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Legio II Traiana Fortis

La Legio II Traiana Fortis (LittĂ©ralement : La lĂ©gion forte de Trajan) [N 1] est une lĂ©gion romaine levĂ©e par l'empereur Trajan en l'an 105 en mĂȘme temps que la XXX Ulpia Victrix en vue de la conquĂȘte romaine de la Dacie (105-106).

L'empereur Trajan qui leva la IIe légion dont elle porta le nom.

AprĂšs les guerres daciques et celles contre les Parthes , la lĂ©gion fut, aprĂšs un sĂ©jour en JudĂ©e, stationnĂ©e en Égypte oĂč elle demeurera par la suite. Certaines unitĂ©s de la lĂ©gion prirent part aux campagnes d’Hadrien contre les Juifs, Ă  la fois en JudĂ©e et Ă  Alexandrie oĂč existait une forte communautĂ© juive.

Il est probable qu’également au IIe siĂšcle, la lĂ©gion participa Ă  la campagne de Lucius Verus contre les Parthes (162-166). Elle se rangea du cĂŽtĂ© du gouverneur de Syrie, Pescennius Niger, lors de sa tentative d’usurpation, mais se rallia finalement Ă  Septime SĂ©vĂšre, ce qui permit Ă  ce dernier de s’emparer du pouvoir.

Au siĂšcle suivant, elle prit part aux guerres de Caracalla contre les Alamans et se mĂ©rita le surnom honorifique de Germanica. Certaines unitĂ©s aidĂšrent Ă©galement l’empereur Gallien Ă  combattre l'usurpateur Postume en Gaule ».

Par la suite, la lĂ©gion semble ĂȘtre demeurĂ©e de façon permanente en Égypte oĂč la Notitia Dignitatum mentionne encore sa prĂ©sence au Ve siĂšcle.

L'emblÚme de la légion est le demi-dieu Hercule avec qui Trajan aimait se comparer[1].

Sous les Antonins

Carte de l'Empire romain en 125 sous l’empereur Hadrien, montrant la legio II Traiana Fortis, stationnĂ©e en Égypte prĂšs d'Alexandrie.

AprĂšs avoir vaincu l’armĂ©e de l’empereur Domitien (r. 81-96) lors de la bataille de Tapae (86), le roi dace DĂ©cĂ©bale menaçait Rome. Trajan (r. 98-117), successeur de Domitien dĂ©cida d’en finir et lança une premiĂšre guerre d’invasion en 101-102 qui força DĂ©cĂ©bale Ă  demander une trĂȘve. Mais dĂšs 105, ce dernier rompit les termes de la trĂȘve et Trajan entreprit une seconde guerre dacique visant cette fois la conquĂȘte de ce royaume[2].

Afin de lui permettre d’atteindre cet objectif, Trajan, en 105, leva deux lĂ©gions pour renforcer l’armĂ©e : le legio II, qui deviendra la Traiana Fortis, et la legio XXX Ulpia Victrix. AprĂšs la victoire finale sur les Daces, le suicide de DĂ©cĂ©bale et la crĂ©ation de la nouvelle province de Dacie (correspondant Ă  la Roumanie d’aujourd’hui), la II Traiana Fortis disparait momentanĂ©ment des sources. Il est possible que sitĂŽt aprĂšs la victoire, la lĂ©gion ait Ă©tĂ© envoyĂ©e en JudĂ©e[3] ou en Arabie PĂ©trĂ©e[4], autre territoire protĂ©gĂ© par Rome que Trajan voulait rattacher Ă  l’empire pour protĂ©ger sa frontiĂšre contre les Parthes. Il est toutefois aussi plausible que la lĂ©gion soit restĂ©e en Dacie en compagnie de la lĂ©gion III Cyrenaica pour garder la jeune province [4].

Shimon bar Kochba, leader de la résistance juive (Sculpture de la Knesset Menorah (Jérusalem).

