Je vous salue Marie
Je vous salue Marie est une prière catholique, aussi appelée par son nom latin Ave Maria — d'où le nom d'avé par lequel elle est souvent désignée — dont le nom, en latin comme en français, vient des premiers mots par lesquels l'ange Gabriel salue la Vierge Marie (Lc 1:28) au cours de l'épisode du Nouveau Testament communément appelée Annonciation.
Cette scène est chronologiquement le commencement absolu du Nouveau Testament, de la nouvelle Alliance, et l'acceptation de son destin par Marie est la condition de l'avènement du Christ, par lequel l'humanité tout entière est rachetée, selon la foi chrétienne. Ce passage du Nouveau Testament pose donc, d'emblée de jeu, l'ordre d'importance que prennent dans la vie du chrétien les figures de : Dieu (sous les trois personnes de la Trinité : Dieu-le-Père ou l'Éternel appelé « le Très-Haut », le Saint-Esprit et Dieu-le-Fils, c'est-à-dire Jésus), de la Vierge Marie (humble mortelle sans l'accord libre de laquelle Dieu-le-Fils ne se fût point incarné et l'humanité n'eût jamais été rachetée) et des anges (à travers l'ange-messager Gabriel, messager entre les Cieux et le monde créé). La place de Marie est ainsi posée, médiatrice entre Dieu et les pécheurs, c'est-à-dire tous les hommes, d'où les prières des chrétiens à la Vierge pour son intercession : Notre-Dame du Rosaire est le pendant de la piéta, commencement et fin, fin et commencement. C'est cette mère qui est implorée par tous, tous les jours ou dans les situations difficiles, par marins, mineurs et malades : « maintenant et à l'heure de notre mort ».
La première partie de cette prière est commune aux Églises latines (le monde catholique) et orientales (la sphère orthodoxe). Elle est adressée à la Vierge Marie. Récitée avec un chapelet en cinq dizaines, elle fait partie de la prière du rosaire, parfois appelé psautier marial parce que, comprenant trois chapelets — et donc 150 Ave Maria —, il égale le nombre de psaumes se trouvant dans le Livre des psaumes. Jean-Paul II a fait ajouter un quatrième mystère, et donc un quatrième chapelet, portant le nombre à 200.
Plusieurs versions sont présentées ici :
- Version commune dans le monde catholique,
- Texte aussi proche que possible de l'originale de la première partie, en araméen, langue de Marie,
- Puis traduction de la deuxième partie dans cette même langue,
- Traduction en grec ancien, en latin et en arabe,
- Version moderne avec tutoiement,
- Versions utilisée par les Orientaux (le monde orthodoxe).
Origine
Le Je vous salue Marie est une prière composée de deux parties définies à des époques différentes.
La première partie est l'antienne Ave Maria, paroles de l'ange lors de l'Annonciation (Luc 1,28) et d'Élisabeth au moment de la Visitation (Luc 1,42), en usage depuis le Ve siècle.
On la trouve dans le graduel, comme chant d’offertoire du IVe dimanche de l’Avent : « Ave Maria, gratia plena : Dominus tecum : benedicta tu in mulieribus, et benedictus fructus ventris tui ». Mais cette formulation ne se termine pas encore par Jesus, qui n'apparaît que vers le XIIe siècle : il semble que le premier à l'avoir introduit a été Amédée de Lausanne, abbé de Hautecombe[1].
Sous cette forme, la prière se répand avec l'expansion de la piété mariale du XIIIe siècle : la récitation en est prescrite par Odon de Sully, l'évêque de Paris en 1198, avec le Pater et le Credo, vers 1210 le synode de Paris y invite tous les chrétiens, en préparation au Quatrième concile du Latran[1]. Elle se répand dans l'Europe, en étant recommandée par plusieurs conciles régionaux en Espagne, en Angleterre et en Germanie[2].
La seconde partie est une prière de supplication, dont on peut retrouver l'équivalent avec le Sub tuum[1].
