Hénaménil
Hénaménil est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.
Hénaménil | |
Mairie. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Meurthe-et-Moselle |
Arrondissement | Lunéville |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays du Sânon |
Maire Mandat |
Carole Cuny 2020-2026 |
Code postal | 54370 |
Code commune | 54258 |
Démographie | |
Population municipale |
146 hab. (2020 ) |
Densité | 10 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 40′ 18″ nord, 6° 33′ 34″ est |
Altitude | Min. 218 m Max. 302 m |
Superficie | 14,21 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Nancy (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Lunéville-1 |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Géographie
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes.
- Carte de la commune.
- Le pont du Sânon.
- Entrée de Hénaménil.
Urbanisme
Typologie
Hénaménil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[4] - [5].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,2 %), forêts (39,4 %), prairies (9,6 %), zones urbanisées (1,8 %)[6].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].
Toponymie
Anciens noms : Imminivilla, Imminunisvilla, Emmenovilla, Maffridus de Hunaumasnil (abbaye de Beaupré, 1156) ; Hunamenil (Ordre de Saint-Jean de Jérusalem, 1156) ; Alodium de Ameinavilla (1199) ; Armemasnil et Hermamesnil (1234) ; Hermanmani (1262) ; Hennamesnil (1318) ; Hennamesny (1326) ; Henaultmesnil (1476)[8], Hunaldivicus[9], Armemasnil, Ameinavilla[10].
Histoire
Moyen Âge
Déjà mentionnés dans l'article Toponymie, plusieurs actes font mention du village au Moyen Âge. Avant l'annexion de la Lorraine, Hénaménil a toujours appartenu au duché[11].
Le château féodal
En 1318, Poinsignon dit le Truand, seigneur d'une partie d'Hénaménil reconnaît que le duc de Lorraine lui a accordé le droit de construire une maison forte. Les ruines de ce château étaient encore visibles à la fin du XVIIIe siècle[11].
Ancien régime
En 1582, on construit un pont sur le passage allant du moulin d' Hénaménil au village de Bures[12].
En 1591, une déduction fiscale est accordée au meunier en compensation des pertes occasionnées par les guerres de cette année[12].
En 1605, des dépenses assez considérables sont faites pour « l'érection du battant fait à neuf l'an de ce compte proche le moulin d'Hénaménil»[12] ?
Le 25 août 1621, Noé Gérardin est brûlé pour sorcellerie[12].
Au mois de septembre 1622, le sieur Dubois, auditeur à la chambre des comptes vient à Hénaménil pour « reconnaître l'état du pont de bois qui est au-dessus du moulin, sur lequel passent les provisions de bois des salines de son altesse »[12].
En 1625, Il y a un seul signe patibulaire pour les trois seigneuries d'Hénaménil. Si un homme forain (de passage) est condamné à une amende, le duc de Lorraine en prend un quart, les seigneurs de Holvesse en prennent la moitié, et ceux de Montjoie l'autre quart. Si un crime est commis par un forain (personne de passage), c'est la justice du duc qui est compétente. Toujours en 1625, la moitié des habitants de la seigneurie d'Hénaménil appartient au duc, l'autre moitié appartient aux seigneurs de La Roche[12].
À la même période, il existe dans la seigneurie d'Hénaménil des droits seigneuriaux appelés les gerbaux dont un quart revient au duc. Les laboureurs doivent aussi un droit appelé les poiries. Il s'élève à douze deniers par cheval de trait[12].
Le droit d'entrée de ville (droit d'immigration) est de 20 francs dont la moitié revient à la communauté villageoise. Si l'entrée se fait dans la seigneurie d'Hénaménil, le duc en prend la totalité. Si l'entrée a lieu à Holvesse ou à Montjoie, le duc en prend respectivement un quart et la moitié[12].
En 1700, la communauté des habitants déclare posséder 1 000 jours de bois (~200 ha). La communauté doit à ce sujet un cens annuel de 30 francs barrois aux seigneurs du lieu. La communauté a le droit de vain pâturage dans les bois du duc sur le ban d'Hénaménil. Les habitants ont le droit de pêche dans tous les cours d'eau du territoire. Ils peuvent pêcher à siplot sur fond, à la petite trouble, à la charpagne, et à la ligne sans plomb[12].
La guerre de Trente Ans (1618-1648)
Les comptes du domaine d'Einville contiennent de nombreuses pièces attestant qu'Hénaménil eut beaucoup à souffrir de cette guerre et des maladies contagieuses qu'elle contribua à faire circuler. Dès 1631, une somme d'argent est quittée au fermier du moulin pour les dommages subis du fait de la présence de gens de guerre et de la maladie contagieuse[12].
En 1637, le maire étant mort ainsi que la plupart des habitants, aucune déclaration de deniers dus n'a pu être établie[12].
