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Stephen Dill Lee

Stephen Dill Lee () est un soldat amĂ©ricain, et le plus jeune lieutenant gĂ©nĂ©ral confĂ©dĂ©rĂ© de la guerre de SĂ©cession (sans relation avec Robert E. Lee).

Officier de l'armĂ©e rĂ©gulière U.S., Lee dĂ©missionne rapidement après la sĂ©cession, pour rejoindre la milice de Caroline du Sud, et pour lancer la demande historique Ă  l'Union d'Ă©vacuer le Fort Sumter, qui signe le dĂ©but de la guerre. Après avoir servi lors de la bataille des sept jours, la seconde bataille de Bull Run et Ă  Antietam, il devient le chef de l'artillerie de John C. Pemberton lors de la campagne de Vicksburg, oĂą il se distingue Ă  Champion Hill. CapturĂ© et Ă©changĂ©, Lee sert Ă  Atlanta et lors de la campagne ratĂ©e de Franklin-Nashville, et finalement lors de la reddition avec Joseph E. Johnston en Caroline du Nord en . Il est plus tard le commandant en chef des United Confederate Veterans.

Biographie

Jeunesse et carrière

Lee est nĂ© en 1833 Ă  Charleston, Caroline du Sud, de Thomas Lee et de sa femme Caroline Allison[1]. Il grandit Ă  Abbeville, Caroline du Sud. Il est vraisemblablement volontaire pour servir avec l'armĂ©e pendant la guerre amĂ©ricano-mexicaine[2]. Lee entre Ă  l'acadĂ©mie militaire de West Point en 1850, et est diplĂ´mĂ© quatre ans plus tard Ă  la 17e place sur 46 cadets[note 1]. Le , il est promu second lieutenant dans le 4th Infantry Regiment. Lee est promu premier lieutenant le . Il est affectĂ© en tant qu quartier-maĂ®tre du 4th Regiment entre le et le [2].

Lee sert en tant qu'adjudant de Floride tout en assurant les fonctions de quartier-maître de son régiment en 1857 lors des guerres séminoles. De 1858 à 1861, il est affecté dans l'ouest américain, dans le Kansas et puis dans le nouvellement créé territoire du Dakota[1]. Lee démissionne de l'armée des États-Unis douze jours après la sécession pour entrer dans l'armée confédérée[3].

Guerre de SĂ©cession

Après sa dĂ©mission de l'armĂ©e des États-Unis en 1861, Lee entre dans les forces confĂ©dĂ©rĂ©es en tant que capitaine dans la milice de Caroline du Sud. Contrairement avec beaucoup d'officiers confĂ©dĂ©rĂ©s appelĂ©s Lee, il n'a aucune relation avec  Robert E. Lee.

Le , il est affectĂ© en tant qu'adjoint Ă  l'adjudant gĂ©nĂ©ral et adjoint Ă  l'inspecteur gĂ©nĂ©ral des forces Ă  Charleston, et le il est nommĂ© capitaine des l'artillerie de l'armĂ©e rĂ©gulière de la ConfĂ©dĂ©ration. Le , Lee dĂ©bute en tant qu'aide-de-camp du brigadier gĂ©nĂ©ral P.G.T. Beauregard[2]. Ce mĂŞme jour, il livre l'ultimatum de Beauregard au commandant de l'Union Robert Anderson, requĂ©rant l'Ă©vacuation du Fort Sumter, qui a Ă©tĂ© refusĂ© et qui a dĂ©cidĂ© du dĂ©but de la guerre de SĂ©cession après la chute du fort Ă  l'issue du bombardement le [1]. Selon Carl Sandburg (Abraham Lincoln, vol. 3, p. 208–9), le capitaine Lee et trois autres hommes avec les pleins pouvoirs de Beauregard pour dĂ©cider de ce qui devait ĂŞtre rĂ©pondu Ă  Anderson s'il avait dit qu'il serait mort de faim dans quelques jours. Anderson aurait  offert « d'Ă©vacuer le Fort Sumter en 3 jours et d'Ă©viter une effusion de sang inutiles ». Ils auraient ramenĂ© la rĂ©ponse d'Anderson Ă  Beauregard, tĂ©lĂ©graphiĂ© Ă  Jefferson Davis pour voir s'ils pouvaient attendre trois jours de plus pour voir si Anderson se rendait lorsqu'il n'aurait plus de nourriture. Il semble pratiquement certain que les quatre hommes avaient dĂ©cidĂ© avant leur venue de que qu'ils pouvaient dire, qui Ă©tait : « Beauregard ouvrira le feu sur fort Sumter dans une heure Ă  compter de maintenant ». Ce n'est probablement pas, comme il semble ĂŞtre, la dernière opportunitĂ© d'Ă©viter la guerre parce que « Sumter Ă©tait un symbole, un chiffon rouge ». Il Ă©tait « agitĂ© » par Lincoln et le Sud Ă©tait dĂ©sireux de relever le dĂ©fi (ibid, p. 206). Sandburg  appelle cette guerre la « seconde rĂ©volution amĂ©ricaine »(ibid, p. vii, p. 26). Quand Beauregard reçoit la permission d'organiser deux compagnies rĂ©gulières d'artillerie le , Lee est affectĂ© au commandement d'une d'entre elles (l'autre revient au capitaine Charles S. Winder.) La compagnie de Lee est affectĂ©e Ă  Castle Pinckney jusqu'au , lorsqu'elle est envoyĂ©e Ă  Fort Palmetto sur Cole's Island, oĂą elle arrive le [4].

