Montillot
Montillot est une commune française située dans le département de l'Yonne, en région Bourgogne-Franche-Comté.
Montillot | |||||
Ăglise Saint-Laurent. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
DĂ©partement | Yonne | ||||
Arrondissement | Avallon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Avallon - Vézelay - Morvan | ||||
Maire Mandat |
Catherine Prévost-Chedhomme 2020-2026 |
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Code postal | 89660 | ||||
Code commune | 89266 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
255 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 11 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 47° 31âČ 10âł nord, 3° 43âČ 14âł est | ||||
Altitude | Min. 132 m Max. 319 m |
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Superficie | 22,45 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Avallon (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Joux-la-Ville | ||||
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Yonne
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Liens | |||||
Site web | www.montillot.fr | ||||
La commune est contigĂŒe au parc naturel rĂ©gional du Morvan.
GĂ©ographie
Montillot est un village du sud du département de l'Yonne, à 39 km au SSE de sa préfecture Auxerre, et à 15 km à l'ouest d'Avallon, chef-lieu de l'arrondissement et ville la plus proche.
Il se trouve sur la ligne droite reliant Auxerre Ă VĂ©zelay, Ă 6 km de ce dernier, chef-lieu du canton et site touristique bien connu[1].
La commune est contigĂŒe au parc naturel rĂ©gional du Morvan, qui commence au sud-est sur les communes de VĂ©zelay et d'Asquins[2].
Le territoire de la commune couvre 2 245 ha, avec un peu plus de 8 km sur sa plus grande longueur - du sud-ouest au nord-est -; sa population était en 2016 de 276 habitants, répartis entre le bourg et les hameaux.
GĂ©ologie et relief
Montillot se trouve à peu prÚs au centre de la partie des « plateaux de Basse-Bourgogne » située entre les vallées de l'Yonne et de son affluent, la Cure[3]. En leurs points les plus proches, les altitudes de ces cours d'eau sont de 138 m pour la Cure au Gué-Pavé, et de 135 m pour l'Yonne prÚs de Chùtel-Censoir, alors que le village est à 227 m[2]. Les routes principales rejoignant Montillot depuis les vallées proches (départementale D 21) montent donc d'une centaine de mÚtres, ce qui peut justifier le toponyme (« petit mont » ?).
Les couches géologiques affleurantes, - ou « roches mÚres » - de la commune, datent de la deuxiÚme période de l'Úre secondaire, le Jurassique moyen et supérieur[3].
Les points les plus hauts (environ 300 mÚtres) se trouvent aux sommets de deux collines boisées toutes proches du village. Le sommet du bois des Perruches est constitué de calcaire cristallin du « Callovien moyen ». Celui du « Crot Blanc » date du « Jurassique supérieur - étage oxfordien » et se rattache donc au récif corallien fossilisé, - constitué il y a 150 millions d'années, dans une zone chaude et peu profonde de la mer qui recouvrait alors tout le Bassin parisien actuel - dont l'avant s'étend, 9 km au nord, de Mailly-le-Chùteau à Arcy-sur-Cure, et dont on repÚre l'arriÚre prÚs de Chùtel-Censoir[3].
La « plaine de la Chally » et « la Canne », pratiquement horizontales - entre les cotes 210 et 220 mÚtres -, résulteraient d'apports détritiques et alluvionnaires de l'Úre tertiaire (MiocÚne-PliocÚne)[3].
Hydrologie
Montillot n'a pas de source sur son plateau : les eaux de pluie s'infiltrent dans les fissures des couches calcaires et ne réapparaissent que dans les vallées, à l'Est dans le hameau du Vaudonjon prÚs de la Cure, à l'Ouest à l'étang de Marot qui alimente le « ru de Brosses »[2] - [3].
Hameaux
La commune inclut quatre hameaux principaux : Tameron (au nord), Vaudonjon-le-Haut et Vaudonjon-le-Bas (Ă lâest), les HĂ©rodats (en partie sur Blannay Ă l'est) et la CharbonniĂšre (au sud-est, prĂšs de la D123)[4] - [5]. Quelques maisons isolĂ©es se trouvent aussi sur la commune : la Bertellerie (au sud-est, accessible par route par la commue de VĂ©zelay), le Bois de la Baudeleine (Ă 1 600 m Ă l'ouest de la CharbonniĂšre), Marot et son Ă©tang (Ă 1 600 m au nord-ouest de la CharbonniĂšre), la CĂŽte (Ă 900 m au sud de Montillot, club hippique), la MĂ©tairie (jouxtant Vaudonjon-le-Haut au nord), la moitiĂ© du hameau du GuĂ© PavĂ© (Ă lâE-S-Est, partagĂ© avec Asquins)[2].
