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Famille de Chaponay

La famille de Chaponay (ou Chaponnay), est une famille éteinte de la noblesse française.

de Chaponay
PĂ©riode XIVe - 1956
Pays ou province d’origine Monts du Lyonnais

Elle s'est éteinte en 1956 avec Antoine de Chaponay, mort sans postérité masculine, et en 2019 en ligne féminine, avec sa fille Henryane.

Histoire

L'origine de la famille n'est pas connue avec certitude et est probablement issue de la commune du mĂŞme nom[1].

Originaire des monts du Lyonnais, cette famille a une généalogie complexe et peu de sources d'information car, pour la plupart, ses membres ne se sont pas intégrés dans l'élite locale ou nationale. Elle est une famille de notables locaux dont la croissance est essentiellement issue d'alliances matrimoniales[2].

Aux XIVe et XVe siècles, on isole deux larges dynasties, l'une intimement liée à la bourgeoisie lyonnaise et l'autre des seigneurs locaux et issue du Dauphiné et de Vaugneray. L'une descendrait de la branche bourgeoise lyonnaise, l'autre ayant disparu à la fin du Moyen Âge.

Les Chaponay revendiquent à partir du XVIIe une origine unique et noble datant du Xe siècle. « A notre sens, cette démarche compilatoire relève surtout de l'histoire de l'identité nobiliaire »[3]. « Il ne semble donc pas facile de régler définitivement cette question des origines. Il parait plus intéressant de s'interroger sur le mécanisme des parentés, réelles ou revendiquées, ou encore sur la pertinence de l'opposition noblesse - bourgeoisie à Lyon à la fin du Moyen-âge »[4].

À la Renaissance, la famille Chaponay se divise en deux branches, l'une oscillant entre Lyon et Grenoble ; l'autre centrée sur Feyzin. Cette dernière disparait après 1764 et ses biens au sud-est de Lyon sont rachetés par la branche aînée. Cette branche aînée de Chaponay a opéré une stratégie de concentration des biens autour de Morancé, avec notamment Marzé, l'Isérable, le Pin, Beaulieu, Belmont, Saint-Jean-des-Vignes[4].

L'origine de la famille a fait l'objet de polémiques au XIXe siècle, le dernier bilan ayant été établi par Guy de Valous en 1973[3]. La famille s'est perpétuée jusqu'au XXe siècle[1] et s'est éteinte en 1956.

Moyen Ă‚ge

Les premiers Chaponay apparaissent au gré de documents divers, sans qu'il soit possible d'établir de filiation entre eux[5].

  • Ponce de Chaponay (fin XIIe - dĂ©but XIIIe). Ponce est un marchand lyonnais ayant fait fortune en Orient au temps des croisades. Il se rend en Orient de 1200 Ă  1229 et y rĂ©ussit de bonnes affaires. Il acquiert les châteaux de Keriscoth et Calavath en Syrie ; et donne les dĂ®mes de ces châteaux Ă  l'Ă©glise locale. Il est un proche d'Henri Ier de Constantinople. En 1209, il apparait dans un accord conclu par le Roi de JĂ©rusalem et figure parmi les reprĂ©sentants de l'Empire[5] - [S 1]. En 1208, il est chargĂ© par l'empereur Henri de rapporter des reliques de saints et un morceau de la Vraie Croix pour la cathĂ©drale Saint-Jean[2]. Il mène Ă©galement son commerce en Europe, principalement en Bourgogne et dans les foires de Champagne. Il dispose pour s'y rendre d'un sauf-conduit dĂ©livrĂ© par Blanche de Navarre, veuve du comte Thibaut III. Il acquiert des biens en Bourgogne et fait pour ceux-ci hommage Ă  Alix de Vergy, duchesse et tutrice de Hugues IV, alors âgĂ© de 6 ans. Il lui avance Ă©galement de fortes sommes d'argent[1].
  • Au XIIIe siècle, plusieurs membres de la famille prouvent leur importance financière ; l'un d'entre eux prĂŞte au milieu du siècle 16 000 livres Ă  la comtesse du Forez[S 2]. Ils possèdent des maisons et des prĂ©s en ville. Parmi eux sont connus Bernard, Garnier et Ponce[1].
    • Bernard apparait dans une mainlevĂ©e donnĂ©e Ă  l'abbĂ© de Cluny Hugues de Rochecorbon le par Gauthier de Savianges[S 3].
    • Garnier signe en tant que voisin un acte de vente entre le chevalier Berlion d'Oulins et bĂ©raude, abbesse de saint-Pierre[S 4].
    • Ponce vend en 1251 des prĂ©s Ă  Vincent de Quirieu, chanoine de Saint-Paul pour 20 livres viennoises[S 5].
    • Peronnette est mentionnĂ©e comme femme de BarthĂ©lĂ©my Flament, avant 1273[S 6].

À partir d'Humbert de Chaponay et de sa famille, à la fin du XIIIe siècle, des généalogies existent, établiées avec une documentation moins parcellaire[5].

