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Maison en bois

Il existe depuis longtemps de nombreux types de maison en bois, dont les principaux modĂšles constructifs sont :

  • la maison Ă  structure poteaux/poutre ;
  • la maison en panneaux de bois massifs contre-collĂ©s ;
  • la maison Ă  ossature en bois ;
  • la maison en bois massif empilĂ© (madriers, troncs ou rondins, parpaing en bois).
Petit bĂątiment de bois.
Construction en bois dans l'Oregon.

Écologique et durable

Maison de 1644, rue Volta, Ă  Paris.

Le bois peut ĂȘtre durable face au temps. Il existe par exemple des maisons Ă  colombages plusieurs fois centenaires dans diffĂ©rentes rĂ©gions d'Europe (Allemagne, France, NorvĂšge, Suisse, etc.) ou en Asie. Le bois a jouĂ© en trĂšs grande partie dans leur longĂ©vitĂ© et rĂ©sistance face aux annĂ©es.

Les techniques constructives scandinaves, plusieurs fois centenaires, comme le quartier de Bryggen, à Bergen, permettent de se rendre compte de la longévité des constructions ainsi produites. Au-delà du seul aspect financier et patrimonial, l'investissement dans une maison bois massif est un réel investissement écologique : le CO2 contenu dans le bois, que celui-ci a absorbé pendant sa vie de pousse, est une protection longue durée pour la planÚte.

En plus d’ĂȘtre recyclable et biodĂ©gradable (s'il n'a pas Ă©tĂ© verni ou traitĂ©), le bois est aussi une source d’énergie grĂące Ă  sa combustion.

Matériau peu énergivore

La consommation d'Ă©nergie nĂ©cessaire au transport et Ă  la transformation des matĂ©riaux utilisĂ©s dans la construction d’une maison en bois demeure actuellement inconnue. En effet, il n'existe pas pour les maisons en bois de fiche de dĂ©claration environnementale et sanitaire qui permettrait de chiffrer clairement l'impact carbone de ce matĂ©riau.

Bois face au CO2

Village de Wuzhen, en Chine.

Pendant la fabrication des matĂ©riaux utilisĂ©s dans l’élaboration de n’importe quelle habitation, de l’énergie est consommĂ©e mais surtout de la pollution est libĂ©rĂ©e dans l’atmosphĂšre sous forme principalement de CO2. Selon les matĂ©riaux transformĂ©s, la quantitĂ© de CO2 produite diffĂšre. Le bois peut offrir une rĂ©duction de moitiĂ© de la quantitĂ© de CO2 relĂąchĂ©e dans l’atmosphĂšre. En outre, le bois a une capacitĂ© de stockage de CO2 importante ce qui permet de limiter son dĂ©gagement. Toutefois, la destruction du bois (naturelle ou par combustion) entraine le rejet dans l'atmosphĂšre de la totalitĂ© du CO2 prĂ©cĂ©demment stockĂ©.

Un autre aspect environnemental d'un chantier mettant en Ɠuvre du bois est la faible quantitĂ© de dĂ©chets sur le chantier car toutes les chutes peuvent ĂȘtre recyclĂ©es ou brulĂ©es dans une chaudiĂšre.

Maison Ă  structure poteau/poutre

La structure porteuse de la maison est constituĂ©e de poteaux et de poutres gĂ©nĂ©ralement en bois massif ou lamellĂ©-collĂ©, assemblĂ©s rigidement entre eux ce qui lui donne une grande indĂ©formabilitĂ©. Entre ces Ă©lĂ©ments porteurs sont insĂ©rĂ©s des baies vitrĂ©es qui, lorsqu'elles sont fixes, peuvent ĂȘtre installĂ©es sans recourir Ă  une menuiserie intermĂ©diaire, des blocs de maçonnerie isolants non porteurs (par exemple des blocs de bĂ©ton de chanvre), d'Ă©lĂ©ments de murs qui peuvent ĂȘtre constituĂ©s d'une ossature bois (comme dans la maison Ă  ossature bois dĂ©crite ci-aprĂšs) ou d'un empilage de madriers comme dans le cas de l'ossature « Ă  la mĂ©gevanne » (rĂ©gion de MegĂšve. Ces murs font office de remplissage et n'ont pas de rĂŽle porteur. La construction peut se faire sur le lieu mĂȘme, mais gagne Ă©normĂ©ment en prĂ©cision et en fiabilitĂ© Ă  ĂȘtre rĂ©alisĂ©e dans un atelier. Ce type de construction permet de rĂ©aliser de grandes portĂ©es prĂ©servant de grands volumes libres et des façades trĂšs ouvertes. Sa complexitĂ© de rĂ©alisation la rĂ©serve habituellement Ă  des rĂ©alisations de qualitĂ© ou aux façades sud des constructions bioclimatiques.

