Les Gets
Les Gets [le ʒɛ] est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Les Gets | |||||
Les Gets vu du ciel. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Savoie | ||||
Arrondissement | Bonneville | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Haut-Chablais | ||||
Maire Mandat |
Henri Anthonioz 2020-2026 |
||||
Code postal | 74260 | ||||
Code commune | 74134 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Gêtois(es) | ||||
Population municipale |
1 224 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 41 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 09′ 38″ nord, 6° 40′ 15″ est | ||||
Altitude | Min. 900 m Max. 1 820 m |
||||
Superficie | 29,98 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Évian-les-Bains | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Savoie
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
| |||||
Liens | |||||
Site web | Lesgets.com | ||||
Elle a obtenu le label « commune touristique » en raison notamment de la présence d'une station de sports d'hiver, reliée au grand domaine des Portes du Soleil.
Géographie
Le village se trouve au niveau du col des Gets, séparant la vallée d'Aulps au nord de celle de Taninges au sud.
Situé en moyenne montagne (1 200 m), dans le massif du Chablais, le village est très arrosé. Les précipitations venant de l'ouest sont en effet encore chargées de leur eau en arrivant dans le nord des Alpes puisqu'elles n'ont pas été arrêtées par le Massif central.
Communes limitrophes
La Côte-d'Arbroz | Morzine | |||
N | ||||
O Les Gets E | ||||
S | ||||
Taninges | Verchaix |
Urbanisme
Typologie
Les Gets est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3]. La commune est en outre hors attraction des villes[4] - [5].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (76,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (75,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (21,4 %), prairies (9,6 %), zones agricoles hétérogènes (6,5 %), zones urbanisées (5,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,1 %)[6].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Toponymie
La première mention des Gets remonte à 1275 avec Giz[7]. On trouve ensuite vers 1344 la forme Giez[7]. Au XIVe siècle, d'après la monographie d'Hippolyte Tavernier, on trouve les formes Gez, Gietz, Gyets[7] - [8]. La graphie de la commune s'écrit Lou Zhé selon la graphie de Conflans ou encore Los Jèts selon l'ORB[9].
Le toponyme qualifiant l'habitat et le milieu pastoral aménagé dérive probablement du bas latin, gistum qui désigne simplement un habitat pastoral ou un abri temporaire pour l'homme et les troupeaux en bonne saison, c'est-à-dire au sens ancien un gîte[7].
Mais il y a eu très tôt confusion avec l'activité de débardage hivernale qui consistait à jeter ou lancer des bois, c'est-à-dire gîter ou getter en ancien français, du haut des fortes pentes environnantes. Le mot « get(s) » désigne en francoprovençal un couloir par lequel on descend les bois coupés[8]. D'où l'hypothèse d'une filiation pour qualifier les pentes environnantes et de manière générique la montagne avec l'activité de getee en ancien français que l'on peut traduire par « jet ; abattis, coupe »[7]. Le professeur Charles Marteaux relève en 1918, que le verbe ancien français getter dérive du verbe classique jactāre qui a évolué en jettare[8], celui-ci donne plus tard en savoyard get désignant un « couloir pour la descente du bois en montagne », reprenant le sens donné par l'historien Hippolyte Tavernier, auteur d'une monographie sur les Gets (1886)[8]. Charles Marteaux considère qu'il s'agit de la même origine que pour la forme féminine du toponyme, La Giettaz[8].
Le "gîte des Gets" désignait le lieu générique où l'on récupérait les bois jetés en amont. En réalité, il y avait évidemment plusieurs lieux d'atterrissage ou "gistes" (au sens second) correspondant à autant de couloirs ou trajets de lançage. En été, le partage des pâturages, initialement de statut indivis en manse puis en consortage ou association régulée, a amené l'existence de plusieurs gîtes au sens premier, ou étendues privées qui se sont nommés indifféremment gites ou gets au pluriel. Les dénominations hivernales et estivales ont fini par se confondre au sein du monde paysan qui parvenait à concilier par l'ordre du calendrier des travaux et par des pratiques de compensation ces activités parfois antagonistes. Le contexte de la mention du toponyme médiéval ou moderne permet à l'archiviste de préciser à quelle catégorie, habitat montagnard pastorale ou montagne d'exploitation forestière, appartient le mot employé.
Remarquons que les auteurs de Lieux en mémoire de l'alpe (1993) font une autre proposition exclusive, mais similaire à la première mentionnée, pour ce dernier toponyme, il désignerait « les espaces libres devant les chalets où l'on rassemble les troupeaux » qui se "jettent" ainsi à la pâture du giste[10].
Histoire
La vallée de l'Arve semble habitée, dans sa partie nord, dès le Néolithique[11].
