Jean-François Simard
Jean-François Simard (né le ) est un homme politique et député de la circonscription de Montmorency, à Québec.
Jean-François Simard | |
Fonctions | |
---|---|
Député à l'Assemblée nationale du Québec | |
En fonction depuis le (4 ans, 9 mois et 3 jours) |
|
Circonscription | Montmorency |
Prédécesseur | Raymond Bernier |
â (4 ans, 4 mois et 30 jours) |
|
Circonscription | Montmorency |
Prédécesseur | Jean Filion |
Successeur | Raymond Bernier |
Ministre délégué à l'Environnement et à l'Eau | |
â (1 an, 2 mois et 30 jours) |
|
Gouvernement | Landry |
Biographie | |
Date de naissance | |
Nationalité | Canadienne |
Parti politique | Coalition avenir Québec Parti québécois (anciennement) |
DiplÎmé de | Université du Québec à Montréal Université du Québec à Rimouski Université Laval |
Profession | Homme politique Enseignant |
Jean-François Simard a par ailleurs Ă©tĂ© Ă©lu une premiĂšre fois Ă l'AssemblĂ©e nationale du QuĂ©bec lors des Ă©lections gĂ©nĂ©rales du 30 novembre 1998 dans la circonscription Ă©lectorale de Montmorency, sous la banniĂšre du Parti quĂ©bĂ©cois. Il a reprĂ©sentĂ© cette circonscription jusqu'aux Ă©lections gĂ©nĂ©rales du 29 avril 2003. Il a Ă©galement Ă©tĂ© ministre dĂ©lĂ©guĂ© Ă l'Environnement et Ă l'Eau sous le Gouvernement Bernard Landry. Il a Ă©tĂ© membre du Bureau international de lâAssemblĂ©e parlementaire de la francophonie. (APF)[1], chargĂ© de mission de la rĂ©gion AmĂ©rique de 1999 Ă 2001[2] - [3] et prĂ©sident de la premiĂšre session du Parlement francophone des jeunes tenue Ă QuĂ©bec en [4].
C'est aux élections générales du , soit quinze ans aprÚs sa défaite de 2003 sous la banniÚre du Parti québécois, qu'il regagne la circonscription de Montmorency avec une majorité de 12 836 voix, soit prÚs de 51% des votes. Il porte cette fois les couleurs de la Coalition avenir Québec[5] - [6].
Il était auparavant professeur au Département de travail social et au Département des sciences sociales de l'Université du Québec en Outaouais (UQO) depuis le , il était titulaire d'un doctorat en sociologie de l'Université Laval[7]. Il est fondateur et titulaire de la premiÚre Chaire Senghor de la Francophonie à l'UQO depuis 2009[8], et membre régulier du Centre de recherche sur les innovations sociales (CRISES)[9].
Biographie
Jean-François Simard est bachelier en psychosociologie de la communication de l'UniversitĂ© du QuĂ©bec Ă MontrĂ©al (1992), dĂ©tient une maĂźtrise en dĂ©veloppement rĂ©gional (UniversitĂ© du QuĂ©bec Ă Rimouski, 1994) et un doctorat en sociologie (UniversitĂ© Laval, 2000) portant sur les consĂ©quences de la crise de l'emploi sur le lien social. Son expertise dans le domaine de l'emploi et sa connaissance des dossiers jeunesse lui ont notamment permis d'ĂȘtre membre du groupe-conseil du Chantier de l'Ă©conomie et de l'emploi de 1996[8] - [10]. Il s'est d'ailleurs mĂ©ritĂ© la Bourse d'Ă©tudes et de recherche Lise Poulin Simon du Forum pour l'emploi en 1997 pour la rĂ©alisation de sa thĂšse[10]. Il a Ă©galement complĂ©tĂ©, au CollĂšge Universitaire d'Etudes FĂ©dĂ©ralistes d'Aoste, un diplĂŽme d'Ă©tudes sur le fĂ©dĂ©ralisme europĂ©en (1996)[8].