Maison en panneaux de bois massif

Ce mode de construction tend à se développer en France. Il est par contre commun en Autriche, en Allemagne, Belgique et en Suisse. Les principaux fabricants sont : Schilliger, KLH, Finnforest, Binderholz, MHM, Biospeedhome, etc.

Mode intéressant

Cette technique de construction bois est une combinaison des systĂšmes ossature et madrier massif : esthĂ©tiquement, il prĂ©sente les mĂȘmes intĂ©rĂȘts d’aspect que la maison ossature bois (bardage, enduit, peint ou brut Ă  l’extĂ©rieur sur une isolation rapportĂ©e et avec de multiples finitions possibles pour l’intĂ©rieur, y compris l'aspect bois naturel des panneaux), avec les performances du bois massif en termes d’inertie. Le matĂ©riau panneau massif permet d'optimiser l'utilisation du bois en lui donnant des caractĂ©ristiques mĂ©caniques Ă©quivalentes dans toutes les directions, en supprimant le voilage et les dĂ©formations dues au vieillissement ou Ă  l'hygromĂ©trie, et en permettant une libertĂ© architecturale inĂ©dite.

Ce systĂšme est appelĂ© Ă  se dĂ©velopper avec l'augmentation de la performance Ă©nergĂ©tique et thermique des bĂątiments. Il est Ă©galement reconnu que les constructions en panneau massif rĂ©sistent mieux aux sĂ©ismes. Il existe actuellement des bĂątiments de plus de six Ă©tages composĂ©s de panneaux, certains atteignant mĂȘme dix Ă©tages.

Stabilité dans le temps

Les techniques actuelles permettent la rĂ©alisation dans les usines de pans de murs de grande longueur (jusqu'Ă  24 m) et d'Ă©paisseur variable (de 7,8 Ă  50 cm) obtenus par l’assemblage de planches de bois collĂ©es ou clouĂ©es les unes aux autres en multiples plis croisĂ©s. Ce type de construction de bois assure une remarquable stabilitĂ© de l’ouvrage dans le temps.

Multiples utilisations

Ces panneaux contre collĂ©s peuvent permettre de rĂ©aliser une maison du sol au plafond. La maison peut ĂȘtre construite sur une dalle de bĂ©ton classique, ou sur des pilotis, auquel cas, le plancher pourra lui aussi ĂȘtre posĂ© en panneau. Tous les murs rĂ©alisĂ©s avec ce type de panneau sont porteurs. Les planchers et toitures peuvent Ă©galement ĂȘtre rĂ©alisĂ©s ainsi.

RĂ©alisations surprenantes

Ces panneaux résistent à de forts porte-à-faux ce qui permet de réaliser des balcons sans soutien par des poutres.