Cette seconde partie comporte de plus le titre de Théotokos (« Mère de Dieu »), défini au IIIe concile œcuménique, le concile d'Éphèse, en 431. Cette seconde partie du Je vous salue, Marie sont les ultimes paroles prononcées sur son lit de mort par saint Simon Stock, supérieur de l'Ordre du Carmel, en 1265 : « Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amen. »
On voit apparaître la formulation presque complète dans un bréviaire des chartreux dès 1350 : « Sancta Maria, ora pro nobis peccatoribus, nunc et in hora mortis, Amen ». Les bréviaires du XVIe siècle joignent ces deux formules et donnent à la prière sa formulation actuelle : un bréviaire parisien de 1509[2], un bréviaire trinitaire de 1514, franciscain de 1525, chartreux de 1562. Elle est finalement introduite dans le bréviaire romain en 1568 par le pape Pie V[1] - [2].
L'Ave Maria dans le Rosaire
Le Rosaire alterne les Ave Maria avec la méditation des mystères. Pour l'Église catholique, le Rosaire[3] « est une prière où la répétition des Ave Maria oriente la pensée et l'affection vers le Christ, et donc, se fait supplication confiante vers sa Mère et notre Mère ». Il est recommandé par le magistère comme un moyen bénéfique pour les chrétiens de s'associer aux mystères du Christ[4].
De plus, les autorités de l’Église estiment que le rosaire « nous éduque à être humble dans la foi », et que[3] méditer sur les mystères de la vie du Christ c’est se laisser modeler par l’amour de Dieu, et qu'ainsi, « l'œuvre rédemptrice du Christ qui se manifeste dans le Rosaire »[5].
Je vous salue Marie
Texte liturgique
Je vous salue Marie, pleine de grâce ; |
N.B. Vu que l'Église tutoie Dieu dans le pater, la récitation actuelle française de l'avé veut aussi le tutoiement de la Vierge: Je te salue Marie comblée de grâce, le Seigneur est avec toi. Tu es bénie entre toutes les femmes et Jésus ton enfant est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, prie pour nous, pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amen[6].
Texte original | Transcription |
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ܫܠܳܡ ܠܶܟ̣ܝ̱ ܒܬ̣ܽܘܠܬܳܐ ܡܰܪܝܰܡ ܡܰܠܝܰܬ̣ ܛܰܝܒܽܘܬ̣ܳܐ. | Chlom lekh[8] bthoulto Mariam[9] malyath tayboutho, |
ܡܳܪܰܢ ܥܰܡܶܟ̣ܝ̱. | moran 'amekh. |
ܡܒܰܪܰܟ̣ܬܳܐ ܐܰܢ̱ܬܝ̱ ܒܢܶܫ̈ܶܐ. | Mbarakhto at bneche. |
ܘܰܡܒܰܪܰܟ ܗ̱ܽܘ ܦܺܐܪܳܐ ܕܰܒܟܰܪܣܶܟ̣ܝ̱. ܡܳܪܰܢ ܝܶܫܽܘܥ. | Wambarakhou firo dabkarsekh moran Yechouâ[10]. |
ܐܳܘ ܩܰܕܺܝܫܬܳܐ ܡܰܪܝܰܡ ܝܳܠܕܰܬ̣ ܐܰܠܗܳܐ. | O qadichto Mariam emeh aloho[11]. |
ܨܰܠܳܝ ܚܠܳܦܰܝܢ ܚܰܛܳܝ̈ܶܐ. | Saloy hlofayn hatoye, |
ܗܳܫܳܐ ܘܰܒܫܳܥܰܬ ܘܡܰܘܬܰܢ | hocho ouabchoâat ou maoutan. |
ܐܰܡܺܝܢ܀ | Amin. |
Texte original | Transcription |
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Χαῖρε, Μαρία, κεχαριτωμένη | Khaîre, María, kekharitôménê |
ὁ Κύριος μετὰ Σοῦ, | o Kýrios metà Soû, |
εὐλογημένη Σύ ἐν γυναιξί, | eulogêménê Sý en gynaixí, |
καί εὐλογημένος ὁ καρπός τῆς κοιλίας Σου, ὁ Ἰησοῦς. | kaí eulogêménos o karpós tễs koilías Sou, o Iêsoûs. |
Ἁγία Μαρία, Θεοτόκε, | Agía María, Theotóke, |
πρέσϐευε ὑπέρ ἡμῶν τῶν ἁμαρτωλῶν, | présbeue ypér êmỗn tỗn amartôlỗn, |
νῦν καί ἐν τῇ ὥρᾳ τοῦ θανάτου ἡμῶν. | nỹn kaí en têi ốrai toû thanátou êmỗn |
Ἀμήν. | Amến. |
Au lieu de Μαρία on trouve aussi Μαριάμ (indéclinable). Voir Saint Luc 1-27: καὶ τὸ ὄνομα τῆς παρθένου Μαριάμ et le nom de la jeune fille était Marie[12].