La jeunesse de Jean-François Simard est caractĂ©risĂ©e par l'implication: la coopĂ©ration internationale (en 1991, au Mali, avec le Centre canadien d'Ă©tude et de coopĂ©ration internationale (CECI)), les affaires Ă©tudiantes (prĂ©sident de l'Association des Ă©tudiants(es) des Ătudes supĂ©rieures de l'UQAR en 1992 et en 1993) et dans les affaires publiques concernant les jeunes, notamment Ă titre de vice-prĂ©sident de la Commission des jeunes sur l'avenir du QuĂ©bec[11] - [12] et autres (Parlement Ă©tudiant du QuĂ©bec Commission jeunesse de diffĂ©rents partis politiques, Sommet sur l'Ă©conomie et l'emploi, Carrefours jeunesse-emploi, etc.)[8] - [10].
Direction de délégations québécoises lors d'instances internationales
Dans le cadre de ses fonctions parlementaires, Jean-François Simard a Ă©galement dirigĂ© deux dĂ©lĂ©gations quĂ©bĂ©coises Ă l'international. La premiĂšre, Ă l'occasion de la rĂ©union du Bureau de la ConfĂ©rence des ministres de lâĂducation des pays ayant le français en partage (CONFEMEN), qui s'est tenue Ă Bathurst, au Nouveau-Brunswick, les 18 et [13]. La seconde, lors de la rĂ©union de la ConfĂ©rence des ministres de la Jeunesse et des Sports des pays dâexpression française (CONFEJES) et du ComitĂ© international des Jeux de la Francophonie (CIJF), tenue au Caire (Ăgypte), les 16 et [14].
Nomination à titre de commandeur de l'Ordre de la Pléiade de la Francophonie
Le , Jean-François Simard a été nommé commandeur de l'Ordre de la Pléiade[15] de la Francophonie, ayant été reconnu pour avoir contribué, à titre de chargé de mission de la région Amérique, à la promotion du fait français sur le continent[2]. De plus, on a voulu souligner sa participation à deux missions diplomatiques au Cameron et au Madagascar, « afin de rapprocher les divergences sur divers sujets entre ces pays de la Francophonie »[16].
Implications sur divers conseils d'administration
Jean-François Simard a été membre du conseil d'administration de l'Office franco-québécois de la jeunesse en 2001[17]. Il fut également membre du conseil d'administration du Centre d'étude et de coopération international (CECI) entre 2003[18] et 2009[19] et demeure membre de la corporation du CECI depuis 2000[20]. Il a également siégé au conseil d'administration de l'Université du Québec en Outaouais (UQO) de 2006 à 2009[8]. Il occupe la présidence de la Société du patrimoine politique du Québec depuis [8] - [21].
Engagement politique
Parlement étudiant du Québec
Jean-François Simard a participé au Parlement étudiant du Québec de 1986 à 1991[8]. Il fut chef des Rouges de la 5e édition du Parlement[22].
Jeunes libéraux du Canada
Jean-François Simard a été président de l'aile québécoise des Jeunes libéraux fédéraux, de 1988 à 1990[23] et a quitté, avec une partie de son exécutif, lors du CongrÚs libéral de Calgary de , que Jean Lapierre et Gilles Rocheleau avaient également quitté en guise de protestation à l'élection de Jean Chrétien[24]. Jean-François Simard s'est expliqué sur les raisons de son départ dans une lettre ouverte au Devoir, intitulée Reconnaissance ou Indépendance[25].
Parti québécois
Jean-François Simard fait par la suite partie du cabinet de Jacques Parizeau, alors premier ministre, comme attaché politique en 1994 et 1995. De 1997 à 1998, il devient président de l'exécutif de circonscription du Parti québécois pour Montmorency. à 32 ans, il se présentera à l'investiture de cette circonscription et l'emportera, grùce à son enracinement dans le parti, contre le futur maire de la Ville de Québec, Régis Labeaume[26] - [27]. Il fut par la suite élu député de cette circonscription aux élections de 1998 avec 45 % des voix[28].
