Mortalité infantile
La mortalitĂ© infantile est une statistique calculĂ©e en faisant le rapport entre le nombre d'enfants morts avant l'Ăąge dâun an[2] sur le nombre total dâenfants nĂ©s vivants. Cette statistique est exprimĂ©e pour 1 000 naissances (â°). Elle sert essentiellement Ă juger de la qualitĂ© des soins obstĂ©triques et pĂ©diatriques d'un pays.
- 0 â° - 10 â°
- 10 â° - 30 â°
- 30 â° - 60 â°
- 60 â° - 90 â°
- 90 â° - 130 â°
- +130 â°
La rĂ©duction du taux de mortalitĂ© infantile par Ă©limination des dĂ©cĂšs Ă©vitables dâenfants dâici Ă 2030 fait partie des Objectifs du millĂ©naire pour le dĂ©veloppement de l'Organisation des Nations unies[3].
Périodes de vulnérabilité
La mortalitĂ© infantile peut ĂȘtre divisĂ©e en 3 parties distinctes: la mortalitĂ© nĂ©onatale prĂ©coce, qui concerne les dĂ©cĂšs survenant avant les 7 premiers jours de vie; la mortalitĂ© nĂ©onatale tardive, qui inclut les dĂ©cĂšs survenant entre le 7Ăšme et le 27Ăšme jour aprĂšs la naissance; et enfin la mortalitĂ© post-nĂ©onatale, qui comprend les dĂ©cĂšs survenant entre le 28Ăšme jour et le 364Ăšme jour aprĂšs la naissance[4]. Le risque de dĂ©cĂ©der est le plus important la premiĂšre semaine. En 2005, il est constatĂ© que chaque annĂ©e, 3,3 millions de nouveau-nĂ©s meurent Ă la naissance et 4 millions meurent avant 28 jours. Les dĂ©cĂšs infantiles sont aussi nombreux pendant cette pĂ©riode nĂ©onatale que pendant les 11 mois qui suivent[5].
Causes et moyens de luttes
Cause | % |
---|---|
Mort à la naissance (infections, prématurité, etc.) | 37 % |
Infections respiratoires aiguës | 20 % |
Déshydratation due à la diarrhée | 16 % |
Autres causes | 10 % |
Paludisme | 8 % |
Rougeole | 4 % |
Sida | 3 % |
Traumatisme | 3 % |
à quelques exceptions prÚs, la mortalité infantile est beaucoup plus importante dans les pays en développement que dans les pays développés. Cela s'explique par les conditions sanitaires lors de la grossesse et de l'accouchement, mais aussi par le manque de soins aux nouveau-nés. Au Burkina Faso, une étude publiée dans Santé Publique a révélé que la mutilation génitale féminine, pratiquée sur prÚs de 70 % des femmes, était associée à de complications obstétricales, de dystocie et de césarienne[7]. Ainsi des techniques comme la vaccination, l'administration d'antibiotiques lors d'infections et la réhydratation lors des diarrhées évitent à nombre d'enfants de décéder[8]. Outre l'amélioration des soins, on sait que plus le taux d'éducation des filles est élevé, plus le taux de mortalité infantile est bas[9]. Mais les données historiques et notamment l'exemple européen montrent d'autres aspects trÚs importants pour faire baisser le niveau de mortalité infantile : l'amélioration du niveau de vie (comme la salubrité des logements) et de la nutrition, et la baisse de la fécondité[10]. Ainsi, la lutte pour la baisse de la mortalité infantile ne doit pas se faire sur un plan purement médical, mais également sociétal et économique. La consanguinité accroßt le risque de mortalité à la naissance ou précoce[11] - [12]. Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), la pollution de l'air est responsable de la mort d'environ 600 000 enfants par an[13].
