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Orbec

Orbec est une commune française située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 1 943 habitants[Note 1].

Orbec
Orbec
L'église Notre-Dame d'Orbec.
Blason de Orbec
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Lisieux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Lisieux Normandie
Maire
Mandat
Etienne Cool
2020-2026
Code postal 14290
Code commune 14478
Démographie
Population
municipale
1 943 hab. (2020 en diminution de 13,26 % par rapport à 2014)
Densité 192 hab./km2
Population
agglomération
3 294 hab. (2016)
Géographie
Coordonnées 49° 01′ 18″ nord, 0° 24′ 24″ est
Altitude Min. 90 m
Max. 193 m
Superficie 10,14 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Livarot
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Orbec
Liens
Site web www.orbec.fr

    Géographie

    La commune d'Orbec est arrosée par l'Orbiquet, affuent de la Touques, et la Vespière.

    Orbec se situe à 73 km de la préfecture qui est Caen, à 20 km de la sous-préfecture de Lisieux, 15 km du Sap et à 35 km de L'Aigle.

    La ville côtière la plus proche est Trouville-sur-Mer à 50 km.

    La commune héberge l'usine de camembert de la marque Lanquetot.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 825 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ticheville_sapc », sur la commune de Ticheville, mise en service en 1997[7] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[8] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 834,7 mm pour la période 1981-2010[9].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Évreux-Huest », sur la commune de Huest, dans le département de l'Eure, mise en service en 1968 et à 58 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,2 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Orbec est une commune rurale[Note 7] - [14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15] - [16].

    Elle appartient à l'unité urbaine d'Orbec, une agglomération intra-départementale regroupant deux communes[17] et 3 212 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[18] - [19].

    La commune est en outre hors attraction des villes[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (47,4 %), forêts (30,2 %), zones urbanisées (12,3 %), terres arables (5,5 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée Orbeccus en 1090[24], puis Orbec en 1172[25].

    La nature du second élément -bec fait l'unanimité chez les toponymistes, il s'agit de l'appellatif toponymique normand bec, issu du vieux norrois bekkr « ruisseau, cours d'eau » très fréquent en Normandie et qui a servi à dénommer des petits cours d'eau et ceux d'importance moyenne (le Robec, le Sébec, etc.) par la suite, également des localités qui se sont développées sur leurs cours (cf. Bolbec, Caudebec, etc.)[26] - [27] - [28] - [29] - [30].

    En revanche, la nature du premier élément Or- divise davantage :

    • le vieux haut allemand uro « auroch, taureau sauvage », tout comme Orbais, Orbey, Urbès et Urbeis[28] ;
    • un nom commun germanique comme ort « lieu »[31] ;
    • l'ancien scandinave aurr « graviers, cailloux »[32] - [29] ou plutôt « boue, limon ».

    Remarque : une combinaison de bekkr avec un terme germanique (ou vieux haut allemand), entendre « germanique occidental et continental », est peu vraisemblable : les nombreux hydronymes et toponymes en -bec ne sont en principe jamais associés au germanique continental, ensuite pour justifier cette thèse, il faudrait que le vieux bas francique *baki « ruisseau », qui a donné les terminaisons -bais, -baix, -bet(s) au nord de la France, ait fait place au scandinave -bekkr ce que ne confirment pas les formes anciennes. Il est possible d'y voir également le substantif roman or qui convient aussi bien que l'ancien scandinave aurr, les noms en -bec étant parfois combinés à des éléments romans (cf. Drubec), d'où le sens global de « ruisseau des graviers ou boueux » ou « ruisseau doré ». Orbec possède peut-être un homonyme au Danemark : Ørbæk[29].

    Le nom du ruisseau l'Orbiquet qui traverse la commune devait porter le nom primitif d’Orbec, mais il a été suffixé en -et pour éviter la confusion avec le nom du village d'où l'hydronyme *Orbeket, *Orbecquet (becquet signifiant précisément « petit ruisseau » en ancien normand) devenu Orbiket, attesté en 1243[31].