Jean-François Simard a Ă©tĂ© adjoint parlementaire du ministre d'Ătat Ă l'Ăducation et Ă la Jeunesse François Legault avant d'ĂȘtre ministre dĂ©lĂ©guĂ© Ă l'Environnement et Ă l'Eau dans le cabinet de Bernard Landry de Ă . Ă 36 ans, c'est le plus jeune ministre de ce gouvernement. Il a Ă©galement Ă©tĂ© leader parlementaire adjoint du gouvernement de Ă . Aux Ă©lections de 2003, il a Ă©tĂ© battu par le libĂ©ral Raymond Bernier lors d'une lutte Ă trois trĂšs serrĂ©e oĂč il rĂ©colte 30 % des voix[28]. Par contre, il est rĂ©Ă©lu dĂ©putĂ© aux Ă©lections d' en tant que caquiste.
Distanciation du Parti québécois
Au lendemain des Ă©lections de 2003, Jean-François Simard a publiquement pris parti pour un renouvellement en profondeur du Parti quĂ©bĂ©cois, appelant Ă faire de ce dernier un nouveau lieu de convergence des forces nationalistes. Dans un texte sâintitulant Sâouvrir ou pĂ©rir, qui fut publiĂ© dans plusieurs quotidiens nationaux, Simard en appelait Ă :
« un Parti quĂ©bĂ©cois inclusif et accueillant, prĂŽnant le progrĂšs social. Un parti qui devienne, Ă lâintĂ©rieur de ses rangs, la vaste coalition que dâaucun voudrait construire Ă lâextĂ©rieur de celui-ci. Un parti qui propose une souverainetĂ© plurielle, câest-Ă -dire une cohabitation de militants ayant comme plus petit dĂ©nominateur commun de considĂ©rer le QuĂ©bec comme un peuple qui ne peut plus se satisfaire de son statut dâĂtat provincial »[29] - [30].
SubsĂ©quemment, il sâest radicalement opposĂ© Ă lâidĂ©e dâabandonner le discours sur le partenariat : « on se demande encore pourquoi et comment (le partenariat) a bien pu disparaĂźtre si facilement de notre plate-forme Ă©lectorale. Ce choix politique va Ă contre-courant du simple bon sens. Il annule des dĂ©cennies de pĂ©dagogie souverainiste »[31]. Il a Ă©galement plaidĂ© pour le dĂ©passement du « syndrome du colonisĂ© » omniprĂ©sent dans le discours souverainiste[32] - [33].
Jean-François Simard a proposĂ© le concept de « nationalisme dâaccommodement » pour qualifier le climat politique qui prĂ©vaut au QuĂ©bec depuis lâĂ©chec rĂ©fĂ©rendaire de 1995[34] - [35] - [36].
Coalition avenir Québec
Insatisfait de l'incapacitĂ© du Parti quĂ©bĂ©cois Ă renouveler la question nationale, Jean-François Simard se joint Ă son ancien collĂšgue François Legault et Ă l'homme d'affaires Charles Sirois, afin de fonder le groupe de rĂ©flexion Coalition pour l'avenir du QuĂ©bec. Jean-François Simard a Ă©tĂ© l'un des douze signataires du Manifeste de la Coalition pour l'avenir du QuĂ©bec, publiĂ© le [37]. Il a Ă©galement travaillĂ© Ă la campagne de financement du nouveau parti en 2011[38]. Il n'a pas Ă©tĂ© candidat aux Ă©lections de 2012 ni Ă celles de 2014, mais reprĂ©sente la CAQ dans Montmorency en 2018, oĂč il est Ă©lu avec 50,9% des voix.
