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Sport en IsĂšre

Le sport en IsÚre tient une place essentielle dans la vie des habitants du département comme le montre le nombre de personnes licenciées dans les quelque 3 000 clubs isérois. Plusieurs facteurs peuvent expliquer ce phénomÚne : une tradition sportive ancienne, un rÎle prépondérant dans l'organisation du sport moderne, surtout en matiÚre de glisse, une grande variété de disciplines pratiquées à haut niveau, et une politique sportive au niveau du département contribuent donc à expliquer que prÚs de 15 % de la population iséroise est licenciée dans au moins une Fédération sportive alors que la moyenne nationale est de 14,2 %. Cette politique sportive du département s'appuie aussi sur l'équipement des associations et des communes afin d'aider et de conditionner le développement de l'activité sportive.

IsĂšre
Description de l'image GF38-CLERMONT001.jpg.
Comité olympique CDOS IsÚre
Clubs 3 000 (2007)[1]
Licenciés 245 000 (2007)[2]

Histoire

Peloton du Critérium du Dauphiné Libéré à Allemont

Le dĂ©partement de l’IsĂšre fort de son relief fut un terrain propice Ă  la naissance des sports d’hiver et c’est ainsi qu’en 1878 Henri Duhamel, qui Ă©tait un alpiniste accompli, revint dans le dĂ©partement aprĂšs ĂȘtre allĂ© visiter l’exposition universelle de Paris. Il y dĂ©couvrit « les patins Ă  neige » prĂ©sentĂ©s par un NorvĂ©gien et d'aprĂšs ses dires la mĂȘme annĂ©e il dĂ©vala, grĂące Ă  ses patins, les pentes de Chamrousse faisant de lui un des prĂ©curseurs du ski alpin en France et ouvrant la porte des sports d’hiver.

Mais les sports de glisse ne sont pas les seuls Ă  arriver en cette fin du XIXe siĂšcle en IsĂšre et c’est en 1892, annĂ©e du premier Championnat de France de rugby, que l’IsĂšre vit la naissance d’un de ces premiers clubs de sport collectif, ancĂȘtre du Football Club Grenoble Rugby via l’association athlĂ©tique du LycĂ©e, crĂ©Ă©e sous l'impulsion de jeunes gens du LycĂ©e Champollion. D'autres associations voient ensuite le jour : le Cercle sportif (1896), puis le Stade grenoblois (1897, par d’anciens lycĂ©ens) qui domina notamment le rugby de la rĂ©gion et qui, peu aprĂšs, participa Ă  la fondation du comitĂ© des Alpes. L’annĂ©e 1897 fit aussi apparaĂźtre le rugby sur les terres berjaliennes grĂące Ă  un nommĂ© Fischer, jeune fils d’un notaire, de retour d’Angleterre, qui proposa quelques parties Ă  ses condisciples du collĂšge de la ville mais ce n’est qu’en 1906 que fut dĂ©clarĂ© officiellement le « Club Sportif Bergusien ».

La capitale des Alpes connut aussi dans les annĂ©es 1890 la naissance d'un autre de ses plus anciens clubs, qu'est l'Aviron grenoblois. FondĂ© en 1893 par quelques amateurs de sports nautiques, il ne comptait Ă  son dĂ©part que deux yoles de mer d'occasion qui restĂšrent en activitĂ© dans le club jusqu'en 1919. À partir de cette date Paul Feltrin, industriel lyonnais, s'occupa de l'entraĂźnement et organisa une tombola qui finança l'amĂ©lioration des infrastructures de l'aviron grenoblois. Du dĂ©part de Feltrin en 1930 jusqu'Ă  1932 le club fut mal gĂ©rĂ©, mais il fut repris en main par Raoul Civet, avocat, qui amĂ©liora la gestion mais mourut en 1939 dans un accident. Interrompue par la guerre, l'activitĂ© reprit en 1941. Georges Rozier, ingĂ©nieur au service des Ponts-et-ChaussĂ©es entreprit la modernisation du club, mais ne parvint pas Ă  accroĂźtre les effectifs. Le club dĂ©cida alors de se doter d'un directeur sportif et choisit Robert Forney en 1955. Son arrivĂ©e entraĂźna l'augmentation du niveau sportif et les premiers succĂšs. En 1959 le club remporta la coupe des provinces françaises. Entre 1997 et 2002, l'aviron grenoblois termina premier du classement gĂ©nĂ©ral français et du classement fĂ©minin. Depuis il continue Ă  se maintenir parmi les meilleurs clubs français.

