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Simon Pagenaud

Simon Pagenaud, né le à Montmorillon, est un pilote automobile français. Il évolue aux États-Unis dans le championnat IndyCar Series au sein de l'équipe Meyer Shank Racing.

Simon Pagenaud
Description de cette image, également commentée ci-après
Simon Pagenaud en 2019.
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Montmorillon (France)
Nationalité Français
Site web simon-pagenaud.com
Carrière
Qualité Pilote automobile en IndyCar Series
Parcours
AnnéesÉcurie0C.0(V.)
2011-2011 Dreyer & Reinbold2 (0)
2011-2011 HVM1 (0)
2012-2014 SPM52 (4)
2015-2020 Penske113 (11)
depuis 2022 MSR20 (0)
Statistiques
Nombre de courses 202
Pole positions 13
Podiums 38
Victoires 15
Champion IndyCar Series 2016

Après une première partie de carrière couronnée de succès en Endurance, remportant notamment le championnat American Le Mans Series en 2010 et terminant deuxième des 24 Heures du Mans 2011, il fait ses débuts en IndyCar en 2011, avec l'écurie Dreyer & Reinbold Racing. Simon Pagenaud a depuis piloté pour Schmidt Peterson Motorsports et le Team Penske.

En 2016, il devient le premier Français à remporter le championnat IndyCar (championnat dont il termine également vice-champion en 2017 et 2019), puis en 2019, le premier Français à remporter les 500 miles d'Indianapolis depuis René Thomas, en 1919[N 1].

Simon Pagenaud a également remporté les 24 Heures de Daytona en 2022.

Biographie

Les débuts

Après avoir étudié à l'ENSMA[2] et commencé sa carrière par le karting en 1994, Pagenaud accède au sport automobile en 2001 grâce à sa victoire l'année précédente dans le Volant Elf. Deuxième du championnat de Formule Renault Campus en 2001, il passe l'année suivante en Formule Renault, dans le championnat de France, ainsi que dans le championnat d'Europe (l'Eurocup). En 2004, il termine vice-champion de l'Eurocup, battu par l'Américain Scott Speed.

En 2005, Pagenaud accède au championnat de World Series by Renault (Formule Renault 3,5 l) mais n'obtient que des résultats mitigés, ce qui l'incite à réorienter sa carrière vers les États-Unis. Au cours de l'hiver 2005-2006, il obtient plusieurs tests avec des écuries du championnat de Formule Atlantic, alors en plein renouveau. Finalement engagé par l'écurie Team Australia, Pagenaud s'affirme dès le début de l'année comme l'un des hommes forts du championnat. Très régulier, il remporte le titre dès sa première saison dans la discipline à l'issue d'un long duel avec Graham Rahal, le Français remportant une victoire, à Edmonton[3], contre cinq à son adversaire[4].

Grâce à la prime de 2 millions de dollars offerte au vainqueur du championnat, il accède au Champ Car en 2007, toujours au sein du Team Australia. Très régulier, il termine sa saison de rookie à la 8e place finale du championnat, ce dernier étant remporté par son compatriote Sébastien Bourdais pour la quatrième saison consécutive. Malgré ce que de nombreux observateurs considèrent comme une saison réussie, il ne parvient pas à trouver un volant en 2008 dans le championnat unifié IndyCar Series, en grande partie en raison de l'incapacité financière du Team Australia à rejoindre la série. L'écurie fait finalement faillite[5]. Il réoriente alors sa carrière vers le championnat American Le Mans Series au sein de l'écurie de Gil de Ferran[6]. Remplaçant Stéphane Ortelli, il dispute pour la première fois les 24 heures du Mans, en LMP1 sur une Courage-Oreca LC70 de l'écurie Team Oreca Matmut, avec Marcel Fässler et Olivier Panis, Fässler suppléant pour sa part Nicolas Lapierre[7]. La voiture abandonne à la suite d'une sortie de route de Fässler[8]. En préparation de l'édition 2009 de l'épreuve mancelle, il participe et remporte les 1 000 kilomètres de Spa sur Peugeot 908 HDi FAP, associé à Nicolas Minassian et Christian Klien[9]. Il prend le départ des 24 heures du Mans 2009 au volant d'une Peugeot 908 HDi FAP de l'écurie Pescarolo Sport, faisant équipe avec Jean-Christophe Boullion et Benoit Treluyer[10]. La voiture abandonne après une sortie de route pendant la nuit[11].