RĂ©sultats Ă©lectoraux
Nom | Parti | Nombre de voix |
% | Maj. | |
---|---|---|---|---|---|
Jean-François Simard (sortant) | Coalition avenir | 19 124 | 45,2 % | 8 093 | |
Mylene Bouchard | Conservateur | 11 031 | 26,1 % | - | |
Annie-Pierre Bélanger | Québec solidaire | 5 100 | 12 % | - | |
Cynthia Therrien | Parti québécois | 4 773 | 11,3 % | - | |
Mustapha Berri | Libéral | 1 969 | 4,7 % | - | |
Nicholas Lescarbeau | Vert | 274 | 0,6 % | - | |
Jean Bédard | Marxiste-léniniste | 55 | 0,1 % | - | |
Total | 42 326 | 100 % | |||
Le taux de participation lors de l'élection était de 73,9 % et 494 bulletins ont été rejetés. |
Nom | Parti | Nombre de voix |
% | Maj. | |
---|---|---|---|---|---|
Jean-François Simard | Coalition avenir | 20 233 | 50,9 % | 12 836 | |
Marie-France Trudel | Libéral | 7 397 | 18,6 % | - | |
Marie-Christine Lamontagne | Québec solidaire | 5 225 | 13,1 % | - | |
Alexandre Huot | Parti québécois | 4 221 | 10,6 % | - | |
Daniel Beaulieu | Conservateur | 1 507 | 3,8 % | - | |
Jean-François Simard | Indépendant | 561 | 1,4 % | - | |
Nicholas Lescarbeau | Vert | 558 | 1,4 % | - | |
Jean Bédard | Marxiste-léniniste | 69 | 0,2 % | - | |
Total | 39 771 | 100 % | |||
Le taux de participation lors de l'élection était de 71 % et 802 bulletins ont été rejetés. |
Nom | Parti | Nombre de voix |
% | Maj. | |
---|---|---|---|---|---|
Raymond Bernier | Libéral | 13 708 | 36,8 % | 1 887 | |
Jean-François Paquet | Action démocratique | 11 821 | 31,7 % | - | |
Jean-François Simard (sortant) | Parti québécois | 11 226 | 30,1 % | - | |
Magali Paquin | UFP | 517 | 1,4 % | - | |
Total | 37 272 | 100 % | |||
Le taux de participation lors de l'élection était de 77,1 % et 392 bulletins ont été rejetés. |
Nom | Parti | Nombre de voix |
% | Maj. | |
---|---|---|---|---|---|
Jean-François Simard | Parti québécois | 19 946 | 45,2 % | 5 128 | |
Jacques Langlois | Libéral | 14 818 | 33,6 % | - | |
Yves Leclerc | Action démocratique | 7 154 | 16,2 % | - | |
Jean Filion (sortant) | Indépendant | 1 774 | 4 % | - | |
Linda Fick | DĂ©mocratie socialiste | 267 | 0,6 % | - | |
Jean Bédard | Marxiste-léniniste | 204 | 0,5 % | - | |
Total | 44 163 | 100 % | |||
Le taux de participation lors de l'élection était de 80,7 % et 481 bulletins ont été rejetés. |
CarriÚre universitaire et réflexions
AprÚs sa défaite de 2003, Jean-François Simard quitte la politique active et entreprend une carriÚre de professeur d'université, en s'intéressant notamment à deux grands objets de recherche: le modÚle québécois et la Francophonie.
En , Jean-François Simard publie chez Fides LâidĂ©ologie du hasard. Retour sur la question nationale[41], qui sera considĂ©rĂ© comme un « premier essai intellectuel caquiste de notre histoire », par Louis Cornellier, chronique au journal Le Devoir. Il dĂ©crira cette derniĂšre publication de Jean-François Simard comme suit : « La parution de LâidĂ©ologie du hasard est Ă marquer dâune pierre blanche. Il sâagit, en effet, Ă mon humble avis, du premier essai intellectuel caquiste de notre histoire. (âŠ) Penseur de fort calibre au style Ă©lĂ©gant qui se rĂ©clame de Fernand Dumont, Simard ne propose pas un livre militant, mais une riche et parfois Ă©mouvante invitation Ă la rĂ©flexion. Avec lui, la Coalition avenir QuĂ©bec (CAQ) peut sâenorgueillir de compter dans ses rangs son premier vĂ©ritable intellectuel[42].».
Le , de nouveau avec Denis MoniĂšre, il publie Ă lâoccasion du 150eanniversaire du Parti libĂ©ral du QuĂ©bec, une anthologie des grands discours de Jean Lesage qui porte pour titre Jean Lesage vous parle. Les grands discours de la RĂ©volution tranquille[43]. Dans un article[44] paru dans Le Devoir, en , il identifie les grandes ruptures idĂ©ologiques qui sĂ©parent les libĂ©raux issus de la RĂ©volution tranquille, de ceux dirigĂ©s par Jean Charest et Philippe Coulliard. Jean-François Simard sâinterroge : « Mais oĂč sont donc passĂ©s les libĂ©raux dâautrefois qui applaudissaient Robert Bourassa lorsquâil a dĂ©clarĂ© : « Le QuĂ©bec est aujourdâhui et pour toujours une sociĂ©tĂ© distincte, libre et capable dâassumer son destin et son dĂ©veloppement ».
