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Liste des gravures et dessins d'Édouard Manet

Édouard Manet a réalisé un très grand nombre d'estampes et de dessins, parfois après avoir peint la toile du même sujet, parfois sur commande d'Alfred Cadart, parfois pour illustrer un texte, comme le poème d'Edgar Allan Poe Le Corbeau (poème).

Cette liste non exhaustive s'appuie sur une sélection issue des quatre ouvrages cités en bibliographie. Manet a réalisé près d'une centaine d'estampes dont beaucoup ont donné lieu, après sa mort à des tirages et des re-tirages. Plusieurs catalogues raisonnés de son œuvre gravé ont été publiés, dont Manet œuvre gravé (département des Estampes de la Bibliothèque Nationale de France, Paris, 1977)[1] - [note 1].

Les sujets religieux

  • Moine de profil, 1853-1857, sanguine sur papier vergĂ©, 34,2 Ă— 22 cm, bibliothèque nationale de France[2] ;
  • Saint-Bernard agenouillĂ© tenant un livre, d'après La Crucifixion de Fra Angelico, Florence, Couvent de San Marco, 1857, crayon noir et mine de plomb 28,8 Ă— 21,2 cm, musĂ©e d'Orsay, Paris ;
  • Deux religieux agenouillĂ©s Saint Jean Galbert et Saint Pierre martyr, d'après La Crucifixion de Fra Angelico, Florence, Couvent de San Marco, 1857, crayon noir et mine de plomb 28,8 Ă— 21,2 cm, musĂ©e d'Orsay ;
  • Étude pour une figure de Christ (Le Christ jardinier), 1856, sanguine sur papier crème Ă  filigrane, 1856, 34 Ă— 23,8 cm, collection privĂ©e ;
  • Le Christ mort aux anges (Le Christ aux anges), mine de plomb, aquarelle, gouache, plume et encre de Chine, 1864, 32,4 Ă— 27 cm.

Du père de Manet au chanteur espagnol

Les enfants

La toile Le Gamin au chien, 1860-61, collection particulière, 92 Ă— 72 cm a Ă©tĂ© rĂ©interprĂ©tĂ©e en gravures sous quatre formes diffĂ©rentes[5] dont ThĂ©odore Reff suppose que l'inspiration de Manet a Ă©tĂ© tirĂ© d'une gravure d'après Murillo reproduite dans L'histoire des peintres de Charles Blanc[6], a donnĂ© lieu Ă  quatre Ĺ“uvres gravĂ©es.

  • Le Gamin 1962, eau-forte, 20,9 Ă— 14,8 cm, bibliothèque nationale de France, Paris[7] ;
  • Le Gamin; 1968-74, lithographie, 28,9 Ă— 22,8 cm, bibliothèque nationale de France, Paris ; New York Public Library, New York ;
  • Le Garçon et le Chien, 1862, eau-forte et aquatinte ,20,5 Ă— 14,5 cm, The New York Public Library, New York, bibliothèque nationale de France, Paris[8]. Le garçon est le chien fait partie d'un cahier de 8 gravures Ă  l'eau-forte d'après la toile Le Gamin au chien (1860, collection particulière). L'ensemble a Ă©tĂ© publiĂ© sous ce titre par Cadart en 1862 sous le numĂ©ro 8, l'Ă©preuve de la bibliothèque nationale de Paris indique un dĂ©pĂ´t lĂ©gal enregistrĂ© le , celle de New York fait partie de la collection Samuel Putnam Avery[9].

La très importante toile L'Enfant Ă  l'Ă©pĂ©e, qui reprĂ©sente le jeune LĂ©on KoĂ«lla-Leenhoff (1861, 131,1 Ă— 93,3 cm, Metropolitan Museum of Art) a donnĂ© lieu Ă  quatre interprĂ©tations en gravures[10].

