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RĂ©giment de la Garde Pavlovski

Le RĂ©giment de la Garde Pavlovski, (en langue russe : ПаĐČĐ»ĐŸĐČсĐșĐžĐč лДĐčб-ĐłĐČарЮоо ĐżĐŸĐ»Đș) fut crĂ©Ă© le par Paul Ier de Russie.

RĂ©giment de la Garde Pavlovski
Image illustrative de l’article RĂ©giment de la Garde Pavlovski
Insigne régimentaire du Régiment de la Garde Pavlovski

Création 1796
Dissolution 1918
Pays Drapeau de l'Empire russe Empire russe
Type RĂ©giment d’infanterie
Garnison Saint-PĂ©tersbourg
Devise Dieu avec nous
Anniversaire 23 novembre, Saint Alexandre Nevski
Guerres
Batailles

Historique du RĂ©giment de la Garde Pavlovski

Le , Catherine II de Russie crĂ©a le Bataillon d’infanterie Tenginski, de nouvelles recrues, des soldats du rang des rĂ©giments de Moscou formĂšrent un rĂ©giment d’infanterie composĂ© de quatre bataillons et de quatre compagnies. Le , il reçut le nom de RĂ©giment de Grenadiers (Grenaderski) de Moscou (Moskovski). Le , les deux bataillons, les deux compagnies de rĂ©serve du RĂ©giment de Moscou formĂšrent le RĂ©giment de Grenadiers Pavlovski.

Le , le RĂ©giment de Grenadiers se composa de deux bataillons dĂ©jĂ  existants et d’un bataillon de rĂ©serve formĂ© de deux compagnies.

Le , le régiment fut réorganisé en deux bataillons, chacun fut doté de grenadiers et de mousquetaires.

En 1798, Paul Ier de Russie renomma ce régiment, il porta le nom de son commandant le major-général Ivan Fiodorovitch Emme puis le , il prit le nom du major-général Henrik Petrovitch Kerbits. Le , Alexandre Ier de Russie le restaura dans son ancien nom[1].

Le RĂ©giment de la Garde Pavlovski reçut son baptĂȘme du feu au cours de la Guerre de la DeuxiĂšme Coalition. Sous les ordres du lieutenant-gĂ©nĂ©ral Herman il prit part Ă  l’ExpĂ©dition russe en Hollande. En 1799, il fut engagĂ© dans les batailles de Bergen, Castricum puis Batum le [1].

Le , sous les ordres du lieutenant-gĂ©nĂ©ral et comte Alexandre Ostermann-TolstoĂŻ, le RĂ©giment fut engagĂ© dans l’ExpĂ©dition de Hanovre. Le , les Grenadiers du RĂ©giment Pavlovski engagĂšrent la bataille prĂšs du petit village de Czarnovo, le , ils s’illustrĂšrent Ă  la bataille de PuƂtusk[1].

Le , le RĂ©giment dĂ©montra sa vaillance lors de la bataille d'Eylau. En 1807, la 2e division du RĂ©giment s’illustra par sa bravoure au cours des combats de Lindenau, les batailles d’Heilsberg. Au cours des combats qui se dĂ©roulĂšrent pendant la bataille de Friedland, leur commandant, le major-gĂ©nĂ©ral NikolaĂŻ NikolaĂŻevitch Mazovski (1756-1807) fut mortellement blessĂ© par des tirs de mitraille, avant de rendre son dernier soupir, ses derniĂšres paroles furent « Amis, ne vous dĂ©couragez pas ! »[2] En considĂ©ration pour le comportement hĂ©roĂŻque du rĂ©giment au cours de la bataille de Friedland, le , Alexandre Ier de Russie imposa au rĂ©giment le port de la mitre recouverte d’une plaque de cuivre criblĂ©e d’impacts de balles et de mitrailles reçus au cours de cette bataille de la Campagne de Prusse, ces mitres subsistĂšrent jusqu’en 1914, en effet, 532 d’entre elles prĂ©servĂ©es de l’usure du temps furent encore portĂ©es par les Grenadiers du RĂ©giment de la Garde Pavlvoski au dĂ©but de la PremiĂšre Guerre mondiale[3]. Le de la mĂȘme annĂ©e, le patronyme de chacun de ces hĂ©roĂŻques grenadiers fut inscrit sur la plaque cuivrĂ©e de sa mitre.