Le , Simon Pagenaud annonce sa signature avec l'écurie Patrón Highcroft Racing pour remplacer Scott Sharp au sein de l'équipe championne en titre en American Le Mans Series. Il y pilote en 2010 l'Acura ARX-01c, rebaptisé HPD ARX-01c (HPD pour Honda Performance Development)[12]. Il est champion des American Le Mans Series 2010 avec David Brabham.

En 2011, Simon Pagenaud est une nouvelle fois engagé par Peugeot aux 1 000 kilomètres de Spa et aux 24 heures du Mans, tout en participant aux 12 Heures de Sebring 2011 et à trois courses en IndyCar Series avec Dreyer et Reinbold (8e en Alabama et 13e à Mid-Ohio) et HVM (15e à Sonoma)[13]. Avec Sébastien Bourdais et Pedro Lamy, il termine deuxième des 24 Heures du Mans à seulement 13 secondes de l'Audi victorieuse[5].

2012 : débuts en IndyCar Series

En fin d'année, il signe avec Sam Schmidt Motorsports pour disputer l’intégralité de la saison IndyCar en 2012[13]. Il a fini 6e, 5e et 2e, à Long Beach derrière Will Power[14], des trois premières courses. Il signe trois autres podiums lors des sixième, à Détroit, douzième à Mid-Ohio, et quatorzième à Baltimore, course. Il termine la saison cinquième et meilleur rookie.

2013-2014 : premières victoires en IndyCar

En 2013, il signe sa première victoire lors de la deuxième course du Grand Prix automobile de Détroit, en s'imposant devant les Anglais James Jakes et Mike Conway[15]. Deuxième à Mid-Ohio derrière l'Anglais Charlie Kimball[16], il gagne ensuite le Grand Prix de Baltimore[17]. Avec 508 points, il termine troisième de la saison, derrière le Néo-Zélandais Scott Dixon, vainqueur avec 577 points, et le Brésilien Helio Castroneves, 550 points[18].

En 2014, après trois courses régulières et sages (2 fois 5e, puis 4e), il remporte sa 3e victoire de sa carrière et la 1re de la saison lors du GP d'Indianapolis, deux semaines avant les 500 Miles d'Indianapolis. Il déclare après cela qu'il « peut jouer le titre »[19]. Il signe la première pole position de sa carrière à la 1re course du Grand Prix automobile de Houston, avant de terminer 16e. Il remporte la 4e victoire de sa carrière en IndyCar Series lors de la 2e course du Grand Prix automobile de Houston[20]. Il termine la saison 5e.

2015 : transfert chez Team Penske

Pagenaud au Grand Prix de Sonoma 2015.

Après trois années passées avec l’équipe Sam Schimdt Motorsport, il intègre à trente ans l'une des écuries les plus prestigieuses de l'IndyCar Series, en l’occurrence le Team Penske, pour la saison 2015, étant ainsi épaulé par Will Power, Hélio Castroneves et Juan Pablo Montoya[21] qui sont respectivement 1er, 2e et 4e du championnat 2014. Le patron de la Team Penske, Roger Penske, déclare alors : « Nous savons combien il a été difficile de rivaliser avec lui [Simon Pagenaud] ces dernières années et nous sommes très heureux de l'accueillir. (...) Nous disposerons de quatre pilotes en mesure de gagner chaque week-end et de quatre prétendants légitimes au titre »[22]. La saison est cependant très décevante, avec une pole et seulement deux podiums, alors que ses trois coéquipiers sont encore en lutte pour le titre lors de la dernière manche. Il finit l'exercice 2015 à une anonyme 11e place au classement du championnat.

2016 : Champion d'IndyCar

Lors de l'ouverture de la saison, le Grand Prix automobile de St. Petersburg, la course est remportée par le Colombien Juan Pablo Montoya qui devance Pagenaud et Ryan Hunter-Reay[23]. La course suivante, le Grand Prix automobile de Phoenix, est remportée par le Néo-Zélandais Scott Dixon, Pagenaud terminant de nouveau deuxième[24]. Lors du Grand Prix de Long Beach, il s'impose devant Scott Dixon, sa première victoire depuis qu'il a intégré le Team Penske[25]. Il s'impose lors de la course suivante, le Grand Prix d'Alabama, devant Graham Rahal[26]. Lors du Grand Prix automobile d'Indianapolis, il réussit la pole puis remporte la course, sa troisième victoire consécutive, devant le Brésilien Helio Castroneves et le Canadien James Hinchcliffe[27]. Il occupe alors la tête du classement général avec 242 points, 76 points d'avance sur Dixon et 82 sur son Juan Pablo Montoya[27].