  • Une première eau-forte, 1861, 27,5 Ă— 21,7 cm, se trouve au Nationalmuseum de Stockholm ;
  • Un dessin Ă  la plume et encre brune (1861-62) est conservĂ© dans une collection particulière ;
  • Une troisième version d’enfant avec l'Ă©pĂ©e tournĂ© Ă  gauche est une eau-forte conservĂ©e Ă  la New York Public Library ;
  • Une quatrième planche intitulĂ©e L'Enfant Ă  l'Ă©pĂ©e tournĂ©e vers la gauche III, 1862, eau-forte et aquatinte, est probablement un des tout premiers essais de Manet sur une planche de cuivre, exĂ©cutĂ© sous la direction d'Alphonse Legros.

L'exemplaire de New York tirĂ© sur papier vergĂ©, portait en filigrane « Bon Ă  tirer sur papier pareil en 25 exemplaires ». Mais ce tirage n'eut pas de succès et Cadart offrait encore des Ă©preuves de cette planche dans un catalogue de 1872 selon Bailly-Herzberg[11]. La bibliothèque nationale de France possède les troisième et quatrième Ă©tats de la gravure (26,8 Ă— 17,9 cm), le Metropolitan un troisième Ă©tat, et la New York public library un quatrième Ă©tat[note 2].

Plus tard, Manet retravaille cette planche à l'eau-forte avec un fort ton d'aquatinte. Mais le résultat le déçoit, malgré l'aide de Félix Bracquemond. Manet n'arrive pas à maîtriser la technique des morsures[12].

Les nus 1860-1861

Les premiers dessins de nus ne sont reliés à aucune toile bien qu'ils aient été créés après La Nymphe surprise, donc logiquement dans la foulée du nu, mais qui va s'arrêter dès l'année suivante avec la série des femmes costumées. Seule la dernière eau-forte de la série en est librement inspirée.

  • Femme nue assise, crayon noir, 1857-1860, 12,5 Ă— 13,3 cm, musĂ©e du Louvre, Paris. Il s'agit d'un dĂ©tail d'une peinture de Michel Corneille le Jeune d'après Jules Romain au Palais du Te de Mantoue que Manet aurait initiĂ© sur place lors d'un voyage en Italie en 1857[13] ;
  • Baigneuse, crayon noir et sanguine, mise au carreau, 43 Ă— 25,5 cm, 1860. Suzanne Leenhof y Ă©tait trop reconnaissable sur l'une et l'autre, Manet la fait pivoter de profil[14] ;
  • La Sortie de bain , pinceaux et plume Ă  l'encre brune, avec sanguines et pierre noire, reprĂ©sentant une femme nue s'Ă©pongeant les cheveux, 1860-1864, 26,6 Ă— 20,3 cm, collection particulière, Londres. On reconnaĂ®t bien Suzanne Manet dans le moelleux du trait. Contrairement Ă  ce qu'affirme Michel Leiris, le lavis ne date pas de 1862-63[15] ;
  • Après le bain 1860-61, sanguine, 28 Ă— 20 cm, Art Institute of Chicago. Tabarant pense que le modèle est encore Suzanne, future Ă©pouse de Manet[16], dont on reconnait la corpulence. Ă€ l'arrière, une servante s'apprĂŞte Ă  la recouvrir d'un linge. C'est seulement aux rayons X que l'on a pu dĂ©celer le visage de la servante recouvert de hachures ;
  • La Toilette, 1861, eau-forte en deux Ă©tats : 28,2 Ă— 21,3 cm, bibliothèque nationale de France, Paris, 28,7 Ă— 22,5 cm ; collection particulière, Chicago. Cette planche a Ă©tĂ© imprimĂ©e en 8 gravures en 1862 par Eugène Delâtre, dont on reconnait la technique : un lĂ©ger ton d'encre laissĂ© sur toute la surface du cuivre[17].

