Accueil🇫🇷Chercher

Saint-Nicolas-de-Macherin

Saint-Nicolas-de-Macherin est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes. Ses habitants sont appelés les Macherinois.

Saint-Nicolas-de-Macherin
Saint-Nicolas-de-Macherin
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays voironnais
Maire
Mandat
Freddy Rey
2020-2026
Code postal 38500
Code commune 38432
DĂ©mographie
Population
municipale
966 hab. (2020 en augmentation de 8,17 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 91 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 23′ 57″ nord, 5° 36′ 27″ est
Altitude Min. 447 m
Max. 952 m
Superficie 10,6 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Grenoble
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Voiron
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Nicolas-de-Macherin
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Nicolas-de-Macherin
Géolocalisation sur la carte : Isère
Voir sur la carte topographique de l'Isère
Saint-Nicolas-de-Macherin
GĂ©olocalisation sur la carte : Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
Saint-Nicolas-de-Macherin
Liens
Site web www.mairie-saintnicolasdemacherin.fr

    GĂ©ographie

    Situation et description

    Saint-Nicolas-de-Macherin est situĂ©e dans la rĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes, au centre du dĂ©partement de l'Isère. La superficie de la commune est de 1 060 hectares et l'altitude varie de 447 Ă  952 mètres.

    La commune se trouve Ă  km au nord de Voiron, chef-lieu de canton, et Ă  28 km au nord-ouest de la prĂ©fecture, Grenoble. Elle se situe Ă  510 km de Paris.

    Communes limitrophes

    Climat

    La partie du territoire du département l'Isère dans laquelle se situe le territoire de Saint-Nicolas-de-Macherin est une zone de bas plateaux entourées de quelques collines de hauteur assez modeste mais présentant un climat un peu plus rude que dans la plaine. Il peut donc neiger sur le territoire de la commune alors que la plaine peut n'être soumis qu'à un régime de pluie. Du fait du relief peu accentué, les masses d'air venues du nord et du sud circulent assez aisément.

    Voies de communication

    Le territoire de la commune de Saint-Nicolas-de-Macherin est situé à l'écart des voies de grandes circulation. L'autoroute la plus proche est l'A48 qui relie L'agglomération lyonnaise à celles de Grenoble.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Nicolas-de-Macherin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[4] - [5].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58,9 %), zones agricoles hétérogènes (17,3 %), prairies (10,4 %), terres arables (8,2 %), zones urbanisées (5,3 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Hameaux et Lieux-Dits

    • Macherin
    • Chatellonnière
    • le Bourg
    • le MĂ©lissard
    • Hautefort
    • le Château
    • la Rivoire
    • la Crozat
    • le Replat
    • le Bergureuil
    • Pied Barlet
    • le Magnin
    • les Combes
    • le Bourdis
    • Baracuchet
    • le Goulet
    • la Roche
    • le Plan

    Risques sismiques

    L'ensemble du territoire de la commune de Saint-Nicolas-de-Macherin est situé en zone de sismicité n°4 (sur une échelle de 1 à 5), non loin de la zone n°3 située plus à l'ouest[7].

    Terminologie des zones sismiques[8]
    Type de zoneNiveauDéfinitions (bâtiment à risque normal)
    Zone 4Sismicité moyenneaccélération = 1,6 m/s2

    Histoire

    Au Moyen Âge, la paroisse de Saint-Nicolas était partagée entre le mandement de Tolvon et le mandement de Hautefort. Le mandement de Hautefort était une possession des seigneurs de Clermont et faisait partie du Dauphiné. Ils y construisirent un château. Le mandement de Tolvon, incluant le bourg actuel, était possession des Comtes de Savoie, lesquels possédaient la maison-forte de Pied-Barlet. La frontière entre le Dauphiné et la Savoie passait ainsi sur l'actuel territoire de la commune si bien qu'Hautefort était en Dauphiné et le bourg en Savoie. Après le rattachement du Dauphiné à la France, les possessions des Comtes de Savoie furent réorganisées et le mandement de Tolvon passa au Royaume de France. L'intégralité du territoire de l'actuelle commune de Saint-Nicolas-de-Macherin se trouvait alors en France. À la suite de ce remaniement, la maison-forte de Pied-Barlet perdit son intérêt défensif et devint une habitation. On sait qu'elle fut vendue, en 1363, à la famille de Hermerat avant de passer, en 1591, aux mains de la famille du Vivier qui la conservera jusqu'à la révolution[9].

