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Sémiramis

Sémiramisqui vient des colombes » en langue assyrienne) est une reine légendaire de Babylone dont le récit est rapporté par Diodore de Sicile dans sa Bibliotheca Historica, récit qu'il tient de celui des Persica de Ctésias de Cnide. D'autres historiens antiques la mentionnent : parmi ceux-ci, Hérodote pour qui Sémiramis est avec Nitocris l'une des deux plus grandes reines babyloniennes et Bérose, très critique à l'égard de cette version de l'histoire de l'Assyrie.

Sémiramis
Titre de noblesse
Reine consort
Biographie
Mère
Conjoint
Enfant
La reine Semiramis (1905), œuvre de Cesare Saccaggi.

Sémiramis est la fille de Dercèto, une déesse mi-femme mi-poisson et d'un jeune humain, Caÿstros. Après la naissance de Sémiramis, la déesse tue le jeune homme, retourne dans le fond d'un lac et abandonne sa fille. L'enfant est ensuite nourri par des colombes puis elle est recueillie par des bergers qui l'élèvent.

Jeune fille, elle rencontre Onnés, un général de l'armée de Ninus roi de Ninive. Les premières années pendant lesquelles le couple a deux garçons, Sémiramis conseille son compagnon dans ses campagnes militaires qui sont, grâce à elle, entièrement couronnées de succès.

Cependant, le siège de Bactra met Onnès en difficulté. Celui-ci fait venir sa compagne à son secours. Après la prise de Bactra, largement due aux actions de Sémiramis, Ninus, séduit par Sémiramis, souhaite prendre l'héroïne pour épouse et pousse Onnès au suicide. Sémiramis devenue reine, part dans de nombreuses conquêtes dont elle est victorieuse, bâtit Babylone et à la mort de son mari construit une énorme tour en son nom.

Elle part ensuite en campagne afin de conquérir l'Inde. La campagne se solde par un échec et, à son retour, elle apprend que ses fils, dont Ninyas, le fils qu’elle a eu avec Ninus, conspirent avec les eunuques du palais. Elle abandonne alors le trône, se transforme en colombe et s'envole au milieu d'une volée d'oiseaux.

Avant d'être racontée par Ctésias, la légende de Sémiramis est certainement déjà connue comme une histoire faisant partie de la tradition orale ou du folklore de Mésopotamie. Il semble que son personnage soit construit autour de deux reines assyriennes ayant régné quelques siècles auparavant : Zakutu et Sammuramat. Sémiramis fait également penser à la déesse Astarté ou Ishtar également belliqueuses et représentées par une colombe dans des récits plus anciens.

Les sources

La source la plus complète à propos de Sémiramis et de sa légende est la Bibliotheca Historica de Diodore de Sicile (vers -). L'auteur y décrit, dans le livre II, l'histoire de l'Assyrie et, en particulier, la vie de l'empereur légendaire Ninus et de son épouse Sémiramis. Le récit est, pour sa plus grande part, inspiré d'une partie des Persica[Note 1], livre aujourd'hui partiellement disparu de Ctésias de Cnide (vers -), médecin et historien à la cour d'Artaxerxès II (vers -), et qui résume l’histoire de l'Assyrie jusqu'à ce dernier[3] - [4].

La version de l'histoire d'Asie de Ctésias est devenue la tradition « vulgate » utilisée par les historiens grecs et romains dans l'écriture des histoires universelles. Les trois premiers livres de la Persique parlent de l'histoire d'avant les perses, à commencer par les assyriens. Pour Ctésias, l'histoire du monde commence avec le premier roi assyrien dont on ne connaît pas le nom. Ninus est le premier roi qu'il décrit parce-que, selon lui, il est le premier roi à accomplir de grandes choses. Les deux premiers livres sont dédiés au couple Ninus et Sémiramis[5] - [6].

La plus ancienne mention grecque de Sémiramis se trouve dans un texte d'Hérodote (vers -) pour qui Sémiramis est avec Nitocris l'une des deux reines les plus importantes de Babylone. Il lui attribue la construction de digues qui ont empêché l'Euphrate d'inonder Babylone et l'appellation d'une des portes de la ville[7].