Costumes, corrida, folklore et fĂŞte

Pendant sa pĂ©riode dite « hispanique Â», Manet s'est lancĂ© dans l'exĂ©cution de plusieurs toiles reprĂ©sentant des personnages costumĂ©s Ă  la mode espagnole. La toile Jeune femme couchĂ©e en costume espagnol (1862, 92 Ă— 113 cm, Yale University Art Gallery, New Haven, États-Unis) a Ă©tĂ© prĂ©cĂ©dĂ©e d'une aquarelle :

  • Étude pour la jeune femme couchĂ©e en costume expagnol, 1862, 16,4 Ă— 23,5 cm, Yale University Art Gallery, New Haven. Contrairement Ă  la logique des aquarelles, qui sont exĂ©cutĂ©es après la toile du mĂŞme sujet, celle-ci a Ă©tĂ© exĂ©cutĂ©e avant[18] - [19] ;
  • L'autre aquarelle rĂ©alisĂ©e la mĂŞme annĂ©e est aussi une aquarelle prĂ©paratoire Ă  la toile La MaĂ®tresse de Baudelaire couchĂ©e, MusĂ©e des beaux-arts de Budapest, 92 Ă— 113 cm : Étude pour la maĂ®tresse de Baudelaire couchĂ©e, 1862, 16,7 Ă— 23,8 cm, Kunsthalle de BrĂŞme[20] - [21]. Le personnage est costumĂ© Ă©lĂ©gamment. Manet a donnĂ© une grande importance Ă  la robe Ă©talĂ©e sur le divan, robe qui, Ă  la diffĂ©rence de la toile n'est pas bleu clair mais violine clair ;
  • Mlle V. en costume d'espada (1862) a Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ© en une aquarelle et une eau-forte ;
  • Mlle Victorine en costume d'espada (1862), aquarelle et encre sur mine de plomb, 30,5 Ă— 29 cm, Rhode Island School of Design Museum, Providence (Rhode Island) ;
  • L'Espada (1862), eau-forte et aquatinte : 33,5 Ă— 27,5 cm (cuivre), 30,5 Ă— 23,2 cm (premier Ă©tat), 30,7 Ă— 24 cm (deuxième Ă©tat). Premier et deuxième Ă©tat : bibliothèque nationale de France, Paris ; troisième Ă©tat : New Yok Metropolitan Museum. Auxquelles s'ajoutent un tirage de 8 eau-fortes par Cadart[22] ;
  • Philippe IV d'Espagne (d'après VĂ©lasquez)[note 3], 1862 (Ă©tats de 1 Ă  6), 1867 (Ă©tats 7 et 8), eau-forte, pointe sèche et aquatinte, 35,5 Ă— 23,8 cm, cuivre, 32 Ă— 19,9 cm. Ce tableau attribuĂ© Ă  Diego VĂ©lasquez fut achetĂ© par le Louvre en 1862. En dĂ©pĂ´t au musĂ©e Goya de Castres, il est aujourd'hui attribuĂ© Ă  son gendre et assistant Mazo. Manet, avide de tout ce qui touchait Ă  l'Espagne, a eu le projet d'en faire une eau-forte qui serait vendue chez Cadart. La planche de Manet est passĂ©e par plusieurs Ă©tapes prĂ©paratoires Ă  partir d'un dessin, dont les contours sont transfĂ©rĂ©s sur du cuivre. Le sixième Ă©tat est Ă  la bibliothèque nationale de France Ă  Paris ; les sixième et huitième Ă©tat sont Ă  la New York Public Library[23] ;
  • Les Petits cavaliers 1861-62, eau-forte et pointe sèche, reprise Ă  l'aquarelle du premier Ă©tat, 24,8 Ă— 39 cm. Elle est encore inspirĂ©e de VĂ©lasquez, Manet a d'ailleurs signĂ© : « Ă©d:Manet, d'après VĂ©lasquez Â». Le premier Ă©tat est au musĂ©e des beaux-arts de Boston, le troisième Ă  la BnF Ă  Paris, le quatrième Ă  la Public Library de New York[23]. L'Ă©preuve du musĂ©e de Boston est Ă  ce point rehaussĂ©e Ă  l'aquarelle qu'elle figure dans la section Aquarelles Ă  la vente posthume de 1884[24] ;
  • La Musique aux Tuileries a fait l'objet d'une Ă©tude prĂ©paratoire et d'un croquis d'un coin du jardin des Tuileries ;
  • Étude pour la musique aux Tuileries, lavis, 1862, collection particulière ;
  • Coin de jardin aux Tuileries, 1862 (date supposĂ©e), lavis d'encre de Chine, 18 Ă— 11,2 cm, BnF Ă  Paris[25] ;
  • Lola de Valence, huile sur toile, 1862, 123 Ă— 92 cm, musĂ©e d'Orsay, est le portrait en pied de Lola Melea, Ă©toile du ballet de Mariano Camprubi (Le Ballet espagnol). La toile a donnĂ© lieu Ă  trois dessins ou lithographies ;
  • Lola de Valence (dessin), 1862, crayon noir, plume et encre de Chine, rehaussĂ© d'aquarelle et de gouache, 25,6 Ă— 17,3 cm, musĂ©e du Louvre, cabinet des dessins[26] - [27] ;
  • Lola de Valence (eau-forte), 1863, eau-forte et aquatinte, 26,6 Ă— 18,5 cm, Art institute of Chicago (1er Ă©tat), 23,8 Ă— 16,1 cm, bibliothèque nationale de France Ă  Paris (5e Ă©tat), 23,5 Ă— 16,1 cm, Metropolitan museum Ă  New York[28] - [29]
  • Lola de Valence (lithographie), 1863, titre lithographiĂ© indiquant l'auteur PoĂ©sie et musique de Zacharie Astruc, et le nom de l'imprimeur : Lemercier, 19,5 Ă— 18,5 cm (sujet), 29,5 Ă— 24 cm (lettre), bibliothèque nationale de France Ă  Paris, Ă©preuve dĂ©dicacĂ©e, et Ă©preuve au dĂ©pĂ´t lĂ©gal[30] - [31].