En 114 au plus tard, la lĂ©gion accompagna Trajan en Syrie oĂč l’empereur avait lancĂ© une guerre contre les Parthes (114-117) qui lui disputaient le contrĂŽle du royaume d’ArmĂ©nie [5]. AprĂšs l’ajout de l’ArmĂ©nie et de la MĂ©sopotamie Ă  la liste des provinces, Trajan envoya la Legio II Traiana Fortis prĂȘter main-forte Ă  la Legio X Fretensis dans la rĂ©gion de JudĂ©e oĂč des troubles avaient Ă©clatĂ©[6]. Elle fut alors vraisemblablement stationnĂ©e Ă  Caparcotna (Kefar ‘Otnay) en GalilĂ©e[7].

Sous l’empereur Hadrien, des unitĂ©s des lĂ©gions X Fretensis, II Traiana, III Cyrenaica et VI Ferrata participĂšrent Ă  la construction de l’aqueduc Colonia Prima Flavia Augusta Caesariensis, prĂšs de CĂ©sarĂ©e[8]. En 120, la lĂ©gion construisit une route allant de Caparcotna Ă  Ptolemais (Akkon), en passant par Diocaesarea (Sepphoris en GalilĂ©e au nord de Nazareth)[9].

Principaux sites de l'Égypte oĂč fut stationnĂ©e la Legio II Traiana Fortis pendant des siĂšcles.

Le conflit avec les Parthes s’envenima en 123 : Hadrien et Tiberius Claudius Quartinus conduisirent des dĂ©tachements de la Legio II Traiana et de la Legio III Cyrenaica vers l’Euphrate. Mouvements menaçants de troupe et diplomatie eurent raison du conflit [10]. Sous Hadrien (r. 117-138), la Legio II Traiana quitta Caparcotna en 125 (oĂč elle fut remplacĂ©e par la Legio VI Ferrata) pour ĂȘtre stationnĂ©e Ă  Nikopolis prĂšs d’Alexandrie dans la province d’Égypte[3] oĂč elle partagea un campement avec la XXII Deiotariana; elle devait y rester pendant plus de trois cents ans. Lors de la rĂ©volte juive (132-135) dirigĂ©e par Simon Bar Kochba certaines unitĂ©s de la II Traiana Fortis furent envoyĂ©es avec la lĂ©gion XXII Deiotariana en JudĂ©e pour mettre fin Ă  la rĂ©volte. Le reste de la lĂ©gion dut demeurer Ă  Nikopolis, en raison de l’importance de la communautĂ© juive d’Alexandrie qui reprĂ©sentait un danger d’insurrection[11]. En pratiquant la politique de la terre brulĂ©e, les Romains finirent par avoir le dessus en JudĂ©e, mais cette victoire dans la province rebelle eut un prix : la XXII Deiotrariana fut complĂštement dĂ©cimĂ©e et c’est une Legio II Traiana Fortis passablement rĂ©duite qui retourna Ă  Alexandrie.

En dĂ©pit de ses effectifs amputĂ©s, la Legio II Traiana Fortis demeura la force d’occupation la plus importante d’Égypte. Des dĂ©tachements furent requis hors d’Alexandrie pour assurer la paix Ă  travers la province. Ainsi divers dĂ©tachements servirent de garnison dans plusieurs villes de la Haute-Égypte. On retrouve Ă©galement de ses lĂ©gionnaires Ă  Pselchis, la ville la plus mĂ©ridionale de l’empire, oĂč ils servaient de douaniers le long de la frontiĂšre avec la Numibie. On trouve Ă©galement trace de sa prĂ©sence Ă  Panopolis (el-Achmim), ThĂšbes et Syene (Assouan)[12] - [13] - [14].

Il est probable que des dĂ©tachements de la Legio II Traiana Fortis aient pris part Ă  la guerre contre les Parthes de Lucius Verus (162-166). Par la suite, il est Ă©galement possible mais nullement assurĂ© que des unitĂ©s aient Ă©tĂ© prĂ©sentes lors des guerres contre les Marcomans conduites par le frĂšre de Lucius Verus, Marc AurĂšle, de 166 Ă  180 [15]. Il est toutefois certain que des lĂ©gionnaires furent dĂ©tachĂ©s dans cette rĂ©gion et furent utilisĂ©s pour parachever les installations militaires de la ville portuaire de Salona (Split) sur la cĂŽte dalmate en 170[16]. De mĂȘme, l’on sait qu’au moins depuis 185[17] - [N 2], la lĂ©gion portait le surnom honorifique de Germanica qui lui avait Ă©tĂ© dĂ©cernĂ© pour sa participation dans la guerre contre les diverses tribus germaniques[18].

