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Moineau mélanure

Passer melanurus

Le Moineau mélanure (Passer melanurus) est une espÚce d'oiseaux de la famille des Passeridae qui vit en Afrique australe. C'est un moineau de taille moyenne ; ses couleurs vives et distinctives comprennent du gris, du marron et du chùtain, le dimorphisme sexuel étant notamment visible par quelques taches noires et blanches chez le mùle.

Il habite les savanes, les zones cultivĂ©es et les villes oĂč il trouve de quoi satisfaire son rĂ©gime alimentaire principalement granivore. Les oiseaux se rassemblent en grands groupes lors de la saison de reproduction. Le nid peut ĂȘtre construit dans toutes sortes d'emplacements, aussi bien dans un arbre ou un buisson que dans un trou ou dans un nid inoccupĂ© appartenant Ă  une autre espĂšce. Un couple donne souvent naissance Ă  trois ou quatre oisillons dont les deux parents s'occupent.

Trois sous-espĂšces sont distinguĂ©es, la sous-espĂšce melanurus vivant dans l'est de l'Afrique du Sud, la sous-espĂšce vicinus vivant dans l'État-Libre au Cap-Oriental et au Lesotho, et la sous-espĂšce damarensis occupant le nord de l'Afrique du Sud et le sud des pays frontaliers septentrionaux. Selon l'Union internationale pour la conservation de la nature, l'espĂšce n'est pas menacĂ©e.

Description

Femelle.

Le Moineau mĂ©lanure mesure en moyenne 14 Ă  16 centimĂštres de long pour un poids de 29 grammes et a des couleurs vives et distinctives[3]. Le mĂąle en pĂ©riode de reproduction a une tĂȘte en grande partie noire. Une large bande blanc cassĂ© passe au-dessus de l'Ɠil pour revenir sur la gorge. Une Ă©troite bande noire relie la bavette noire de la poitrine au noir de la tĂȘte[4]. Les parties infĂ©rieures sont grisĂątres, plus foncĂ©es sur les flancs. L'arriĂšre du cou du mĂąle est gris foncĂ© et son dos et ses Ă©paules sont chĂątain clair. Le mĂąle a une barre blanche et une barre noire en dessous des Ă©paules et ses rectrices et ses tectrices sont rayĂ©es de gris et de noir[3]. La femelle a le mĂȘme plumage que le mĂąle, mais en plus terne, et a une tĂȘte grise avec des motifs diffĂ©rents, mais portant les traces pĂąles de la tĂȘte du mĂąle, en moins marquĂ©es. Le juvĂ©nile ressemble Ă  la femelle, mais les jeunes mĂąles ont du noir sur la tĂȘte dĂšs un Ăąge prĂ©coce[3] - [5].

Ses vocalisations ont des tonalités similaires à celles du Moineau domestique, mais en beaucoup plus musical et harmonieux[3] - [6]. L'appel de base est utilisé en vol ou lorsque l'oiseau se perche en groupe ; on pourrait le transcrire ainsi : tchissip, tchirrup, tchriip, ou tchirrichup[6]. L'appel utilisé par les mùles pour annoncer qu'ils sont propriétaires d'un nid est transcrit par tweeng ou twileeng. Distinctif et fort, cet appel devient parfois un chant saccadé et répétitif, transcrit par tchip tcheerup, tchip tcheerup[6] - [7].

Écologie et comportement

Comportement social

Le Moineau mĂ©lanure est social, vivant en bandes et nichant habituellement en colonies peu denses. Lorsqu'il vit loin des humains, il est nomade, et les groupes peuvent comporter jusqu'Ă  200 oiseaux. Dans les zones habitĂ©es, il forme de plus petites bandes oĂč il trouve sa nourriture dans celle donnĂ©e au bĂ©tail ou aux volailles. Dans ces endroits, il s'associe avec d'autres oiseaux granivores, comme le Moineau domestique, le Tisserin du Cap et les oiseaux du genre Euplectes[8]. Les Moineaux mĂ©lanures des zones urbaines forment saisonniĂšrement des bandes qui s'envolent vers la campagne proche pour se nourrir des graines mĂ»res et qui retournent la nuit en ville pour dormir. Les Moineaux mĂ©lanures prĂ©fĂšrent dormir dans des nids. Lorsqu'ils errent en dehors de la saison de reproduction, les oiseaux des zones non cultivĂ©es et non urbanisĂ©es s'installent dans de vieux nids ou des buissons denses pour passer la nuit. Ceux des zones agricoles ou urbaines se construisent un nid spĂ©cial pour dormir, moins matelassĂ© que les nids recevant la ponte, mais avec des matĂ©riaux plus isolants[8] - [9] - [10].