Il figure parmi les neuf pilotes qualifiés pour la session déterminant les trois premières lignes de la grille des 500 miles, occupant finalement la huitième place. Retardé par une pénalité pour une sortie des stands dangereuse, il termine 19e de la course, remportée par Alexander Rossi[28]. 13e de la première course de Détroit, remportée par Sebastien Bourdais, il est devancé par Will Power lors de la deuxième[29]. De nouveau 13e, au Grand Prix automobile d'Elkhart Lake, il termine quatrième Grand Prix automobile de l'Iowa et neuvième au Grand Prix automobile de Toronto avant de renouer avec la victoire lors du Grand Prix automobile du Mid-Ohio, où parti en pole, il devance son coéquipier chez Penske Will Power[30]. 18e au Grand Prix automobile de Pocono, il termine quatrième du Grand Prix automobile du Texas puis septième du Grand Prix automobile de Watkins Glen. Lors de la dernière course de la saison, il obtient sa septième pole de la saison[31]. Possédant 40 points d'avance sur Will Power, le seul pilote pouvant le priver du titre, il s'impose devant Graham Rahal[32]. Avec 659 points, il devance de 127 points Will Power[31], obtenant sept pole positions, dix top 5, et 406 tours en tête de course[32]. Il devient ainsi le premier Français à s'imposer dans la discipline[33].

2017 : vice-champion

En jaune, la voiture de Simon Pagenaud aux 500 miles 2017.

Après trois places dans le top 5, deuxième au Grand Prix automobile de St. Petersburg derrière Sébastien Bourdais[34], cinquième à Grand Prix de Long Beach et troisième à Grand Prix automobile d'Alabama, il remporte sa première victoire de la saison 2017, sa deuxième en Indy Series, lors du Grand Prix automobile de Phoenix, sa première sur un circuit ovale[35]. Lors de la course suivante, il termine quatrième du Grand Prix automobile d'Indianapolis remporté par Will Power[36].

Lors des 500 miles, il est en manque de vitesse avec sa voiture et termine 14e d'une course remportée par le Japonais Takuma Satō[37]. Il renoue ensuite avec le top 5 lors de la deuxième course du Grand Prix automobile de Détroit, ayant terminé 16e de la première disputée sur ce circuit. Il enchaîne par une troisième place au Grand Prix automobile du Texas, obtenant ensuite des places de quatrième au Grand Prix automobile d'Elkhart Lake, cinquième à Toronto, quatrième au Grand Prix automobile du Mid-Ohio et à Pocono, troisième au Grand Prix automobile de Gateway.

Lors du dernier grand prix de la saison, sur le circuit routier de Sonoma, il termine en tête, devant Josef Newgarden[38], ce dernier remportant le championnat avec 13 et 17 points d’avance sur Simon Pagenaud et Scott Dixon[39].

2018 : saison sans victoire

Simon Pagenaud obtient son meilleur résultat du début de la saison 2018 au Grand Prix d'Indianapolis en terminant huitième d'une course remporté par Will Power. Il termine à la deuxième place des qualifications de 500 miles d'Indianapolis, derrière Ed Carpenter[40], course où il termine neuvième et remportée par Will Power, la première victoire de ce dernier dans cette épreuve[41].

Il obtient son premier podium de la saison à l'occasion du Grand Prix automobile du Texas à Fort Worth, où il prend le départ en deuxième position derrière Josef Newgarden[42]. Il termine deuxième derrière l'Australien Scott Dixon[42] - [43]. Il obtient une nouvelle deuxième place lors du Grand Prix automobile de Toronto, de nouveau derrière Scott Dixon[44].