Entretemps, en 175, la lĂ©gion s’était rangĂ©e du cĂŽtĂ© du rebelle Avidius Cassius, lĂ©gat de la Legio III Gallica, qui s’était emparĂ© de SĂ©leucie du Tigre, puis de CtĂ©siphon, la capitale parthe, en 165. Celui-ci s’était autoproclamĂ© empereur lorsque s’était rĂ©pandue, faussement, la nouvelle de la mort de Marc AurĂšle, rĂ©volte de courte durĂ©e puisqu’Il fut assassinĂ© par un centurion la mĂȘme annĂ©e[15].

Sous les SĂ©vĂšres

Au cours de l’AnnĂ©e des Quatre Empereurs (193), la Legio II Traiana Fortis prit fait et cause pour l’usurpateur Pescennius Niger (usurpateur 193-194) qui disputait le pouvoir Ă  Septime SĂ©vĂšre (r. 193-211). Mais peu avant la bataille dĂ©cisive ou devaient se rencontrer les deux prĂ©tendants, la Legio II Traiana Fortis changea de camp, aida Ă  vaincre les troupes de Pescennius et se vanta par la suite de ce que Septime SĂ©vĂšre lui devait le pouvoir[19].

Sous Caracalla (r. 211-217), la lĂ©gion prit part aux guerres contre les Alamans[20]. Sous cet empereur ou sous son successeur, Élagabal (r. 218-222), la lĂ©gion porta le nom de Legio II Traiana Fortis Antoniniana[21], surnom qu’elle abandonna aprĂšs la « damnatio memoriae » d’Élagabal[N 3].

En 232, SĂ©vĂšre Alexandre lança une expĂ©dition contre les Parthes Ă  laquelle se joignirent des dĂ©tachements de la Legio II Traiana Fortis[22]. Une partie de la lĂ©gion se rĂ©volta contre l’empereur SĂ©vĂšre Alexandre, lequel rĂ©ussit Ă  mater la rĂ©bellion, Ă  la suite de quoi il transfĂ©ra des unitĂ©s sur la frontiĂšre « Barbaricum »[N 4]. Manifestement, toutefois, ce ne fut pas l’ensemble de la lĂ©gion qui fut ainsi punie, puisque celle-ci se mĂ©rita le nouveau surnom de Legio II Traiana Fortis Germanica Severiana[23] - [24].

Pendant l’Anarchie militaire

En 260, aprĂšs la capture de ValĂ©rien (r. 253-260) par les Sassanides, Macrien le Jeune (usurpateur 260-261) et son frĂšre Quietus furent reconnus empereurs par la majeure partie des provinces d’Orient[25]. Il est possible qu’une unitĂ© de la Legio II Traiana Fortis se soit dĂ©clarĂ©e en leur faveur; celle-ci fut dĂ©faite en 261 prĂšs de Serdica (Sofia) en Thrace par le magister militum AurĂ©olus, qui s’était rangĂ© du cĂŽtĂ© de l’empereur Gallien (r. 253-268) et demeura en Occident. Celui-ci retira vraisemblablement une partie de la lĂ©gion d’Égypte pour l’envoyer en Gaule sous le commandement d’AurĂ©olus, combattre un autre usurpateur, Postume qui avait proclamĂ© l’ « Empire des Gaules ». Toutefois, AurĂ©olus trahit Gallien en 268, entrainant avec lui les lĂ©gionnaires de la Legio II Traiana Fortis, se proclama empereur et fit alliance avec Postume[26]. Le successeur de Postume, Victorininus (usurpateur 269-271), fit frapper des piĂšces de monnaie en l’honneur de la lĂ©gion [27]. AprĂšs qu’AurĂ©lien (r. 270-275) ait vaincu Tetricus Ier et son fils Tetricus II, mettant ainsi fin Ă  l’éphĂ©mĂšre Empire des Gaules, le dĂ©tachement retourna en Égypte. La lĂ©gion dut se signaler Ă  nouveau par de brillants exploits, car l’empereur Carin (r. 283-285) fit Ă©galement frapper des piĂšces de monnaie en son honneur[28]. Selon la biographie « Actes de Saint Marcellus », document sujet Ă  caution, deux ans plus tard, un dĂ©tachement aurait Ă©tĂ© envoyĂ© combattre les Maures en MaurĂ©tanie[28].