    Le château de Hautefort, toujours aux mains des Clermont en 1446, devint propriété de Pierre de Gumin en 1537. Ses descendants occupèrent les lieux pendant deux siècles avant que le château ne devienne propriété des Meffray de Césarges. D'apparence féodale à sa construction et alors à vocation défensive et militaire, le château fut maintes fois remanié pour prendre la forme que nous lui connaissons aujourd'hui.

    Le bourg se développa autour de l'église. La date exacte de sa construction est inconnue mais on estime qu'elle daterait du Moyen Âge. De ces bâtiments primitifs, seul subsiste le chœur de l'église actuelle. La nef, en très mauvais état, fut remplacée en 1831 et une importante partie de l'église fut alors remaniée. Le clocher, lui aussi en piteux état, s'effondra en 1889 et fut reconstruit en 1898, orné d'une horloge, toujours visible. Une cloche, datée de 1721, se brisa dans l'effondrement du clocher. La seconde cloche, datée de 1843, fut remontée dans le nouveau clocher et est toujours en service. Une chapelle, Notre-Dame-de-Pitié, jouxtait l'église mais fut détruite lors des travaux de 1831. Notons qu'il existait également une chapelle Sainte-Marie dans le château de Hautefort, aujourd'hui détruite. Enfin, une chapelle Sainte-Croix existait à Pied-Barlet jusqu'au XVIIIe siècle.

    La commune de Saint-Nicolas-de-Macherin est créée en 1790 avant d'être rattachée à Saint-Etienne-de-Crossey en 1794. Elle redevient indépendante durant le Consulat, en 1801[10]. Le cadastre napoléonien de la commune date de 1819.

    Politique et administration

    Administration municipale

    La Mairie
    L'ancienne école communale, démolie en 2011

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1791 1792 Claude Gaillard
    1792 1793 Vial
    1793 1796 Antoine Perrin
    1796 1797 Jean Tivollier
    1797 1800 Pierre Gaillard
    1800 1804 Jean Bourdis
    1804 1811 Jean Vial
    1811 1812 Jean Tivollier
    1812 1814 Claude Picard
    1814 1830 Jean-Marie Constantin de Chanay
    1830 1831 Claude Picard
    1831 1836 Jacques Fagot
    1836 1846 Claude Picard
    1846 1848 André Chalaron
    1848 1868 Joseph Vial
    1868 1884 Antoine Fagot-Mallot
    1884 1885 François Guilligay
    1885 1896 RĂ©my Fagot
    1896 1925 Liguori Vial
    1925 1943 Louis Fauchon
    1943 1944 Joseph Gaillard (Maire délégué volontaire à la suite de la démission de Louis Fauchon)
    1944 1945 Jean Marcoz (Conseil municipal provisoire nommé par le canton de Voiron)
    1945 1953 Paul Merle
    1953 1965 Albert Satre
    1965 1989 Jean Tabeling SE
    1989 2001 Marcel Descombes SE
    2001 2020 Roland Grambin SE
    2020 En cours Freddy Rey SE
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[11]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[12].

