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Toulonjac

Toulonjac est une commune française située dans le département de l'Aveyron en région Occitanie.

Toulonjac
Toulonjac
Château de Toulonjac.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Aveyron
Arrondissement Villefranche-de-Rouergue
Intercommunalité Ouest Aveyron Communauté
Maire
Mandat
Gilles Ruscassié
2020-2026
Code postal 12200
Code commune 12281
DĂ©mographie
Gentilé Toulonjacois
Population
municipale
745 hab. (2020 en augmentation de 0,95 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 103 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 22′ 57″ nord, 2° 00′ 05″ est
Altitude Min. 288 m
Max. 441 m
Superficie 7,25 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Villefranche-de-Rouergue
(banlieue)
Aire d'attraction Villefranche-de-Rouergue
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Villeneuvois et Villefranchois
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Toulonjac
Liens
Site web https://www.ouestaveyron.fr/
    Clocher-porche de l'Ă©glise de Toulonjac (Aveyron)

    Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le château de Toulonjac, inscrit en 1993 puis classé en 1995.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Commune de l'aire d'attraction de Villefranche-de-Rouergue située dans son unité urbaine au nord-ouest de Villefranche-de-Rouergue.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Sainte-Croix, Saint-RĂ©my, Savignac, Villefranche-de-Rouergue et Villeneuve.

    Hydrographie

    Le ruisseau de Notre-Dame est le principal cours d'eau parcourant la commune.

    Toponymie

    Toulonjac a pour origine Tolomnius, nom d'origine latine. Il s'agit du nom du propriétaire d'une ancienne villa gallo-romaine. Dans ce cas, villa signifie domaine. Tolomnius suivi de acum qui se traduit par : propriété de Tolomnius. Le nom de nombreux villages de la région finissent en "ac" : Savignac, Cénac, Tizac, Rignac, Capdenac, Salvagnac, etc.

    Histoire

    Dans notre région vivaient les Rutènes - latin Ruteni - peuple de la Gaule celtique. Leur territoire s'étendait sensiblement sur les actuels départements du Tarn et de l'Aveyron, délimité par le plateau de l'Aubrac au nord et les confins de la Montagne Noire au sud.

    Les Rutènes exploitèrent un des plus importants centres de production de céramique sigillée, le site de La Graufesenque (Condatomagus), près de Millau.

    Et comme tout le grand sud-ouest, au début du Ve siècle apr. J.-C., la région a été envahie par les Wisigoths, avec l'accord des Romains puis de leur propre autorité. Pendant plus de trois siècles, ils ont durablement imprégné la grande Aquitaine de leur civilisation. Dans le Rouergue, on rencontre des personnes dont le nom de famille se terminent par enc ou ic : ils sont les lointains descendants des Wisigoths.

    Sous le règne des Carolingiens, à partir du IXe siècle, le christianisme a commencé à s'imposer comme religion officielle. Le Rouergue est érigé en Comté.

    L'arrivée des Capétiens provoqua l'abandon de la vieille sénéchaussée de Najac, fidèle à la dynastie des comtes de Toulouse, au profit d'une ville nouvelle : Villefranche de Rouergue. La capitale de la province ne fut transférée à Rodez, plus centrale, qu'à la Révolution.

    Au Moyen-âge, la vie économique et sociale est organisée autour des nombreux monastères et ordres religieux locaux. Et c'est dans ce cadre qu'est construit le Prieuré de Toulonjac, lieu de vie de plusieurs religieux, subordonnés à une très riche abbaye de Moissac (Tarn-et-Garonne). Sous l'ancien régime, les paysans payaient la dîme (impôt versé aux religieux). Le taux était élevé dans le sud-ouest de la France, jusqu'au huitième de la récolte. En règle générale, 1/4 de la dîme revenait à l’évêché et les 3/4 restants à la paroisse. La plupart des terres agricoles de la région appartenaient aux nombreux monastères situés à Villefranche de Rouergue. Et les monastères en percevaient un loyer qui, additionné à la dîme, laissait peu aux paysans.