En 1812, le Régiment de la Garde Pavlovski fut incorporé à la 1re Division de Grenadiers, au 3e Corps placé sous le commandement du lieutenant-général Nikolaï Alexeïevitch Toutchkov (1765-1812).

Dans les rangs du 1er Corps d’ArmĂ©e placĂ© sous le commandement du marĂ©chal Pierre Wittgenstein, le , le rĂ©giment s’illustra Ă  la Borodino. Les Grenadiers de la garde disposĂ©s a Outitza, bourgade situĂ©e sur la route de Smolensk engagĂšrent le combat contre la Ve ArmĂ©e commandĂ©e par le marĂ©chal JĂłzef Antoni Poniatowski. NikolaĂŻ AlexeĂŻevitch Toutchkov, commandant ses valeureux grenadiers russes fut atteint d’une balle en pleine poitrine, aprĂšs trois semaines d’agonie, il dĂ©cĂšdera des suites de sa blessure[3]. Entre le 15 novembre et le , Ă  KrasnoĂŻ, le RĂ©giment de la Garde Pavlovski placĂ© sous les ordres du colonel Iegor Khristoforovitch Richter remportĂšrent une nouvelle victoire sur la Grande ArmĂ©e[1]. Le 2e Bataillon s’illustra aux batailles de Kliastitsy, Polotsk, et la BĂ©rĂ©zina.

En 1813, pour ses hauts faits d’armes, au cours d’une cĂ©rĂ©monie, Alexandre Ier de Russie leur accorda le titre de RĂ©giment de la Garde Pavlovski.

La 2e Brigade de la 2e Division d’infanterie de la Garde rencontra l’ArmĂ©e française Ă  LĂŒtzen, le , ils furent dĂ©faits prĂšs de la ville saxonne de Bautzen. Le , ils furent de nouveau vaincus Ă  Dresde. À Kulm, le , la 2e brigade remporta une victoire sur les Français. Au sein, de l’armĂ©e des CoalisĂ©s, elle remporta la grande victoire de Leipzig[3].

En 1814, le rĂ©giment fut engagĂ© dans la Campagne de France et s’illustra lors de la Prise de Paris, il engagea le combat prĂšs du PrĂ©-Saint-Gervais. AprĂšs une entrĂ©e victorieuse dans la capitale, le rĂ©giment bivouaqua au bois de Boulogne[3].

Les premier et deuxiĂšme bataillons du RĂ©giment de la Garde Pavlovski furent impliquĂ©s dans le conflit opposant la Russie Ă  la Turquie. Le , ils mirent le siĂšge sur le cĂŽtĂ© septentrional de la forteresse de Varna, en , ils engagĂšrent le combat contre les Turcs sur le cĂŽtĂ© sud de la forteresse. Le 3 octobre, ils reçurent la mission d’acheminer les prisonniers de l’Empire ottoman dans la ville de Varna, lieu de leur dĂ©tention[4].

Le , pour le courage et la bravoure dont firent preuve les 1er et 3e bataillons du RĂ©giment de la Garde Pavlovski au cours de l’Insurrection de novembre 1830, les privilĂšges et les droits de la vieille garde furent accordĂ©s au RĂ©giment de la Garde Pavlovski.

En 1863, le Régiment fut engagé dans la répression menée contre les rebelles polonais.

La Russie ayant dĂ©clarĂ© la guerre Ă  l’Empire ottoman le , l’ArmĂ©e impĂ©riale de Russie se transporta en Roumanie. Le RĂ©giment de la Garde Pavlvoski avec une partie de l’armĂ©e embarqua Ă  Galați, traversa le Danube et dĂ©barqua dans le port roumain de Brăila. Les grenadiers du rĂ©giment furent acheminĂ©s vers la rĂ©gion de Dobroudja oĂč, le , ils prirent d’assaut le vallon occupĂ© par les troupes turques. Sous le commandement du feld-marĂ©chal Iossif Vladimirovitch Gourko (1828-1901), le , prĂšs du village de Tachkisen (village de Bulgarie), dans une neige trĂšs profonde, le rĂ©giment engagea la bataille contre les Turcs, malgrĂ© de multiples obstacles, ils remportĂšrent une grande victoire sur l’ArmĂ©e de l’Empire ottoman[5]. Lors de son raid Ă  travers les Balkans, du 21 novembre au , dans les montagnes d’Arab-Konak et Chandornik, les grenadiers de la Garde s’illustrĂšrent lors de la prise de bastions alors occupĂ©s par les troupes turques[6]. Du 15 janvier au , le RĂ©giment de la Garde livra bataille dans les collines entourant la ville de Philippol en RoumĂ©lie orientale.