Période médiévale
Dans une monographie sur la commune, Maurice Bergoënd rappelle que « D'aucuns affirment que les premiers habitants des Gets furent des juifs »[12], l'historien et géographe Paul Guichonnet ajoutant qu'ils ont pu croire que le nom de « Les Gets » venaient de « Les Juifs »[13]. Les deux auteurs précisent que cette légende est récente et qu'il ne repose sur aucun fait historique[12] - [13].
Maurice Bergoënd indique que la première mention des Gets remonterait à la fin du XIe siècle[14]. Sa première mention remonte à la période 1135 et 1140, dans une charte de l'abbaye d'Aulps. Parmi les confins cités, on cite la Crête qui domine les Gets[15]. Entre 1135 et 1185, une autre charte du même fonds d'archives mentionne « la chapelle et le cimetière » des Gets dans le règlement d'un litige entre l'abbaye d'Aulps et le prieuré bénédictin de Contamines[16]. La principale activité des Gets, avant de devenir un village touristique (station de ski en hiver), était l'agro-pastoralisme ainsi que la valorisation du bois utilisé comme matériau de construction et combustible.
Période contemporaine
En 1936, construction du téléski de la Boule avec des perches en bois et des guidons de vélos, les Gets devient une station de sports d'hiver et les premiers touristes arrivent dont beaucoup de genevois[17].
En 1947, elle est la première station en France à s'équiper d'un télésiège[18].
Politique et administration
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[20].
En 2020, la commune comptait 1 224 habitants[Note 2], en diminution de 2,86 % par rapport à 2014 (Haute-Savoie : +6,65 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Manifestations sportives
- Pass'Portes du Soleil : Randonnée à VTT qui accueille des milliers de participants[23].
Par le passé, la commune a accueilli en 2003 la 7e étape du Tour de France du centenaire passant par la côte des Gets, classé en 3e catégorie, juste avant de descendre vers Morzine. La côte fut franchie en tête par Richard Virenque lors de son échappée victorieuse.
En 2004 et 2022 s'y déroulent les Championnats Mondiaux de VTT[24] puis les Championnats de France de VTT en 2012[25].
En 2014, la côte des Gets est grimpée lors de la 7e étape du critérium du Dauphiné, franchie en tête par Yury Trofimov. Lors de la même compétition en 2019, la côte des Gets, classée en 3e catégorie, est grimpée lors de la dernière étape, franchie en tête par Julian Alaphilippe.
De 2016 à 2018, la station a accueilli trois éditions du Crankworx[26] - [27] - [28].
La course de La Grande Odyssée y a établi plusieurs étapes, notamment en 2019[29] et en 2022[30].
Économie
- Immobilier : 6 556 €/m2, moyenne 2007.
Tourisme
Les Gets est l'une des 48 communes classées « commune touristique » du département[33]. La station a obtenu plusieurs labels : « Famille Plus Montagne »[34] ; « Stations villages de charme » ; « Stations grands domaines » ; « Village de charme » et « Montagne douce »[35], ainsi que. Elle fait partie également des stations françaises ayant le label Top of the French Alps (TOTFA)[35].
En 2014, la capacité d'accueil de la commune, estimée par l'organisme Savoie Mont Blanc, est de 16 188 lits touristiques répartis dans 2 670 établissements[Note 3]. Les hébergements se répartissent comme suit : 1 077 meublés ; 4 résidences de tourisme ; 21 hôtels ; un établissement d'hôtellerie de plein air et 9 centres ou villages de vacances/auberges de jeunesse[36].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église de la Nativité-de-Marie des Gets construite en 1895 dans le style néo-gothique par l'architecte Eugène Denarié à l'emplacement de la première église datant de 1406
- L'orgue de l'église. Installé depuis sa restauration en 1994, cet instrument de musique mécanique, classé monument historique, est un orgue philharmonique automatique, unique en Europe, de 1 000 tuyaux (violons, flûtes, voix humaines, clarinettes, trompettes...) possédant un carillon et un métallophone.
- Château de Cuar, détruit en 1223 à la jonction des eaux d'Arbroz et des Gets
- Maison forte des Gets (attesté), premier "château des Gets" construit sur la butte des Clos (détruit fin XIXe siècle)
- Chapelle de Moudon, premier édifice religieux implanté sur la commune, construit avant l'an Mil, dédié à Saint-Théodule. Reconstruite en 1651
- Chapelle Notre-Dame de Lourdes édifiée en 1871 dans le hameau des Mouilles dans l'espoir de la guérison du missionnaire-botaniste Jean-Marie Delavay, malade de la peste en Chine
- Ferme des plans située dans le hameau des Perrières. L'une des plus anciennes fermes du village encore en son état d'origine (1793)[37]
- Ancienne école publiques des Perrières (1906-1979), transformée en atelier du musée de la musique mécanique
- Chalet de villégiature des frères Martel situé sur le plateau des Chavannes, présenté à l'Exposition Internationale de Paris en 1937.