Maison Ă  ossature en bois (MOB)

La maison Ă  ossature en bois est la technique de construction qui s’adapte le mieux Ă  la plupart des styles rĂ©gionaux. C’est donc la plus rĂ©pandue. Les murs de la maison Ă  ossature en bois sont rĂ©alisĂ©s sur la base d’une structure constituĂ©e de membrures de bois espacĂ©es de 40 ou 60 cm (en gĂ©nĂ©ral) entre lesquelles sont placĂ©s les matĂ©riaux isolants. Cette technique de construction permet Ă©galement une prĂ©fabrication de murs complets en usine, Ă  l'abri des intempĂ©ries. L'achĂšvement du clos-couvert peut ĂȘtre obtenu en quelques jours seulement, car il n'y a pas de temps de sĂ©chage. La tendance Ă  mieux isoler les maisons conduit de plus en plus Ă  doubler cette ossature d'une isolation pĂ©riphĂ©rique extĂ©rieure en matĂ©riau isolant lourd (type fibre de bois par exemple) qui amĂ©liore l'isolation, procure un meilleur dĂ©phasage thermique au bĂ©nĂ©fice du confort d'Ă©tĂ© et supprime tous les ponts thermiques imputables Ă  l'ossature bois. La maison Ă  ossature en bois permet des agrandissements plus Ă©conomiques et rapides Ă  mettre en Ɠuvre.

Parement extérieur

Maisons de vacances en bois, dans le Jura.

Il sert de rempart contre les intempĂ©ries. Il est souvent rĂ©alisĂ© en bardage, c’est-Ă -dire en planches de bois qui peuvent ĂȘtre peintes, traitĂ©es ou laissĂ©es naturelles. Le bois (surtout non traitĂ©) exposĂ© aux rayons solaires et aux Ă©lĂ©ments prendra une teinte grise avec le temps, mais ne perdra rien de ses qualitĂ©s mĂ©caniques. Le parement extĂ©rieur peut Ă©galement ĂȘtre rĂ©alisĂ© grĂące Ă  un enduit.

Grande liberté de finition intérieure

Les parois internes des murs sont le plus souvent rĂ©alisĂ©es avec des panneaux de plĂątre offrant de multiples possibilitĂ©s de finitions (peinture, papier peint
). De par ce fait, la maison ossature bois sĂ©duit les adeptes d’une prĂ©sence modĂ©rĂ©e du bois.

Idée fausse

Il est souvent donnĂ© comme argument en faveur de la maison en bois le fait que pour une qualitĂ© d'isolation identique Ă  celle d'une construction maçonnĂ©e, le mur d'une construction en bois est moins Ă©pais de 40 %, cela reprĂ©sentant des mĂštres carrĂ©s supplĂ©mentaires apprĂ©ciables en cas de contraintes d'urbanisme et lors de la revente. Dans la pratique, l'intĂ©rĂȘt de la construction en bois rĂ©side, entre autres, dans la possibilitĂ© de rĂ©aliser une maison bien mieux isolĂ©e et plus confortable qu'une maison en maçonnerie. DĂšs lors, il est logique d'augmenter fortement l'Ă©paisseur d'isolant, comme expliquĂ© plus haut, le surcoĂ»t Ă©tant trĂšs limitĂ© en pourcentage du prix total de la construction, et en tout cas minimal par rapport aux Ă©conomies d'Ă©nergies escomptĂ©es. De plus, une maison en bois n'Ă©tant pas conçue sur le modĂšle d'une maison maçonnĂ©e, il y a de fortes chances que l'architecture et les surfaces diffĂšrent. Le gain de surface n'est donc plus significatif et n'est, en tout cas, pas un bon argument de vente face aux dĂ©tracteurs de la maison des Trois Petits Cochons « en planches ».

Cependant, la rĂ©sistance thermique des matĂ©riaux utilisĂ©s pour la construction de maisons Ă  ossature en bois est diffĂ©rente des matĂ©riaux utilisĂ©s pour la construction de maisons traditionnelles. L'Ă©paisseur des diffĂ©rents matĂ©riaux pour une mĂȘme rĂ©sistance thermique (0,50 m2 Â°C W−1) est la suivante :

  • bĂ©ton plein : 88 cm ;
  • parpaing creux : 52 cm ;
  • pisĂ© : 39 cm ;
  • brique pleine : 28 cm ;
  • bois rĂ©sineux : 7,5 cm ;
  • bĂ©ton de chanvre : 6,5 cm ;
  • liĂšge, panneaux de cellulose, laine minĂ©rale : cm.

Le gain de surface dépendra du type de construction ainsi que du type de matériau utilisé.