Ave Maria, gratia plena, |
Plenus commandant soit le génitif, soit l'ablatif, Gratiæ plena ou Gratia plena sont tous les deux corrects. Le pluriel, que l'on peut rencontrer en français bien que son emploi change le sens, n'est pas usité dans sa version latine (ce serait : Gratiarum plena, ou bien Gratiis plena).
Alphabet arabe | Transcription |
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السلام عليك يا مريم | As-salamou aalayki ya Mariam, |
يا ممتلئة نعمة الرب معك | Ya momtaliatan’ naâma, Ar-Rabbou maaki, |
مباركةٌ أنتِ في النساء | Moubarakatoun anti fi ’n-nessaï, |
ومباركة ثمرة بطنك يسوع | oua moubarakatoun thamrat batniki, Iassouâ. |
يا قديسة مريم، يا والدة الله | Ya qaddissa Mariam, ya oualedat' Allah |
صلّي لاجلنا نحن الخطأة | Salli liajlina, nahnou ’l-khataa, |
الآن وفي ساعة موتنا | Al-ana oua fi saat maoutina |
آمين | Amin’. |
Réjouis-toi, Marie
Versions des Orthodoxes
Plusieurs versions existent :
- Vierge Théotokos
Prière à Marie, la naissance de Jésus est déjà accomplie[15].
Ô Vierge Théotokos, réjouis-toi,
Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec toi,
Tu es bénie entre toutes les femmes,
Et Jésus le fruit de tes entrailles est béni,
Tu as donné naissance au sauveur de nos âmes !
- Prière à la Vierge[16]
Réjouis-toi, Vierge Mère de Dieu, Marie, Pleine de grâce, le Seigneur est avec toi.
Tu es bénie entre toutes les femmes et béni est le fruit de tes entrailles,
Car tu as mis au monde le Sauveur de nos âmes !
- Salut Marie[16]
Autre prière à Marie, presque identique à la première partie de la prière des catholiques.
Salut, Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec toi !
Tu es bénie entre toutes les femmes
Et Jésus, le fruit de tes entrailles, est béni !
Versions des Protestants
La position des Eglises Protestantes, Reformes, Evangéliques et assimilés est particulièrement complexe, et plurielle, concernant Marie.
En général la vision de Marie découle des points suivants :
- Les protestants se référent uniquement à la Bible comme source de doctrine (sola scriptura). Ils récusent en particulier la tradition, autre source dogmatique du catholicisme [dogme : « Point de doctrine établi ou regardé comme une vérité fondamentale, incontestable » ; les protestants n'ont point de dogme car toute doctrine est pour eux révisable.]. Les protestants insistent sur le rôle de l'Esprit Saint pour accéder à une compréhension véritable du sens du message biblique. Ils sont souvent profondément choqués par la promulgation de nouveaux dogmes par l'Église catholique romaine tel que ceux de l'Immaculée Conception (1854), de l'infaillibilité pontificale (1870) ou de l'assomption de Marie (Dogme de 1950, fête liturgique depuis le viiie siècle), qu'ils assimilent à une sorte de révélation continue peu conforme à l'évangile.