Série d'estampes non rattachées à une toile

  • Le montreur d'ours 1, 1862, mine de plomb et lavis brun 14,5 Ă— 27 cm, Paris, BnF[32] ;
  • Le montreur d'ours 2, 1862, eau-forte et aquatinte, 18,8 Ă— 26,9 cm, Paris, BnF[33] ;
  • Le Chanteur des rues, 1862, eau-forte, 21 Ă— 28 cm, New York Public Library[34] ;
  • Les Satimbanques, 1862 (?), lavis brun sur mine de plomb, 25,8 Ă— 29 cm, Paris, BnF[35] ;
  • Le Ballon, 1862, lithographie, 40 Ă— 51,5 cm, Paris, BnF, New York Public Library[36] ;
  • Eaux-fortes par Édouard Manet prĂ©sentĂ©es par Polichinelle, deuxième essai de frontispice, 1862, eau-forte, 32,7 Ă— 24 cm (cuivre), 29,5 Ă— 21,1 cm (sujet) ;
  • Étude pour la couverture de Eaux-fortes par Édouard Manet, aquarelle et encre de Chine sur mine de plomb, 37,5 Ă— 26,5 cm, New York public Library[37] ;
  • Eaux-fortes par Édouard Manet avec chapeau et guitare, 1862-1863/1874, eau-forte, pointe sèche et aquatinte, 44,1 Ă— 29,8 cm (cuivre), 33,2 Ă— 22,4cm (premier Ă©tat), 23,1 Ă— 21,9 cm (deuxième Ă©tat)[38], Nationalmuseum Stockholm, (premier Ă©tat), Paris, BnF (deuxième Ă©tat) New York Public Library (deuxième Ă©tat) ;
  • Les Gitanos, 1862, eau-forte, titre gravĂ© sous le trait carrĂ©[note 4], dans le troisième Ă©tat, 32 Ă— 23,8 cm (cuivre), 28,5 Ă— 20,6 cm (sujet)[39], bibliothèque nationale de France, Paris ;
  • Le Ballet espagnol, 1862, plume et lavis Ă  l'encre de Chine, rehaussĂ© d'aquarelle et de gouache, 27 Ă— 41 cm, musĂ©e des beaux-arts de Budapest[40] - [41] ;
  • Portraits de Baudelaire ensemble de cinq planches dont deux de profil avec un chapeau, dĂ©crites et rĂ©fĂ©rencĂ©es[42]
    • Baudelaire en chapeau de profil, 1862 ou 1867-1868 (?) eau-forte, 13 Ă— 7,5 cm, Paris, BnF, New York Metropolitan Museum ;
    • Baudelaire en chapeau de profil, 1862 ou 1867-1868 (?) eau-forte, 10,9 Ă— 9 cm, Paris, BnF ;
    • Baudelaire tĂŞte nue, de face, 1865-1868 (?), eau-forte, 10,2 Ă— 8,4 cm, Paris, BnF ;
    • Baudelaire tĂŞte nue, de face, 1867-1868, eau-forte et aquatinte, 13,2 Ă— 10,7 cm et 11,2 Ă— 9,3 cm, Paris, BnF ;
    • Baudelaire tĂŞte nue, de face, 1868, eau-forte, 4 Ă©tats, 17,5 Ă— 10,6 cm (de 1 Ă  3) et 9,7 Ă— 8,3 cm (4e Ă©tat), Paris, BnF, Stockholm Nationalmuseum; MusĂ©e national de beaux-arts du QuĂ©bec[43]
  • Portrait d'Edgar Poe, 1860-1862, pinceau et encre de Chine, 30,5 Ă— 22,7 cm (feuille), 11,5 Ă— 10,5 cm (dessin), Paris, BnF[44] ;
  • Edgar Poe, 1860-1862, eau-forte, 19,3 Ă— 15,3 cm, Metropolitan Museum, New York[45] ;
  • Femme Ă©crivant, 1862-1864, pinceau et encre noire, 14,1 Ă— 15,9 cm, Sterling and Francine Clark Institute, Williamstown[46] ;