Le Régiment de la Garde Pavlovski fut engagé dans la PremiÚre Guerre mondiale.

Le , certaines unitĂ©s du RĂ©giment de la Garde Pavlovski prirent les armes contre les manifestants massĂ©s sur la Perspective Nevski. Ce jour-lĂ , on ne dĂ©plora aucune victime. Ce mĂȘme jour, vers trois heures, la 4e Compagnie de Grenadiers de la Garde se rendit Ă  l’armurerie, se saisit des armes puis se mĂȘla Ă  la foule, les officiers du rĂ©giment tentĂšrent de ramener les hommes dans leur caserne, mais ce fut un Ă©chec. La compagnie, sous le commandement d’une enseigne se dirigea vers le canal Iekaterina oĂč, s’unissant Ă  la police commença Ă  tirer. PossĂ©dant peu de munitions, ils durent se rĂ©soudre Ă  regagner leur caserne. Aucune des unitĂ©s du bataillon ne leur prĂȘtant main-forte, la compagnie resta isolĂ©e, assiĂ©gĂ©s, les grenadiers de la 4e Compagnie furent contraints Ă  rendre les armes. On procĂ©da Ă  l’arrestation de 19 soldats de cette compagnie. EncadrĂ©s par des hommes de troupes, ils furent amenĂ©s Ă  la forteresse Troubetzkoy. Chacun des 19 soldats s’attendaient Ă  une mort certaine, mais, le soulĂšvement du RĂ©giment de Volhynie ayant gagnĂ© certains bataillons de rĂ©serve de la Garde, ceux-ci eurent la vie sauve. Le colonel Eksten fut tuĂ© au cours de cette mutinerie[7].

Chronologie historique

Uniformes du régiment de la Garde Pavlovski.

Récompenses et honneurs régimentaires

  • En 1813, le drapeau de Saint-Georges fut attribuĂ© Ă  chaque bataillon du RĂ©giment de la Garde Pavlovski avec inscrit : En rĂ©compense pour la dĂ©faite et l’expulsion de l’ennemi hors de la Russie en 1812, en outre il reçut le ruban de l’Ordre de Saint-AndrĂ©.
  • En considĂ©ration pour le comportement hĂ©roĂŻque du rĂ©giment au cours des batailles de 1806 et 1807, le , Alexandre Ier de Russie imposa au rĂ©giment le port de la mitre recouverte d’une plaque de cuivre criblĂ©e d’impacts de balles et de mitrailles reçus au cours de la bataille de Friedland lors la Campagne de Prusse. Ces mitres subsistĂšrent jusqu’en 1914, et 532 d’entre elles, prĂ©servĂ©es de l’usure du temps, furent encore portĂ©es par les Grenadiers du RĂ©giment de la Garde Pavlvoski au dĂ©but de la PremiĂšre Guerre mondiale.
  • L’inscription sur la plaque de laiton recouvrant les mitres : Combats de la Montagne Doubniak, le .
  • DĂ©diĂ©e au RĂ©giment de la Garde Pavlsovski, l’église du Bienheureux prince Alexandre Nevski situĂ©e au centre de Saint-PĂ©tersbourg fut construite au dĂ©but du XIXe siĂšcle. À l’intĂ©rieur de cet Ă©difice religieux sont conservĂ©s les uniformes d’Alexandre Ier de Russie, de son frĂšre, l’empereur Nicolas Ier de Russie, d’Alexandre II de Russie et d’Alexandre III de Russie[8].