La mort subite du nourrisson
Le syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN), connu sous le nom de « mort au berceau », est la mort subite et imprĂ©vue d'un nourrisson ĂągĂ© de moins d'un an, en apparence en bonne santĂ©, dont la cause reste inexpliquĂ©e malgrĂ© une enquĂȘte dĂ©taillĂ©e incluant une autopsie et une analyse de lâhistoire et des conditions de vie de lâenfant avant et au moment de son dĂ©cĂšs[14]. Entre 2015 et 2020, environ 1 700 nourrissons de moins de 1 an sont dĂ©cĂ©dĂ©s chaque annĂ©e au Canada, dont 1 sur 15 (ou 110) pendant le sommeil. Bien que certains dĂ©cĂšs liĂ©s au sommeil soient dus Ă des causes naturelles telles que les maladies respiratoires et les malformations congĂ©nitales, la plupart (83 %) surviennent de maniĂšre inattendue et soudaine chez des nourrissons en bonne santĂ©[15] Bien que la cause exacte du syndrome de la mort subite du nourrisson reste inexpliquĂ©e, une hypothĂšse publiĂ©e par le Journal of Neuropathology & Experimental Neurology propose que la SMSN puisse ĂȘtre causĂ©e par un dĂ©sĂ©quilibre de la sĂ©rotonine dans le cerveau. Un niveau insuffisant de sĂ©rotonine pourrait ainsi entraĂźner des problĂšmes respiratoires et cardiaques chez les nourrissons, ce qui pourrait causer leur mort subite. Les chercheuses ont examinĂ© les cerveaux de nourrissons dĂ©cĂ©dĂ©s subitement ainsi que ceux de nourrissons dĂ©cĂ©dĂ©s de causes diverses, telles que d'infections. Des diffĂ©rences de niveaux de sĂ©rotonine dans le tronc cĂ©rĂ©bral, la rĂ©gion du cerveau contrĂŽlant la respiration et le rythme cardiaque, ont Ă©tĂ© constatĂ©es, soutenant l'hypothĂšse avancĂ©e. Les auteures proposent donc que la dĂ©tection prĂ©coce des niveaux de sĂ©rotonine chez les nourrissons puisse aider Ă prĂ©venir le SMSN. Toutefois, il convient de noter que cette hypothĂšse n'a pas encore Ă©tĂ© Ă©tablie dĂ©finitivement et nĂ©cessite des recherches supplĂ©mentaires[16].
Influence du sexe
Au vu des chiffres il semble que les bébés de sexe féminin soient plus résistants[17] ce qui a sans doute joué un rÎle dans la pratique de la polygamie, au XIXe siÚcle il était courant d'habiller les bébés garçons en filles pour des raisons d'hygiÚne mais aussi, d'aprÚs certaines traditions familiales, pour « tromper la mort ».
Ăvolution
Années | Taux | Années | Taux |
---|---|---|---|
1950â1955 | 45 | 2000â2005 | 4,2 |
1955â1960 | 34 | 2005â2010 | 3,7 |
1960â1965 | 25 | 2010â2015 | 3,3 |
1965â1970 | 20 | 2015â2020 | 2,8 |
1970â1975 | 16 | 2020â2025 | 2,5 |
1975â1980 | 12 | 2025â2030 | 2,2 |
1980â1985 | 9,5 | 2030â2035 | 2,0 |
1985â1990 | 8 | 2035â2040 | 1,8 |
1990â1995 | 6,8 | 2040â2045 | 1,6 |
1995â2000 | 4,7 | 2045â2050 | 1,5 |
Au XVIIIe siĂšcle en Europe, un enfant sur quatre meurt avant 1 an et un sur deux seulement arrive Ă lâĂąge adulte. Au milieu du XIXe siĂšcle, l'hygiĂšne et de mĂ©decine rĂ©duisent cette mortalitĂ© Ă moins de 200 â° dans les pays les plus en avance (150 en Grande-Bretagne, 170 en France)[19].
De 1995 à 2000, le taux de mortalité infantile chute globalement sur tous les continents, mais avec des variations importantes, voire des aggravations locales en Afrique ou (en France de 2012 à 2019)[20], pour des raisons multiples et complexes (crises économiques, guerres, séropositivité au VIH de la mÚre...) ; le taux de mortalité infantile en Afrique subsaharienne est néanmoins passé de 174 pour mille en 1990 à 121 pour mille en 2010[21]). Certaine augmentations sont comprises, vraisemblablement liées au fait que les nouveau-nés ont un indice de vitalité assez mauvais qui concourent à augmenter le taux de mortalité[22].)
De 2000 Ă 2017, 123 millions dâenfants de moins de cinq ans sont morts dans les pays Ă bas et moyens revenus. Les taux de mortalitĂ© peuvent cependant varier fortement, mĂȘme entre pays pauvres. Ainsi, en 2017, seuls quatre enfants sur 1âŻ000 mourraient avant cinq ans dans la rĂ©gion de Santa Clara Ă Cuba, alors ce taux se montait Ă 195 sur 1âŻ000 dans la rĂ©gion de Garki, au Nigeria. Selon la Haut-Commissaire de lâONU aux droits de lâhomme, « lâaccĂšs aux traitements mĂ©dicaux nâest que lâun des Ă©lĂ©ments (...) Les facteurs qui contribuent aux dĂ©cĂšs sont liĂ©s Ă des maux plus vastes : la pauvretĂ©, la discrimination et lâinjustice »[23].