On a observĂ© et dĂ©crit Ă  Johannesburg un comportement social inhabituel pour cet oiseau. Vingt Ă  trente individus se sĂ©parent du reste d'une troupe plus importante et se regroupent sur le sol en laissant tomber la queue sur le sol et tenant la tĂȘte haute. Ces groupes se dĂ©placent parfois de façon non concertĂ©e en sautillant lentement. Souvent, des oiseaux s'envolent et restent en l'air Ă  trente Ă  soixante centimĂštres au-dessus du sol. Au cours de ces rassemblements les oiseaux sont silencieux et ne manifestent aucun antagonisme. La signification de ce comportement est inconnue et n'a pas Ă©tĂ© rapportĂ©e chez d'autres moineaux[8].

Alimentation

Moineaux mĂ©lanures et Tisserin Ă  tĂȘte rousse mĂąle s'alimentant Ă  une mangeoire pour oiseaux Ă  Johannesburg, en hiver.

Le Moineau mĂ©lanure se nourrit principalement de graines qu'il recherche aussi bien dans les arbres qu'au sol[9]. Il apprĂ©cie les grosses graines des plantes cĂ©rĂ©aliĂšres, des herbes sauvages et d'autres petites plantes, mais le blĂ© et le « khakiweed» (Alternanthera caracasana) sont ses graines favorites. Il consomme de plus des bourgeons et pousses tendres, ainsi que des fruits rouges. Cette part vĂ©gĂ©tarienne de son rĂ©gime alimentaire cause des dommages considĂ©rables Ă  l'agriculture. Il explore parfois les aloĂšs en quĂȘte de nectar, mĂȘme si cela ne reprĂ©sente pas pour lui une source importante de nourriture[11]. Il capture aussi des insectes, et les oisillons semblent nourris exclusivement de chenilles.

Parade et nidification

Le Moineau mĂ©lanure niche gĂ©nĂ©ralement en bandes lĂąches de cinquante Ă  cent oiseaux, mais 10 Ă  20 % d'entre eux nichent Ă  distance de ces colonies pour des raisons inconnues[12]. Le Moineau mĂ©lanure est habituellement monogame mais on a observĂ© un mĂąle et deux femelles nichant et Ă©levant des jeunes dans un mĂȘme nid au Cap-Occidental[13]. Il semble que les couples se forment dans les colonies en dehors de la pĂ©riode de reproduction, mais on ne sait pas comment ils se forment ni si les partenaires restent ensemble pour la vie. Une fois prĂȘt Ă  se reproduire, le couple cherche un site convenable pour nicher, prospectant le matin et retournant dans les colonies l'aprĂšs-midi. Une fois le site choisi, le couple commence Ă  construire son nid. D'autres couples cherchant un site de nidification se joignent Ă  eux, et plusieurs nids sont rapidement construits Ă  proximitĂ©[12].

Le Moineau mĂ©lanure utilise des sites de nidification variĂ©s, comme les cavitĂ©s et les lieux ouverts. Il semble tout de mĂȘme privilĂ©gier les buissons et les arbres, surtout des acacias[12]. Un seul arbre peut abriter de nombreux nids[14]. Le Moineau mĂ©lanure utilise moins frĂ©quemment les trous et les autres sites abritĂ©s. On a observĂ© des nids dans les avant-toits des bĂątiments, dans des plantes grimpantes sur des murs, dans des trous de talus et dans des meules de foin. Il niche parfois dans les nids dĂ©saffectĂ©s d'autres oiseaux tels que ceux des tisserins et des hirondelles. Les couples qui nichent loin des colonies choisissent gĂ©nĂ©ralement des buissons bas ou des poteaux comme sites de nidification[12]. Les nids sont placĂ©s Ă  au moins un mĂštre au-dessus du sol, et ne sont placĂ©s trĂšs prĂšs du sol que dans les colonies. Seul le nid et ses environs les plus proches sont dĂ©fendus territorialement. Les mĂąles dĂ©fendent leur territoire avec des postures menaçantes et parfois par des combats au sol, menĂ©s Ă  coups de bec[12].