- Ancien presbytère dite "maison des soeurs" transformé en Musée de la musique mécanique en 1988
- Chêne (planté le 11 novembre 2000) situé à l'emplacement du "Vieux chêne" (alors âgé de 700 ans) de la famille des Bénévix
- Première maison consulaire des Gets, actuellement poste de gendarmerie
Patrimoine culturel
- Le musée de la Musique mécanique qui expose d'anciens instruments mécaniques de musique du XIXe siècle.
- L'exposition d'automates de la collection Roger et Gallet : des automates, réalisés chaque nouvelle année entre les années 1930 à 1950 et présentés dans les vitrines du faubourg Saint-Honoré puis exposés dans les vitrines des magasins des plus grandes capitales du monde. Après avoir été abandonnée pendant de longues années (à Mantes-la-Jolie et chez Sanofi), et grâce à l'effort de l'association de la musique mécanique, la collection entière, composée de 93 éléments, est présentée depuis 1994.
Des films ont été tournés sur le territoire de la commune. Ainsi, à titre d'exemple, on peut citer :
- Roger Vadim (1928-2000). Fin 1938, il a 10 ans lorsque son père décède à Morzine. En septembre 1939, sa mère, lui et sa sœur Hélène, s'installent en location dans une ferme du hameau des Folliets. Aux Gets, il fait la rencontre de son ami Yves Robert, le futur metteur en scène. Toute sa vie, il resta fidèle aux Gets où il tourna certains extérieurs de ses films Les Liaisons dangereuses, L'Amour fou et Hellé et où il venait avec Marie-Christine Barrault à la fruitère des Perrières. En 1992, il achète une ancienne ferme au Plan-Ferraz[38].
- Les films La Première Étoile et La deuxième Etoile réalisés par Lucien Jean-Baptiste sont tournés au Gets. En partie autobiographique, ils racontent avec tendresse la découverte de la neige par une famille antillaise.
- Les Edelweiss est un téléfilm français réalisé par Stéphane Kappes avec Claire Keim, Marie-Anne Chazel et Edouard Montoute. Une avant-première a été diffusée aux Gets avec la présence de Marie-Anne Chazel ().
Espaces verts et fleurissement
En 2014, la commune obtient le niveau « trois fleurs » au concours des villes et villages fleuris[39].
Personnalités liées à la commune
- Jean-Marie Delavay (1834-1895), missionnaire chrétien des Missions étrangères de Paris, botaniste et grand collecteur de plantes en Chine ;
- Jan et Joël Martel, sculpteurs, décorateurs et architectes, co-créateurs, sous l'inspiration de Robert Mallet-Stevens, d'un chalet de bois revisitant les codes de l'architecture de montagne et présenté à l'Exposition Internationale de Paris de 1937. Chalet installé en 1938 au lieu-dit "La Mouille aux Blés" sur le plateau des Chavannes[40].
- Geneviève de Gaulle-Anthonioz, résistante, présidente d'ATD Quart Monde (de 1964 à 1998), rentrée au Panthéon en 2015. Elle est l'épouse de Bernard Anthonioz, fils d'un natif des Gets dénommé Charles[40].
Sportifs de renom de la station :
- Danielle Debernard, née en 1954, championne de ski ;
- Deborah Anthonioz, née en 1978, championne du monde de snowboard cross. Vice-championne olympique de Snowboard Cross aux JO de Vancouver 2010 ;
- Fabien Barel, né en 1980, champion cycliste ;
- Nicolas Anthonioz, né en 1981, champion de ski ;
- Adeline Baud-Mugnier, née en 1992, championne de ski.
Héraldique
Les armes des Gets se blasonnent ainsi : D'azur au chevron d'or accompagné en chef de deux étoiles et en pointe d'un griffon, le tout du même.
Adopté en 1975. La commune a repris les armes de la famille de Bénevix, avec l'accord des descendants.
Voir aussi
Bibliographie
- Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes : Le Faucigny, Roanne, Éditions Horvath, , 619 p. (ISBN 2-7171-0159-4), p. 593-597, « Gets (Les) », 561-566, « Le canton de Taninges ».
- Maurice Bergoënd, Les Gets au fil des siècles : Monographie, , 64 p. (ISBN 978-2-402-20373-9, lire en ligne).
- Philippe Mugnier, Les Gets - Que d'histoires !, , 24 p. (ISBN 978-2-95762-720-2).