Noter que la « nécropole de Vaudonjon » se trouve à proximité au sud de Vaudonjon-le-Bas, au lieu-dit les Cercueils (voir l'article « Asquins », section « Sites antiques »). Elle a été nommée ainsi parce qu'au moment de sa découverte Vaudonjon faisait partie d'Asquins.
Communes limitrophes
Bois-d'Arcy, Arcy-sur-Cure | Blannay | |||
Brosses | N | Givry | ||
O Montillot E | ||||
S | ||||
AsniĂšres-sous-Bois | VĂ©zelay | Asquins |
Urbanisme
Typologie
Montillot est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [6] - [7] - [8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Avallon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 74 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9] - [10].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (68,7 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (68,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (65 %), terres arables (22,9 %), prairies (4,1 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (3,7 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (3 %), zones urbanisĂ©es (1,2 %)[11].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[12].
Toponymie
Montirueth (1169, bulle du pape Alexandre III le : « âŠecclesiam de Montirueth », qui peut avoir subi une erreur de copiste et pourrait ĂȘtre « Montirucht », du vieux français « rucht » qui dĂ©signait une carriĂšre de pierre)[13], Monteluot (1532, chap. de ChĂątel-Censoir) ; Monteliot (1708, projet d'une dĂźme royale par Vauban) ; Montheliot (1712, registre de l'Ă©tat-civil)[14].
Histoire
Ăpoque gallo-romaine
Un site de villa couvre 150 Ă 90 m au lieu-dit les RouĂšches. BĂąti en ligne le long de la riviĂšre, le quartier rĂ©sidentiel s'ouvre sur la cour des communs bordĂ©e de constructions dĂ©limitant des piĂšces au plan allongĂ© et partitionnĂ©. Ce site est occupĂ© depuis la fin de la TĂšne jusqu'Ă lâantiquitĂ© tardive[15].
Moyen-Ăge
Depuis les débuts du village, agriculture et élevage constituent les ressources de base de ses familles. Les terres cultivables se trouvent au nord, au nord-est et à l'est du village. Jusqu'au milieu du XXe siÚcle, la « plaine de la Chally » et « la Canne », découpées en petites parcelles de quelques ares, convenaient parfaitement à la polyculture : blé, avoine, orge, seigle, betteraves, fourrage - trÚfle, luzerne, sainfoin et graminées diverses -, vignes, arbres fruitiers, fraisiers, framboisiers[3]...
La pierre de Montillot (carriĂšre du Crot-Blanc ?) sert Ă la construction de la basilique de VĂ©zelay[13].
Temps modernes
La « chapelle du Vaudonjon » est construite vers 1770[16]. Vendue en 1799 à Denis Colas, elle passe à sa fille aßnée Michelle qui épouse Jean-Baptiste Tissier. La chapelle reste dans la famille jusqu'en 1963 quand Mme Veuve Lucien Tissier la vend en juin à Jean Baptiste Launay[17].
Jean-Anne-Georges de Lenferna de la Resle (1771-1831) épouse Françoise Mulot de Villenaut à Montillot en 1805, et est maire de Montillot de 1816 à 1819[5] - [18].
Son frĂšre Joseph Guillaume Prosper de Lenferna de la Mothe part comme officier Ă lâIle Maurice et sây Ă©tablit.
Son fils Pierre-JosephâAlexandre (1806-1897) est aussi maire de Montillot en 1852 et de 1860 Ă 1870.
La fille de Pierre Joseph Alexandre, Marthe Alexandrine Françoise Henriette de Lenferna de Montillot (1842-1930) épouse Charles Heulard de Montigny. Elle vent le chùteau de Montillot aprÚs l'avoir habité. Elle est décédée à Auxerre et inhumée au cimetiÚre de Montillot avec son mari.
Une fille de Joseph Guillaume Prosper, Françoise Marie Caroline Lenferna de la Resle (1824-1900), est nĂ©e Ă lâĂle Maurice et devient « MĂšre Marie-Augustine » ou « La Petite SĆur de lâOcĂ©an Indien », consacrant sa vie aux Ćuvres de charitĂ© en Afrique, Europe et AmĂ©rique du Sud ; elle fonde la CongrĂ©gation des SĆurs de Notre Dame du Bon et PerpĂ©tuel Secours. Une procĂ©dure de bĂ©atification est en cours depuis 1928[18] - [19].