Préfabrication

Un des avantages de la construction à ossature en bois est qu'elle autorise la fabrication en atelier des panneaux de mur, au sec, en sécurité. Une fois les murs terminés, ceux-ci sont chargés sur un semi-remorque puis montés sur le site du chantier au bras de grue ou à la grue.

Ainsi, en deux jours, les murs sont debout ; il ne reste que les planchers ou charpente à monter avant que la maison soit hors d'eau. Ce mode de fabrication requiert anticipation, bonne gestion des approvisionnements, conception maßtrisée au millimÚtre prÚs, synchronisation avec les autres corps de métier, mais elle garantit que les bois n'ont pas été soumis pendant plusieurs semaines aux intempéries (contrairement au montage des murs sur la dalle).

Un stade plus abouti de la préfabrication revient à fabriquer à l'avance, en atelier, les planchers et les charpentes. Par exemple, une charpente se présente sous la forme de caissons qui sont montés sur site par une grue.

Maison en bois massif empilé et maçonnerie en bois

Construction traditionnelle, Europe de l'Est.

Souvent appelée chalet, elle est constituée de murs en bois massif montés par empilement de madriers (finition rectangulaire), de rondins (finition lisse) ou de fustes (finition rustique).

La maçonnerie en bois consiste à utiliser des parpaings de bois massif. Ceux-ci sont empilés en utilisant la technique de la maçonnerie. Cette technique donne la possibilité de réaliser toutes architectures, favorise l'auto-construction et la réalisation de maison en bois massif avec un minimum d'outillage.

De nouvelles techniques permettent ainsi dĂ©sormais de rĂ©aliser le montage d'un chalet en bois par assemblage de madriers prĂ©dĂ©coupĂ©s en kit. L'Ă©paisseur des madriers se situe en gĂ©nĂ©ral entre 28 et 60 mm selon les fabricants et la gamme[1]. Le montage se dĂ©roule par Ă©tape en suivant une notice et ne nĂ©cessite que trĂšs peu de connaissances en menuiserie ou en charpente.

Manque d'inertie

En dĂ©pit de son Ă©paisseur, le bois massif possĂšde une inertie dite lĂ©gĂšre. C’est pourquoi cette technique de construction en bois est trĂšs rĂ©pandue dans les pays nord-amĂ©ricains ou dans les rĂ©gions montagneuses de l’Europe.

Par contre, le bois est un isolant moyen (coefficient lambda de 0,12) par rapport aux matĂ©riaux spĂ©cifiquement destinĂ©s Ă  cet usage (0,04 en moyenne pour la laine de roche, la fibre de bois, la cellulose ou le chanvre). Il est indispensable, pour obtenir un coefficient d'isolation comparable Ă  celui d'un mur Ă  ossature en bois, d'ajouter une Ă©paisseur d'isolation, idĂ©alement par l'extĂ©rieur, de maniĂšre Ă  bĂ©nĂ©ficier de l'inertie du bois massif Ă  l'intĂ©rieur de la construction. L'isolant extĂ©rieur pourra ensuite ĂȘtre doublĂ© de planches de forte Ă©paisseur qui permettront de retrouver l'esprit « chalet ». Il n’est ainsi plus nĂ©cessaire de prĂ©voir une isolation Ă  l'intĂ©rieur. Cela permet aux occupants de profiter pleinement de la prĂ©sence chaleureuse du bois, pour longtemps.

La conception moderne de la construction en madriers massifs empilĂ©s permet des gains thermiques trĂšs importants de par la conception mĂȘme des murs des bĂątiments : simple madrier avec isolation par l'extĂ©rieur (permet d'Ă©viter les ponts thermiques sources d'importantes fuites thermiques) ou double madriers emprisonnant l'isolant (dont l'Ă©paisseur peut ĂȘtre variable en fonction des rĂ©gions d'implantation et des besoins).

Les essences les plus fréquemment utilisées pour cet type de construction sont le mélÚze, l'épicéa, le red cedar, le pin sylvestre et le douglas.

