Pommeréval
Pommeréval est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Pommeréval | |||||
L'Ă©glise Saint-Nicolas. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Normandie | ||||
DĂ©partement | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Dieppe | ||||
Intercommunalité | CC Communauté Bray-Eawy | ||||
Maire Mandat |
Sophie Tourneur 2020-2026 |
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Code postal | 76680 | ||||
Code commune | 76506 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Les Pommerévalais | ||||
Population municipale |
496 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 65 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 49° 44âČ 14âł nord, 1° 18âČ 53âł est | ||||
Altitude | Min. 117 m Max. 213 m |
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Superficie | 7,6 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Rouen (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de NeufchĂątel-en-Bray | ||||
LĂ©gislatives | 10e circonscription de la Seine-Maritime | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-Maritime
GĂ©olocalisation sur la carte : Normandie
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GĂ©ographie
Localisation
PommerĂ©val est une commune rurale et forestiĂšre du Pays de Bray, dont le sud du territoire constitue une partie de la ForĂȘt d'Eawy[1].
Elle est desservie par le tracé initial de l'ex-RN 15 (actuelle RD 915) et est située à 27 km au sud-est de Dieppe et de la Manche, à 37 km au nord-est de Rouen et à 72 km au sud-ouest d'Amiens.
Communes limitrophes
Mesnil-Follemprise | ||||
Ardouval | N | Fresles | ||
O Pommeréval E | ||||
S | ||||
Ventes-Saint-RĂ©my |
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Buchy », sur la commune de Buchy, mise en service en 1960[8] et qui se trouve Ă 18 km Ă vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 901,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă 40 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă 10,5 °C pour 1981-2010[13], puis Ă 11 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Pommeréval est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (59,7 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (59,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (49,9 %), prairies (18,6 %), terres arables (16,9 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (9,8 %), zones urbanisĂ©es (4,7 %)[20].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[21].
Toponymie
Le nom de la localitĂ© est attestĂ© sous les formes Pommereval entre 1248 et 1275; Apud Pomereval en 1248; de Pomerval en 1260; Fief de Pommerval entre 1521 et 1543[22]; Pommereval en 1337; Poumiereval en 1431 (Longnon); Pommerval en 1433; Pommereval entre 1460 et 1501; Ecclesia parrochia Sancti Nicolai de Pommereval en 1646; Pommereval en 1648; Pommeraival en 1704 (PouillĂ©); Saint Nicolas de Pommerval (ou Pommereval) en 1716[23]; Garde de Pommereval en forĂȘt d'Eavy en 1732[24] et en 1757[25]; Pommereval en 1715 (FrĂ©mont)[26].
De la langue d'oïl pommeraie et val, ce qui peut signifier : « pommeraie de la vallée » comme : « vallée de la pommeraie »[27].
Histoire
Des monnaies et tuiles romaines ont été retrouvées sur le territoire communal[28].
- Seconde Guerre mondiale
L'armée allemande a aménagé une piste de lancement de V1 au site du Val-Ygot, située au hameau le haut de Fresles, au sud de Pommeréval. Elle a été bombardée par l'aviation alliée, notamment le [29].
Politique et administration
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la dixiÚme circonscription de la Seine-Maritime.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Bellencombre[30]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, Cropus est désormais rattaché au canton de Neufchùtel-en-Bray.
Intercommunalité
La commune était membre de la communauté de communes du Bosc d'Eawy, créée en 2002.
Dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale prévu par la Loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , cette intercommunalité a été supprimée et ses communes intégrées dans les intercommunalités voisines.
C'est ainsi que Pommeréval est membre depuis le de la communauté Bray-Eawy.
Liste des maires
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[35].
En 2020, la commune comptait 496 habitants[Note 8], en augmentation de 14,81 % par rapport Ă 2014 (Seine-Maritime : â0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune compte un monument historique : l'Ă©glise Saint-Nicolas, Ă©difiĂ©e au XVIe siĂšcle, inscrite par arrĂȘtĂ© du [37].
Personnalités liées à la commune
http://herve.laine-bucaille.pagesperso-orange.fr/noblesse/B/bourgoise_5073.htm
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Pommeréval sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune de Pommeréval (76506) », Recensement général de la population de 2016, INSEE, (consulté le ).
- « Pommeréval », Ma commune, MinistÚre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- StĂ©phanie Petit, « Seine-Maritime : la forĂȘt dâEawy, le poumon vert du pays de Bray : Pour lâOffice national des forĂȘts, lâheure est au reboisement. Si lâentretien de la forĂȘt passe par les coupes, le reboisement est un passage obligĂ© pour lâorganisme. », Le RĂ©veil,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Buchy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Pommeréval et Buchy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Buchy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Pommeréval et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Archives de Seine-Maritime 20 H.
- Archives de Seine-Maritime G. 1500, 3269, 9491, 1517, 740.
- Archives de Seine-Maritime B Fds des Maitrises.
- Archives de Seine-Maritime C. 2946.
- Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 788.
- Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France : Formations non-romanes ; formations dialectales, Droz, , p. 1328.
- Abbé Cochet, Répertoire archéologique du département de la Seine-Inférieure : rédigé sous les auspices de l'Académique des sciences, belles-lettres et art de Rouen, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Répertoire archéologique de la France », , 652 p. (lire en ligne), p. 11, lire en ligne sur Gallica.
- Thierry Chion, « La fille dâun aviateur anglais abattu en 1944 revient sur les traces de son pĂšre, en Seine-Maritime : Jan Osborne Ă©tait dans le Pays de Bray, afin de visiter les lieux oĂč son pĂšre, aviateur dont l'avion a Ă©tĂ© descendu par les Allemands en 1944, a Ă©tĂ© cachĂ© jusqu'Ă la LibĂ©ration », Le RĂ©veil,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- « Roland Quemin, parcours d'un professionnel : PommerĂ©val. Un invitĂ© Ă la SociĂ©tĂ© des meilleurs ouvriers de France », Paris Normandie,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « Sa troisiĂšme Ă©preuve passĂ©e avec succĂšs Ă Paris, en 1952, Roland Quemin devient un des meilleurs ouvriers de France. Homme d'engagement, Roland Quemin sera Ă©lu conseiller municipal en 1959, puis maire en 1965. AprĂšs avoir occupĂ© ce poste pendant quarante-trois ans, aujourd'hui, il remplit la fonction de premier adjoint ».
- StĂ©phanie Petit, « Municipales 2020 : Sophie Tourneur brigue un nouveau mandat Ă PommerĂ©val : Trois nouveaux candidats rejoignent la liste de la maire sortante, Sophie Tourneur. L'Ă©quipe souhaite mener Ă bien la sĂ©curisation du centre bourg. », Le RĂ©veil,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « PommerĂ©val : Sophie Tourneur est Ă©lue maire pour un troisiĂšme mandat : Elue mardi 26 mai 2020 Ă huis clos, Sophie Tourneur entame un troisiĂšme mandat de maire. La prioritĂ© est donnĂ©e Ă la dĂ©fense incendie », Le RĂ©veil,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Notice no PA76000081, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.