Vue d'ensemble de la bataille d'Antietam

En , Lee reprend son poste dans la milice de Caroline du Sud, et est promu commandant de l'armĂ©e de la ConfĂ©dĂ©ration en novembre[2]. Lee commande une batterie lĂ©gère dans la Hampton's Legion au sein de l'armĂ©e du gĂ©nĂ©ral Joseph E. Johnston plus tard en 1861. Il est promu lieutenant-colonel en , et est le chef de l'artillerie de la division du major gĂ©nĂ©ral Lafayette McLaws de l'armĂ©e de Virginie du Nord entre avril et le , et puis prend les mĂŞmes fonctions sous le commandement du brigadier gĂ©nĂ©ral John B. Magruder jusqu'en juillet[2].

Lee participe en 1862 Ă  la campagne de la PĂ©ninsule, particulièrement lors de la bataille de Seven Pines le et le , la bataille de Savage's Station le , pendant la bataille des sept jours du au , et la bataille de Malvern Hill aussi le [5]. Il sert brièvement dans le 4th Virginia Cavalry en , et est promu colonel le . Il assure alors le commandement d'un bataillon d'artillerie du corps du major gĂ©nĂ©ral James Longstreet le mĂŞme mois[2]. Sous les ordres de Longstreet, Lee participe Ă  la seconde bataille de Bull Run en aoĂ»t et puis Ă  la bataille d'Antietam le , oĂą ses canons jouent un rĂ´le dĂ©terminant lors de la dĂ©fense du terrain près de la cĂ©lèbre Dunker Church[6]. Un rĂ©sumĂ© de la participation de Lee Ă  Antietam est donnĂ© ci-après :

« ...il se déploie en retard le sur la rive droite de l'Antietam. Il répond aux batteries fédérales de l'autre côté de la rivière le quand les combats deviennent plus intenses alors que le couché du soleil approche. Le matin du , il place ses batteries sur des hauteurs près de Dunkard Church, et est lourdement engagé par les assauts des I egt XII corps fédéraux au travers du champ de blé et des bois à l'ouest. Vers 10 heures du matin, il reçoit l'ordre, à proximité de Sharpsburg, face à Burnside, de progresser à partir de Lower Bridge, et est engagé furieusement à cet endroit. »

Le , Lee est promu au rang de brigadier gĂ©nĂ©ral[7]. Quittant l'arme de l'artillerie, Lee commande brièvement une division d'infanterie pendant la bataille de Chickasaw Bayou[note 2] du au , oĂą il repousse  les attaques du major gĂ©nĂ©ral de l'Union William T. Sherman[8]. Au dĂ©but du mois de , il commande une brigade du dĂ©partement du Mississippi et de la Louisiane orientale jusqu'en mai, oĂą on lui demande de reprendre le commandement de l'artillerie du lieutenant gĂ©nĂ©ral John C. Pemberton qui dĂ©fend l'accès au fleuve Mississippi Ă  Vicksburg. La participation de Lee Ă  la bataille de Champion Hill est remarquĂ©e le , oĂą il est blessĂ© Ă  l'Ă©paule[2]. L'historien militaire Jon L. Wakelyn loue la performance de Lee lors de cette bataille, Ă©crivant « qu'il a Ă©tĂ© le hĂ©ros de la bataille de Champion Hills »[1].