L’uniforme en 1802

  • La mitre, coiffure emblĂ©matique des Grenadiers du RĂ©giment de la Garde Pavlovski se composait Ă  l’avant d’une plaque de laiton avec, en son centre, l’étoile d’argent de l’Ordre de Saint-AndrĂ©, au-dessus, l’aigle bicĂ©phale et la devise du rĂ©giment gravĂ©s dans le cuivre Dieu avec nous. Au bas de la mitre, l’inscription Combats de la Montagne Doubniak, le . L’arriĂšre de la mitre, se composait d’un bandeau ornĂ© de trois grenades de couleur or, d’une coiffe rouge le tout surmontĂ© d’un pompon blanc[9].
  • la vareuse en drap vert foncĂ©, le bonnet de police (dit Ă  la dragonne), la culotte dont le tissu diffĂšre selon la saison, en drap blanc pour la saison hivernale, en coton blanc pour l’étĂ©. Les bottes en cuir noir s’arrĂȘtant sous le genou. La capote en drap Ă©cru.

Équipement

  • deux sangles de cuir destinĂ©es Ă  porter la giberne, cette derniĂšre est confectionnĂ©e dans un cuir de couleur noire, sur le dos du grenadier, le havresac en cuir noir, la bretelle du fusil de couleur rouge.

Armement

Le grenadier du RĂ©giment Ă©tait armĂ© d’un fusil du modĂšle 1796, d’une baĂŻonnette, d’un sabre briquet accrochĂ© sur le cĂŽtĂ© gauche du soldat[3].

Les uniformes, l’armement et l’équipement Ă©volueront au cours des annĂ©es : 1807, 1808, 1813.

Particularismes régimentaires

Uniforme de cérémonie du Régiment de la Garde Pavlovski en 1910

À l’époque des Guerres napolĂ©oniennes, les cheveux des grenadiers de la Garde du RĂ©giment Pavlovski Ă©taient liĂ©s au bas de la nuque par un ruban noir et cachĂ©s par le col de la vareuse de couleur verte. Ils se distinguaient par le port de la moustache et des rouflaquettes[3]. En hommage Ă  Paul Ier de Russie, les hommes du rang formant le RĂ©giment de la Garde Pavlovski avaient un nez court et aplati comme l’empereur[10].

Le drapeau du rĂ©giment de La garde Pavlsovki se composait d’une croix orange sur fond blanc. En son centre un mĂ©daillon de couleur orange, Ă  l’intĂ©rieur de celui-ci, l’aigle bicĂ©phale noir surmontĂ© de la couronne impĂ©riale de Russie[11].

Description de l’insigne rĂ©gimentaire du RĂ©giment de la Garde Pavlovski

L’insigne du rĂ©giment de la Garde Pavlsovki fut une copie de la croix prussienne remise aux combattants ayant participĂ© Ă  la bataille d’Eylau. En son centre, l’inscription : La victoire d’Eylau le .

Chefs du RĂ©giment de la Garde Pavlovski

Le major-général Nikolaï Nikolaïevitch Mazovski, commandant du Régiment de la Garde Pavlovski de 1803 à 1807

Commandants du RĂ©giment de la Garde Pavlovski

Lieutenant-général Alexandre Ivanovitch Tsvilenev, commandant du régiment de la Garde Pavlovski de 1799 à 1806