    En 2020, la commune comptait 966 habitants[Note 3], en augmentation de 8,17 % par rapport à 2014 (Isère : +2,73 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    643704749701796816828857874
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    790753723687690660623590586
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    514542525443435427398420390
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    384380389518615782863885933
    2020 - - - - - - - -
    966--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee Ă  partir de 2006[14].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Logement

    D'après les chiffres de l'INSEE (2013), 91,6 % des ménages de la commune vivent en maisons individuelles contre 8,4 % en appartements[15]. 94 % des logements de la commune sont des résidences principales, 1,7 % sont des résidences secondaires, les autres étant vacants lors de l'enquête (2013). Il est à noter que 21 % des logements de la commune furent construits avant 1919 tandis que 62 % furent construits entre 1971 et 2005.

    Enseignement

    La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

    MĂ©dias

    Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, assez régulièrement, y compris le dimanche, dans son édition du Voironnais à la Chartreuse, un ou plusieurs articles à l'actualité de la communauté de communes, du canton et quelquefois du village, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

    Économie

    • En 2013, 4,1 % de la population active de la commune Ă©tait au chĂ´mage[15]. Un chiffre Ă  comparer avec le taux de chĂ´mage dĂ©partemental qui Ă©tait, sur la mĂŞme pĂ©riode, de 11,2 %.
    • 57 Ă©tablissements Ă©taient en activitĂ© sur la commune au 1er janvier 2015, dont 10 exploitations agricoles (17,5 % des Ă©tablissements actifs contre 3,7 % Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement). Un seul Ă©tablissement employait plus de 50 salariĂ©s (la SITPM) tandis que deux Ă©tablissements comptaient entre 10 et 19 salariĂ©s. 84 % des Ă©tablissements ne comptaient aucun salariĂ©[15].
    L'usine de la SITPM
    • La SITPM (SociĂ©tĂ© Industrielle des Tissages Paul Merle), implantĂ©e sur la commune au lieu-dit de L'Usine, emploie 58 personnes dans la fabrication de tissus techniques. L'usine fut crĂ©Ă©e en 1853 par le Comte de Chanay, alors propriĂ©taire du château de Hautefort, sous le nom d'Usine de Tissage de Sainte-Marie d'Hautefort. En 1890, l'usine est rachetĂ©e par une entreprise lyonnaise de soierie, Noyer-Durand-Colon, avant d'ĂŞtre reprise, en 1938, par Paul Merle qui lui donne son nom actuel. Le groupe amĂ©ricain Celanese en devient propriĂ©taire en 1966 avant de revendre la SITPM en 1971 au groupe isĂ©rois Sofileta, spĂ©cialisĂ© dans les textiles techniques. L'usine fut principalement orientĂ©e vers le tissage avant de se spĂ©cialiser, après guerre, dans la fabrication de tissus synthĂ©tiques, puis, après la reprise par Sofileta, dans les tissus techniques Ă  haute valeur ajoutĂ©e. Le site s'Ă©tend sur 15 000 m2 et compte plus de 130 mĂ©tiers Ă  tisser automatisĂ©s.

    Le commune fait partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[16] - [17].

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le Château de Hautefort, Ă©difice le plus ancien de la commune, ayant appartenu Ă  d'illustres familles.
    • Au lieu-dit de Pied Barlet, ruines de l'ancienne maison forte du XIIIe siècle, bâtie par les comtes de Savoie[18] - [10].
    • La chapelle du château de Hautefort[18].
    • L'Ă©glise Saint-Nicolas, rebâtie entre 1885 et 1889 sous la direction de l'architecte Jean-François Pichat, qui a remplacĂ© l'ancienne Ă©glise du prieurĂ© des moines Antonins, et qui prĂ©sente un chĹ“ur du XIIIe siècle[18] - [19].
    • Notre-Dame-de-la-Croix, statue de Vierge Noire, installĂ©e dans le hameau de Hautefort en 1870.