Lee sert tout au long du siège de Vicksburg de 1863 jusqu'Ă  la reddition de Pemberton auprès du major gĂ©nĂ©ral Ulysses S. Grant le , devenant un prisonnier de guerre. Alors qu'il est libĂ©rĂ© sur parole, il est promu au grade de major gĂ©nĂ©ral le [9]. Ă€ compter du , Lee est affectĂ© au commandement de la cavalerie du dĂ©partement du Mississippi et de Louisiane orientale, et il est officiellement Ă©changĂ© le . Il prend alors le commandement du dĂ©partement de l'Alabama et de Louisiane orientale le [2]. Les troupes du dĂ©partement de Lee sous le commandement du major gĂ©nĂ©ral Nathan B. Forrest remportent une victoire Ă  la bataille de Brice's Crossroads le et menacent sĂ©rieusement les lignes de ravitaillement de l'Union qui soutiennent Sherman en GĂ©orgie. Lee renforce personnellement Forrest mais la force confĂ©dĂ©rĂ©e conjointe est dĂ©faite Ă  la bataille de Tupelo, garantissant la viabilitĂ© des lignes de ravitaillement de Sherman.

Lee est promu lieutenant gĂ©nĂ©ral le , faisant de Lee le plus jeune dans ce grade dans l'armĂ©e de la ConfĂ©dĂ©ration[10]. Le , il est affectĂ© au commandement du deuxième corps de l'armĂ©e du Tennessee, commandĂ©e par John B. Hood. Pendant la campagne d'Atlanta, Lee combat Ă  la bataille d'Ezra Church le et commande la ligne Ă©tendue dans le sud ouest d'Atlanta en . Ses troupes avec le rattachement de la division de William B. Bates et d'une brigade de la milice de GĂ©orgie contrent le mouvement de Schofield qui vise Ă  dĂ©truire la ligne de chemin de fer d'East Point Ă  Utoy Creek. Pour cette action, il publie un ordre gĂ©nĂ©ral qui reconnait la division de Bates pour avoir dĂ©fait l'attaque conjointe des XXIII et XIV corps de l'Union. Il commande aussi son corps lors de la bataille de Jonesborough les et . Lee participe Ă  la campagne de Franklin-Nashville et est sĂ©vèrement blessĂ© au pied lors de la bataille de Spring Hill le , mais il n'abandonne pas son commandement jusqu'Ă  ce qu'une arrière-garde organisĂ©e prenne le contrĂ´le de la situation[2]. Au regard du combat confus et dĂ©cevant Ă  Spring Hill, Lee le considère comme « l'un des Ă©vĂ©nements des plus honteux et lamentables de la guerre, un de ceux qui est, selon moi, impardonnable »[11]. Il participe ensuite Ă  la bataille de Franklin le . Les hommes de Lee arrivent Ă  16 heures avec l'ordre de Hood de soutenir la force de Benjamin F. Cheatham si nĂ©cessaire. Après une discussion avec Cheatham, Lee dĂ©cide que la situation est dĂ©sespĂ©rĂ©e et attaque Ă  21 heures, subissant des pertes sĂ©rieuses de la part des positions de l'Union mais aussi de l'artillerie confĂ©dĂ©rĂ©e[12].  Après la bataille de Nashville des 15 et , Lee maintient ses troupes groupĂ©es et bien en main malgrĂ© la dĂ©route gĂ©nĂ©rale du reste des forces confĂ©dĂ©rĂ©es. Pendant trois jours consĂ©cutifs, elles forment l'arrière-garde combattante du reste dĂ©sintĂ©grĂ© de l'armĂ©e du Tennessee. Lee est blessĂ© au pied par un Ă©clat d'obus le [1].