- Les protestants intégristes et fondamentalistes (non les libéraux) adhèrent à la naissance virginale de Jésus et ils placent Marie parmi les témoins privilégiés au même titre que les disciples du Christ. En revanche, ils ne croient pas à son Immaculée Conception, considérant que celle-ci n'a pas de fondement biblique. Des avancées œcuméniques ont été faites quant à la place de Marie chez les protestants — dont on peut penser qu'elle a été particulièrement réduite en pure réaction contre le catholicisme, par exemple par le Groupe des Dombes ou par la théologienne protestante France Quéré et par la position de Marc Pernot un peu plus loin dans cet article.
- Les protestants ne font pas appel à des intercesseurs comme Marie ou les saints dans leurs prières. Selon eux le croyant est seul responsable devant Dieu et ne doit pas passer par des intermédiaires pour dialoguer avec Lui. Ils croient que Jésus est le seul intermédiaire entre Dieu le Père et eux-mêmes.
Proposition du Pasteur Marc Pernot
Le pasteur Marc Pernot, français et suisse, figure du protestantisme libéral s'est prononcé récemment sur le sujet[17]. Il est pasteur de l'Église protestante unie de France et de l'Église protestante de Genève, considéré officieusement comme le "cœur de la Reforme" en Europe, voir la "Mecque Protestante". En mai 2018, il rejoint l'Église protestante de Genève, dans la paroisse de la région Centre-Ville (rive gauche) puis dans celle de Cologny-Vandœuvres-Choulex, Depuis 2019, il donne chaque année des conférences sur la Bible, sur les héros, les miracles puis les mythes bibliques. Il entre comme chevalier dans la Commanderie suisse de l'Ordre de Saint-Jean, comme théologien au service de la sous-commanderie de Genève.
Il indique que pratiquement toute la prière peut être gardée pour les Protestants, si ce n'est la mention "mère de Dieu" qui peut être problématique. Ainsi d'après son discours[17] la version proposée par Marc Pernot deviendrait donc :
Je vous salue Marie, pleine de grâce ;
Le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et (Jésus,) le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Fille de Dieu, priez pour nous
Pauvres pécheurs, maintenant
Et à l'heure de notre mort,
Amen.
À la suite de ces propos un utilisateur du site[17] répond au pasteur Marc Pernot et propose une version "acceptable" pour les Protestants en remplaçant l'expression problématique "Mère de Dieu" (Théotokos) par "Mère du Christ" (Christotokos) ce qui donnerait :
Je vous salue Marie, pleine de grâce ;
Le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et (Jésus,) le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère du Christ, priez pour nous
Pauvres pécheurs, maintenant
Et à l'heure de notre mort,
Amen.
En devenant "Mère du Christ" on fait de Marie la mère de l'enveloppe corporelle de Dieu le Fils, et on évite d'impliquer qu'elle puisse être matrice ou "mère" du Dieu unique. Il est à noté que c'est un titre qui avait déjà été proposé au début de l'histoire chrétienne notamment par Nestorius, archevêque et patriarche de Constantinople au Veme siècle de notre ère, mais qui fut considéré comme hérétique.
Conclusion
On constate donc que Marie dispose d'une place toute particulière au sein du monde Protestant en ce sens où un respect tout particulier lui est accordé, mais ces derniers sont particulièrement prudents concernant sa position théologique afin de ne pas inciter à l'adoration ou à la vénération de sa personne (conflit théologique qui les oppose aux Catholiques depuis le début de la Réforme). Sur ce point Marie, à l'instar des Saints ou des personnes éminentes de la Bible (Rois, prophètes) sont des exemples à suivre pour le courant Réformé, et des modèles de vertus, mais pas des "esprits" ni des êtres à vénérer ou adorer.
Thème artistique
Littérature
J.R.R. Tolkien, l'auteur du Hobbit, a traduit dans sa langue d'Elfique l'Ave Maria, ainsi que le Pater Noster.
Musique
Fichier audio | |
Ave Maria | |
Ave Maria grégorien | |
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- La prière de l'Ave Maria a inspiré plusieurs compositeurs de musique classique (hors baroque, les plus célèbres : Franz Schubert, Anton Bruckner, Charles Gounod, Jacques Offenbach et Caccini/Vavilov).
- « Je vous salue Marie » est également le refrain d'un poème de Francis Jammes, Rosaire, mis en musique par plusieurs compositeurs, dont Georges Brassens, avec pour titre La Prière.