Les nids construits Ă  l'air libre sont grands et ont une forme de dĂŽme, de structure dĂ©sordonnĂ©e. Ils sont faits principalement d'herbes sĂšches et de brindilles, avec un revĂȘtement intĂ©rieur d'herbes tendres. Toutes les feuilles ou les Ă©pines prĂ©sentes sur l'arbre sont utilisĂ©es pour le nid. Dans les cavitĂ©s, le trou est tout simplement rempli d'une masse informe d'herbes avec une coupe de matĂ©riau souple qui contient les Ɠufs. Lorsque les moineaux utilisent les nids dĂ©saffectĂ©s de tisserins, ils se contentent le plus souvent de les doubler d'un revĂȘtement doux. L'entrĂ©e du nid, situĂ©e sur le cĂŽtĂ©, est parfois prolongĂ©e en entonnoir. Le mĂąle et la femelle construisent le nid ensemble, et restent Ă  proximitĂ© l'un de l'autre pour trouver des matĂ©riaux et tisser le nid[12] - [15].

La parade nuptiale est mal connue. L'ornithologue britannique James Denis Summers-Smith a observĂ© une parade dans laquelle le mĂąle sautillait Ă  cĂŽtĂ© de la femelle dans un arbre, les ailes tombantes et les plumes du dos Ă©bouriffĂ©es. On a vu des groupes de deux ou plusieurs mĂąles poursuivant une femelle. On retrouve un tel comportement chez le Moineau domestique lorsqu'une femelle qui n'est pas prĂȘte Ă  s'accoupler est poursuivie par son compagnon qui est rejoint par d'autres mĂąles. On ne sait pas si ce comportement a une signification analogue chez les Moineaux mĂ©lanures. Lorsqu'elle est prĂȘte Ă  s'accoupler, la femelle s'accroupit pour solliciter le mĂąle, qui lui monte dessus[16].

Incubation et Ă©levage des jeunes

MĂąle nourrissant un jeune.

Les couvĂ©es peuvent contenir entre deux et six Ɠufs, gĂ©nĂ©ralement trois ou quatre. Les plus grosses couvĂ©es ont lieu dans les territoires les plus au sud et durant le pic de la saison de reproduction[16].

Les deux parents couvent les Ɠufs pendant la journĂ©e, se remplaçant toutes les dix ou quinze minutes. La nuit, seule la femelle le fait, le mĂąle se reposant Ă  l'extĂ©rieur ou dans le nid. Chez les couples se reproduisant en dehors des colonies, l'oiseau qui couvait quitte le nid pour faire place Ă  son conjoint dĂšs qu'il entend ce dernier approcher. Chez les oiseaux nichant en colonie, l'oiseau en train de couver attend que son partenaire arrive dans le nid pour s'Ă©carter afin d'empĂȘcher d'autres oiseaux de pĂ©nĂ©trer dans le nid[16]. L'incubation semble commencer avant la fin de la ponte, et dure de 12 Ă  24 jours. Les jeunes naissent sur deux ou trois jours et sont « couvĂ©s » jusqu'Ă  ce que leurs plumes se dĂ©veloppent et que leurs yeux soient ouverts, cinq jours aprĂšs l'Ă©closion. Ils sont nourris d'insectes, notamment de chenilles, jusqu'Ă  ce qu'ils quittent le nid entre 16 et 25, typiquement 17, jours aprĂšs l'Ă©closion. AprĂšs cela, ils sont encore nourris pendant une ou deux semaines. Bien que l'alimentation des oisillons soit faite par les deux parents, le rĂŽle de la femelle est prĂ©pondĂ©rant[16].

Le nid du Moineau mĂ©lanure est l'un des principaux hĂŽtes du Coucou didric qui parasite les couvĂ©es[17] mais on a observĂ© que le Moineau mĂ©lanure pouvait lui-mĂȘme parasiter les nids de ses congĂ©nĂšres[18].

On a observé des cas d'hybridation avec le Moineau domestique[7], le Moineau sud-africain et le Moineau doré[19].

RĂ©partition et habitat

RĂ©partition de l'espĂšce en Afrique australe.
Femelles prĂšs d'un trou d'eau en Namibie.

Le Moineau mĂ©lanure habite l'Afrique australe de l'Angola jusqu'Ă  l'Afrique du Sud et le Lesotho Ă  l'est[2]. À l'origine il habitait les savanes semi-arides, les steppes Ă©pineuses et les bois clairsemĂ©s typiques du sud de l'Afrique. Lorsque l'agriculture sĂ©dentaire est arrivĂ©e sur son territoire, il y a environ un millier d'annĂ©es, il s'est adaptĂ© aux terres cultivĂ©es. Depuis, il a emmĂ©nagĂ© dans les villes[8]. Bien qu'on le trouve dans les centres urbains, il prĂ©fĂšre les parcs, les jardins et les autres espaces ouverts mais il a un faible taux de reproduction dans les zones les plus urbanisĂ©es. Il prĂ©fĂšre les habitats avec une pluviomĂ©trie annuelle de moins de 75 centimĂštres mais, dans les zones dĂ©sertiques, on le trouve gĂ©nĂ©ralement prĂšs des cours d'eau ou des points d'eau[8].