2019 : victoire aux 500 miles d'Indianapolis

Après une saison compliquée, Simon Pagenaud se distingue en remportant sa première victoire depuis un an et demi au Grand Prix d'Indianapolis, sur le circuit routier. Pour sa troisième participation à l'épreuve, il double Scott Dixon dans l'avant-dernier tour, au terme d'une course perturbée par la pluie[45]. La semaine suivante, il décroche la pole position des 500 miles d'Indianapolis, 100 ans après le dernier Français à l'avoir réalisé, René Thomas en 1919[1].

Le , après avoir dominé presque la totalité de la course, il remporte un duel final face à Alexander Rossi pour la victoire. Il devient ainsi le premier Français depuis 1920[46] à remporter les 500 miles d'Indianapolis[N 2], devenant également le premier pilote depuis dix ans, et la victoire d'Hélio Castroneves, à réaliser le doublé pole position-victoire[47].

Parti en pole position sur le circuit en ville du Grand Prix de Toronto, il s'impose devant Scott Dixon et Alexander Rossi[48]. De nouveau en pole lors la semaine suivante en Iowa, il termine à la quatrième place d'une course remportée par son coéquipier Josef Newgarden, qui occupe la tête du championnat[49]. En terminant quatrième de la dernière course de la saison, le Grand Prix automobile de Monterey disputé sur le circuit de Laguna Seca, il termine à la deuxième place du classement de la saison avec 616 points, derrière son coéquipier chez Penske Josef Newgarden[50].

2020

Simon Pagenaud commence la saison 2020 avec deux podiums consécutifs : une deuxième place au Texas puis une troisième place au Grand Prix d'Indianapolis[51] - [52]. L'épreuve suivante est le Doubleheader de Road America, Pagenaud termine douzième de la course 1 puis treizième de la course 2[53] - [54].

La course suivante, en Iowa, est à nouveau un Doubleheader. N'ayant réalisé aucun temps lors des qualifications, Pagenaud s'élance vingt-troisième et dernier lors deux courses. Il remporte la course 1 puis termine quatrième de la course 2[55] - [56] - [57].

Autres disciplines en 2018-2019 : IMSA

En 2018, trois courses du United SportsCar Championship 2018, série endurance américaine organisée par l'International Motor Sports Association (IMSA) figurent à son programme[58]. Il dispute en janvier les 24 Heures de Daytona, sur un chassis Oreca au sein du Team Penske avec Dane Cameron et Juan Pablo Montoya. Ils terminent dixième, à 15 tours de l'équipe victorieuse[59]. En mars, le même équipage doit abandonner lors des 12 Heures de Sebring. Pagenaud retrouve Cameron et Montoya pour la dernière course de la saison, le Petit Le Mans en octobre. L'équipage termine à la 32e place.

Lors de l'édition 2019 des 24 Heures de Daytona, il fait équipe avec Dan Cameron et Juan-Pablo Montoya au sein du Team Penske sur une Acura ARX-05. Pendant une neutralisation à cinq heures du terme, la voiture s'arrête au stand pour un problème moteur, l'équipage perdant douze tours durant la réparation et toute possibilité de victoire[60]. Lors des 12 Heures de Sebring, où son coéquipier obtient la pole position[61], ils terminent à la neuvième place.

Carrière

Team Australia 2007
Long Beach 2012

24 Heures du Mans

IndyCar Series

Saison Écurie GP disputés Pole Victoires Podiums Meilleur tour Points inscrits Classement
2012Schmidt Peterson Motorsports1500313875e
2013Schmidt Peterson Motorsports1902305083e
2014Schmidt Peterson Motorsports1812335655e
2015Team Penske16102038411e
2016Team Penske166435659Champion
2017Team Penske1712626292e
2018Team Penske1700204926e
2019Team Penske1733416162e
2020Team Penske1401313398e
2021Team Penske1600203838e