L’épopĂ©e des sports d’hiver continua en [3] avec Charles Rossat (menuisier) qui installa au col de Porte le premier « monte-pente pour skieurs » de la rĂ©gion. ParallĂšlement, Jean Pomagalski (ingĂ©nieur et entrepreneur d'origine polonaise), mit en service son premier tĂ©lĂ©ski Ă  perches Ă  L'Alpe d'Huez. La station de Chamrousse construite aprĂšs la seconde guerre mondiale Ă  l'initiative du dĂ©partement de l'IsĂšre, a ainsi pu profiter de ces nouvelles technologies, la station se limitait au dĂ©part au Recoin puis lors des jeux olympiques d'hiver de 1968 Ă  Grenoble la station fut Ă©tendue au site de Roche-BĂ©ranger.

L'année 1947, annonce la création du Critérium du Dauphiné libéré, course cycliste par étapes créée par Georges Cazeneuve qui est de nos jours considérée par les coureurs comme une préparation au Tour de France du fait de son déroulement au mois de juin sur une semaine, précédant le Grande Boucle de quelques semaines, et de sa difficulté liée au parcours montagneux et l'accession de grands cols et d'arrivées en altitude. Quelques-uns des plus grands noms du cyclisme ont inscrit leurs noms au palmarÚs de cette épreuve: Louison Bobet, Jacques Anquetil, Raymond Poulidor, Luis Ocaña, Eddy Merckx, Bernard Thévenet, Bernard Hinault, Luis Herrera, Charly Mottet, Miguel Indurain et plus récemment Alexandre Vinokourov, Alejandro Valverde et Lance Armstrong.

Les Xe Jeux olympiques d'hiver ont eu lieu Ă  Grenoble entre le 6 et le . C'Ă©tait la deuxiĂšme fois que la France accueillait cet Ă©vĂšnement aprĂšs les Jeux olympiques d'hiver de 1924 de Chamonix. Ces jeux de 1968 virent quelques nouveautĂ©s ; ainsi apparut pour cette occasion la premiĂšre mascotte de l'histoire des Jeux avec Schuss le skieur, bien que non officiel. L'idĂ©e sera ensuite reprise par la suite pour chaque Jeux olympiques. Les J.O. de Grenoble seront aussi l'occasion d'innover cĂŽtĂ© mĂ©dia, avec pour la premiĂšre fois dans l'histoire des J.O., des images tĂ©lĂ©visĂ©es en couleur. C'est l'ORTF qui s'occupa de la retransmission des Jeux, qui rassemblĂšrent plus de 500 millions de tĂ©lĂ©spectateurs qui ainsi purent voir Jean-Claude Killy devenir un hĂ©ros national en s'imposant dans les trois disciplines de ski alpin (Ă©galisant du mĂȘme coup la performance rĂ©alisĂ©e par l'Autrichien Toni Sailer en 1956. L'organisation de ces J.O., fut aussi l'occasion pour Grenoble de profiter d'un certain nombre d’amĂ©nagements sportifs avec la construction du Palais des Sports, de la patinoire Clemenceau (devenue Halle Clemenceau). Les stations de ski environnantes bĂ©nĂ©ficiĂšrent de nouvelles routes et surtout de pistes de ski de fond ou de descente, encore utilisĂ©es de nos jours.

Organisation du sport en IsĂšre

Le sport en IsÚre est organisé, à l'image de celle du pays, de façon pyramidale. Le ministÚre de la Jeunesse et des Sports couvre l'ensemble du phénomÚne sportif français et délÚgue à des fédérations l'organisation effective de chaque discipline. Le Comité national olympique et sportif français (CNOSF) assure pour sa part le lien entre les autorités politiques, les fédérations sportives et le Comité international olympique. Il est représenté dans le département par le comité départemental olympique et sportif de l'IsÚre (CDOS IsÚre) dont les missions sont, comme pour le CNOSF, de représenter le mouvement sportif auprÚs des pouvoirs publics, Direction Départementales de la Jeunesse et des Sports de l'IsÚre (DDJS) et le conseil général du département. Parmi les autres objectifs du CDOS se trouvent la promotion de la pratique sportive, la contribution à la défense du patrimoine sportif isérois[4]...

