Illiers-l'Évêque
Illiers-l'Évêque [ilje levɛk] est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie. Les habitants d'Illiers-l'Évêque sont des Illiens-Épiscopiens.
Illiers-l'Évêque | |
Chapelle seigneuriale dite Notre-Dame-de-Pitié. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Évreux |
Intercommunalité | Évreux Portes de Normandie |
Maire Mandat |
Joël Clomenil 2020-2026 |
Code postal | 27770 |
Code commune | 27350 |
Démographie | |
Gentilé | Illien-épiscopien |
Population municipale |
1 026 hab. (2020 ) |
Densité | 50 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 49′ 18″ nord, 1° 16′ 03″ est |
Altitude | Min. 114 m Max. 147 m |
Superficie | 20,63 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Verneuil-sur-Avre |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Géographie
La commune comprend plusieurs hameaux : Pinson, Jersey, Illiers et Le Bremien[1].
Localisation
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dreux », sur la commune de Dreux, mise en service en 1996[10] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[11] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de précipitations de 557,3 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Évreux-Huest », sur la commune de Huest, mise en service en 1968 et à 25 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[14] à 10,8 °C pour 1981-2010[15], puis à 11,2 °C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Illiers-l'Évêque est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [17] - [18] - [19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73 %), forêts (13,9 %), zones agricoles hétérogènes (8,3 %), zones urbanisées (4,8 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Illiæ XIe siècle (Orderic Vital), Illeto début XIIe siècle[24], Hilleiæ et Illeiæ en 1157(charte de Rotrou, évêque d’Évreux), Ilers en 1194 (Roger de Hoveden), Illais en 1217[25], Illeiæ en 1305 (charte de Mathieu, évêque d’Évreux), Illee en 1328 (Trésor des chartes), Illiez vers 1610 (aveu de Charlotte des Ursins)[26], Illiers-l'Évêque en 1801[27].
Illiers était un fief héréditaire tenu par l'évêque d'Évreux[28].
De nombreuses communes ou localités portent un nom se terminant par l'Évêque (ou l'Évesque en orthographe traditionnelle parfois encore utilisée), en référence à un prélat y ayant habité, séjourné ou possédé un bien. Il s'agit ici de l'évêque diocésain Philippe Ier qui acquit en 1273 le fief d'Illiers, qui appartiendra aux évêques d'Évreux jusqu'à la Révolution[29].
Histoire
Antiquité
Les Carnutes ont laissé des traces avec des monuments de l'époque celtique[30].
Selon une tradition locale reprise avec circonspection dans les Mémoires par Denis Godefroy, le château aurait été construit sur l'emplacement d’un camp romain (castrum), lui-même ayant remplacé une forteresse gauloise[30].
Le haut Moyen-Âge (476-911)
Les archives du château de Chantemesle (à Logron) et les cartulaires des abbayes de Chartres font mention de plusieurs sires d'Illiers parmi les seigneurs les plus marquants du pays pendant les règnes des rois des deux races franques ; dont Avesgaud Bodard, Hildegrand, Elciund et plusieurs autres[30].
Illiers reçoit le titre de ville vers le milieu du IXe siècle[31].
Les premiers ducs (911-1066)
Au Xe siècle, l'église et la dîme d'Illiers sont une possession en pure propriété de Leutgarde ou Ledgarde (° avant 925 - † un 14 novembre après 977), de la dynastie herbertienne, fille de Herbert II comte de Vermandois. Elle tient vraisemblablement ce bien de l'un de ses deux époux : soit de ses premières noces en 940 avec Guillaume Longue Épée, second duc de Normandie ; soit de ses secondes noces en 942 avec Thibault le Tricheur comte ou vicomte de Tours, comte de Chartres, de Blois et de Dunois[32].
Leutgarde donne Illiers en 948 à son parent Aves Grandus[32] (dont Amédée de Baast (1849) a fait « Avesgard »[31]), qui lui-même le donne au chapitre de Chartres en 906[32].