En France
Le taux de mortalitĂ© infantile a fortement diminuĂ© en 50 ans avec en 2017, six fois moins de nouveau-nĂ©s dĂ©cĂ©dĂ©s quâen 1967. En 1967, en France mĂ©tropolitaine, 2,7 % des personnes dĂ©cĂ©dĂ©es Ă©taient nĂ©es en 1967, soit 14 900 bĂ©bĂ©s. L'amĂ©lioration a encore Ă©tĂ© constante de 2001 Ă 2005 mais, un point dâinflexion a Ă©tĂ© enregistrĂ© dans cette courbe d'amĂ©lioration, en 2005. Puis aprĂšs un point de rupture en 2012 le taux de mortalitĂ© infantile a remontĂ© (+ 7%, soit une mortalitĂ© infantile de 3.32 en 2012 passĂ©e Ă 3.56 dĂ©cĂšs pour 1000 naissances vivantes en 2019).
Les analyses de sensibilitĂ©[2] ont confirmĂ© qu'il ne s'agissait pas d'un artefact statistique par exemple liĂ© Ă des pratiques dâĂ©tat-civil, ou Ă la modification des pratiques mĂ©dicales pour la prise en charge des nouveau-nĂ©s atteints dâaffections graves.
Ainsi en 2016, 3,8 nouveau-nés sur mille en moyenne sont morts avant leur premier anniversaire[24]. Et en 2017, en France métropolitaine, 0,4 % des personnes décédées sont nées en 2017, soit 2 400 nouveau-nés, six fois moins que cinquante ans auparavant[25].
Une Ă©tude de l'INSERM (2022) a confirmĂ© une augmentation significative (1200 dĂ©cĂšs par excĂšs observĂ©s chaque annĂ©e en France avant lâĂąge dâun an par rapport Ă des pays comme la SuĂšde et la Finlande) du taux de mortalitĂ© infantile sur 7 ans de 2012 Ă 2019, Ă©loignant la France, de ce point de vue, dâautres pays aux Ă©conomies dĂ©veloppĂ©es[20]. Durant ces sept annĂ©es, 53 077 dĂ©cĂšs de nourrissons ont Ă©tĂ© enregistrĂ©s en France pour 14 622 096 naissances vivantes (= taux de mortalitĂ© infantile moyen de 3,63/1 000 ; 4,00 chez les garçons, 3,25 chez les filles). PrĂšs dâun quart des dĂ©cĂšs (24,4%) ont eu lieu le 1er jour de vie et prĂšs de la moitiĂ© (47,8%) lors la premiĂšre semaine suivant la naissance.
Au Canada
Selon les donnĂ©es de l'Institut national de santĂ© publique du QuĂ©bec (INSPQ), le taux de mortalitĂ© infantile au Canada en 2018 Ă©tait de 4,9 dĂ©cĂšs pour 1 000 naissances vivantes[4]. Cette diminution s'explique par l'amĂ©lioration des conditions socio-Ă©conomiques et sanitaires, la gĂ©nĂ©ralisation de l'accĂšs aux soins mĂ©dicaux et lâadoption de programmes de prĂ©vention de la mortalitĂ© infantile. Cela reprĂ©sente une baisse significative par rapport aux annĂ©es prĂ©cĂ©dentes, mais il reste encore du travail Ă faire afin dâatteindre les objectifs fixĂ©s par les autoritĂ©s de santĂ© du QuĂ©bec[26]. En effet, le gouvernement du QuĂ©bec a mis en place des programmes, tels que la surveillance des interventions obstĂ©tricales, contribuant Ă la baisse des taux de dĂ©cĂšs chez les nourrissons. MalgrĂ© cette amĂ©lioration, certaines populations sont encore plus vulnĂ©rables que d'autres. Une Ă©tude menĂ©e par Jacques Henripin a rĂ©vĂ©lĂ© que la mortalitĂ© infantile Ă©tait plus Ă©levĂ©e chez les bĂ©bĂ©s nĂ©s de mĂšres adolescentes[27]. Cette situation Ă©tait associĂ©e Ă des taux plus Ă©levĂ©s de prĂ©maturitĂ©, de faible poids Ă la naissance et d'infections. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e par Godelieve Masuy-Stroobant Ă dĂ©montrer que la mortalitĂ© infantile chez les rĂ©sidents permanents Ă©tait plus Ă©levĂ©e que chez les QuĂ©bĂ©cois de souche[28]. Cela est en partie causĂ© par un accĂšs plus limitĂ© aux soins de santĂ©, par un niveau de vie plus bas et par des conditions de logement dĂ©favorables. Dans une province comme le QuĂ©bec, le taux de mortalitĂ© infantile Ă©tait d'environ 100 dĂ©cĂšs pour 1 000 naissances vivantes aux alentours des annĂ©es 1930[29]. Les maladies infectieuses telles que la diphtĂ©rie, la scarlatine et la rougeole Ă©taient rĂ©pandues et sĂ©vissaient en permanence. Câest l'entĂ©rite, une maladie causĂ©e par la consommation de lait contaminĂ©, qui Ă©tait le principal facteur de mortalitĂ© infantile car elle a tuĂ© plus d'enfants que toutes les autres maladies rĂ©unies[30]. Le taux de mortalitĂ© infantile Ă ensuite diminuĂ© de 70% pour atteindre 30 dĂ©cĂšs pour 1 000 naissances vivantes au dĂ©but des annĂ©es 1960[29]. La baisse massive de ce taux observĂ©e dans les pays occidentaux est grandement due aux progrĂšs de la mĂ©decine et de lâhygiĂšne publique car les maladies infectieuses et celles causĂ©es par des parasites, qui Ă©taient autrefois des causes majeures de mortalitĂ© infantile, ont pratiquement disparu[29]. En 2008, le QuĂ©bec possĂ©dait maintenant un des taux de mortalitĂ© infantile les plus bas comparativement aux autres provinces du Canada[31]. Au cours des deux derniĂšres dĂ©cennies du 20e siĂšcle, le QuĂ©bec a connu une baisse importante de la mortalitĂ© infantile. Selon lâAgence de SantĂ© publique du Canada, cette amĂ©lioration est due Ă une meilleure qualitĂ© des soins de santĂ© maternels et infantiles, une meilleure nutrition, une amĂ©lioration des conditions socio sanitaires et une meilleure alimentation des nouveau-nĂ©s[31]. Il avait descendu Ă 3,3 pour 1000 naissances vivantes, les principales causes Ă©tant devenues les malformations congĂ©nitales, les anomalies chromosomiques, les problĂšmes dâasphyxie, ainsi que la prĂ©maturitĂ©[31].
Notes et références
- Ces données sont issues du CIA World Factbook 2006, certaines valeurs sont antérieures à 2006 de quelques années
- DĂ©finition exacte selon la Division statistique des Nations unies et l'Insee
- « Mortalité infantile » [PDF], Programme des Nations unies pour le développement, données du (consulté le )
- INSTITUT NATIONAL DE LA SANTĂ PUBLIQUE DU QUĂBEC, « Taux de mortalitĂ© infantile » [PDF], sur https://www.cisss-lanaudiere.gouv.qc.ca/, (consultĂ© le )
- « Les nouveau-nĂ©s : on s'intĂ©resse enïŹn Ă eux » [PDF], Organisation mondiale de la santĂ©,â (consultĂ© le ), p. 90
- « Repenser les soins aux enfants : l'optique de la survie, de la croissance et du développement » [PDF], Organisation mondiale de la santé, (consulté le ), p. 118
- Papa Ndiaye, « Mutilation gĂ©nitale fĂ©minine et complications de l'accouchement dans la province de Gourma (Burkina Faso) », SantĂ© Publique,â , p. 563â570 (lire en ligne [PDF])
- « La mortalité infantile dans le monde » [PDF], Institut national d'études démographiques, (consulté le )
- La situation des enfants dans le monde 2004 - Réduire la mortalité infantile - Unicef
- « Les nouveau-nĂ©s : on s'intĂ©resse enïŹn Ă eux » [PDF], Organisation mondiale de la santĂ©,â (consultĂ© le ), p. 93
- Dorsten, L. E., Hotchkiss, L. & King, T. M. The effect of inbreeding on early childhood mortality: twelve generations of an amish settlement. Demography 36, 263â271 (1999).
- Fareed, M., Kaisar Ahmad, M., Azeem Anwar, M. & Afzal, M. (2017) Impact of consanguineous marriages and degrees of inbreeding on fertility, child mortality, secondary sex ratio, selection intensity, and genetic load: a cross-sectional study from Northern India. Pediatr. Res. 81, 18â26.