    Personnalités liées à la commune

    • Paul Picard, dĂ©putĂ© de l'Isère, nĂ© et dĂ©cĂ©dĂ© dans la commune
    • Comte AmĂ©dĂ©e de Foras, homme politique et diplomate, se maria puis rĂ©sida dans la commune, au Château de Hautefort
    • Famille Morand de Jouffrey, descendants de Jean-Antoine Morand de Jouffrey, architecte, peintre, urbaniste, qui Ĺ“uvra Ă  Lyon (1727-1794) oĂą il crĂ©a le quartier des Brotteaux (6e arrondissement). Un pont, ainsi qu’un parking, portent encore son nom. Son fils, Antoine Morand de Jouffrey, est nommĂ© procureur gĂ©nĂ©ral du roi au bureau des finances de Lyon en 1785. Devenu Chevalier hĂ©rĂ©ditaire d'empire, il devint conseiller Ă  la cour sous la Restauration. Son petit-fils, AimĂ© Jean-Jacques Morand de Jouffrey, fut fait premier prĂ©sident de la cour royale de Grenoble en 1829. C'est Jacques Morand de Jouffrey qui fut le dernier comte de Hautefort (1922-1999) et qui Ă  la suite de l'instauration de l’impĂ´t sur la fortune entreprit Ă  contrecĹ“ur la vente du château en appartements en 1982.
    • Quelques photos de sites et de monuments de Saint-Nicolas-de-Macherin
    • Vue du bourg depuis les hauteurs
      Vue du bourg depuis les hauteurs
    • L'Ă©tang de Hautefort
      L'Ă©tang de Hautefort
    • L'Ă©tang de Hautefort
      L'Ă©tang de Hautefort
    • L'Ă©tang de Hautefort Ă  l'automne
      L'Ă©tang de Hautefort Ă  l'automne
    • Vue du hameau de Hautefort
      Vue du hameau de Hautefort
    • Vue du hameau de Hautefort
      Vue du hameau de Hautefort
    • Croix au MĂ©lissard
      Croix au MĂ©lissard
    • Croix sur la route des Combes
      Croix sur la route des Combes
    • La Vierge noire de Hautefort dite Notre-Dame-de-la-Croix
      La Vierge noire de Hautefort dite Notre-Dame-de-la-Croix
    • Lavoir de Hautefort
      Lavoir de Hautefort
    • Four Ă  pain de Hautefort
      Four Ă  pain de Hautefort
    • Collines de Macherin
      Collines de Macherin
    • Maison traditionnelle en pisĂ© Ă  Hautefort
      Maison traditionnelle en pisé à Hautefort
    • Grange en pisĂ© au lieu-dit Bassey
      Grange en pisé au lieu-dit Bassey
    • La salle des fĂŞtes communale, au bourg, dĂ©molie en juillet 2018
      La salle des fêtes communale, au bourg, démolie en
    • Vue sur la Roche et le Replat depuis l'Ă©tang de Saint-Nicolas
      Vue sur la Roche et le Replat depuis l'Ă©tang de Saint-Nicolas
    • Le Monument aux Morts communal
      Le Monument aux Morts communal

    HĂ©raldique

    Saint-Nicolas-de-Macherin possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité.
    8. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance.
    9. Georges Fauchon, Henri Coutis et Paul Commeaux, Histoire de Voiron et du Pays Voironnais, Auto-Édition AHPPV, 1990, p. 221.
    10. Corinne Bourrillon, 10 000 lieux en Pays Voironnais, Chirens, Coordonnet, , 262 p., p. 188-191.
    11. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    12. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    14. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    15. https://www.insee.fr/fr/statistiques/2011101?geo=COM-38432
    16. Information Presse du 5 novembre 2018 : Le Bois de Chartreuse obtient la première AOC Bois en France. Une première dans la filière bois !, site officiel du Bois de Chartreuse.
    17. Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46 (.PDF).
    18. Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), pp. 498-501.
    19. Anne Cayol-Gerin, Le Pays Voironnais - Patrimoine en Isère, Editions Conseil Départemental de l'Isère, novembre 2017, p. 41

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.