e le 6 juin 2020.
  5. Arnaud Thille, Boussignac nous a quitté , SociĂ©tĂ© de RĂ©animation de Langue Française, 4 juin 2020. Page consultĂ©e le 6 juin 2020.
  6. Jacques Hotton, COVID 19 : la CPAP BOUSSIGNAC Âź Ă  l’honneur, Club de l'histoire de l'anesthĂšsie et de la rĂ©animation (CHAR), 18 avril 2020. Page consultĂ©e le 6 juin 2020.
  7. « Présentation sur l'obésité et les troubles du sommeil du professeur Merai », sur www.institutdenutrition.rns.tn (consulté le )
  8. Sommeil et Assistance respiratoire — Informations cliniques
  9. Liste des appareils concernés
  10. MichÚle d'Anielo, Ronflements et apnée du sommeil, c'est fini !, Jouvence, , p. 58.
  11. (en) Giles TL, Lasserson TJ, Smith BH, White J, Wright J, Cates CJ, « Continuous positive airways pressure for obstructive sleep apnoea in adults » Cochrane Database Syst Rev. 2006;3:CD001106 PMID 16437429
  12. Khan SU, Duran CA, Rahman H et al. A metaanalysis of continuous positive airway pressure therapy in prevention of cardiovascular events in patients with obstructive sleep apnoea, European Heart Journal, 218;39:2291–2297
  13. (en) Haentjens P, Van Meerhaeghe A, Moscariello A. et al. « The impact of continuous positive airway pressure on blood pressure in patients with obstructive sleep apnea syndrome » Arch Intern Med. 2007;167:757-764 PMID 17452537
  14. (en) Marin JM, Agusti A, Villar I. et al. « Association between treated and untreated obstructive sleep apnea and risk of hypertension » JAMA 2012;307:joc1200042169-2176 PMID 22618924
  15. (en) Barbé F, Durån-Cantolla J, Sånchez-de-la-Torre M. et al. « Effect of continuous positive airway pressure on the incidence of hypertension and cardiovascular events in nonsleepy patients with obstructive sleep apnea: a randomized controlled trial » JAMA 2012;307:joc1200162161-2168 PMID 22618923
  16. Greenstone M, Hack M, Obstructive sleep apnoea, BMJ, 2014;348:g3745
  17. Ameli.fr
  18. LĂ©giFrance texte intĂ©gral de l'arrĂȘtĂ© du 16 janvier 2013
  19. L'express le l-apnee-du-sommeil-les-patients-en-colere
  20. « Ordonnance du 14 février 2014, Union nationale des associations de santé à domicile et autres », sur www.conseil-etat.fr (consulté le )
  21. « Apnée du sommeil », sur www.conseil-etat.fr (consulté le )
  22. « Sécurité Sociale : Modifications de la prescriptions des PPC », PCSS

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

  • FĂ©dĂ©ration Antadir, ApnĂ©es du sommeil, guide Ă  l'usage des patients et de leur entourage, Montreuil, Bash, , 15 p., brochĂ© (ISBN 978-2-84504-081-6) Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • (en) Nicoline Ambrosino et Roger S. Goldstein, Ventilatory Support for Chronic Respiratory Failure, New York, CRC Press Inc, , 640 p., reliĂ© (ISBN 978-0-8493-8498-1 et 0-8493-8498-2)
  • Emmanuel Weitzenblum et Jean-Louis Racineux, Syndrome d'apnĂ©es obstructives du sommeil, Éditions Masson, , 274 p., brochĂ© (ISBN 978-2-294-01529-8) Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Bernard Fleury et Chantal Hausser-Hauw, Ronflements et apnĂ©es du sommeil, Odile Jacob, , 164 p., poche (ISBN 978-2-7381-1477-8)
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