Festival Les Reflets du cinéma ibérique et latino-américain de Villeurbanne
Les Reflets du cinéma ibérique et latino-américain est un festival du cinéma ibérique et latino-américain créé en 1984. Il se déroule au cinéma Le Zola de Villeurbanne et a lieu au mois de mars.
Chaque année, des dizaines de films, des réalisateurs, des débats, mais également des animations réunissent des milliers d'amoureux d'Amérique latine et de cinéma.
Pour la première fois en 2018, une séance est programmée pour les enfants[1].
31e édition (2015)
Un Prix du public est créé pour la 31e édition en 2015. Il est remporté par Chala, une enfance cubaine (Conducta) d'Ernesto Daranas (en). Le classement complet :
- Chala, une enfance cubaine (Conducta) d'Ernesto Daranas (en) ( Cuba)
- Mateo (es) de María Gamboa Jaramillo (es) ( Colombie)
- El regreso (en) de Patricia Ortega ( Venezuela)
- Faroeste Caboclo (pt) de René Sampaio (pt) ( Brésil)
- Todos están muertos de Beatriz Sanchís (es) ( Espagne)
- El silencio en la tierra de los sueños de Tito Molina ( Équateur)
- Somos Mari Pepa de Samuel Kishi Leopo (ca) ( Mexique)
- El Cordero de Juan Francisco Olea ( Chili)
- Historias de cronopios y de famas de Julio Ludueña ( Argentine)
Environ 13 000 festivaliers se sont rendus au Zola et dans les quelques autres salles partenaires[2].
32e édition (2016)
Le Prix du public est remporté par Hablar (ca) de Joaquín Oristrell (es). Le classement complet[3] :
- Hablar (ca) de Joaquín Oristrell (es) ( Espagne)
- Magallanes de Salvador del Solar ( Pérou)
- 3 Bellezas de Carlos Caridad Montero (es) ( Venezuela)
- Mangoré (es) de Luis R. Vera (en) ( Paraguay)
- Noche herida (es) de Nicolás Rincón Gille ( Colombie)
- La casa más grande del mundo d'Ana V. Bojórquez et Lucía Carreras (es) ( Guatemala)
- Carmín tropical (es) de Rigoberto Perezcano ( Mexique)
- Neon Bull (pt) de Gabriel Mascaro (en) ( Brésil)
- Mariposa (es) de Marco Berger ( Argentine)
- Vida sexual de las plantas de Sebastián Brahm ( Chili)
33e édition (2017)
La 33e édition a lieu du au . Le programme comprend 67 films, dont 47 longs métrages, et pour la première fois, deux séances de minuit[4].
36e édition (2020)
En raison de la pandémie de Covid-19, la 36e édition, qui devait avoir lieu du au [5], est reportée et a lieu du au [6]. Le classement des cinq premiers films au Prix du public[7] :
- Insoumises (2019) de Laura Cazador et Fernando Pérez Valdés ( Cuba)
- Las buenas intenciones (es) d'Ana García Blaya (es) ( Argentine)
- Santuario (Sanctorum) de Joshua Gil ( Mexique)
- Niña errante (es) de Rubén Mendoza ( Colombie)
- Mosquito de João Nuno Pinto (pt) ( Portugal)
Les cinq autres films de la compétition[8] :
39e édition (2023)
La 39e édition a lieu du au [9]. Le classement des trois premiers films au Prix du public[10] :
Notes et références
- « Les Reflets du cinéma ibérique et latino-américain chouchoutent les gones », sur Le Progrès, (consulté le ) : « Pour la première fois cette année, les enfants auront une séance rien que pour eux pendant le festival des Reflets du cinéma ibérique et latino-américain qui se déroule jusqu'au 28 mars. »
- « Avec Les Reflets 2016, le cinéma prend des couleurs espagnoles », sur Le Progrès, (consulté le )
- https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=1586872371639412&id=100009499925831
- « 33e Reflets : le festival qui veut pousser les murs », sur Le Progrès, (consulté le )
- « Pas de festival Reflets au Zola », sur Le Progrès, (consulté le )
- Vincent Raymond, « Au Zola, des Reflets du cinéma ibérique et latino-américain diffractés », sur Le Petit Bulletin, (consulté le )
- « Newsletter Reflets #3 », (consulté le )
- « 36es Reflets du cinéma ibérique et latino-américain », (consulté le )
- Pascaline Terelli, « Villeurbanne : les Reflets du cinéma ibérique et latino au Zola », sur Le Progrès, (consulté le )
- https://www.facebook.com/lesreflets/posts/pfbid0cxVVptgJk24JhcRXs5vpFxPdHthpaEExejmugCbpEeCxqDtFgJnhqmFvrHZnm3ufl