    Histoire

    Bien que des objets datant de la préhistoire et de la période gallo-romaine aient été trouvés dans la région proche d’Orbec et qu’une voie romaine (reliant Harfleur au Mans) passant dans la vallée est attestée, le site, propice à l’implantation humaine, n'a été exploité régulièrement qu’à partir de la période normande [33].

    Au XIe siècle, les terres d’Orbec appartiennent aux ducs de Normandie et, en 1030, Robert Ier (père de Guillaume le Conquérant) cède Orbec et ses dépendances à son cousin Gilbert de Brionne et futur tuteur de Guillaume. Son fils Richard, seigneur d’Orbec, participe à la conquête de l’Angleterre et y reçoit d’importants domaines dans le Sufolk et le Kent, ses descendants prennent le titre de Comtes de Clare. Orbec devient alors le siège d’une vicomté.

    En 1354, à la suite du traité de Mantes, la ville est cédée par le roi de France Jean II le Bon à son gendre le roi Charles II de Navarre, avec de nombreuses autres terres normandes[34].

    Possession anglaise, la ville est ravagée pendant la guerre de Cent Ans et le roi de France Charles V ordonne le démantèlement du château d'Orbec en 1379[35]. La paix revenue, Orbec prospère pour être élevé au rang de bailliage en 1583. Sa juridiction est alors la plus importante de Normandie et la petite bourgade attire lettrés et bourgeois qui y bâtissent de belles maisons à pans de bois. Son économie repose sur les moulins, les tanneries, les filatures et la poterie. Au XVIIe siècle, une nouvelle noblesse de robe construit des hôtels particuliers et participe activement au mouvement religieux de la Contre-Réforme. L’Hôtel-Dieu est rétabli, le prieuré des Augustines s’installe rue des Moulins (1632) et le couvent des Capucins route de Lillebonne (1644)[36]. Au cours du XVIIIe siècle, les quartiers de la Croix aux Lionnets et du Pont-Guernet se densifient. Des hôtels particuliers avec jardins à la française s’installent autour de la rue Grande, de la rue de Geôle ou de la rue des Trois-Croissants.

    Orbec, rue Grande en 1908.

    Les dernières grandes transformations urbaines ont lieu sous Louis-Philippe avec les créations de la rue de la République, de la place du Marché-aux-Veaux, du boulevard de Beauvais et le percement des rues de L’Aigle et de Livarot. Le long de ces nouvelles voies, les immeubles sont désormais construits en briques.

    Dépeuplé par l’exode rural au début du XXe siècle, Orbec n'est pas épargnée par la Seconde Guerre mondiale. Dès 1943, plusieurs réseaux de résistants s'organisent dans la région[37] :

    Orbec souffre des combats de la Libération. Le , les Canadiens du Queen’s Own Cameron Highlanders prennent la ville de nuit avec l’aide des Forces françaises de l'intérieur. Des unités de la 10. SS-Panzerdivision Frundsberg positionnées sur les hauteurs à l’est résistent cependant et tirent sur la ville. Ils lancent même une contre-attaque qui est repoussée par les Canadiens[38]. Le flot des réfugiés fuyant les combats trouve alors abri dans une carrière a usage de champignonnière[39].

    Orbec se revitalise dans les années 1950 avec l’implantation de petites industries. La ville s’accroît en périphérie entraînant une désaffection du centre. En 1976, l’État lance une politique nationale de sauvegarde des centres anciens et la vieille ville est inscrite parmi les sites protégés en [40].

    Héraldique

    Armes d'Orbec

    Les armes de la commune d'Orbec se blasonnent ainsi :
    d'azur à la fleur de lys d'or, accompagnée de trois annelets du même[41].

    Politique et administration

    La mairie.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    [42] Eustache-Placide de la Croix Docteur médecin[43] - [44], président du Conseil d'arrondissement de Lisieux
    Marie-Thérèse Fortin enseignante
    [45] [46]
    (décès)
    Guy Viquesnel DVD Exploitant agricole, conseiller général du canton d'Orbec (1972 → 1987), conseiller régional de Basse-Normandie (1980 → 1986), président du district de l'agglomération orbecquoise (1977 → ?)
    [47]
    (décès)
    Joseph Fleuret Retraité, président du district de l'agglomération orbecquoise (1987 → 1990)
    [48] Pierre Fosse Enseignant
    En cours Étienne Cool[49] DVD Kinésithérapeute
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[51].