    La révolte des croquants en 1643 est une des conséquences de la pression fiscale et d’un appauvrissement général :

    En , à la mort de Louis XIII, les paysans du Rouergue, dits les croquants, se soulèvent. Les révoltés menés par Bernard Calmels, dit Lafourque investissent Marcillac, la révolte s'étend, ils sont 1200 ensuite à se rendre à Villefranche-de-Rouergue. Dirigés par le chirurgien Jean Petit et le maçon-aubergiste Guillaume Bras, ils contraignent l'intendant de Charreton à signer deux ordonnances, l'une donnant décharge des tailles de l'année pour tout le Rouergue, l'autre les ramenant au taux de 1618. Forts de cette réussite, les croquants reviennent au cœur de l'été, au nombre de 10 000, mettre le siège devant Villefranche, mais ils sont défaits par le gouverneur de la province. Les meneurs sont arrêtés. Jean Petit et Guillaume Bras sont roués vifs. Bernard Calmels parvient à s'échapper et se replie au château de Najac. Les troupes de Mazarin, menées par le comte de Noailles, gouverneur de Najac, reprennent Najac. Bernard Calmels et deux de ses lieutenants, Ferrier, et le tisserand Mathieu Vergnes, sont arrêtés, condamnés et roués vifs en . La tête de Bernard Calmels sera exposée au bout d'un pic sur une tour de Marcillac d'où était partie la révolte. Jean Petit cacha son testament qui fut retrouvé récemment. Ce document est exposé aujourd'hui dans le musée de Villefranche-de-Rouergue.

    DĂ©mographie

    Le tableau ci-dessous, relatif à la démographie, présente une curieuse baisse de population entre 1846 et 1851. Le , le gouvernement placé sous la présidence de Louis-Napoléon Bonaparte (neveu de Napoléon 1er), président de la République, promulgue une loi qui rétrécit la commune de Toulonjac et érige la partie ainsi amputée en commune de Savignac. En échange, Villefranche de Rouergue perd les enclaves de Marmiesse et de La Mathébie qui sont rattachées à la commune de Toulonjac.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Mandats Maires Étiquette Profession
    1983 Jean-Louis Alcouffe SE
    en cours Gilles Ruscassié SE Professeur de technologie

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[1]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[2].

    En 2020, la commune comptait 745 habitants[Note 1], en augmentation de 0,95 % par rapport Ă  2014 (Aveyron : +0,33 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2163721 2451 3351 2921 2951 2631 292492
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    452451452485465401381403361
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    345341329330305295301239257
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    237328442531668642691705735
    2018 2020 - - - - - - -
    745745-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[3] puis Insee Ă  partir de 2006[4].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018 (donnĂ©es Insee publiĂ©es en ), la commune compte 308 mĂ©nages fiscaux[Note 2], regroupant 733 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 22 870 â‚¬[I 1] (20 640 â‚¬ dans le dĂ©partement[I 2]).

    Emploi

    Taux de chĂ´mage
    Division200820132018
    Commune[I 3]3,4 %5,5 %5,6 %
    DĂ©partement[I 4]5,4 %7,1 %7,1 %
    France entière[I 5]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lève Ă  462 personnes, parmi lesquelles on compte 77,9 % d'actifs (72,3 % ayant un emploi et 5,6 % de chĂ´meurs) et 22,1 % d'inactifs[Note 3] - [I 3]. Depuis 2008, le taux de chĂ´mage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Villefranche-de-Rouergue, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂ´le[Carte 1] - [I 6]. Elle compte 74 emplois en 2018, contre 80 en 2013 et 93 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 341, soit un indicateur de concentration d'emploi de 21,7 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 58,8 %[I 7].

    Sur ces 341 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 46 travaillent dans la commune, soit 14 % des habitants[I 8]. Pour se rendre au travail, 92,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,9 % les transports en commun, 2,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 9].

    Activités hors agriculture

    38 établissements[Note 4] sont implantés à Toulonjac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 5] - [I 10].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble38100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    513,2 %(17,7 %)
    Construction615,8 %(13 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    615,8 %(27,5 %)
    Information et communication12,6 %(1,5 %)
    Activités financières et d'assurance12,6 %(3,4 %)
    Activités immobilières25,3 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    513,2 %(12,4 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    821,1 %(12,7 %)
    Autres activités de services410,5 %(7,8 %)

    Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santĂ© humaine et l'action sociale est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 21,1 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (8 sur les 38 entreprises implantĂ©es Ă  Toulonjac), contre 12,7 % au niveau dĂ©partemental[I 11].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations2211108
    SAU[Note 6] (ha)613544549405

    La commune est dans le Bas Quercy, une petite région agricole occupant l'extrême-ouest du département de l'Aveyron[5]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 7] sur la commune est l'élevage de bovins, pour la viande[Carte 2]. Huit exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 8] (22 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 405 ha[7] - [Carte 3] - [Carte 4].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monument

    Au premier plan, l'église Saint-Michel, entourée du vieux village.
    Écartelé: au 1er d'argent au faucon de sable tenant un rameau d'olivier, au 2e d'argent à la vache d'Aubrac, au 3e de gueules au lion d'or, au 4e de gueules à la croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d'or; au chef d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or.