Vaudonjon (jusque là sur Asquins) et les Hérodats rejoignent Montillot le lorsque la commune est créée (création des communes de la Révolution)[20] ou, pour Vaudonjon, par pétition en [4].
Des remembrements successifs dans le cadre de programmes européens introduisent les monocultures sur de grandes surfaces et amÚnent une forte réduction du nombre d'exploitations agricoles.
Politique et administration
Ăducation
Montillot est doté d'une école maternelle[22].
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[24].
En 2020, la commune comptait 255 habitants[Note 3], en diminution de 8,6 % par rapport Ă 2014 (Yonne : â2,24 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture et patrimoine
Lieux et monuments
sur la D 123 vers Asquins.
- Le GRP « Tour de l'Avallonais » traverse le nord de la commune dans la direction Est-Ouest. Il y est rejoint par le GR 654 venant du sud et du GR13 (Fontainebleau à Bourbon-Lancy), ce dernier passant à Saint-PÚre à 3 km de Montillot[2].
- L'église Saint-Laurent de Montillot et sa cloche, monument historique classé[27].
Pour approfondir
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Montillot sur le site de l'Institut géographique national
- Régine Morizot-Koutlidis, « Montillot, village de Bourgogne aux confins du Morvan », sur montillot89.net, (consulté le ), dont la page d'histoires et d'Histoire
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Montillot », sur google.fr/maps.
- Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (voir l'onglet en haut à gauche de l'écran) - cliquer sur "itinéraires".
- « Montillot, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
- André Buet, « Montillot avant l'Histoire », Histoire et généalogie, sur montillot89.net46.net, éd. Régine Morizot-Koutlidis, (consulté le ).
- Gilbert Ducros, « Les Lieux-dits », Montillot et alentours, sur montillot.fr (consulté le ).
- Nouvel 2008, section C : « un établissement type de la vallée de la Cure : Vergigny-sur-Cure » (pp. 16-20), p. 16.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Avallon », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- AndrĂ© Buet, « Montillot et ses environs, de lâAn 1000 Ă l'An 1500 », Histoire et gĂ©nĂ©alogie, sur montillot89.net46.net, Ă©d. RĂ©gine Morizot-Koutlidis, (consultĂ© le ).
- Maximilien Quantin, Dictionnaire topographique du département de l'Yonne : comprenant les noms de lieux anciens et modernes (rédigé sous les auspices de la Société des sciences historiques et naturelles de l'Yonne, publié par ordre du ministre de l'Instruction publique et sous la direction du Comité des travaux historiques et scientifiques et des sociétés savantes), Paris, imprimerie impériale, , 167 p. (lire en ligne), p. 86.
- (2008) Pierre Nouvel, « La vallĂ©e de la Cure Ă l'Ă©poque gallo-romaine : DĂ©couvertes anciennes et apports des prospections aĂ©riennes et terrestres 1991-2008 », Bulletin de la SociĂ©tĂ© d'Ătudes d'Avallon, no 84,â , p. 14-43 (lire en ligne, consultĂ© le ), p. 15.
- « 1768: Les Habitants du Vaudonjon veulent une chapelle - page 2 », Histoire et généalogie, sur montillot89.net46.net, éd. Régine Morizot-Koutlidis (consulté le ). (Voir aussi la page 1).
- « 1768: Les Habitants du Vaudonjon veulent une chapelle - page 3 », Histoire et généalogie, sur montillot89.net46.net, éd. Régine Morizot-Koutlidis (consulté le ).
- Gilbert Ducros, « La généalogie de la famille Lenfernat », Montillot et alentours, sur montillot.fr (consulté le ).
- « Le R.P. Carmello raconte la mĂšre Augustine du BPS », lexpress.mu,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- AndrĂ© Buet, « Montillot et ses environs, de lâAn 1500 Ă lâAn 1800 », Histoire et gĂ©nĂ©alogie, sur montillot89.net46.net, Ă©d. RĂ©gine Morizot-Koutlidis, (consultĂ© le ).
- Conseil gĂ©nĂ©ral de lâYonne, Ma Commune, consultĂ© le 27 dĂ©cembre 2013.
- « Ăcole maternelle publique, Montillot », sur education.gouv.fr (consultĂ© le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Notice no PM89000801, base Palissy, ministÚre français de la Culture.