Finalement, en 2018, en collaboration avec le politologue Nelson Michaud (ĂNAP), il lance Le dĂ©fi de changer les choses, une anthologie commentĂ©e des discours de Paul GĂ©rin-Lajoie, figure centrale de la RĂ©volution tranquille. Ce sera lĂ sa derniĂšre publication universitaire avant son retour en politique.
Un regard sur la construction du modÚle québécois
Jean-François Simard sâintĂ©resse Ă lâanalyse des grandes figures historiques qui ont marquĂ© la RĂ©volution tranquille et les influences intellectuelles qui participent Ă la construction du modĂšle quĂ©bĂ©cois. Au cours des derniĂšres annĂ©es, il a publiĂ© un collectif sur Camille Laurin (communĂ©ment appelĂ© le « pĂšre de la loi 101 »[45]). En collaboration avec le thĂ©ologien Maxime Allard, il a publiĂ© deux anthologies sur le PĂšre George-Henri LĂ©vesque (communĂ©ment appelĂ© le « pĂšre de la RĂ©volution tranquille[46] »). Ă titre de prĂ©sident de la SociĂ©tĂ© du patrimoine politique du QuĂ©bec, il a codirigĂ© avec le politologue Denis MoniĂšre et lâhistorien Robert Comeau un collectif sur Marcel Masse[47]. Il a publiĂ© de nombreux articles sur la territorialisation des politiques publiques (voir Section Bibliographie).
Un regard sur la Francophonie
Jean-François Simard sâintĂ©resse Ă©galement Ă la francophonie comme dimension constitutive du QuĂ©bec contemporain. En collaboration avec Echraf Ouedraogo, il a publiĂ© lâun des plus importants collectifs dâuniversitaires rassemblĂ©s afin de penser lâavenir de la Francophonie (voir dans section Bibliographie). Il est titulaire de la Chaire Senghor de la Francophonie de lâUniversitĂ© du QuĂ©bec en Outaouais depuis et a Ă©tĂ© Ă©lu PrĂ©sident du RĂ©seau international des Chaires Senghor, Ă Alexandrie, en [48]. Il est lâinstigateur, avec le professeur Richard Ouellet, ancien directeur des programmes de lâInstitut quĂ©bĂ©cois des hautes Ă©tudes internationales Ă lâUniversitĂ© Laval, et le Centre de la Francophonie des AmĂ©riques (CFA), de la premiĂšre universitĂ© dâĂ©tĂ© sur la Francophonie des AmĂ©riques, tenue du 5 au Ă l'UniversitĂ© Laval[49] - [50].
Ouvrages
Ouvrages collectifs
- MONIĂRE, D., SIMARD, J.F. et R. COMEAU, dir., Les quatre saisons dans la vie de Marcel Masse - Regard sur lâĂ©volution du QuĂ©bec contemporain, QuĂ©bec, Les Ăditions Septentrion, , 288 p. (ISBN 9782894488430)
- SIMARD, J.F., ECHRAF, A. O., dir., Une Francophonie en quĂȘte de sens. Retour sur le premier Forum mondial de la langue française, PrĂ©face de MichaĂ«lle Jean, QuĂ©bec, Les Presses de lâUniversitĂ© Laval, , 430 p. (ISBN 9782763723341)
- SIMARD, J.F., ALLARD, M, La rĂ©volution coopĂ©rative. Un jalon dâhistoire de la pensĂ©e sociale au QuĂ©bec. Notes de cours en philosophie de la coopĂ©ration de.Georges-Henri LĂ©vesque, QuĂ©bec, Presses de l'UniversitĂ© Laval, collection Sociologie contemporaine, , 284 p. (ISBN 978-2-7637-1527-8)
- SIMARD, J.F., ALLARD, M., Ăchos dâune mutation sociale. Anthologie des textes du PĂšre Georges-Henri LĂ©vesque, prĂ©curseur de la RĂ©volution tranquille, QuĂ©bec, Les Presses de l'UniversitĂ© Laval, Collection Prisme, , 538 p. (ISBN 978-2-7637-9099-2)
