Jean de Size
Jean de Size, né Jean Casquard le à Paris et mort le à Boulogne-Billancourt, est un acteur, producteur et réalisateur français, actif des années 1910 aux années 1940.
Jean de Size
Nom de naissance | Jean Ferdinand Nicolas Casquard |
---|---|
Naissance |
8e arrondissement de Paris |
Nationalité | Français |
Décès |
(Ă 81 ans) Boulogne-Billancourt |
Profession |
RĂ©alisateur Directeur de production |
Films notables |
Une java La musique adoucit les mœurs |
Biographie
Fils d'Ernest Casquard et d'Anne Marie Marguerite Sirot, Jean Ferdinand Nicolas Casquard naît à Paris en 1890[1]. En 1916, son père, banquier, meurt dans leur appartement du 139, rue du Ranelagh[2]. Jean Casquard, qui prend peu de temps après le pseudonyme de Jean de Size pour débuter sur scène, continue d'y vivre avec sa mère[3] - [4] - [5].
En 1937, alors « cinématographiste », il épouse Eugénie Petitjean, couturière[6].
Il meurt en 1971 Ă Boulogne-Billancourt[1].
Carrière au théâtre
- 1917 : La Revue de Rip, revue de Rip, au cabaret de la Pie qui chante (juillet) : le compère
- 1918 : La Revue des Bouffes, revue en 2 actes et 1 prologue de Dominique Bonnaud, Battaille-Henri et Léon Michel, musique d'André Colomb, au théâtre des Bouffes-Parisiens () : le chef de Gare / Rintintin / Lugné-Poë / Monge
- 1918 : On r'moud ça !, revue en 3 actes et 4 tableaux de Lucien Boyer et Albert Willemetz, au Moulin de la Chanson (décembre)
- 1921 : La Passante, pièce en 3 actes d'Henry Kistemaeckers, au théâtre de Paris (septembre)
- 1923 : Ta bouche, comédie musicale d'Yves Mirande et Albert Willemetz, musique de Maurice Yvain, au théâtre de l'Eldorado (juillet)
Carrière au cinéma
Comme assistant-réalisateur
- 1923 : Frou-frou, de Guy du Fresnay
- 1924 : Le Roi du cirque, d'Édouard-Émile Violet et Max Linder
- 1927 : Celle qui domine, de Carmine Gallone et LĂ©on Mathot
- 1928 : Moulin Rouge, d'Ewald André Dupont
- 1929 : Le Capitaine Jaune, d'Anders Wilhelm Sandberg
Comme réalisateur
- 1928 : Une java, scénario de Noël Renard, supervision d'Henry Roussel[7]
- 1931 : 77, rue Chalgrin, version française de 77 Park Lane, film d'Albert de Courville
- 1932 : Une jeune fille nature (premier film parlant du réalisateur)
- 1933 : La musique adoucit les mœurs
- 1933 : La Forge, scénario d'André Baugé[8]
- 1934 : La peinture adoucit les mœurs, moyen-métrage, scénario de Jean-Louis Bouquet
Comme directeur de production
Notes et références
- Acte de naissance no 720, , Paris 8e, Archives de Paris (avec mentions marginales de mariage et de décès)
- Acte de décès no 2226, , Paris 16e, Archives de Paris
- Recensement de population, Population de résidence habituelle, Paris 16e, Muette, Archives de Paris [lire en ligne] (vue 262/480)
- « Business opportunies », sur Gallica, International Herald Tribune, (consulté le ), p. 13
- Recensement de population, Population de résidence habituelle, Paris 16e, Muette, , Archives de Paris [lire en ligne] (vue 233/445)
- Acte de mariage no 958, , Paris 18e, Archives de Paris [lire en ligne] (vue 19/31)
- On présente "Une Java". Comoedia, 8 juin 1928, p. 8, lire en ligne sur Gallica.
- Les présentations. Mardi 5 décembre 1933. Les Films Albert Lauzin. La Forge. Hebdo-Film, 9 décembre 1933, p. 15, lire en ligne sur Gallica.
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