Dans les villes, le Moineau mélanure entre en concurrence avec le Moineau sud-africain, une espÚce indigÚne, et le Moineau domestique, une espÚce introduite[20]. Comme il préfÚre vivre auprÚs des humains, il se trouve avec succÚs en concurrence avec ces deux espÚces, qui peuvent cependant endiguer sa reproduction en certains endroits[8] - [17].

Taxinomie

Le Moineau mĂ©lanure a Ă©tĂ© dĂ©crit par Philipp Ludwig Statius MĂŒller en 1776, sous le protonyme de Loxia melanura[1] - [21]. Il est membre du genre Passer mais ses relations dans ce genre sont gĂ©nĂ©ralement considĂ©rĂ©es comme obscures[22]. Des Ă©tudes d'ADN mitochondrial ont cependant fortement suggĂ©rĂ© que ce moineau Ă©tait celui qui avait divergĂ© le plus tĂŽt, ou peut-ĂȘtre est-il le membre le plus basal du genre[23] - [24].

L'Ă©pithĂšte spĂ©cifique « mĂ©lanure » vient du grec Όέλας (melas, « noir ») et ÎżÏ…ÏÎŹ (oura, « queue »)[25] tandis que le nom du genre Passer vient d'un mot latin utilisĂ© pour dĂ©signer les petits oiseaux[26].

Le Moineau mĂ©lanure a trois sous-espĂšces. La sous-espĂšce nominale Passer melanurus melanurus se trouve dans l'est de l'Afrique du Sud, de l'est Ă  l'ouest de l'État-Libre et la sous-espĂšce vicinus, qui est parfois confondue avec la melanurus, de l'est de la province de l'État-Libre Ă  la province du Cap-Oriental et au Lesotho. La sous-espĂšce damarensis se trouve de l'extrĂȘme sud de la zone cĂŽtiĂšre de l'Angola Ă  la Namibie, au Botswana et Ă  l'extrĂȘme ouest du Zimbabwe ainsi qu'au nord de l'Afrique du Sud[7].

Le Moineau mélanure et l'Homme

Le Moineau mélanure est un oiseau abondant et familier des habitations et des champs dans la plus grande partie de l'Afrique australe. L'UICN le considÚre comme espÚce de préoccupation mineure (LC)[2].

C'est un nuisible, en particulier pour la culture des céréales et de la vigne. Lorsque les viticulteurs de la région au sud-ouest du Cap ont commencé à laisser pousser les mauvaises herbes entre les pieds de vigne pour conserver l'humidité dans les années 1956, les Moineaux mélanure et sud-africain ont rapidement consommé les graines et commencé à manger les raisins. Le Moineau mélanure est un ravageur important dans les vignobles mais, dans ces régions, il a un taux de reproduction si bas qu'il ne pourrait maintenir ses populations sans immigration[7] - [8].

Le Moineau du Cap figure sur plusieurs piĂšces de monnaie sud-africaines[27] et sur des timbres du Lesotho et de la RĂ©publique centrafricaine[28].

Annexes

Bibliographie

  • (en) Peter Clement, Alan Harris et John Davis, Finches and Sparrows : an Identification Guide, Princeton, New Jersey, Princeton University Press, (ISBN 0-691-03424-9)
  • (en) Herbert Friedmann, « The breeding habits of the weaverbirds: a study in the biology of behavior patterns », Annual Report of the Board of Regents of the Smithsonian Institution, Showing the Operations, Expenditures, and the Condition of the Institution for the Year Ended June 30, 1949,‎ , p. 293–316 (lire en ligne)
  • (en) A. F. Gotch, Latin Names Explained : A Guide to the Scientific Classification of Reptiles, Birds, and Mammals, New York, Facts On File, (ISBN 0-8160-3377-3)
  • (en) Eugene M. McCarthy, Handbook of avian hybrids of the world, Oxford University Press, , 583 p. (ISBN 978-0-19-518323-8, lire en ligne)
  • (en) Arthur C. Stark, The Birds of South Africa, vol. I, Londres, R. H. Porter, (lire en ligne)
  • (en) James Denis Summers-Smith, « Family Passeridae (Old World Sparrows) », citĂ© dans (en) Josep del Hoyo, Andrew Elliott et David Christie, Handbook of the Birds of the World, vol. 14 : Bush-shrikes to Old World Sparrows, Barcelone, Lynx Edicions, (ISBN 978-84-96553-50-7)
  • (en) James Denis Summers-Smith (ill. Robert Gillmor), The Sparrows: a study of the genus Passer, Calton, Staffs, T. & A. D. Poyser, (ISBN 0-85661-048-8)