- SIMARD, J.F., CHIASSON, G. et T. MARTIN, « Introduction - La gouvernance territoriale: un nouveau regard sur le dĂ©veloppement Introduction - Territorial Governance: A New Take on Development », Canadian Journal of Regional Science/Revue canadienne des sciences rĂ©gionales, no XXXI: 3,â , p. 455-470 (ISSN 0705-4580, lire en ligne)
- ROBITAILLE, M., SIMARD, J.F. et G. CHIASSON, L'Outaouais au carrefour des modÚles de développement, Gatineau, Centre de recherche sur le développement territorial, Université du Québec en Outaouais, , 203 p. (ISBN 2892512786)
Publications
- SIMARD, J.F. (dir.), LâĆuvre de Camille Laurin. La politique publique comme instrument de lâinnovation sociale, QuĂ©bec, Presses de l'UniversitĂ© Laval, Collection Chaire Fernand-Dumont sur la culture, , 240 p. (ISBN 978-2-7637-9098-5)
- SIMARD, J.F, Montmorency. Histoire d'une communauté ouvriÚre, Préface de Fernand Daoust, Québec, Septentrion, , 236 p. (ISBN 2894481721)
- SIMARD, J.F, L'idéologie du hasard. Retour sur la question nationale, Québec, FIDES, , 199 p. (ISBN 9782762141597)
Notes et références
- « Présentation de l'équipe », sur Site de la Chaire Senghor de la Francophonie de l'UQO.
- JosĂ© DeschĂȘnes, « LâAssemblĂ©e parlementaire francophone vient recruter en Saskatchewan », L'Eau Vive, l'hebdo fransaskois,â (lire en ligne)
- « CHARGĂS DE MISSION DE LA RĂGION AMĂRIQUE DE L'APF (1978-2015) », sur Site de l'AssemblĂ©e parlementaire de la francophonie - RĂ©gion AmĂ©rique
- « PFJ 2001 â QUĂBEC », sur Site du Parlement francophone des jeunes.
- Directeur général des élections du Québec, « Résultats des élections générales du 1er octobre 2018 », sur Directeur général des élections du Québec, (consulté le ).
- Stéphanie Martin, « La région de Québec passe à la CAQ », sur Le Journal de Québec, (consulté le ).
- « Presses de l'Université Laval - Biographie de Jean-François Simard ».
- « Jean-François Simard », sur Site de l'Assemblée nationale du Québec.
- « Membres du CRISES », sur crises.uqam.ca.
- « Le Forum pour l'emploi remet la Bourse d'études et de recherche Lise Poulin Simon 1997 à Jean-François Simard », sur https://unites.uqam.ca/forum/index.html,
- Commission des jeunes sur l'avenir du Québec
- Commission des jeunes sur l'avenir du Québec, Commission des jeunes sur l'avenir du Québec : rapport, Québec, MinistÚre du Conseil exécutif, Secrétariat national des commissions sur l'avenir du Québec, , 101 p. (lire en ligne)
- « DĂ©cret 538-99 », sur GAZETTE OFFICIELLE DU QUĂBEC, 131e annĂ©e, no 22,
- « Décret 94-001 », sur Gazette officielle du Québec, 28 février 2001, 133e année, no 9
- « QuĂ©bec - VINGT-TROIS PERSONNALITĂS QUĂBĂCOISES DĂCORĂES DE L'ORDRE DE LA PLĂIADE », Bulletin des AmĂ©riques de l'AssemblĂ©e parlementaire de la Francophonie, no Volume 16, numĂ©ro 1,â (lire en ligne)
- « Nouvelles - Un professeur de l'UQO décoré de l'Ordre de la Pléiade », sur http://services.uqo.ca,
- Office franco-québécois pour la jeunesse (OFQJ), Deux mille façons de s'ouvrir au monde - Rapport annuel 2001, Québec, (lire en ligne)
- Centre d'étude et de coopération internationale, Revue de l'année 2004, Montréal, (lire en ligne)
- Centre d'étude et de coopération internationale, Rapport annuel 2008-2009, Montréal, (lire en ligne)