Lee après la guerre

Après avoir recouvrĂ© la santĂ©, Lee rejoint le gĂ©nĂ©ral Joseph E. Johnston en 1865 lors de la campagne des Carolines. Le , il se marie avec Regina Harrison, avec qui il aura un enfant[1], un fils nommĂ© Blewett Harrison Lee[13]. Quand les restes de l'armĂ©e du Tennessee rejoignent l'armĂ©e de Johnston rĂ©organisĂ©e au dĂ©but de 1865, Lee est sans commandement Ă  la hauteur de son rang, et sa commission de lieutenant gĂ©nĂ©ral est annulĂ©e le ; nĂ©anmoins, il est nommĂ© « lieutenant gĂ©nĂ©ral Ă  titre temporaire ». Lee se rend, Ă  ce grade, avec les forces de Johnston en et est libĂ©rĂ© sur parole le [2].

Après la guerre

Après la guerre, Lee s'établit à Columbus, Mississippi, qui est l'État d'origine de sa femme et pendant une grande partie de la guerre le territoire qu'il commandait, et il s'installe en tant que planteur. Il sert en tant que sénateur de l'État en 1878, et est le premier président de « Agricultural and Mechanical College of Mississippi » (de nos jours l'université de l'État du Mississippi) de 1880 à 1899. Lee sert en tant que délégué de l'État à la convention constitutionnelle de 1890, et est à la tête de l'association du parc national de Vicksburg en 1899. Il est aussi un membre actif (il est à partir de 1909 commandant en chef) de la société des vétérans confédérés unis (United Confederate Veterans)[14].

En 1887, Lee écrit un article pour le premier volume de « Battles and Leaders of the Civil War »[15], et il publie « Sherman's Meridian Expedition and Sooy Smith's Raid to West Point » en 1880. Lee meurt en 1908 à Vicksburg, Mississippi, et est enterré dans le Friendship Cemetery situé à Columbus[2] - [16]. Il était tombé malade après avoir fait une conférence à d'anciens soldats de l'Union du Wisconsin et de l'Iowa, appartenant à quatre régiments qui lui avaient fait face 45 ans plus tôt à Vicksburg. La cause de sa mort a été attribuée à une hémorragie cérébrale. À l'époque, Lee avait planifié la prochaine réunion des United Confederate Veterans, qui s'est tenue le [17].

MĂ©moire

Lee (à gauche) pendant la marche de la réunion des vétérans confédérés

Se fondant sur la connaissance de Lee à propos des trois armes majeure des armées de l'époque de la guerre de Sécession, l'historien militaire Ezra J. Warner le décrit comme un commandant de corps compétent et polyvalent, disant « malgré sa jeunesse et comparativement à son manque d'expérience, la connaissance antérieure des trois banches du service - artillerie, cavalerie, et infanterie - ont fait de lui l'un des commandants de corps les plus compétents de l'armée »[18].

Lee est aussi immortalisĂ© avec une statue dans le parc militaire national Vicksburg, et des bustes dans le centre de Drill Field Ă  l'universitĂ© d'État du Mississippi[19] et dans le Friendship Cemetery Ă  Columbus[20] - [21] - [22]. Le Lee Hall dans l'universitĂ© d'État du Mississippi est aussi nommĂ© en son honneur[23]. Le camp No 545 lieutenant gĂ©nĂ©ral Stephen D. Lee des Sons of Confederate Veterans Ă  Vicksburg, le camp No. 2140 des Caledonia Rifles de Stephen D. Lee Ă  Caledonia and le chapitre No. 301 capitaine Stephen D. Lee du Military Order of the Stars and Bars Ă  Charleston, Caroline du Sud, sont nommĂ©s en son honneur[24] - [25].

Le , lors d'un discours à la Nouvelle Orléans, Lee prononça ces mots :

« Pour vous, les enfants des vĂ©tĂ©rans confĂ©dĂ©rĂ©s, nous engagerons la justification de la cause pour laquelle nous avons combattu. La dĂ©fense de la mĂ©moire du soldat confĂ©dĂ©rĂ©, la garde de son histoire, l'Ă©mulation de ses vertus, la perpĂ©tuation de ces principes qu'il a aimĂ©s et que vous aimez aussi et de ces idĂ©aux qui l'ont rendu glorieux et que vous chĂ©rissez aussi, sont lĂ©guĂ©es Ă  vos soins »