Résultats détaillés en Indycar Series

Année Écurie Châssis Moteur 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 Classement Points
2011 Dreyer & Reinbold Racing Dallara
IR-05
Honda HI7R (en) V8 STP ALA
8
LBH SAO INDY TXS TXS MIL IOW TOR EDM MDO
13
NHM (en) 31e 56
HVM Racing SNM
15
BAL MOT (en) KTY LVS
2012 Schmidt Peterson Motorsports Dallara DW12 Honda HI12TT V6 t STP
6
ALA
5
LBH
2
SAO
12
INDY
16
DET
3
TXS
6
MIL
12
IOW
5
TOR
12
EDM
20
MDO
3
SNM
7
BAL
3
FON
15
5e 387
2013 Honda HI13TT V6 t STP
24
ALA
6
LBH
8
SAO
9
INDY
8
DET
12
DET
1
TXS
13
MIL
12
IOW
6
POC
6
TOR
9
TOR
12
MDO
2
SNM
5
BAL
1
HOU
4
HOU
6
FON
13
3e 508
2014 Honda HI14TT V6 t STP
5
LBH
5
ALA
4
IMS
1
INDY
12
DET
22
DET
6
TXS
4
HOU
16
HOU
1
POC
6
IOW
11
TOR
4
TOR
22
MDO
9
MIL
7
SNM
3
FON
20
5e 565
2015 Team Penske Chevrolet IndyCar V6 t STP
5
NLA
20
LBH
4
ALA
9
IMS
25
INDY
10
DET
3
DET
14
TXS
11
TOR
11
FON
9
MIL
9
IOW
14
MDO
3
POC
7
SNM
16
11e 384
2016 STP
2
PHX
2
LBH
1
ALA
1
IMS
1
INDY
19
DET
13
DET
2
RDA
13
IOW
4
TOR
9
MDO
1
POC
18
TXS
4
WGL
7
SNM
1
1er 659
2017 STP
2
LBH
5
ALA
3
PHX
1
IMS
4
INDY
14
DET
16
DET
5
TXS
3
ROA
4
IOW
7
TOR
5
MDO
4
POC
4
GTW
3
WGL
9
SNM
1
2e 629
2018 STP
13
PHX
10
LBH
24
ALA
9
IMS
8
INDY
6
DET
17
DET
10
TXS
2
ROA
7
IOW
8
TOR
2
MDO
8
POC
8
GTW
4
POR
6
SNM
4
6e 492
2019 STP
7
COA
10
ALA
9
LBH
6
IMS
1
INDY
1
DET
6
DET
17
TXS
6
ROA
9
TOR
1
IOW
4
MDO
6
POC
3
GTW
5
POR
7
LAG
4
2e 616
2020 TXS
2
IMS
3
ROA
12
ROA
13
IOW
1
IOW
4
INDY
22
GTW
19
GTW
16
MDO
18
MDO
6
IMS
16
IMS
10
STP
6
8th 339
2021 ALA
12
STP
3
TXS
10
TXS
6
IMS
6
INDY
3
DET
12
DET
8
ROA
18
MDO
14
NSH
21
IMS
16
GTW
8
POR
21
LAG
8
LBH
5
8th 383
2022 Meyer Shank Racing Honda IndyCar V6 t STP
15
TXS
8
LBH
19
ALA
11
IMS
2
INDY
8
DET
ROA
MDO
TOR
IOW
IOW
IMS
NSH
GTW
POR
LAG
8th* 157*
Année Écurie Course Poles Victoires Podiums Top 5 Top 10 Titre
12 5 174 13 15 38 65 119 1

Mis à jour le .

Résultats aux 500 miles d'Indianapolis

Vie privée

Il est marié à une américaine, Hailey McDermott[74],

Notes et références

Notes

  1. Les sources utilisent deux années pour la précédente victoire d'un Français : 1920, avec Gaston Chevrolet, né en France de parents suisses, avant d’émigrer aux États-Unis, et 1914, pour la victoire de René Thomas[1].
  2. Les sources utilisent deux années pour la précédente victoire d'un Français : 1920, avec Gaston Chevrolet, né en France de parents suisses, avant d’émigrer aux États-Unis, et 1914, pour la victoire de René Thomas[1].