    L'Ă©glise Saint-Michel

    Église Saint-Michel de Toulonjac. Le clocher, comme celui de La Bastide l'Évêque, aurait été copié sur celui de la collégiale de Villefranche. L'évêque de Rodez, venu à Toulonjac, a demandé que l'on construise un auvent à l'entrée de l'église pour accueillir les enfants que l'on venait présenter au baptême.

    Les armoiries qui figurent à la clef de voûte de l’auvent étant celles de Valette-Toulonjac, il peut en découler que la construction du clocher a été réalisée après 1500. À la fin du XIXe siècle, Vincent Cibiel, député de Villefranche et généreux mécène, a financé la restauration de l’église et permis de mettre en valeur les belles nervures de ses arceaux de la voûte.

    Dans les années 1970-1972, des paroissiens volontaires firent tomber le crépi grossier qui recouvrait les murs du chœur, de la nef et des chapelles. Dès le seuil franchi, beaucoup de visiteurs sont étonnés de trouver une voûte si basse. Les récents travaux effectués (pose du chauffage en et restauration des murs en ...) permettent d'en donner une certaine explication : l'église a dû connaître, à une certaine époque, sans doute la guerre de Cent Ans, un terrible incendie. Celui-ci provoqua la chute du plafond et d'une bonne partie des murs.

    Les murs décrépis ont laissé apparaître du côté gauche en entrant des pierres rougies par les flammes. De plus lors de la pose des buses du chauffage, en retirant les dalles pour creuser une tranchée de 1,60m, on s'est aperçu qu'au-dessous, il n'y avait que du déblai et même au milieu de celui-ci on a retrouvé tout un amalgame de bronze fondu, prouvant l'intensité du brasier et provenant sans doute des cloches. On a découvert à cette profondeur des traces d'un dallage {carreaux de terre cuite de 20 x 21 x 7 ou de 23 x 23 x 6). Côté droit, on remarque les signes à moitié enterrés d'une ancienne ouverture.

    À la suite de ces découvertes, on peut supposer que l'église actuelle a été rebâtie sur l'ancienne en utilisant les pans de mur et les fondations qui restaient. En s'arrêtant à hauteur des chapelles, on remarque une autre transformation : l'église a été agrandie. Primitivement, elle se terminait à hauteur des marches du chœur actuel. L'autel se trouvait à l'emplacement de la bouche du chauffage et était éclairé par deux baies romanes en partie murées. En examinant les murs, on remarque la jonction de l'ancienne église avec le chœur actuel. Ce dernier a été diminué de trois mètres lors de la restauration. Les chapelles ont été voûtées avant l'église qui ne comportait qu'un plafond. Ces chapelles ont été construites bien après l'église primitive, souvent par des seigneurs ou des paroissiens fortunés.

    Les statues de la Vierge et de saint Jean

    Les statues de la Vierge des Douleurs et de saint Jean, après avoir longtemps séjourné sous le porche de l'église, ont été placées dans leur niche respective au mois d'octobre de l'année 1691, de part et d'autre du vitrail central. À cette époque, les paroissiens estimaient que ces statues, placées sous le porche, attiraient la grêle. Lors de la restauration de l'église, elles ont été placées sur les colonnes à l'entrée du chœur en .

    « La Vierge des Douleurs du XVIIe siècle est enveloppée du grand manteau qui recouvre sa tête et s'étale en larges plis sur le sol. Cette statue est classée au titre des monuments historiques depuis le . Logo monument historique Inscrit MH (1988). Saint Jean, debout, pieds nus, tient ses mains croisées avec une douleur résignée. Le visage, affadi par une restauration, a retrouvé ses cheveux ». Cette statue de la fin du XVe siècle, est classée au titre objet des monuments historiques depuis le Logo monument historique Inscrit MH (1942).

    Ces deux statues ont été restaurées en 1961, à l’occasion de l'exposition de Montauban. «Trésors d'Art Gothique »

    Château de Toulonjac

    Château du XVe siècle dont les façades et toitures, l'escalier à vis Logo monument historique Inscrit MH (1993)[8], ainsi que le salon du premier étage et ses papiers peints de 1840 sont Logo monument historique Inscrit MH (1995)[8].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (prĂ©f. Claude Penel), Vilafranca : Marcièl, Morlhon, La Roqueta, Savinhac, Tolonjac, Valhorlhas / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Vilafranca, Rodez, Mission dĂ©partementale de la culture, coll. « Al canton », , 475 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-55-6, ISSN 1151-8375, BNF 38977243)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    2. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    3. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    4. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    5. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    6. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    7. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    8. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[6].
    • Cartes
    1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    2. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

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