Les nus qui font scandale

Notes et références

Notes

  1. Son œuvre gravé a été répertorié dans d'autres catalogues notamment : Manet, l'œuvre gravé par Jean C. Harris (éditions Collectors, New York, 1970). Le deuxième tome du catalogue raisonné complet de Denis Rouart et Daniel Wildenstein intitulé Pastels, aquarelles et dessins (éditions Bibliothèque des arts, Lausanne, 1975), et encore Manet, eaux-fortes-lithographies de Juliet Wilson Bareau (édition Huguette Berès, Paris, 1978).
  2. Les dimensions diffèrent très légèrement.
  3. Le titre original n'utilise pas la graphie espagnole pour le nom de VĂ©lasquez.
  4. exemple de trait carré en gravure.

Références

  1. notice BnF de Monet œuvre gravé.
  2. Collectif RMN 2011, p. 142.
  3. Cachin, Moffett et Wilson-Bareau 1983, p. 50.
  4. Cachin, Moffett et Wilson-Bareau 1983, p. 51.
  5. Collectif RMN 2011, p. 51.
  6. Blanc 1859 p.1 Murillo.
  7. Cachin, Moffett et Wilson-Bareau 1983, p. 56.
  8. Cachin, Moffett et Wilson-Bareau 1983, p. 58.
  9. (en)La collection Avery.
  10. Cachin, Moffett et Wilson-Bareau 1983, p. 78.
  11. Bailly-Herzberg cité par Cachin, Moffett et Wilson-Bareau 1983, p. 81.
  12. Cachin, Moffett et Wilson-Bareau 1983, p. 82.
  13. Rouart-Wildenstein t. II, 1975, p. 71.
  14. Rouart-Wildenstein, t. II, 1975, p. 361.
  15. Cachin, Moffett et Wilson-Bareau 1983, p. 89.
  16. Tabarant 1947, p. 43.
  17. Cachin, Moffett et Wilson-Bareau 1983, p. 92.
  18. Tabarant 1930, p. 18.
  19. Rouart-Wildenstein T.II, 1975, Aquarelles, 371.
  20. Tabarant 1930, p. 14.
  21. Rouart-Wildenstein, t. II, 1975, Aquarelles, p. 368.
  22. Cachin, Moffett et Wilson-Bareau 1983, p. 116.
  23. Cachin, Moffett et Wilson-Bareau 1983, p. 118.
  24. Rouart Widenstein t. II, p. 70.
  25. Rouart-Widenstein t. II 313.
  26. Cachin, Moffett et Wilson-Bareau 1983, p. 150.
  27. Rouart Widenstein t. II, p. 369.
  28. Cachin, Moffett et Wilson-Bareau 1983, p. 152.
  29. Moreau-NĂ©laton 1926, p. 3.
  30. Cachin, Moffett et Wilson-Bareau 1983, p. 154.
  31. Moreau-NĂ©laton 1926, p. 77.
  32. Cachin, Moffett et Wilson-Bareau 1983, p. 128.
  33. Rouart-Widenstein, t. II, p. 562.
  34. Cachin, Moffett et Wilson-Bareau 1983, p. 130.
  35. Rouart-Widenstein t. II, p. 561.
  36. Cachin, Moffett et Wilson-Bareau 1983, p. 133-136.
  37. Rouart-Widenstein t. II, p. 67.
  38. Cachin, Moffett et Wilson-Bareau 1983, p. 139.
  39. Wildenstein 1977, W17, Wildenstein 1978 W32.
  40. Cachin, Moffett et Wilson-Bareau 1983, p. 144.
  41. Rouart-Widenstein 1978, t. II, p. 533.
  42. Cachin, Moffett et Wilson-Bareau 1983, p. 156-162.
  43. « Charles Baudelaire - Manet, Édouard », sur Collections | MNBAQ (consulté le )
  44. Rouart Wildenstein, t. II, p. 489.
  45. Wildenstein 1978, p. 61.
  46. Rouart, Wildenstein 1975, t. II, p. 383.
  47. Rouart, Wildenstein 1975, t. II, p. 306.
  48. Cachin, Moffet et Wilson-Bareau 1983, p. 173.
  49. Rouart, Wildenstein 1975, t. II.
  50. Cachin, Moffet et Wilson-Bareau 1983, p. 183