Un autre seigneur d'Illiers est Geoffroy, vicomte de Châteaudun en 1020[31]. Ce Geoffroy, également seigneur de Nogent-le-Rotrou, ravage les domaines de l'évêque et du Chapitre et a peut-être eu une fin tragique[30]. L'évêque de Chartres Fulbert, dans sa 89e épître, indique que « Geoffroy, vicomte de Chateaudun, s'étant emparé de la seigneurie d'Illiers, y fit bâtir un château vers la fin du XIe siècle »[32]. Selon une autre source, qui interprète différemment le même Fulbert, il aurait relevé les tours du château d'Illiers au commencement du XIe siècle, après que ce fort ait été démantelé par le roi Robert (Robert Ier, roi des Francs, † 922 ?)[30].
Époque anglo-normande (1066-1204)
Yves, sire d'Illiers en 1128, épouse Berthe, fille de Girard, vidame de Chartres[31].
Guillaume d'Iliers, seigneur de Boisrusin, Coursoles, Bruyères et Aunay, part pour Jérusalem en 1128, prend des croix de Bernard, premier abbé de Thiron et lui amortit tout ce que l'abbaye de Thiron pourra posséder à l'avenir dans ses terres[31].
En 1157 l'évêque d'Évreux Rotrou donne une règle certaine, à la fois pour le droit et l'exercice de patronage et pour la dîme de l'église d'Illiers : l'un et l'autre sont divisés en deux parts et une part de chaque bien attribuée respectivement au chapitre de Chartres et à l'abbaye Saint-Père-en-Vallée de Chartres. Il semble que ce partage n'a pas fait cesser les contestations, car en 1225 un nouvel accord est passé entre les mêmes parties, selon lequel l'abbaye de Saint-Père reçoit la portion de la dîme et de l'église appartenant au chapitre, contre 25 livres - que l'abbaye paye annuellement jusqu'à quelques années avant la Révolution, pour deux processions du chapitre dans l'église de Saint-Père, une le mardi de Pâques et l'autre à la fête de saint Pierre[32].
On trouve ensuite Godefroy d'Illiers en 1229, Guillaume d'Illiers en 1260[31].
Époque capétienne (1204-1328)
En 1273, l'évêque d'Évreux Philippe Ier de Cahors acquiert le fief d'Illiers de son homologue Robert de Courtenay (1224-1279), évêque d'Orléans et seigneur de Nonancourt. Illiers appartient dès lors aux évêques d'Évreux jusqu'à la Révolution[29].
Yolande fille de Geoffroy et héritière d'Illiers, épouse en 1289 Philippe de Vendôme. Les deux familles s'accordent pour que les enfants relèvent la bannière d'Illiers, d'or à six annelets de gueules (rouges)[31].
En 1313, Geoffroy d'Illiers confirme la donation faite par Guillaume de Prunelay seigneur d'Ouarville et de Guillerval, aux lépreux d'Illiers, de la dîme du blé et du vin qu'il avait à Illiers depuis 1202[31].
XVIe et XVIIe siècles
Cette famille conserve Illiers jusqu'à ce que la ville passe à Jacques de Daillon († vers 1533), baron du Lude par son mariage avec Jeanne d'Illiers. Illiers passe ensuite dans la maison de Roquelaure lorsque Jeanne de Daillon épouse Gaston de Roquelaure ; puis - brièvement - dans la maison de Foix avec le mariage le de Charlotte de Roquelaure (1655-1710) avec Henri-François de Foix-Candalle, comte de Foix[31], duc et pair de France.
Jacqueline d'Illiers († après 1650) est une maîtresse du duc de Longueville Henri d'Orléans[33].