- Hippolyte Tavernier, Monographie des Gets et de la Côte-d'Arbroz (réimpr. 2006) (1re éd. 1886), 134 p. (ISBN 2-84373-859-8).
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- Site de l'office du tourisme
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- La structure Savoie Mont Blanc, pour ces données statistiques de capacité d'accueil en termes de lits touristiques d'une station ou d'une commune, additionne les établissements marchands, qui appartiennent au secteur de l'hôtellerie, et les hébergements non marchands, qui n'impliquent donc pas de transaction commerciale comme les résidences secondaires[36].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- D'après Henry Suter, « Les Gets », Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs, sur henrysuter.ch, Henry Suter, 2000-2009 (consulté le ).
- Charles Marteaux, « Sur le sens et l'étymologie de quelques noms de lieux savoyards », Recueil des travaux de l'Institut de géographie alpine, vol. 6, nos 6-2, (lire en ligne), p. 144.
- Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 14préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
- Hubert Bessat et Claudette Germi, Lieux en mémoire de l'alpe : toponymie des alpages en Savoie et Vallée d'Aoste, ELLUG, , 229 p. (ISBN 978-2-902709-82-3, lire en ligne), p. 149.
- Bergoënd, 1962, p. 6 (lire en ligne).
- Bergoënd, 1962, p. 9 (lire en ligne).
- Paul Guichonnet, Nouvelle encyclopédie de la Haute-Savoie : Hier et aujourd'hui, Montmélian, La Fontaine de Siloé, , 399 p. (ISBN 978-2-84206-374-0, lire en ligne), p. 89.
- Bergoënd, 1962, p. 8 (lire en ligne).
- Delerce (A.), Recherches sur le chartrier d'Aulps, Reconstitution, édition et commentaire des chartes d'une abbaye cistercienne de montagne (1097 - 1307), thèse de l'EHESS, 2009, volume 2, p. 262-263, n° 21.
- ibid., p. 278, n° 41.
- Mathilde Dumur, « ....le ski aux Gets en 1937 », L'Essor savoyard, , p. 28
- La Grande encyclopédie, Éditions Larousse, 1976, vol. 18 p. 10184.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Nadège Combier, « 8200 participants à la Pass’Portes du soleil, un record », sur Le Messager, (consulté le )
- « Les Championnats du monde 2022 aux Gets s'affichent au Roc d'Azur », sur Le Dauphiné libéré, (consulté le )
- « Les Championnats de France aux Gets », sur Le Dauphiné libéré, (consulté le )
- Arnaud Larrandaburu, « Lancement du Crankworx Les Gets 2016 », sur Big Bike Magazine, (consulté le )
- « Les Crankworx aux Gets (Haute-Savoie) du 14 au 18 juin 2017 », sur L'Équipe, (consulté le )
- Virginie Borlet, « Clap de fin sur le Crankworx Les Gets », sur Le Dauphiné libéré, (consulté le )
- « [Photos] La Grande Odyssée de passage aux Gets », sur La Savoie, (consulté le )
- Aude Lacroix, « Grande Odyssée : rendez-vous mardi, aux Gets, pour la 4e étape », sur Le Dauphiné libéré, (consulté le )
- Chantal Bourreau, « “Ô temps suspend ton vol” pour les 30 ans du festival de la musique mécanique », sur Le Dauphiné libéré, (consulté le )
- « Au Festival de musique mécanique des Gets, des souvenirs et des trouvailles », sur Franceinfo, (consulté le )
- « Communes touristiques et stations classées de tourisme », Accueil du portail > Tourisme > Territoires, sur site de la Direction générale de la compétitivité, de l'industrie et des services - site entreprises.gouv.fr, (consulté le ). [PDF] « Liste des communes ou regroupement bénéficiant de la dénomination de commune touristique ou de groupement de communes touristiques ».
- « Famille Plus » (consulté le ).
- « Les Gets », sur site france-montagnes.com (consulté le ). Pour le critère Top of the French Alps : Lire en ligne.
France Montagnes est une association qui regroupe des acteurs du tourisme de montagne en France. - « La capacité d'accueil touristique en Savoie-Mont-Blanc », Observatoire, sur le site Savoie-Mont-Blanc - pro.savoie-mont-blanc.com, (consulté en ) : « Les données détaillées par commune, et par station : nombre de structures, nombre de lits par type d'hébergements (fichier : Détail des capacités 2014, .xlsx) ».
- C.A.U.E 74 (Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et de l’Environnement), « a&s architecture et stations - N° 5 - Les Gets »,
- Hebdomadaire Le Messager du 17 février 2000
- « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
- Philippe Mugnier, Les Gets Retro, Paris, Editions Que d'Histoires !, , 282 p. (ISBN 9782957627233)