- « La pollution de l'air ampute l'espérance de vie, surtout en Asie du Sud (étude) », sur Sciences et Avenir (consulté le )
- Paul G. Dionne,, Les décÚs chez les enfants de moins de deux ans, sainte-foy, , 107 p. (ISBN 2-550-29327-4, lire en ligne)
- Statistique Canada, « Les circonstances entourant les dĂ©cĂšs subits et inattendus de nourrissons survenus pendant le sommeil, 2015 Ă 2020 », Le quotidien,â , p. 7 pages (lire en ligne [PDF])
- (en) Hannah C Kinne et Robin L Haynes, « The Serotonin Brainstem Hypothesis for the Sudden Infant Death Syndrome », Journal of Neuropathology & Experimental Neurology, vol. 78, no 9,â , p. 765â779, (PMID 31397480, PMCID PMC6934437, DOI 10.1093/jnen/nlz062, lire en ligne, consultĂ© le )
- Jacques Vallin, « Tendances récentes de la mortalité française », sur Persée, (consulté le ), p. 86
- UNdata: Infant mortality rate (per 1,000 births)
- (en) Rachel Ginnis Fuchs, Gender and Poverty in Nineteenth-Century Europe, Cambridge University Press, , p. 45
- Augmentation significative du taux de mortalité infantile en France
- GEO N°403 de septembre 2012 p.18
- « Les nouveau-nĂ©s : on s'intĂ©resse enïŹn Ă eux » [PDF], Organisation mondiale de la santĂ©,â (consultĂ© le ), p. 92 et 93
- « Plus de 15âŻ000 enfants de moins de 5 ans dĂ©cĂšdent chaque jour dans le monde », sur 20 minutes,
- « Taux de mortalité infantile en 2016 », sur Insee (consulté le ).
- Sylvain Papon, division EnquĂȘtes et Ă©tudes dĂ©mographiques, Insee, « 606 000 personnes sont dĂ©cĂ©dĂ©es en France en 2017, la moitiĂ© avait plus de 83 ans », INSEE Focus n°128, sur insee.fr,
- QUĂBEC, MINISTĂRE DE LA SANTĂ ET DES SERVICES SOCIAUX, « Surveillance de la santĂ© maternelle et Foteo-infantile », sur QUĂBEC, (consultĂ© le )
- Jacques Henripin, « L'inĂ©galitĂ© sociale devant la mort : la mortinatalitĂ© et la mortalitĂ© infantile Ă MontrĂ©al », Recherches sociographiques, vol. 2, no 1,â , p. 3â34 (ISSN 0034-1282 et 1705-6225, DOI 10.7202/055061ar, lire en ligne, consultĂ© le )
- Godelieve Masuy-Stroobant, « La mortalitĂ© infantile en Europe et au Canada : un problĂšme rĂ©solu? », Cahiers quĂ©bĂ©cois de dĂ©mographie, vol. 23, no 2,â , p. 297â340 (ISSN 0380-1721 et 1705-1495, DOI 10.7202/010174ar, lire en ligne, consultĂ© le )
- Jean-Marc Bernard, « La mortalitĂ© infantile et pĂ©rinatale au QuĂ©bec (1965-1974) : importance de lâĂąge maternel et de la paritĂ© », Cahiers quĂ©bĂ©cois de dĂ©mographie, vol. 7, no 3,â , p. 25â54 (ISSN 0380-1721 et 1705-1495, DOI 10.7202/600768ar, lire en ligne, consultĂ© le )
- Jean MILOT, « La mortalitĂ© infantile au tournant du XX siĂšcle au Canada français. », , Paediatrics & child health, vol. 15,5,â
- MINISTĂRE DE LA SANTĂ ET DES SERVICES SOCIAUX., « Pour guider l'action â Portrait de santĂ© du QuĂ©bec et de ses rĂ©gions â Rapport, QuĂ©bec » [https://publications.msss.gouv.qc.ca/msss/fichiers/2011/11-228-01F.pdf#page=42%5D, (consultĂ© le )
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Carte et palmarÚs du taux de mortalité infantile dans le monde - PopulationData.net
- La mortalité infantile dans le monde - Portail des droits de l'enfant
- Carte du taux de mortalité infantile dans le monde en 2008
- Rapport sur la santé dans le monde (2005) - l'OMS
- (en) Infant mortality rate : Rank Order - CIA World Factbook