En juin 1641, le moulin est ruiné par les troupes du duc de Lorraine qui passent journellement par ce lieu et contraignent les habitants à se réfugier à Lunéville[12].
En 1642, il n'y a plus de maire et il ne reste que quelques habitants. Le moulin a été ruiné lors des passages successifs de l'armée commandée par monsieur Du Hallier[12].
En 1643, Hénaménil ne compte plus que quatre habitants[13]. En 1644, Hénaménil compte quatre habitants, zéro en 1647, trois en 1660[12].
Les seigneuries
La communauté d'Hénaménil était répartie en trois seigneuries distinctes : celle d'Hénaménil, celle de Montjoie et celle d'Holvèsse[14].
En 1283, des difficultés s'élèvent entre le duc Ferry III et Poinsignon, dit le Truand,à propos de l'hommage que ce dernier devait au duc pour la seigneurie d'Hénaménil[11].
En 1314, Ferry d'Hénaménil, écuyer dit le Truand, se reconnaît homme ligne du duc Henri 1er.
Le 17 août 1558, Catherine d'Haraucourt dame d'Ormes au nom de Théodore de Saulx, vend à Antoine de Lorraine comte de Vaudémont leurs droits et actions es terres et seigneurie d'Hénaménil, entre autres biens[12].
Claude Guérin anobli le 25 octobre 1566 est seigneur partiel d'Hénaménil[15].
Plusieurs membres de La famille de Juvrecourt se succédèrent comme seigneurs d'Hénaménil avant 1569 et après 1692[16].
Le 30 mai 1573, Jean Humbert, seigneur d'une partie d'Hénaménil est anobli[15].
En 1594, le duc de Lorraine était seigneur partiel d'Hénaménil[17].
En 1595, Claude Guérin, était seigneur partiel d'Hénaménil. Il fut également ministre secrétaire d’État du duc de Lorraine Charles III[12]
Sous le règne du duc Henri II de Lorraine (1608-1624), Claude de Malvoisin était l'un des seigneurs d'Hénaménil. Il était également conseiller d'État, maître aux requêtes ordinaires, auditeur des comptes de Lorraine et trésorier général des finances[18].
Jean Humbert fut seigneur d'Hénaménil et de Bures. Il était aussi secrétaire au conseil privé des ducs de Lorraine Charles III et Henri II. Il fut envoyé extraordinaire de Charles III en Autriche et en Bavière. Il fut inhumé dans l'église Saint-Epvre de Nancy en 1619 .Source
En 1625, Nicolas de Pullenoy rend foi et hommage pour la seigneurie partielle d'Hénaménil[15]. Il y a la seigneurie de son altesse en laquelle les sieurs de la Roche prennent la moitié des droits seigneuriaux, hormis le moulin qui appartient à son altesse. Dans cette seigneurie, c'est le receveur d'Einville qui crée le maire et le maître échevin. Dans la seigneurie d'Holvesse, il y a un maire et une justice créés par les seigneurs ou officiers de ladite seigneurie.
Le 20 avril 1627, par un acte de partage entre le duc Charles IV et les seigneurs comparsonniers de la seigneurie de Montjoie sise à Hénaménil, le duc emporte les deux 45e de cette seigneurie[12]. Le 16 décembre 1663, François de Banvillers donne ses réversales pour le tiers de la seigneurie d'Holvesse sise à Hénaménil[12].
Par lettres patentes du 23 mai 1665, Charles IV de Lorraine donne la portion de seigneurie qu'il détenait à Hénaménil à Nicolas Rouyer conseiller d'État de la cour souveraine et après sa mort à Humbert Rouyer son fils[12].
Il existe des lettres patentes relatives à la seigneurie de Montjoie pour les années 1700 concernant Gaspard de Vanel[12].
Il existe des lettres patentes relatives à la seigneurie d'Holvesse concernant Georges-Ferry Humbert écuyer pour la période 1699-1703[12].
Nicolas-Joseph Lefebvre anobli le 14 août 1706 était seigneur partiel d'Hénaménil-Holvesse. Son blason est aujourd'hui celui de la commune[12]. par lettres d'inféodation du 26 janvier 1736, il obtient le droit d'ajouter de Holvese à son nom[11].
En 1708, Joseph Duhalt est seigneur d'Hénaminy pour un 6e de la seigneurie[12].
Le 22 mars 1715, Charles-Henri comte de Ficquelmont fait ses foi et hommage pour les terres et seigneurie d'Hénaménil, entre autres[12].
Il existe des lettres patentes relatives à la seigneurie de Montjoie pour les années 1772 concernant le sieur Lefebvre[12].
