Jacques Bascou

Désigné candidat aux élections législatives de juin 1997, il est élu avec 61,76 % des suffrages sur la 2^e circonscription de l’Aude[2].

Réélu en 2002 (55,91 %) et 2007 (53,65 %), il appartient à la Commission des Affaires étrangères[3]. Il est également membre de l’Assemblée parlementaire Euro Méditerranée, où il représente la France avec Jean-Claude Guibal, et secrétaire du groupe parlementaire France-Burkina Faso pendant 15 ans[4]. Il co-fonde l’Association nationale des Elus de la Vigne et du Vin[5].

Suivant les instructions du parti socialiste contre le cumul des mandats, il ne se représente pas aux élections législatives de 2012, ayant été élu maire de Narbonne en 2008[6] et directeur du Grand Narbonne la même année[7]. Le 30 mars 2014, il échoue à se faire réélire à la mairie, ne remportant que 43,82% des suffrages contre 45,20% à son adversaire Didier Mouly[8]. Il est cependant reconduit à la direction du Grand Narbonne[7].

Lors de son mandat de maire, il fait reconstruire un quartier dans le cadre d'une opération de l'Agence nationale pour la rénovation urbaine[9] et lance avec Georges Frêche le musée régional de la romanité Narbo Via, conçu par Norman Foster[10].

Lors de sa direction du Grand Narbonne, il élargit le territoire à 37 communes[11]. Pendant son second mandat, il travaille à un projet d'éolien offshore en Méditerranée, entre autres à Port-la-Nouvelle[12].

Adhérent du Parti socialiste en 1976, membre du Bureau national au titre du courant NPS, il est membre du comité politique de la campagne de Vincent Peillon pour la primaire citoyenne de 2017. Il démissionne du Parti socialiste au lendemain du 1^er tour de l’élection présidentielle[13].