Références

  1. Lohan Benaati, « 500 Miles d’Indianapolis : Simon Pagenaud, pour une première française depuis plus d’un siècle », sur lemonde.fr, .
  2. « Le champion automobile Simon Pagenaud était à l’ISAE-ENSMA », sur ensma.fr (consulté le ).
  3. (en) « Atlantic: Pagenaud claims maiden win for Team Australia », sur moto123.com, .
  4. (en) « OWRS ChampCar Formula Atlantic - Season 2006 : Point standings: OWRS ChampCar Formula Atlantic - Season 2006 », sur speedsport-magazine.com.
  5. Catherine Pacary, « Simon Pagenaud, roi tricolore de l’IndyCar : Seul Français couronné du championnat américain de monoplaces, le Poitevin rêve de gagner les 500 miles d’Indianapolis dimanche, et de voler la vedette à Fernando Alonso », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  6. (en) Matt Beer, « Pagenaud joins De Ferran's team », sur autosport.com, .
  7. « Le Mans : Nicolas Lapierre (Oreca) forfait », sur autoplus.fr, .
  8. Patrick Garcia, « 24h du Mans - le rush final : la Peugeot n°7 rattrapera-elle l'Audi n°2 ? », sur caradisiac.com, .
  9. « ALMS : Victoire pour Pagenaud et triplé des Acura », sur autonewsinfo.com, .
  10. « La 908 Pescarolo avec Boullion, Treluyer et Pagenaud », sur autohebdo.fr, .
  11. Antoine Dufeu, « [Le Mans 2009] Retour sur l'accident de Benoît Tréluyer (Peugeot 908 Pescarolo Sport) », sur caradisiac.com, .
  12. « Signature au Patrón Highcroft Racing »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?)
  13. Fabien Volari, « Saison complète en IndyCar pour Simon Pagenaud (et un peu de 908) », sur leblogauto.com, .
  14. « Long Beach : Power a résisté à Pagenaud », sur autohebdo.fr, .
  15. « IndyCar - Detroit : première victoire de Pagenaud », sur lepoint.fr, .
  16. « IndyCar ? Mid-Ohio : Charlie Kimball, première ! », sur autohebdo.fr, .
  17. Bernard Dussol, « IndyCar : Simon Pagenaud gagne le Grand Prix de Baltimore », sur france3-regions.francetvinfo.fr, .
  18. (en) Jeff Olson, Heather Tucker, « Scott Dixon wins third IndyCar championship », sur usatoday.com, .
  19. « IndyCar - Simon Pagenaud premier vainqueur du GP d'Indianapolis », sur autohebdo.fr, .
  20. « IndyCar-C2 : Pagenaud prend sa revanche à Houston ! », sur http://www.autohebdo.fr/, (consulté le )
  21. « IndyCar - Simon Pagenaud rejoint le Team Penske pour 2015 », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  22. Penske, le meilleur pour Pagenaud, Stéphane Barbé, L'Équipe, p. 13, 30 septembre 2014. Consulté le 30 septembre 2014.
  23. « IndyCar: Montoya s'impose pour l'ouverture de la saison », sur rtbf.be, .
  24. (en) « Dixon Wins at Phoenix to Tie Al Unser for Fourth on All-Time List », sur lincolnelectric.com, .
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  28. « IndyCar - Rossi s'offre le 100ème Indy 500 », sur sportauto.fr, .
  29. (en) Mike Brudenell, « Will Power speeds to Dual II win at Detroit Grand Prix », sur freep.com, .
  30. « Indy 200: le Français Simon Pagenaud gagne à Lexington », sur auto.lapresse.ca, .
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  36. « IndyCar - GP d'Indianapolis: Power sans rival, Pagenaud toujours leader », sur lepoint.fr, .
  37. « 500 miles d'Indianapolis: Alonso, étincelant, casse, Sato s'impose », sur lepoint.fr, .
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  39. Richard Burgan, « INDYCAR 2017 – Pilotes, équipes, calendrier, classements… Découvrez toutes les informations essentielles de la saison 2017 du championnat Indycar. », sur ch-fr.motorsport.com, .
  40. « 500 miles d'Indianapolis: Carpenter en pole, Pagenaud et Bourdais placés », sur lepoint.fr, AFP, .
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  62. Victoire à Long Beach 2009
  63. Victoire à Salt Lake City 2009
  64. Victoire à Lime Rock 2009
  65. Victoire à Lexington 2009
  66. Victoire à Laguna Seca 2009
  67. Victoires à Long Beach 2010
  68. Victoire à Monterey 2010
  69. Victoire à Salt Lake City 2010
  70. Simon Pagenaud au Rallye de la Vienne avec une Citroën C2.
  71. Indycar: Simon Pagenaud au départ du Grand Prix d’Alabama
  72. Rallye National de la Vienne 2014 (eWRC).
  73. « Simon Pagenaud remporte les 500 miles d'Indianapolis ! », sur L'Équipe, (consulté le ).
  74. « Rubedo.current.page.title », sur La Nouvelle République du Centre-Ouest (consulté le ).

Voir aussi

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