Sport scolaire et universitaire

Au niveau scolaire, l'IsĂšre possĂ©dait (en 2007) 154 Ă©tablissements affiliĂ©s Ă  l’UNSS dont 99 collĂšges, 35 lycĂ©es, 19 lycĂ©es professionnels et 1 autre Ă©tablissement. Le nombre d’élĂšves scolarisĂ©s en 2007 Ă©tait de 43 612 garçons et 43308 filles (soit un total de 86920 Ă©lĂšves), et le nombre de licenciĂ©s Ă  l'UNSS IsĂšre Ă©tait de 11475 garçons (soit 26,3 % des garçons), 8006 filles (soit 18,5 % des filles), Ă©levant Ă  22,41 %[5] le nombre des Ă©lĂšves possĂ©dant une licence en IsĂšre contre 20,69 % au niveau national[6]. Les activitĂ©s proposĂ©es au sein de l'UNSS IsĂšre sont reparties dans diffĂ©rentes pĂŽles, parmi lesquels se trouvent les pĂŽles : ActivitĂ©s Physiques Artistique (Danse), ActivitĂ©s Physiques de Pleine Nature (escalade, snowboard, VTT...), Sports Collectifs (football, rugby Ă  XV...) etc.

Au niveau universitaire, le ComitĂ© RĂ©gional du Sport Universitaire (CRSU) de Grenoble gĂšre l'organisation de la compĂ©tition sportive. Le CRSU est l'antenne rĂ©gionale de la FĂ©dĂ©ration Française du Sport Universitaire (FFSU). Sur le campus grenoblois, plus de 3500 Ă©tudiants font du sport en compĂ©tition alors que plus de 20000 pratiquent dans le cadre de leurs Ă©tudes. En 2016/2017, les AS des UniversitĂ©s (UniversitĂ© Grenoble Alpes) et Grandes Écoles (Grenoble INP, Sciences Po Grenoble) ont remportĂ© plus de 80 mĂ©dailles lors des championnats de France universitaires. L'UGA a Ă©galement brillĂ© lors des Universiades d'hiver.

Formation des sportifs de haut niveau

Pour rĂ©pondre Ă  ce besoins qu'est l’entraĂźnement et la formation des sportifs de haut niveau, la ville de Voiron accueille sur son territoire un des deux sites du CREPS RhĂŽne-Alpes dont les missions sont de proposer des formations dans le domaine du sport et de l’animation, d'accompagner la performance et la formation des sportifs de haut niveau, d'aider au dĂ©veloppement des projets sportifs[7]...

Installations sportives


Clubs et sportifs isérois par discipline

Aviron

  • Clubs : Association Sportive de Fontaine Aviron - Aviron grenoblois - Club d‘Aviron du Sud Gresivaudan - L'Aviron du Lac Bleu - Aviron Club De Sassenage IsĂšre
  • PersonnalitĂ©s : Xavier Dorfman

Bando

  • PersonnalitĂ©s : Marc ApelĂ© - Jean-Roger CalliĂšre - Jean-Marc Girard

Baseball

Basket-ball

Biathlon

Bobsleig

Boule lyonnaise

  • Clubs : AS Boules Pont-de-Claix - La lyonnaise vifoise

Boxe

Canoë-kayak

  • Clubs : CanoĂ«-kayak du Breda - Club de canoĂ«-kayak de Vienne - Club nautique de La PlatiĂšre - Grenoble Alpes canoĂ«-kayak - Romanche Eau d'Olle canoĂ«-kayak

Cyclisme

Équitation

Escalade

Escrime

  • Clubs : Belledonne Escrime (Champ-pres-Froges) - AS Fontaine Escrime - GUC Escrime (Grenoble) - Meylan Escrime - Cercle d'Escrime de Moirans - Parmentier (Grenoble) - La RapiĂšre (Grenoble) - Cercle d'Escrime de Saint-Marcellin - Seyssins Escrime - Varces Escrime - ASVilleFontaine Escrime

Football

Gymnastique

Handball

Hapkido

Hockey sur glace

Hockey sur gazon

  • Clubs : Hockey Club Grenoble - Hockey Club Veurey Noyarey - Hockey Club Luzinay Sevenne

Hockey subaquatique

  • Clubs : Club d'ActivitĂ© Subaquatique de Moirans

Karaté

Rugby Ă  XV

La finale 1993 : Grenoble-Castres
Les Mammouths de Grenoble Ă©taient d’aprĂšs Olivier Merle l’un des plus gros paquets d’avants du monde[8].