Antiquité tardive

En 296, l’empereur DioclĂ©tien (r. 284-305) renforça la garnison d’Alexandrie en y ajoutant la toute nouvelle Legio III Diocletiana [28]. La Haute-Égypte demeurait toutefois agitĂ©e, si bien qu’en 297/298 DioclĂ©tien lui-mĂȘme conduisit une campagne qui devait le mener jusqu’à l’Ile Ă©lĂ©phantine. Les lĂ©gions II Traiana Fortis et III Diocletiana reçurent des renforts d’une deuxiĂšme lĂ©gion III Diocletiana en provenance de la province d’Aegyptus Iovia (Ouest du delta du Nil)[29].

Il est possible, mais les historiens ne s’entendent pas sur le sujet, que l’une des unitĂ©s de la Legio II Traiana Fortis, dĂ©tachĂ©e auprĂšs de Gallien, soit Ă  l’origine de la lĂ©gende du « Massacre de la lĂ©gion thĂ©baine»[30]. On sait par contre que vers l’an 300 deux unitĂ©s Ă©taient cantonnĂ©es en Haute-Égypte dans la province de ThĂ©bais et que vers 320 une unitĂ© se trouvait en Moyenne-Égypte dans la province de Herculia[31].

Au dĂ©but du Ve siĂšcle une partie de la Legio secunda Traiana servait de garde-frontiĂšre (limitanei) sous le commandement du Comes limitis Aegypti Ă  Parembole Ă  la frontiĂšre sud de l’Égypte[32]. Une autre partie de la lĂ©gion Ă©tait situĂ©e Ă  Apollonos superioris (aussi connu comme Apollonopolis Magna, aujourd’hui Edfu) sous le commandement du Dux Thebaidos[33].

EmblĂšme

L’emblĂšme de la lĂ©gion Ă©tait le demi-dieu Hercules. On ne comprend pas trĂšs bien le choix de cet emblĂšme, mais l’on sait que l’empereur Trajan, qui avait crĂ©Ă© cette lĂ©gion, aimait se comparer lui-mĂȘme au demi-dieu et que Dion de Pruse comparait l’empereur au fils de Jupiter [34]