- « Je vous salue Marie » a été mis en chanson par Serge Gainsbourg[18], a fait l'objet d'une chanson de Serge Lama[19] et Jacno[20].
- Une version composée par le frère Jean-Baptiste de la Sainte Famille est très populaire dans les paroisses[21].
- Des cantiques utilisent la phrase Ave Maria comme refrain lors de grandes processions : L'Ave Maria de Lourdes et l'Ave Maria de Fatima.
- La chanteuse lyrique finlandaise Tarja Turunen sort en 2015 un album appelé Ave Maria – En Plein Air et est composé exclusivement de la prière mise en musique par différents compositeurs.
- En 2011, la chanteuse Pakoune créer une version en Araméen " Shlom Lékh Maryam" sur une musique de Michel Garnier
Cinéma
- Je vous salue, Marie est un film controversé franco-suisse de Jean-Luc Godard, sorti en 1985[22].
- Maria, pleine de grâce est un film américano-colombien de 2004.
Fleur
- Un rosier hybride de thé de la maison Kordes en Allemagne a été baptisé 'Ave Maria' en 1981.
Références
- Je vous salue Marie : une longue histoire, Kephas, 2002.
- Petite histoire de l'Ave Maria, La Croix.
- « Lettre apostolique Rosarium Virginis Mariae du pape Jean-Paul II », sur vatican.va.
- « Le culte de la Bienheureuse Vierge Marie », sur Abbaye de Saint Benoit, abbaye-saint-benoit.ch (consulté le ).
- « Mot-clé : Rosaire », sur Sanctuaire de Fatima, fatima.pt (consulté le ).
- Qolo Shlom leg bthulto Maryam, sur KoleSuryoye.nl - Syriac Church Lyrics.
- Cette formule est proche de l'hébreu Chalom et de l'arabe Salam.
- Marie se dit Maryam en araméen.
- Jésus
- Dieu
- « Nouveau Testament Grec, Évangile selon Luc, chapitre 1 »
- Cette variante, ayant pour titre « Réjouis-toi Marie », est parfois dénommée « moderniste » parce qu'introduisant le tutoiement à Marie.
- Le "pauvres pécheurs" est remplacé par "pécheurs", en effet peccatoribus en latin n'implicite pas l'adjectif pauvre.
- Ceci est une version de l'église orthodoxe.
- « Plusieurs prières à la Mère de Dieu | Sagesse Orthodoxe », sur www.sagesse-orthodoxe.fr (consulté le )
- Marc Pernot, « Un protestant peut il prier 80 % de l’Ave Maria ? Si oui, comment le prier ? », sur Recherche théologique et spirituelle, (consulté le )
- Écouter la chanson « Je vous salue Marie » de Serge Gainsbourg
- Écouter la chanson « Je vous salue Marie » de Serge Lama suivie d'un entretien.
- « JACNO - Je vous salue Marie » [vidéo], sur YouTube (consulté le ).
- http://ecclesia-cantic.fr/speaker/frere-jean-baptiste-de-sainte-famille/
- Institut National de l’Audiovisuel- Ina.fr, « Nantes : manifestation des intégristes devant le cinéma qui diffuse le film de Godard », sur Ina.fr (consulté le )
Notes
- La première partie du « Je vous salue Marie », est écrite ici dans la langue de la liturgie syriaque, variante moderne de l'araméen parlé par Marie, bien que le texte nous soit parvenu en grec par Saint Luc.
Voir aussi
Articles connexes
- Notre Père
- Prière catholique
- Rosaire
- La Prière, chanson de Georges Brassens sur un texte de Francis Jammes
Liens externes
- Histoire du Je vous salue Marie
- Diverses versions du Je vous salue Marie
- Réjouis-toi, Marie
- Enregistrements audio et textes du Je vous salue Marie et autres prières du monde entier
- Ave Maria de Nathalie Biarnés (née en 1978), interprété par l'ensemble vocal Para L'Elles (chœur a cappella)
- Dictionnaire de théologie catholique: ANGÉLIQUE (Salutation)