En 1991, lorsque Jacques Fouroux tente un putsch contre Albert Ferrasse, Bernard Lapasset se range du cÎté de celui qui lui a tout appris et en sera récompensé en étant nommé président de la FFR, le [9].

Mais en 1993, Jacques Fouroux est candidat à la présidence de la FFR en concurrence justement avec le président sortant Bernard Lapasset.

La semaine entre la demi et la finale du FC Grenoble est marquĂ©e par une polĂ©mique. Bernard Lapasset, prĂ©sident de la FFR (et ancien adversaire de Fouroux pour ce poste), fustige ainsi l'arbitrage de M.Thomas sur le passage Ă  vide des avants Grenoblois. Le camp grenoblois se plaint lui d'un essai de pĂ©nalitĂ© refusĂ© pour une mĂȘlĂ©e Ă©croulĂ©e sur sa ligne de but par les Agenais‌[10] et s’étonne que, pour pouvoir assister aux deux demi-finales, le prĂ©sident Lapasset ait utilisĂ© le jet privĂ© du Castres olympique leur futur adversaire en finale[11].

Jacques Fouroux en conflit avec la FĂ©dĂ©ration se mĂ©fie donc de l’arbitrage dĂ©jĂ  avant cette finale[12] et va vite crier au complot[13] la semaine suivante car la finale va tourner au scandale[14], avec une polĂ©mique sur l'arbitrage[15], en effet un essai d'Olivier Brouzet est refusĂ© aux Grenoblois[16] et l'essai dĂ©cisif de Gary Whetton est accordĂ© par Daniel Salles, l'arbitre de la rencontre, sans consulter son arbitre de touche[17] alors que le grenoblois Franck Hueber a aplati au prĂ©alable le ballon dans son en-but, privant ainsi les Grenoblois du titre. Fouroux en conflit avec la FĂ©dĂ©ration crie au complot[13]. AprĂšs la rencontre, Ă  la question : « Comment avez-vous trouvĂ© cette finale ? », Jacques Fouroux rĂ©pond alors : « Salles. TrĂšs Salles ». « Mais c'est difficile pour Monsieur Salles, qui est d'Agen ne l'oublions pas et choisi par Ferrasse et Lapasset qui sont d'Agen et ne sont pas mes amis comme on le sait »[13].

La photo de Franck Hueber aplatissant le ballon dans l'en-but grenoblois fera la une du quotidien sportif L'Équipe intitulĂ© « Il n'y avait pas essai ! » trois jours plus tard[18].

Les Grenoblois sont alors trÚs virulent à l'égard de l'arbitre et surtout de la FFR[19] et notamment Fouroux[20]. Par la suite, le FC Grenoble ne dépose pas réclamation au sujet de l'arbitrage auprÚs de la Fédération française de rugby[21]. Jacques Fouroux déclare alors : « Nous sommes champions de France du fair-play »[22].

Selon l'entraĂźneur Grenoblois Michel Ringeval, l’arbitrage de la finale Ă©tait tournĂ© dĂ©libĂ©rĂ©ment contre Grenoble et contre son manager Jacques Fourroux car il Ă©tait candidat Ă  la prĂ©sidence de la fĂ©dĂ©ration et cela a selon lui influencĂ© beaucoup de choses[23].

Pour le troisiÚme ligne et capitaine du FC Grenoble Hervé Chaffardon, les Mammouths de Grenoble méritaient de gagner ce titre de champion de France 1993[24].

Pour le deuxiÚme ligne du FC Grenoble Olivier Merle cette finale est l'un des plus gros scandales du rugby français[25].

L'arbitre ne reconnaĂźt alors que treize ans plus tard qu'il a commis une faute d'arbitrage ce jour-lĂ [26].