Le prêtre-historien Bérose, très critique à l'égard des Persica de Ctésias, dans son Babylõniaká (« Histoire de Babylone » écrit en grec entre et ), fait correspondre, dans sa ligne du temps, le nom de Sémiramis à celui de Sammuramat, reine assyrienne de la fin du IXe siècle av. J.-C.[5] - [8] - [9].

La légende

Sémiramis est la fille de Dercéto (Derketô), une déesse mi-femme mi-poisson qui, selon Lucien de Samosate (IIe siècle av. J.-C.), vit dans un lac voisin d'Ascalon, et de Caÿstros, le fils présumé d'Achille et de Penthésilée (ou d'un jeune Syrien[10]). Cette union est provoquée par Aphrodite et, ne se rendant compte de son acte, après la naissance de Sémiramis, Dercéto assassine Caÿstros et se réfugie au fond du lac en abandonnant sa fille. Le nouveau-né voué à la mort, est pourtant nourri par des colombes dérobant le lait et le fromage dans les bergeries de la région. Découverte par les bergers intrigués par ce manège, elle est confiée à leur chef Simios (principal gardien des troupeaux du roi Ninus de Ninive[10]) qui lui donne le nom de « Sémiramis » (« qui vient des colombes » en langue assyrienne)[11].

Devenue jeune femme, elle est remarquée pour sa beauté et son intelligence. Elle épouse Onnès, un jeune général (ou conseiller) du roi Ninus[10]. Elle conseille son mari de façon si habile qu'il réussit dans la totalité de ses entreprises. Mais, lors d'une expédition en Bactriane, Onnès en difficulté commet l'erreur d'appeler sa femme qui aussitôt se déplace habillée de vêtements qui rendent impossible de discerner son sexe et, à la tête d'un groupe de soldats montagnards, s'empare de la citadelle de Bactres et de ses trésors. Ninus tombe amoureux de Sémiramis et contraint Onnès au suicide. Le roi épouse alors la belle sans difficulté. Elle lui donne un fils Ninyas. Peu de temps après, Ninus meurt et Sémiramis lui succède pour un règne de 42 ans. À la mort de son mari, elle lui fait ériger un tombeau d'une hauteur exceptionnelle[11]. Diodore remarque qu'après la mort de Ninus, elle ne s'est jamais remariée, mais qu'elle a eu de nombreux amants qu'elle a fait disparaître[12].

Pendant son règne, Sémiramis fonde Babylone[13] - [11] et y supervise de nombreux travaux de construction, parmi lesquels les célèbres jardins suspendus, le temple de Marduk (ou de Bel) et l'irrigation de l'Euphrate afin de préserver la ville de ses inondations. Cependant, pour l'historienne Stephanie Dalley, si Quinte-Curce écrit au Ier siècle apr. J.-C. que Sémiramis fonde Babylone, Diodore écrit que l'héroïne fonde une grande ville en Babylonie sur l'Euphrate, mais il ne nomme pas réellement cette ville[14]. Il est cependant à noter que, trois siècles plus tôt, Bérose critique les Persica de Ctésias notamment sur le fait que Sémiramis n'est pas la fondatrice de Babylone[5] - [15].

Reine guerrière, elle part en campagne contre les Mèdes, les Perses, l’Égypte (où elle interroge l’oracle d’Amon), la Libye, l’Éthiopie, et la Bactriane[11]. L'oracle d'Amon lui apprend que, lorsque son fils Ninyas conspirera contre elle, elle devra disparaître et se voir accorder un honneur immortel[16]. Au IIe siècle apr. J.-C., Polyen raconte qu'à la nouvelle de la révolte des Siraques, un peuple installé entre le Caucase et le Don, elle n’hésite pas à interrompre son bain pour partir réprimer la révolte, pieds nus et « sans se donner le temps de raccommoder ses cheveux »[11].