Voir aussi

Bibliographie

  • Dupuy, Trevor N., Curt Johnson, and David L. Bongard. The Harper Encyclopedia of Military Biography. New York: HarperCollins, 1992. (ISBN 978-0-06-270015-5).
  • Eicher, John H., and David J. Eicher. Civil War High Commands. Stanford, CA: Stanford University Press, 2001. (ISBN 0-8047-3641-3).
  • Garrison, Webb. Strange Battles of the Civil War. Nashville, TN: Cumberland House, 2001. (ISBN 1-58182-226-X).
  • Johnson, Robert Underwood, and Clarence C. Buel, eds. Battles and Leaders of the Civil War. 4 vols. New York: Century Co., 1884-1888. OCLC 2048818.
  • Wakelyn, Jon L. Biographical Dictionary of the Confederacy. Westport, CT: Greenwood Press, 1977. (ISBN 0-8371-6124-X).
  • Warner, Ezra J. Generals in Gray: Lives of the Confederate Commanders. Baton Rouge: Louisiana State University Press, 1959. (ISBN 0-8071-0823-5).
  • Weinert, Richard P., Jr. The Confederate Regular Army. Shippensburg, PA: White Mane Publishing, 1991. (ISBN 0-942597-27-3).
  • Winkler, H. Donald. Civil War Goats and Scapegoats. Nashville, TN: Cumberland House Publishing, 2008. (ISBN 1-58182-631-1).
  • Wright, Marcus J., General Officers of the Confederate Army: Officers of the Executive Departments of the Confederate States, Members of the Confederate Congress by States. Mattituck, NY: J. M. Carroll & Co., 1983. (ISBN 0-8488-0009-5). First published 1911 by Neale Publishing Co.
  • nytimes.com New York Times newspaper obituary for Lee, May 29, 1908.
  • genbarksdale.org General William Barksdale Camp 1220 site biography of Lee.
  • aotw.org Antietam on the Web site biography of Lee.
  • Chisholm, Hugh, ed. (1911)."Lee, Stephen Dill". Encyclopædia Britannica (11th ed.). Cambridge University Press.
  • Hattaway, Herman. General Stephen D. Lee. Jackson: University Press of Mississippi, 1976. (ISBN 0-87805-376-X).

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Il est de la même promotion que les futurs généraux Henry Larcom Abbot, Benjamin F. Davis, Oliver Otis Howard,Thomas Howard Ruger, Stephen Hinsdale Weed et James Deshler, Archibald Gracie, Jr., George Washington Custis Lee, John Pegram, William Dorsey Pender, James Ewell Brown Stuart, John Bordenave Villepigue. Les cinq premiers dans les rangs de l'Union et les sept derniers dans ceux confédérés. Par ailleurs, il est de la même promotion que le premier officier issu de West Point mort au combat lors de la guerre de Sécession : John Trout Greble.
  2. Ordre de bataille confédéré de Chickasaw Bayou

Références

  1. Wakelyn, 282.
  2. Eicher, p. 345.
  3. Warner, 183.
  4. Weinert, p. 83-4.
  5. Dupuy, p. 432; Wakelyn, p. 282; Warner, p. 183.
  6. Wakelyn, p. 282. "...serving with distinction as artillery commander at Sharpsburg.
  7. Wright, p. 98.
  8. Dupuy, p. 432; Wakelyn, p. 282.
  9. Eicher, p. 345; Wakelyn, p. 282.
  10. Warner, p. 183; Eicher, p. 345.
  11. Winker, p. 332.
  12. Garrison, p. 293-4.
  13. "General William Barksdale Camp 1220 site biography of Lee". genbarksdale.org.
  14. Wakelyn, p. 282; Eicher, p. 345; Warner, p. 184.
  15. Johnson, p. 74-81.
  16. (en) Alan Brown, Ghosts of Mississippi's Golden Triangle., Arcadia Publishing Inc, , 131 p. (ISBN 978-1-4396-5759-1 et 1439657599, OCLC 969001454, lire en ligne)
  17. "New York Times newspaper obituary for Lee" (PDF). nytimes.com.
  18. Warner, 184.
  19. "Foggy Morning by Megan Bean".
  20. "Hall of Fame: Stephen D. Lee".
  21. "Stephen Dill Lee Bust; At Friendship Cemetery in Columbus MS".
  22. "Stephen Dill Lee Photos at Find A Grave".
  23. "Landmark buildings at Mississippi State: Lee Hall".
  24. http://www.mississippiscv.org/map.html
  25. « Military Order of the Stars and Bars », sur militaryorderofthestarsandbars.org (consulté le ).
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