En 2006, lorsqu’il a sorti ses mĂ©moires, Daniel Salles avoue alors avoir Ă©tĂ© sous l’influence des supporters du SU Agen dont leur club a Ă©tĂ© Ă©liminĂ© par le FC Grenoble en demi-finale. Les agenais se plaignaient du jeu des isĂ©rois et l’arbitre est justement originaire du Lot-et-Garonne[27]. Mais Daniel Salles dit toujours n’avoir jamais reçu de consignes.

Saut Ă  ski

Ski acrobatique

Ski alpin

Ski de fond

Snowboard

Sports mécaniques

Tennis de table

  • Clubs : Tennis de Table du GrĂ©sivaudan - Amicale laĂŻque d'Échirolles

Tir Ă  l'arc

  • Clubs : Les archers du chĂąteau d’Eybens - Les archers murois

Touch rugby

Volley-ball

Water polo

Notes et références

  1. Conseil Général De l'IsÚre - données 2007
  2. MinistÚre français des sports - données 2007
  3. Le Petit Dauphinois, 1er et 10 février 1936 sur remontees-mecaniques.net
  4. Comité Départemental Olympique et Sportif de l'IsÚre
  5. L'UNSS Grenoble en chiffre
  6. L'UNSS en 1 clic, les chiffres
  7. Site du CREPS de Voiron
  8. « Pour Olivier Merle, en 1993, Grenoble Ă©tait "peut-ĂȘtre l’un des plus gros paquets d’avants du monde" », sur www.ledauphine.com
  9. Bertrand Bourgeault, « Lapasset attend son sacre », sur www.leparisien.fr, (consulté le )
  10. « MIDOL MAG N° 4142 : SpĂ©cial Championnat 93 », Midi olympique,‎ , p. 35.
  11. « Grenoble 92/93 dur dur d’ĂȘtre un mammouth », sur rucknmaul.wordpress.com, (consultĂ© le )
  12. Pierre Salviac, « Merci pour ces moments : 50 ans de grands reportages », sur https://books.google.fr (consulté le )
  13. « Top 14: Toulon-Castres, souviens-toi, il y a vingt ans... », Le Point,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  14. Clément Garioud, « Ces sombres affaires qui ont entaché la réputation du rugby français », sur https://actu.fr, (consulté le )
  15. Richard ESCOT, « Le Top 5 des finales les plus marquantes », sur www.lequipe.fr, (consulté le )
  16. Simon Valzer, « Combien de fois Bayonne s’est imposĂ© dans la capitale ? », sur www.rugbyrama.fr, Midi olympique, (consultĂ© le )
  17. RĂ©ginald Mouyan, « FrĂ©dĂ©ric VĂ©lo: « Le FCG, c’était
le club » », sur http://lesportdauphinois.com, (consultĂ© le ).
  18. « Une de L'Équipe datĂ©e du 8 juin 1993 », sur cdn.artphotolimited.com.
  19. Pierre Michaud, « Les arbitres de nouveau au centre de la mĂȘlĂ©e », sur www.humanite.fr, L'HumanitĂ©, (consultĂ© le )
  20. « Fouroux: "Les deux finalistes ne faisaient pas plaisir au pouvoir fédéral en place" », sur https://fr.sports.yahoo.com (consulté le )
  21. « Rugby », L'HumanitĂ©,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  22. Richard ESCOT, « Le Top 5 des finales les plus marquantes », sur www.lequipe.fr,
  23. RĂ©ginald Mouyan, « Michel Ringeval (Part 2) : « Au bout d'un quart d'heure, j'ai compris qu'on en gagnerait pas » », Le Sport Dauphinois,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  24. « On méritait de gagner ce titre », sur https://www.ledauphine.com, (consulté le )
  25. Le Journal du Rugby n°21 - Juin 2012 - Page 31, « "Merluche sort les couteaux !" », sur http://fr.1001mags.com/, 21 de juin 2012 (consulté le )
  26. « Daniel Salles à propos de Castres-Grenoble en 1993 : « Je me suis trompé » », sur http://www.sudouest.fr, (consulté le )
  27. « Les Mammouths : une époque préhistorique encore bien ancrée dans les mémoires », sur fcgrct.wordpress.com (consulté le )

Liens externes

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