Sa dernière expédition la mène jusqu'à l'Inde, où, face à une armée d'éléphants, elle est blessée et refoulée par Stabrobatès le roi d'Inde lui-même. Elle était à la tête d'une armée de trois millions de fantassins et de 500 000 cavaliers. Lors de son retour d'Inde, elle apprend que ses fils conspirent avec les eunuques du palais. Comme lui a conseillé l'oracle d'Ammon qu'elle a consulté pendant ses conquêtes, elle remet alors le pouvoir à son fils Ninyas et disparaît. Elle se transforme alors en colombe et s'envole au milieu d'une volée d'oiseaux. Par la suite, Ninyas succède à Sémiramis et mène une vie parmi les femmes, évite les hommes et les activités guerrières, mais se bat pourtant avec audace lorsque son royaume est menacé. Sémiramis est vénérée comme une déesse et son peuple vénère également les colombes[11] - [17].

Les origines de Sémiramis

Même s'il est évident que le récit de Ctésias/Diodore n'a aucun rapport avec des faits réels alors qu'il se voulait à l'époque un récit historique , la légende de Sémiramis n'est qu'en partie inventée par les deux historiens antiques : dans sa Persica, Ctésias utilise des traditions orales plus anciennes probablement née en Mésopotamie[18] - [19]. Par exemple, Xanthos de Lydie a une variante au conte de Derceto antérieure aux Persica, de sorte qu'il est clair que Ctésias n'est pas seul créateur de l'histoire entière[20].

Aucune trace de ses légendes ne subsiste cependant dans les écrits cunéiformes mésopotamiens[18], mais plusieurs endroits en Assyrie et à travers la Mésopotamie, la Médie, la Perse, le Levant, l'Asie Mineure, l'Arabie et le Caucase, portent, ont porté le nom de Sémiramis ou l'ont retenu d'une manière ou d'une autre[Note 2], laissant la possibilité d'imaginer une figure populaire, littéraire ou légendaire de Sémiramis déjà bien implantée dans le folklore persan ou grec[19].

Le personnage de Sémiramis, reine assyrienne, est fort probablement un personnage de type syncrétique (composé à partir de plusieurs personnages réels ou fictifs). En dépit des 29 successeurs qui ont été donnés à Sémiramis, suggérant plusieurs siècles de dirigeants, le personnage de la légendaire reine assyrienne semble avoir été largement façonné auprès de deux reines néo-assyriennes dont l'existence est historiquement avérée : les reines Zakutu et Sammuramat[19] - [22]. Celles-ci ayant put être revêtue de l'aura d'une déesse kassite proche de la déesse Astarté ou Ishtar[19].

Deux reines assyriennes

La reine assyrienne Sammuramat est l'épouse de Shamshi-Adad V (-) et mère d'Adad-nerari III (-)[23] dont elle semble assurer la régence à la mort de son époux en Pendant les cinq années entre le règne du père et celui du fils, elle détient apparemment le pouvoir et son l'autorité semble plus forte que les autres femmes de roi d'Assyrie. La stèle de Pazarcık qui date de mentionne, par exemple, sa participation directe à une campagne militaire avec (ou sans) son fils Adad-nerari III à l'Ouest de l'Euphrate afin de réprimer une révolte dans le sud de l'Anatolie[24] - [25]. Après une période d'importance politique pendant laquelle elle semble gouverner aux côtés d'Adad-nerari III son fils, Sammuramat semble se retirer au profit de ce dernier pour une vie de prêtrise dans l'un des temples d'Assyrie, peut-être le temple de Nabû à Nimroud où des statues lui avaient été précédemment dédiées[26]. Sammuramat meurt probablement vers [27].

D'origine araméenne, Zakutu est la femme de Sennachérib souverain assyrien de à héritier direct de Sargon II. L'un des actes principaux du souverain est l'agrandissement, la fortification et l'embellissement de la ville de Ninive, en faisant d'elle la capitale de l'empire assyrien. En , alors qu'il doit faire face à une rébellion, Sennachérib détruit la ville de Babylone. L'acte lui vaut une réputation de sacrilège et il est tué en Sous le règne de son fils Assarhaddon, Zakutu supervise la reconstruction de Babylone[28].