XVIIIe siècle
Au décès de la duchesse Charlotte, Illiers passe le à Antoine-Gaston de Roquelaure et à son épouse Marie-Louise de Laval[31]. Le 30 octobre 1713 ils le vendent à Louis II Phélypeaux de Pontchartrain, comte de Maurepas, chancelier de France, etc.. Le domaine passe par succession à sa petite-fille Marie-Rosalie Phelippeaux, qui épouse le comte de Watteville. Maximilien-Emmanuel de Watteville devint marquis d'Illiers[34]. Illiers se trouve ensuite dans les possessions du duc de Nevers[31], probablement lorsque Hélène Phélypeaux (1715–1781), fille du comte Jérôme Phélypeaux de Pontchartrain, épouse Louis-Jules Mancini en 1731. Ces derniers vendent Illiers le 6 décembre 1781 à Léon Hector Patas, dont la famille conserve la ville au moins jusqu'en 1849[31].
Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom d'Illiers-sur-Condanne[27].
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].
En 2020, la commune comptait 1 026 habitants[Note 7], en augmentation de 3,64 % par rapport à 2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Personnalités liées à la commune
- Gaston ou Guazon, seigneur du Châtel d'Illiers (1050-1073).
- La comédienne Dominique Marcas (1920-2022) a vécu ses dernières années au Brémien Notre Dame et y est décédée. Elle est inhumée au cimetière communal.
Héraldique
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Les armes de la ville se blasonnent ainsi : écartelé au premier de gueules aux deux léopards d’or passant l’un sur l’autre, au deuxième d’argent à la tour de gueules, au troisième d’argent à la grappe de raisin de gueules, tigée de sable, au quatrième de gueules à la mitre d’évêque d’or.
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Voir aussi
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Illiers-l'Évêque · 27770, France », sur Illiers-l'Évêque · 27770, France (consulté le )
- « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Dreux - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Illiers-l'Évêque et Dreux », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Dreux - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Illiers-l'Évêque et Huest », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Charte concernant Guillaume d’Illiers (« Guillelmus de Illeto ») parti en croisade en 1128, reproduite par Gilles Bry de la Clergerie dans son Histoire du Perche. Voir « Notice sur la seigneurie d'Illiers », sur sael28.fr.
- Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 216.
- Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l'Eure, Paris, , sur gallica (lire en ligne), p. 117.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Société historique et archéologique de l'Orne - 2005 - Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne, Volume 124, Numéros 1 à 4, Page 64.
- [Fisquet 1864] Honoré Fisquet, La France pontificale (Gallia Christiana), t. 11 : Métropole de Rouen. Évreux (tome réunissant Évreux (156 p.) et Séez (172 p.)), Paris, libr.-éd. E. Repos, , 328 p., sur books.google.fr (présentation en ligne, lire en ligne), p. 29-30.
- « Notice sur la seigneurie d'Illiers », sur sael28.fr, Société archéologique d'Eure-et-Loir, (consulté en ).
- [Bast 1849] Amédée de Bast, « Essai sur la ville d'Illiers », Journal de Chartres, no 74, 12e année, , p. 11 de la visionneuse (lire en ligne [sur archives28.fr], consulté en ).
- [1850] V. L. Journal de Chartres, « Histoire de la ville d'Illiers », Journal de Chartres, no 3, 13e année, , p. 10-11 de la visionneuse (lire en ligne [sur archives28.fr], consulté en ).
- (en) Charles Cawley, « Henri d'Orléans », dans « France, Capetian kings », ch. 2 : « Kings of France (Valois) », section D : « Comtes de Dunois, comtes et ducs de Longueville », sur fmg.ac, MedLands – Foundation for Medieval Genealogy (consulté en ).
-
« Famille Phélypeaux », Blésois, Île-de-France, sur racineshistoire.free.fr (consulté en ), p. 16 : « Les Phélypeaux, seigneurs d'Illiers par acquisition ».
Voir Famille Phélypeaux sur racineshistoire.free.fr, p. 11 pour la descendance de Louis II Phélypeaux. - L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- La sauvegarde de l'art français .
- Notice no PA00099457, base Mérimée, ministère français de la Culture.