- Centre d'étude et de coopération internationale (CECI), Rapport annuel 2000-2001, Montréal, (lire en ligne)
- « Qui sommes-nous? », sur Société du patrimoine politique du Québec
- « Chef et anciens chefs des Rouges », sur Parlement étudiant du Québec
- Jean-François Simard â Biographie sur le site de l'AssemblĂ©e nationale du QuĂ©bec
- Jean-François LisĂ©e, « Meech 10. La grande parade des dĂ©putĂ©s fĂ©dĂ©raux », L'ActualitĂ© - Blogue de Jean-François LisĂ©e,â (lire en ligne)
- Jean-François Simard, « Reconnaissance ou IndĂ©pendance », Le Devoir,â , p.7
- Isabelle Porter, « Labeaume atomique ! », L'ActualitĂ©,â (lire en ligne)
- Donald Charette, « RĂ©gis Labeaume: Maire de QuĂ©bec depuis 2007 », Magazine Prestige,â , p. 26-28 (lire en ligne)
- Résultats électoraux, sur le site de l'Assemblée nationale du Québec
- Jean-François Simard, « S'ouvrir ou pĂ©rir. Dialogue sur l'avenir du Parti quĂ©bĂ©cois », La Presse, cahier A,â , p
- Michel David, « Les menottes du PQ », Le Devoir,â (lire en ligne)
- Jean-François Simard, « Garder les pieds sur terre. Le grand dĂ©fi du Parti quĂ©bĂ©cois », Le Devoir,â (lire en ligne)
- Jean-François Simard (dir.), « LâĆuvre de Camille Laurin. La politique publique comme instrument de lâinnovation sociale », Collection Chaire Fernand-Dumont sur la culture,â , p. 240 (ISBN 978-2-7637-9098-5)
- Jean-François Simard et Yvon Leclerc, « LâhĂ©ritage de Camille Laurin : le paradoxe de la rĂ©ussite », BULLETIN DE LâAMICALE DES ANCIENS PARLEMENTAIRES DU QUĂBEC,â , p. 16-17 (lire en ligne)
- Jean-François Simard, « Vers un nationalisme d'accommodement? », La Presse et Le Soleil,â (lire en ligne)
- Jean-François Simard, « Vers un nationalisme d'accommodement », Le Devoir,â (lire en ligne)
- Jean-François Simard, « A Radical Shift: Why Have Quebec Sovereigntists Become So Keen on Canada? », Literary Review of Canada,â (lire en ligne)
- Legault dévoile ses cartes, sur TVA Nouvelles, 21 février 2011
- CAQ-ADQ: Mariage pratiquement consommé sur TVA Nouvelles, le 8 septembre 2011
- DGEQ, « Résultats élections Québec 2022 », sur electionsquebec.qc.ca (consulté le )
- DGEQ, « Résultats élections Québec 2018 », sur electionsquebec.qc.ca (consulté le )
- (en) « L'idéologie du hasard », sur www.editionsfides.com (consulté le )
- « Un nouveau beau risque », sur Le Devoir (consulté le )
- « Le professeur Simard publie un recueil des grands discours de Jean Lesage », sur uqo.ca (consulté le )
- « Grandeur et misÚre du Parti libéral du Québec », sur Le Devoir (consulté le )
- « Camille Laurin, le «pĂšre de la loi 101» », Le Devoir,â (lire en ligne)
- « Visionnaire et homme de cĆur », sur http://www.scom.ulaval.ca,
- « Quatre saisons dans la vie de Marcel Masse - Regard sur lâĂ©volution du QuĂ©bec contemporain », sur http://www.septentrion.qc.ca
- « Un nouveau président pour le Réseau des Chaires Senghor », sur http://www.chaires-senghor.org,
- « 1re Ă©dition UniversitĂ© dâĂ©tĂ© 2010 », sur http://www.francophoniedesameriques.com
- « Ădition 2010 », sur http://www.hei.ulaval.ca
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Jean-François Simard â Biographie sur le site de l'AssemblĂ©e nationale du QuĂ©bec