Références taxinomiques

Liens externes

Notes et références

  1. Summers-Smith 1988, p. 67
  2. UICN, consulté le 14 mars 2011
  3. Clement, Harris et Davis 1993, p. 456–457
  4. Summers-Smith 1988, p. 68
  5. Stark 1900, p. 159–162
  6. Summers-Smith 1988, p. 76–77
  7. Summers-Smith 2009, p. 800
  8. Summers-Smith 1988, p. 70–71
  9. (en) W.R.J. Dean, « Cape Sparrow Passer melanurus », citĂ© dans (en) P.A.R. Hockey, W.R.J. Dean et P.G. Ryan, Roberts Birds of Southern Africa, vol. 7, Le Cap, The Trustees of the John Voelcker Bird Book Fund, (ISBN 0-620-34053-3), p. 1084–1086
  10. Friedmann 1950, p. 306
  11. Summers-Smith 1988, p. 77
  12. Summers-Smith 1988, p. 71–72
  13. (en) Oschadleus H. Dieter et Michael Brooks, « Bigamy in Cape Sparrows », Bird Numbers, vol. 14,‎ , p. 18–19 (lire en ligne [PDF])
  14. (en) W.R.J. Dean, « Cape Sparrow », cité dans (en) P.A.R. Hockey, P.J. Ginn, W.G. McIlleron et P. le S. Milstein, The Complete Book of Southern African Birds, Le Cap, Struik Winchester, (ISBN 0-947430-11-3), p. 652
  15. (en) Sue Milton et Richard Dean, « Nesting Thyme: The use of aromatic plants in Cape Sparrow nests », Africa Birds & Birding, vol. 4, no 1,‎ , p. 37–39 (lire en ligne [PDF])
  16. Summers-Smith 1988, p. 73–75
  17. (en) W.R.J. Dean, « Cape Sparrow », citĂ© dans (en) J.A. Harrison, D.G. Allan, l.G. Underhill, M. Herremans, A.J. Tree, V. Parker et C.J. Brown, The Atlas of Southern African Birds, vol. 1, BirdLife South Africa, (lire en ligne), p. 540–541
  18. (en) R. Bruce MacWhirter, « On the Rarity of Intraspecific Brood Parasitism », The Condor, vol. 91, no 2,‎ , p. 485–492 (DOI 10.2307/1368333, JSTOR 1368333, lire en ligne [PDF])
  19. McCarthy 2006, p. 268–267
  20. (en) James Denis Summers-Smith, « Changes in distribution and habitat utilisation by members of the genus Passer », citĂ© dans (en) J. Pinowski et J.D. Summers-Smith, Granivorous birds in the agricultural landscape, Warszawa, PĂĄnstwowe Wydawnictom Naukowe, (ISBN 83-01-08460-X), p. 11–29
  21. Avibase, consulté le 19 juillet 2011
  22. Summers-Smith 1988, p. 305
  23. (en) Luis M. Allende, Isabel Rubio, Valentin RuĂ­z-del-Valle, Jesus GuillĂ©n, Jorge MartĂ­nez-Laso, Ernesto Lowy, Pilar Varela, Jorge Zamora et Antonio Arnaiz-Villena, « The Old World sparrows (genus Passer) phylogeography and their relative abundance of nuclear mtDNA pseudogenes », Journal of Molecular Evolution, vol. 53, no 2,‎ , p. 144–154 (PMID 11479685, DOI 10.1007/s002390010202, lire en ligne [PDF])
  24. (en) Javier GonzĂĄlez, Melanie Siow, Eduardo Garcia-del-Rey, Guillermo Delgado et Michael Wink, « Phylogenetic relationships of the Cape Verde Sparrow based on mitochondrial and nuclear DNA », Systematics 2008, Göttingen,‎ (lire en ligne [PDF])
  25. Gotch 1996, p. 442–443
  26. Summers-Smith 1988, p. 13
  27. (en) « One Cent (1c) », The South African Mint Company, (consulté le )
  28. (en) Kjell Scharning, « Theme Birds on Stamps - Cape Sparrow stamps » (consulté le )
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