En février 1781 puis en février 1786, sont publiées les annonces de la vente d'un tiers de la seigneurie d'Hénaménil et des deux tiers de la seigneurie d'Holvesse avec terres, prés, droits seigneuriaux et une importante maison seigneuriale[19] - [20].
Nicolas-Jean-Joseph-François-Xavier de Thomassin de la Fortette, seigneur d'Hénaménil et de Crion, lieutenant-général du bailliage de Château-Salins, est député de la noblesse pour les états-généraux de 1789[21].
Choléra
En 1855 lors de l'épidémie de choléra asiatique, on déclara 231 cas et 71 décès à Hénaménil[22]. Ces chiffres mériteraient d'être recoupés avec ceux de l'état-civil pour vérification.
Phylloxéra
En 1901, 3 foyers infestés par cette maladie de la vigne la sont découverts aux lieux-dits la Carrière et le Revers du Champ Charré. Ils ont pour origine des plants américains importés 10 ans plus tôt[23].
Alimentation en eau potable
Le 20 juin 1930 eut lieu à la mairie de Lunéville, un appel d'offres pour l'alimentation en eau potable de la commune d'Hénaménil[24].
Remembrement
En décembre 1930 a lieu une enquête publique en vue d'engager un remembrement sur la commune d'Hénaménil[25].
Histoire religieuse
Il semble que la paroisse d'Hénaménil faisait partie de l'évêché de Metz, sur le plan spirituel, avant la Révolution.
À deux reprises au XIXe siècle, les curés du village ont défrayé les chroniques juridiques.
Obsèques de la baronne de Schacken
Le 3 novembre 1828, la baronne De Schaken résidant à Hénaménil depuis plus de 60 ans décède. Elle était très appréciée des habitants pour son empathie à leur égard. Ils furent donc très surpris quand ils apprirent que Charles-Hubert Moré, curé de la paroisse[26], refusait d'ouvrir les portes de l'église et de sonner le glas pour l'inhumation. Le prêtre invoquait le motif qu'elle ne fréquentait pas l'église. On tenta d'opposer au religieux que la dame souffrait d'une grande infirmité et que le desservant de la paroisse n'avait jusque-là rien trouvé à redire quand il encaissait l'achat d'un banc d'église sur lequel il profitait de l'absence de la dame pour y installer ses propres servantes.
C'est finalement le maire du village qui fit ouvrir l'église, sonner le glas et inhumer Mme De Schaken dans le caveau familial alors que le curé voulait la reléguer dans la partie la plus éloignée du cimetière communal. Sans doute pour manifester sa contrariété par l'autorité civile, le curé refusa d'assurer le service religieux pour la fête du roi en prétextant qu'il ne connaissait pas d'autre souveraineté que celle du pape. À cette époque, l'église et l'État étaient liés par le régime du concordat. Les propos du curé étaient donc répréhensibles selon le droit en vigueur. Le maire consigna le refus du curé dans un procès-verbal et le transmis à l'autorité civile[27].
Curé procédurier
À la fin de 1888 commence une étonnante affaire religieuse. Célestin Henriot est curé de la paroisse d'Hénaménil depuis 12 ans. Il s'est lourdement endetté à titre personnel pour les travaux réalisés dans l'église d'Hénaménil. L'évêque de Nancy, Monseigneur Turinaz, décide le transfert du desservant vers la paroisse de Jeandelize. Celle-ci étant d'un meilleur rapport financier, elle devait permettre à Henriot d'honorer ses dettes. Le 27 juin 1900, il est muté à Colmey mais la maladie l'empêche de se rendre à sa nouvelle affectation. Après sa guérison, Henriot demande à être réaffecté à Jeandelize ou dans une paroisse équivalente. Mais il n'est plus dans les bonnes grâces de l'évêque connu pour son humeur ombrageuse. Turinaz lui propose Fresnois-la-Montagne mais Henriot refuse. Il juge Les revenus de cette paroisse insuffisants. Ne pouvant régler le différend à l'amiable, l'ancien curé d'Hénaménil se pourvoit en cour de Rome. La congrégation des évêques rend alors une sorte de « jugement de Salomon » par lequel Henriot doit accepter la paroisse de Fresnois-la-Montagne mais son évêque doit lui verser mensuellement une somme d'argent compensant la perte de revenu. L'évêque de Nancy fini par retirer l'appel qu'il avait d'abord interjeté et le consulteur ecclésiastique, revue officielle des actes du Saint Siège, publia le règlement définitif de ce jugement en 1903[28] - [29].