Personnalités célÚbres ayant servi au Régiment de la Garde Pavlovski

TraversĂ©e du Danube par l’ArmĂ©e impĂ©riale de Russie Ă  Ziminica, le , une Ɠuvre du peintre russe NikolaĂŻ Dmitrievitch Dmitriev-Orenbourgski (1883)
  • NikolaĂŻ Alexandrovitch Akherverdov : (1800-1876), Lieutenant-gĂ©nĂ©ral, gouverneur militaire de Smolensk, sĂ©nateur, il servit dans le RĂ©giment de la Garde Pavlovski de 1829 Ă  1830 ;
  • Konstantin Iakovlevitch Beliavski : (1802-1857), gĂ©nĂ©ral d’infanterie, il s’illustra au cours de l’Insurrection de novembre 1830, la Campagne du Caucase et la Guerre de CrimĂ©e, en service dans le RĂ©giment de la Garde Pavlovski de 1817 Ă  1818 ;
  • Vladimir Antonovitch Berezovski : (1852-1917), il servit dans le RĂ©giment de la Garde Pavlovski de 1877 Ă  1882 ;
  • Ivan Minitch Bogdanov : (1802-1867), Major-gĂ©nĂ©ral, il prit part Ă  la Guerre russo-turque de 1828-1829, la Campagne du Caucase, en service dans le RĂ©giment de la Garde Pavlovski de 1833 Ă  1837 ;
  • AlexeĂŻ Dmitrievitch Boutovski : (1838-1917), Major-gĂ©nĂ©ral, l’un des fondateurs et membre du ComitĂ© international olympique (CIO) ;
  • NikolaĂŻ Dmitrievitch Boutovski : gĂ©nĂ©ral d’infanterie, thĂ©oricien et praticien de l’entraĂźnement militaire ;
  • NikolaĂŻ NikolaĂŻevitch Veliaminov : (1822-1892), gĂ©nĂ©ral d’infanterie, il participa Ă  la rĂ©pression menĂ©e lors de l’Insurrection de 1830, la Guerre russo-turque de 1877-1878, il servit dans le RĂ©giment de la Garde Pavlvoski de 1860 Ă  1863 ;
  • Konstantin Ivanovitch Gershelman : (1825-1898), gĂ©nĂ©ral d’infanterie, il participa Ă  l’expĂ©dition en Hongrie (1849), la Guerre russo-turque de 1877-1878, en service dans le RĂ©giment de la Garde Pavlovski de 1844 Ă  1848 ;
  • Ievgeni Alexandrovitch Jdanov : (1839-1892), lieutenant-gĂ©nĂ©ral d’artillerie, chef du DĂ©partement de topographie du district militaire du Caucase, il servit dans le RĂ©giment de la Garde Pavlovski de 1856 Ă  1858 ;
  • Valeriane Platonovitch Zaroubaev : (?-1890), lieutenant-gĂ©nĂ©ral, il prit part Ă  l’expĂ©dition russe en Hongrie lors de la rĂ©volution hongroise de 1848, il s’illustra au cours des Guerres de CrimĂ©e et russo-turque de 1877-1878 ;
  • Konstantin AlexeĂŻevitch Rounov : (1839-1877), colonel, il prit part Ă  la Campagne de Pologne de 1863 et Ă  la Guerre russo-turque de 1877-1878, il servit dans le RĂ©giment de la Garde Pavlovski de 1859 Ă  1861 ;
  • MikhaĂŻl Ivanovitch Semevski : (1837-1892), historien, journaliste, il servit dans le RĂ©giment de la Garde Pavlovski de 1855 Ă  1861 ;
  • MikhaĂŻl Fiodorovitch Skorodoumov : (1892-1963), gĂ©nĂ©ral, il participa Ă  la PremiĂšre Guerre mondiale puis Ă  la Guerre civile russe, il fut le fondateur du Corps russe en Serbie (corps formĂ© d’émigrĂ©s russes qui combattit les partisans communistes de Tito en Yougoslavie pendant la Seconde Guerre mondiale), il servit dans le RĂ©giment de la Garde Pavlovski de 1915 Ă  1917 ;
  • Fiodor Karlovitch Schearman : (1780-1853), lieutenant-gĂ©nĂ©ral, l’un des hĂ©ros de la Guerre patriotique de 1812, la Guerre de la SixiĂšme Coalition, la Campagne de Polonaise en 1830 ;
  • MikhaĂŻl Alexandrovitch Ebeling : (1831-1877), colonel, hĂ©ros de la Guerre russo-turque de 1877-1878, il servit dans le RĂ©giment de la Garde Pavlovski de 1852 Ă  1869.

Association du RĂ©giment de la Garde Pavlovski

Les ex-membres du RĂ©giment de la Garde Pavlsovski fondĂšrent l’Association du RĂ©giment, en 1951, on dĂ©nombrait 14 personnes[12].

Les officiers du Régiment de la Garde Pavlovski tués au cours de la PremiÚre Guerre mondiale, la Guerre civile russe ou victimes de la Terreur rouge

Les membres de la famille impĂ©riale en service dans les rĂ©giments de la Garde impĂ©riale ne sont pas comptabilisĂ©s dans le nombre d’officiers tuĂ©s au cours ces pĂ©riodes de guerre.

Notes et références

Source

Annexes

Articles connexes

Liens externes

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