Il semble donc que le couple Sennachérib/Zakûtu inspire la reconstruction de Ninive par le roi Ninus (équivalent grec du nom « Ninive ») et la fondation de la Babylone par la Sémiramis de la version de Ctésias reprise par Diodore. Il en va de même avec le couple Sammuramat/Shamshi-Adad V : après la mort de son père et après une période de régence, un grand nombre de conquêtes sont effectuées par Adad-nerari III, au même titre que celle de la légendaire reine Sémiramis après à la mort de son mari Ninus dont elle avait un fils. Notons que les nombreuses conquêtes attribuées à Sémiramis correspondent à peu près à celles attribuées par les scribes de l'époque au fils de Sammuramat, Adad-nerari III[Note 3] - [13].

Ishtar et les colombes

D'après plusieurs sources babyloniennes et assyriennes, la déesse du pays kassite et en particulier celle de l'Inscription de Behistun par ailleurs, indiqué par Ctésias/Diodore comme un lieu créé par Sémiramis se nomme Shimaliya. Celle-ci possède beaucoup de traits communs avec la déesse babylonienne Ishtar, et peut avoir été plus tard absorbée par la figure de la reine Sémiramis[30].

Ishtar, est la déesse babylonienne de l'amour et de la guerre. Comme dans le récit, cette déesse est parfois représentée sous la forme d'une colombe. Dans un autre récit, la Descente d'Ishtar aux Enfers, elle tue également son amant, tout comme le font Derceto et Semiramis : Derceto supprime Caÿstros avec qui elle conçoit Sémiramis, tandis que Sémiramis, même si elle n'est pas directement responsable de la mort de son compagnon Onnès, pousse tout de même le père de ses deux fils aînés au suicide. En outre, après la mort de Ninus, elle met régulièrement à mort ses amants[31].

Culture

Littérature et musique

Le personnage de Sémiramis a inspiré de nombreux auteurs :

Cinéma

Sémiramis a fait l'objet de plusieurs péplums, dont les films italiens :

Télévision

  • Sémiramis apparaît dans l'œuvre Fate/Apocrypha en tant qu'assassin des Rouges.

Art contemporain

Jeux de société

  • Sémiramis figure parmi les 49 personnages antiques représentés dans l'extension Leaders du jeu de société 7 Wonders.

Notes et références

Notes

  1. Le fait que Diodore ait consulté une copie des Persiques ou qu'il se soit inspiré des récits légendaires racontés à son époque suscite encore débat[1] - [2].
  2. Il se peut, par exemple, que le nom originel de la ville de Van était Šamiramagerd (« Créée par Šamiram »), au temps où l'Arménie était incluse dans l'Empire assyrien[21].
  3. Mais il existe un débat sur l'importance de la participation de Sammuramat dans les décisions prises par son fils et ce dans un contexte historique où les empereurs ont tendance, l'empire s'étendant, à déléguer de plus en plus leur pouvoir sans que, pour cela, leur prestige ne diminue. Ce qui expliquerait l'absence de la reine-mère dans les discours des scribes[29].