Notes et références

Notes

(de) Cet article est partiellement ou en totalitĂ© issu de l’article de WikipĂ©dia en allemand intitulĂ© « Legio II Traiana Fortis » (voir la liste des auteurs).
  1. Le nombre (indiquĂ© par un chiffre romain) portĂ© par une lĂ©gion peut porter Ă  confusion. Sous la rĂ©publique, les lĂ©gions Ă©taient formĂ©es en hiver pour la campagne d’étĂ© et dissoutes Ă  la fin de celle-ci; leur numĂ©rotation correspondait Ă  leur ordre de formation. Une mĂȘme lĂ©gion pouvait ainsi porter un numĂ©ro d’ordre diffĂ©rent d’une annĂ©e Ă  l’autre. Les nombres de I Ă  IV Ă©taient rĂ©servĂ©s aux lĂ©gions commandĂ©es par les consuls. Sous l’empire, les empereurs numĂ©rotĂšrent Ă  partir de « I » les lĂ©gions qu’ils levĂšrent. Toutefois, cet usage souffrit de nombreuses exceptions. Ainsi Auguste lui-mĂȘme hĂ©rita de lĂ©gions portant dĂ©jĂ  un numĂ©ro d’ordre qu’elles conservĂšrent. Vespasien donna aux lĂ©gions qu’il crĂ©a des numĂ©ros d’ordre de lĂ©gions dĂ©jĂ  dissoutes. La premiĂšre lĂ©gion de Trajan porta le numĂ©ro XXX, car 29 lĂ©gions Ă©taient dĂ©jĂ  en existence. Il pouvait donc arriver, Ă  l’époque rĂ©publicaine, qu’existent simultanĂ©ment deux lĂ©gions portant le mĂȘme numĂ©ro d’ordre. C’est pourquoi s’y ajouta un cognomen ou qualificatif indiquant (1) ou bien l’origine des lĂ©gionnaires (Italica = originaires d’Italie), (2) un peuple vaincu par cette lĂ©gion (Parthica = victoire sur les Parthes), (3) le nom de l’empereur ou de sa gens (famille ancestrale), soit qu’elle ait Ă©tĂ© recrutĂ©e par cet empereur, soit comme marque de faveur (Galliena, Flavia), (3) une qualitĂ© particuliĂšre de cette lĂ©gion (Pia fidelis = loyale et fidĂšle). Le qualificatif de « Gemina » dĂ©signait une lĂ©gion reconstituĂ©e Ă  partir de deux lĂ©gions ou plus dont les effectifs avaient Ă©tĂ© rĂ©duits au combat. (Adkins (1994) pp. 55 et 61)
  2. Selon Lendering, cette distinction lui aurait Ă©tĂ© confĂ©rĂ©e en 213 par l’empereur Caracalla
  3. VotĂ©e par le SĂ©nat de Rome Ă  l’endroit d’un personnage public dĂ©funt de mauvaise mĂ©moire, cette pratique consistait Ă  annuler les honneurs reçus de son vivant, Ă  effacer son nom des monuments publics, Ă  dĂ©clarer le jour de son anniversaire comme jour nĂ©faste et/ou Ă  renverser ses statues.
  4. Partie de l’empire s’étendant au-delĂ  du limes formĂ© par le Rhin et le Danube. Le terme se confond souvent avec le territoire appelĂ© « Germania Magna ».

Références

Pour les références CIL et AE, voir le site : Manfred Clauss / Anne Kolb / Wolfgang A. Slaby. « Epigraphik-Datenbank Clauss / Slaby », URL : http://db.edcs.eu/epigr/epi_einzel.php?s_sprache=de&p_belegstelle=.

  1. Seelentag (2004) pp. 406-407.
  2. Cassius Dio, 55, 24, 3-4.
  3. Eck (1999) pp. 247-248
  4. Lendering (2002) para 1
  5. Eck (2007) p. 113.
  6. Dabrowa (1993) p. 15.
  7. Isaac (1997) p. 203.
  8. Eck (2008) pp. 25-26.
  9. Isaac (1997) p. 203; basĂ© sur l’interprĂ©tation de deux inscriptions, cet Ă©pisode peut ĂȘtre mis en doute. Comparer avec Gebhardt (2002) p. 93
  10. Gebhardt (2002) pp. 116-117; voir aussi CIL 6, 1567 et CIL 13, 1802.
  11. Lendering (2002) para3.
  12. Lendering (2002) para 4.
  13. CIL 3, 6025 .
  14. Palme (2006) pp. 299-328.
  15. Lendering (2002) para 5.
  16. CIL 3, 1980.
  17. AE 1902, 219.
  18. CIL 3, 6592.
  19. Lendering (2002) para 6.
  20. Komnick (2003) pp. 13-14.
  21. CIL 3, 12057.
  22. Alston (1998) p. 73.
  23. CIL 3, 12052.
  24. Handy (2009) p. 164.
  25. Zosso (2009) p. 195.
  26. Zosso (2009) p. 197..
  27. Smallwood (2001) pp. 530-531.
  28. Lendering (2002) para 8
  29. Speidel (2005) p. 42.
  30. Schubiger (1990) p. 36.
  31. Erkamp (2007) p. 282.
  32. Notitia Dignitatum, Or. XXVIII.
  33. Notitia Dignitatum, Or. XXXI.
  34. Lendering (2002) para 9.

Voir aussi

Bibliographie

Sources primaires
Sources secondaires
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  • Zosso, François & Christian Zingg. Les empereurs romains. Paris, Éditions Errance, 2009. (ISBN 978-2-87772-390-9).

Articles connexes

Liens externes

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