Les nouvelles maisons en bois proposent gĂ©nĂ©ralement une isolation trĂšs fiable grĂące Ă  un systĂšme de double madriers avec un isolant entre les deux. Par exemple au lieu d'avoir une Ă©paisseur de bois de 120 mm, il y a deux madriers de 60 mm avec une couche de 80 mm d'isolant Ă  l'intĂ©rieur[2]

Solutions innovantes

Il existe de nombreuses alternatives innovantes et performantes dans la construction bois, en accord avec les problĂ©matiques actuelles. Certains fabricants proposent des solutions livrĂ©es en kit, dont la mise en Ɠuvre est facilitĂ©e, et ouverte Ă  tous les acteurs du bĂątiment et les autoconstructeurs. La dĂ©mocratisation de la construction bois constitue une Ă©tape importante pour les objectifs environnementaux bas carbone.

Ces solutions sont souvent trÚs qualitatives, elles visent des performances thermiques élevées pour la construction de maisons modernes proches du passif. Certaines solutions reprennent le principe d'ossature en bois, et intÚgrent des isolants locaux et biosourcés à base de paille, directement en usine. D'autres solutions ne sont pas composées d'une ossature en bois massif, ce sont des caissons porteurs et isolés à hauteur d'étage, qui ne nécessitent pas de moyens de levage. Labellisées, certifiées, on peut noter quelques innovations : Activ Home[3], Blokiwood[4], Sylcat[5], Paille-Tech Positive House[6], etc.

Une des derniÚres maisons en bois de Manhattan située 203 East 29th Street.

Importance du moment de la coupe de l'arbre et du séchage du bois

Le travail du bois doit rĂ©pondre Ă  certains critĂšres pour disposer d'une habitation offrant la meilleure qualitĂ© possible. Il est important de prendre en considĂ©ration le moment oĂč l'arbre doit ĂȘtre abattu, et la mĂ©thode de sĂ©chage, pour obtenir du bois rĂ©sistant et de bonne conservation.

L'arbre doit ĂȘtre coupĂ© en hiver, voire Ă©ventuellement en automne, lorsque l'arbre est au repos et que la sĂšve circule trĂšs lentement. On dit alors qu'il est « hors sĂšve », et donc moins sujet aux fermentations et aux attaques d'insectes.

Le sĂ©chage naturel, qui peut prendre au minimum un an, offre encore une meilleure rĂ©sistance au bois de construction. Il doit pour cela ĂȘtre Ă  l’abri des intempĂ©ries, mais stockĂ© Ă  l’air libre, pour avoir une bonne circulation de l’air et Ă©viter ainsi l’accumulation d’humiditĂ© et une prolifĂ©ration de champignons et autres parasites, puis ĂȘtre stockĂ© pendant une semaine au sec, dans un dĂ©pĂŽt, avant d’ĂȘtre travaillĂ©.

Le bois industriel ne respecte pas toujours la bonne saison de la coupe. Il est Ă©galement coupĂ© au printemps et en Ă©tĂ©, et subit un sĂ©chage au four, ce qui donne du bois de construction, certes moins onĂ©reux Ă  l'acquisition, mais aussi, de moins bonne qualitĂ© et qui devra ĂȘtre traitĂ© plus souvent[7].

Notes et références

  1. « Les étapes de montage d'un chalet de jardin en bois, des fondations à la toiture », sur prokit.fr, (consulté le ).
  2. « Isoler un chalet bois en bois massif : le guide complet 2022 avec norme RE2020 », sur chalet-conseil.com, (consulté le ).
  3. « Notre enjeu », sur pailletech.be (consulté le ).
  4. « Maisons en bois préfabriquées », sur blokiwood.fr (consulté le ).
  5. « Sylcat, solution de construction », sur sylcat.eu.
  6. « Paille Tech positive house », sur activ-home.com.
  7. Corinne Savoyen, Ma maison en bois, sur programme.tv, documentaire, 2013.

Voir aussi

Bibliographie

  • BĂątir avec le bois. Rencontre avec 30 architectes, BĂątir avec l'architecte, 2000, 84 p.

Articles connexes

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