Références

  1. Francis Joannès, « Sémiramis, une reine assyrienne de légende », sur histoire-et-civilisations.com, (consulté le ).
  2. (en) Deborah Gera, Warrior Women : The Anonymous Tractatus De Mulieribus, Oxford, Oxford University Press, coll. « BRILL », , 265 p. (ISBN 978-90-04-10665-9, présentation en ligne), p. 66
  3. (en) Jan Stronk, « Semiramis’ Legacy », dans Jan Stronk, Semiramis’ Legacy, Edinburgh, Edinburgh University Press, (DOI 10.1515/9781474414265-015 Accès payant, lire en ligne), p. 526.
  4. Georges Roux, La Mésopotamie, Paris, Éditions du Seuil, coll. « Points Histoire », (ISBN 9782020236362), p. 346 et 347 pages totales=600
  5. Gera 1997, p. 66.
  6. (en) Robert Rollinger et Eckart Frahm (éditeur), « Assyria in Classical Sources », dans A Companion to Assyria, Padstow, Cornwall, John Wiley & Sons Ltd, , 643 p. (DOI https://doi.org/10.1002/9781118325216.ch30 Accès payant), p. 570-571.
  7. (en) Reinhard Bernbeck, « Sex/Gender/Power an Šammuramat: A View from the Syrian Steppe », dans Dominik Bonatz, Rainer M. Czichon, F. Janoscha Kreppner, Fundstellen Gesammelte Schriften zur Archäologie und Geschichte Altvorderasiens ad honorem Hartmut Kühne, Wiesbaden, Harrassowitz Verlag, , 395 p. (ISBN 978-3447057707)
  8. Roux 1995, p. 347.
  9. (en) Paul‐Alain Beaulieu et Eckart Frahm (éditeur), « Assyria in Late Babylonian Sources », dans A Companion to Assyria, Padstow, Cornwall, John Wiley & Sons Ltd, , 643 p. (DOI https://doi.org/10.1002/9781118325216.ch28 Accès payant), p. 552.
  10. Joël Schmidt, Dictionnaire de la mythologie grecque et romaine, Paris, Larousse, 1965-1969 (ISBN 2-03-075408-0), p. 279.
  11. Francis Joannès 2021.
  12. Bernbeck 2008, p. 353.
  13. Stronk 2017, p. 529-530.
  14. (en) Stephanie Dalley, The mystery of the Hanging Garden of Babylon, Oxford, Oxford University Press, , 303 p., p. 20 & 120.
  15. Beaulieu et Frahm 2017, p. 552.
  16. Gera 1997, p. 71.
  17. Gera 1997, p. 71 & 82.
  18. Gera 1997, p. 66-67.
  19. Stronk 2017, p. 526-527.
  20. Gera 1997, p. 70.
  21. Stronk 2017, p. 526.
  22. Bernbeck 2008, p. 3359-364.
  23. Gera 1993, p. 69.
  24. Frahm 2017, p. 174.
  25. Siddall 2013, p. 91, 92.
  26. (en) Stephanie Dalley, « Cultural Borrowings and Ethnic Appropriations in Antiquity », dans Erich S. Gruen, Cultural Borrowings and Ethnic Appropriations in Antiquity. Oriens et Occidens. : Studien zu antiken Kulturkontakten und ihrem Nachleben 8, Stuttgart, Franz Steiner, (ISBN 3515087354), p. 14.
  27. Frahm 2017, p. 174.
  28. Stronk 2017, p. 529.
  29. Bernbeck 2008, p. 363-364.
  30. Stronk 2017, p. 527.
  31. (en) Deborah Gera, Warrior Women : The Anonymous Tractatus de Mulieribus, vol. 1, Leyde, Brill, coll. « Mnemosyne suppl. », , 264 p. (ISBN 90-04-10665-0), p. 72.
  32. « La véritable histoire de Sémiramis, la légendaire reine assyrienne », sur National Geographic, (consulté le ).
  33. Earl Jeffrey Richards, « À la recherche du contexte perdu d’une ellipse chez Christine de Pizan : la “coagulence regulée” et le pouvoir politique de la reine », Acadomia, , p. 5 (lire en ligne).
  34. Benoît Dratwicki, Antoine Dauvergne (1713-1797), Wavre/Lagny-sur-Marne, Mardaga / Sodis diff., , 479 p. (ISBN 978-2-8047-0082-9, lire en ligne), p. 250.
  35. Voltaire (1694-1778) Auteur du texte, La tragédie de Sémiramis , par M. de Voltaire. Et quelques autres pièces de littérature du même auteur, qui n'ont point encore paru, (lire en ligne).
  36. Paul Fièvre, « Sémiramis, tragédie », sur theatre-classique.fr (consulté le ).
  37. (en) « Questions sur l’Encyclopédie. Voltaire Foundation » (consulté le ).
  38. https://menoventi.com/fr/semiramis/.
  39. Musée de Brooklyn - Centre Elizabeth A. Sackler - Sémiramis.

Annexes

Sources

Bibliographie

  • Pierre Marello, « Les Femmes et le Palais » dans Les dossiers d'archéologie no 171, mai 1992, pp. 50-55.

Articles connexes

Liens externes

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