    En 2020, la commune comptait 1 943 habitants[Note 8], en diminution de 13,26 % par rapport à 2014 (Calvados : +0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3 0572 7043 0023 0003 2093 3573 3573 5193 441
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 2503 2663 2192 9813 0133 2173 2513 1513 000
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 9333 1012 9742 7002 7102 8372 8923 1803 053
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    2 8623 2113 3632 8322 6422 5642 4222 4002 248
    2017 2020 - - - - - - -
    2 0131 943-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Orbec est riche en maisons en pan de bois.

    • Le clocher de l'église Notre-Dame.
      Le clocher de l'église Notre-Dame.
    • Maison à pan de bois.
      Maison à pan de bois.
    • Le Vieux Manoir.
      Le Vieux Manoir.
    • L'hôtel de Croisy.
      L'hôtel de Croisy.
    • L'ancien couvent des Augustines.
      L'ancien couvent des Augustines.
    • La chapelle de l'ancien hospice.
      La chapelle de l'ancien hospice.

    Personnalités liées à la commune

    Naissances

    Autres liens

    Orbec dans les arts

    Claude Debussy a composé l'œuvre Jardins sous la pluie inspiré par le jardin, entraperçu de l'hôtel de Croisy[56], situé rue Grande, non loin de l'église Notre-Dame d'Orbec.

    Jumelages

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Ticheville_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Orbec et Ticheville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Ticheville_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Orbec et Huest », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 d'Orbec », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, éditions OREP, 2009 (ISBN 978-2-915762-89-1), p. 42.
    25. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 509b.
    26. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 12 - 47
    27. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2), p. 192a.
    28. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
    29. Jean Renaud, op. cit.
    30. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne) .
    31. Ernest Nègre, op. cit.
    32. René Lepelley, op. cit.
    33. Isabelle Audinet, « Orbec, le charme du Pays d'Auge, Patrimoine Normand n°30 (décembre 1999-janvier 2000) ».
    34. André Davy, Les barons du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits et introuvables du patrimoine Normand », , 319 p. (ISBN 978-2-91454-196-1), p. 169.
    35. « Les remparts d'Orbec (Calvados) », sur remparts-de-normandie.eklablog.com.
    36. « Orbec, terre de tradition (Circuit découverte, Office de tourisme) ».
    37. « Les réseaux de résistance dans la région d’Orbec) ».
    38. « Orbec, La Libération) ».
    39. R. Guiblais, Promenades dans le canton d'Orbec-en-Auge : Calvados, 1959 (Google books).
    40. Orbec, centre ancien, fiche DREAL N° 14090, septembre 2013.
    41. « GASO, la banque du blason - Orbec Calvados » (consulté le )
    42. « 1800-1833 », sur https://archives.calvados.fr/ (consulté le )
    43. Eustache-Placide Lacroix, La Croix de pierre dite croix au lyonnais, légende de Normandie, Lisieux, , 8 p. (lire en ligne).
    44. Eustache-Placide Lacroix, Essai sur la topographie médicale d'Orbec : comprenant les épidémies qui y ont régné, ainsi que dans les campagnes environnantes, depuis 1826 jusqu'en 1840 exclusivement, , 148 p. (lire en ligne).
    45. « Orbec : M. Viquesnel, conseiller général, est élu maire », Ouest-France,‎
    46. « Nécrologie : M. Guy Viquesnel conseiller général et maire d'Orbec », Ouest-France,‎
    47. Il meurt quelques jours avant la fin de son mandat.
    48. « Pierre Fosse, nouveau maire d'Orbec », Ouest-France,‎
    49. Réélection 2014 : « Orbec (14290) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    50. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    51. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    52. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    53. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    54. « Notice n°PA14000057 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    55. Guy Le Hallé (préf. Hervé Morin, photogr. Yves Buffetaut), Châteaux forts de Basse-Normandie, t. II, Louviers, Ysec Éditions, , 160 p. (ISBN 978-284673-215-4), p. 68 (Orbec).
    56. Propriété privée.
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