Bibliographie

  • Françoise Cachin, Charles S. Moffett et Juliet Wilson-Bareau, Manet : 1832-1883, Paris, RĂ©union des musĂ©es nationaux, , 544 p. (ISBN 2-7118-0230-2)Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Collectif RMN (dir.), Manet inventeur du moderne : [exposition, Paris, MusĂ©e d'Orsay, 5 avril-3 juillet 2011], Paris, La RĂ©union des musĂ©es nationaux et du Grand Palais des Champs-ÉlysĂ©es, , 297 p. (ISBN 978-2-07-013323-9)Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’articlel'ouvrage comporte des contributions de : StĂ©phane GuĂ©gan, Laurence des Cars, Simone Kelly, Nancy Locke, Helen Burnham, Louis-Antoine Prat, et un entretien avec Philippe Sollers
  • Sophie Monneret, L'Impressionnisme et son Ă©poque, vol. 2, t. 1, Paris, Robert Laffont, , 997 p. (ISBN 978-2-221-05412-3)Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Sophie Monneret, L'Impressionnisme et son Ă©poque, vol. 2, t. II, Paris, , 1185 p. (ISBN 978-2-221-05413-0)Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Adolphe Tabarant, Manet et ses Ĺ“uvres, Paris, Gallimard, , 600 p.
  • Adolphe Tabarant, Les Manet de la collection Havemeyer : La Renaissance de l'art français, Paris, XIII,
  • Étienne Moreau-NĂ©laton, Manet racontĂ© par lui-mĂŞme, vol. 2, t. Ipages totales=, Paris, Henri Laurens,
  • Étienne Moreau-NĂ©laton, Manet racontĂ© par lui-mĂŞme, vol. 2, t. I, Paris, Henri Laurens,
  • Henri Loyrette et Gary Tinterow, Impressionnisme : Les origines, 1859-1869, Paris, RĂ©union des MusĂ©es Nationaux, , 476 p. (ISBN 978-2-7118-2820-3) Ouvrage publiĂ© en France (1994) Ă  la suite de la rĂ©trospective aux Galeries nationales du Grand Palais, Paris du 19 avril au 8 aoĂ»t, et aux États-Unis (1995 du 19 septembre 94 au 8 janvier 1995 au Metroplitan Museum of Art. Gary Tinterow est directeur du dĂ©parterment 19e siècle du Metropolitan Museum of Art
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