L'abbé Henriot dû, en même temps que l'affaire précédente, soutenir une autre procédure, civile celle-là. Ayant besoin de fonds pour les travaux engagés dans l'église d'Hénaménil, il s'était fait remettre en 1880 une somme de 4 000 francs et 3 700 francs en 1881 par la demoiselle Crospal. Henriot versa ensuite chaque semestre 360 francs à Mlle Crospal. Celle-ci voulant récupérer ses fonds, elle les réclama à Henriot qui lui opposa qu'ils avaient convenus initialement que c'était un don. Crospal porta alors l'affaire devant la cour civile de Briey, laquelle affaire vint ensuite en appel. Le 28 juillet 1894, La cour d'appel de Nancy condamna Henriot à rembourser l'intégralité de la somme avec les intérêts dus[30].
Première Guerre mondiale
Il y eut d'importants dommages au cours de la guerre 1914-1918.
En mai 1915, 35 089 francs sont alloués pour la réparation de maisons privées partiellement détruites par les obus. 3 000 francs sont alloués à la réparation de bâtiments de fermes pour favoriser la reprise économique[31].
Par arrêté du ministre de la guerre en date du 22 avril 1922, la commune d'Hénaménil est citée à l'ordre de l'armée[32].
La société coopérative de reconstruction a été dissoute par décision de son assemblée générale le 19 août 1930[33].
Atrocités
Des actes de barbarie, de torture, de chantage, d'incendies volontaires et demande de rançon furent perpétrés par les soldats bavarois à Hénaménil et dans les villages environnants fin août et début septembre 1914. Les soldats allemands étaient sous les ordres du commandant en chef Karl Von Fasbender, celui qui rançonna les habitants de Lunéville[34].
Politique et administration
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[44].
En 2020, la commune comptait 146 habitants[Note 3], en diminution de 7,01 % par rapport à 2014 (Meurthe-et-Moselle : +0,06 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Hénaménil, reconstruite après 1918 ; Christ XVIe siècle.
- Monument aux morts.
- Statue de la Vierge.
- Canal de la Marne au Rhin : écluse et port.
- Voie verte du canal de la Marne au Rhin.
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption.
- Monument aux morts.
- La statue de la Vierge.
- Voie verte du canal de la Marne au Rhin.
Héraldique
Blasonnement :
D'azur à trois pals d'argent au chef cousu de gueules chargé de trois étoiles d'or rangées en fasce. L'original semble être le blason de Nicolas-Joseph Le Febvre, seigneur d'Hénaménil[47] |
Voir aussi
Liens externes
- « Hénaménil », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur https://galeries.limedia.fr
- Hénaménil sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Henri Lepage, Dictionnaire géographique de la Meurthe, Nancy, 1860
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- Société d'histoire de la Lorraine et du Musée lorrain Auteur du texte et Palais des ducs de Lorraine-Musée lorrain (Nancy) Auteur du texte, « Bulletin mensuel de la Société d'archéologie lorraine et du Musée historique lorrain », sur Gallica, (consulté le ), p. 30
- Le département de la Meurthe. Deuxième partie : statistique historique et administrative / publ... par Henri Lepage, (lire en ligne), p. 250
- Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département.... Volume 1 / par Henri Lepage,..., (lire en ligne), p. 484-486
- Société d'histoire de la Lorraine et du Musée lorrain Auteur du texte et Palais des ducs de Lorraine-Musée lorrain (Nancy) Auteur du texte, « Mémoires de la Société d'archéologie lorraine », sur Gallica, (consulté le ), p. 128
- Antoine de (1866-1958) Auteur du texte Mahuet, Biographie de la Chambre des comptes de Lorraine : ouvrage orné de 10 portraits, 8 planches et 195 blasons / par le Cte A. de Mahuet,..., (lire en ligne), p. 92
- Antoine de (1866-1958) Auteur du texte Mahuet, Biographie de la Chambre des comptes de Lorraine : ouvrage orné de 10 portraits, 8 planches et 195 blasons / par le Cte A. de Mahuet,..., (lire en ligne), p. 65 ; 73 ; 129
- François-Alexandre (1699-1783) Auteur du texte Aubert de La Chesnaye Des Bois et Jacques Auteur du texte Badier, Dictionnaire de la noblesse : contenant les généalogies, l'histoire et la chronologie des familles nobles de France. Tome 11 / par de La Chenaye-Desbois et Badier, 1863-1876 (lire en ligne), p. 177
- Société d'histoire de la Lorraine et du Musée lorrain Auteur du texte et Palais des ducs de Lorraine-Musée lorrain (Nancy) Auteur du texte, « Mémoires de la Société d'archéologie lorraine », sur Gallica, (consulté le ), p. 113
- Société d'histoire de la Lorraine et du Musée lorrain Auteur du texte et Palais des ducs de Lorraine-Musée lorrain (Nancy) Auteur du texte, « Mémoires de la Société d'archéologie lorraine », sur Gallica, (consulté le ), p. 199
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5658778p/f153.image.r=h%C3%A9nam%C3%A9nil?rk=901292;0