  • Humbert Chaponay et ses quatre fils participent activement aux mouvements bourgeois contre l'autoritĂ© ecclĂ©siastique de la seconde moitiĂ© du XIIIe siècle, qui amènent Ă  l'Ă©mancipation du peuple lyonnais, la crĂ©ation de la commune et le rattachement de Lyon au royaume de France. Humbert apparait dans une vente avec l'abbaye d'Ainay[S 7] et la branche qu'il initie s'Ă©teint au cours de la première moitiĂ© du XIVe siècle. Sa famille possède des maisons et terres près de Saint-Nizier, et des vignes sur les pentes de la croix-Rousse[6].
    • L'ainĂ© de ses fils, BarthĂ©lĂ©my, est une notable Ă©tabli. Il prend ainsi part Ă  l'arbitrage entre l'Église de Lyon et BarthĂ©lĂ©my de Fuers lorsque celui-ci revendique la sĂ©nĂ©chaussĂ©e de Lyon, rĂ©clamĂ©e par l'archevĂŞque. Il signe l'accord dans lequel le chapitre cathĂ©dral concède en compensation une partie de la seigneurie de Pollionay en fief[S 8]. Il prend part Ă  la rĂ©volte des Lyonnais contre l'Église en 1269, et fait partie des signataires de la trève entre celle-ci[S 9] et les conjurĂ©s et de la mise sous protection royale de la ville de Lyon[S 10]. Il est censitaire du chapitre de Saint-Paul, comme la plupart des Chaponay. Il dĂ©cède avant 1312 et a six enfants, deux fils prĂ©nommĂ©s Humbert et Michel et quatre filles, Bernarde, ÉlĂ©onore, Marguerite et BĂ©atrice[6].
      • Bernarde est nonne Ă  Villers. ÉlĂ©onore Ă©pouse un bourgeois de Valence nommĂ© Jarenton Mayresis. Marguerite Ă©pouse Gilet de Fuers, de Lyon. Elle Ă©tablit un inventaire des biens qu'elle hĂ©rite de son père[S 11]. BĂ©atrice est mariĂ©e au citoyen lyonnais Michel Cicarelle, administrateur de l'Ĺ“uvre du pont du RhĂ´ne[7].
    • Le frère de BarthĂ©lĂ©my Jean est Ă©galement un personnage important de la citĂ© rhodanienne. Il est Ă©galement caution lors du traitĂ© de 1270, Ă©galement censitaire de Saint-Paul et est tĂ©moin[S 12] lors de la sentence rendue par le gardiateur le [N 1]. Il fait Ă©galement don[S 13] pour la construction de la cathĂ©drale Saint-Jean[7].
    • La fratrie de BarthĂ©lĂ©my est Ă©galement composĂ©e de Bernard qui se marie avec la fille d'une grande famille lyonnaise de l'Ă©poque, les Varey[2] et Michel qui possède des biens notables dans la ville[1].
  • Pierre Chaponay[N 2] est le frère (ou le cousin[2]) de Humbert. Lui et ses quatre fils participent Ă©galement aux Ă©vènements politiques de 1269 et Ă  leurs suites. Pierre est choisi comme procureur-syndic en 1271, et conseiller de la ville en 1298. Il dĂ©cède en 1305. Il est un important propriĂ©taire terriens dans la ville avec des biens sur la Croix-Rousse, face Ă  la presqu'Ă®le comme face au RhĂ´ne, et Ă©galement Ă  Papelonges[N 3]. Il est le beau-frère de Guichard de la Mure, il a huit enfants, une de ses filles est mariĂ©e au professeur de loi Anselme de Durche. L'un des fils de Pierre est Guillaume, Ă©poux d'une femme de la famille des Fuers ; et qui prĂŞte serment en 1320 lors du rattachement de la ville au royaume[2]. Un autre AndrĂ©, se marie Ă  une La Mure[8]. Un troisième fils, Pierre II, est le père de huit enfants[2].
  • Mathieu Chaponay est vers 1360 un puissant notable lyonnais. Il est chef des pennons, neuf fois consul et mariĂ© Ă  une Varey. Il est propriĂ©taire de trente-quatre maisons Ă  Lyon. Il est enterrĂ© dans le caveau familial au sein de l'abbaye d'Ainay. Son fils ainĂ© Antoine vend Ă  la commune son premier hĂ´tel de ville. Il fait plusieurs mariages profitables et vit noblement dans les dernières annĂ©es de sa vie. Son fils Philibert est consul, drapier et marchands au sein des foires naissantes. Il teste en se dĂ©clarant noble. Son fils Jean II est graduĂ© en droit et obtient des charges royales et des offices en DauphinĂ©[2].

Époque moderne

Charte de mariage d'Humbert Chaponay et LĂ©onor de Villars, 1615, Archives dĂ©partementales du RhĂ´ne, 44 J 96
  • Jean II de Chaponay, conseiller maĂ®tre puis prĂ©sident de la Chambre des comptes du DauphinĂ©, mariĂ© en 1492 avec Catherine Palmier, acquiert la noblesse par l'achat de ses charges anoblissantes.
  • Nicolas Chaponay, fils de Jean II, est consul en 1533, 1564 et 1565. Son fils Jean III est conservateur des foires en 1566 et trĂ©sorier de France Ă  Lyon en 1568. Cette fonction de trĂ©sorier est reprise par plusieurs membres de la famille par la suite, par Pierre en 1586 et Bertrand en 1615. Son fils Nicolas II est consul en 1583 et 1586. Il est dĂ©putĂ© aux États gĂ©nĂ©raux de 1589 et membre du conseil d'État de Lyon[9].
  • Guillaume Chaponay est Ă  la fin du XVIe siècle conseiller et contrĂ´leur gĂ©nĂ©ral des bâtiments auprès de Catherine de MĂ©dicis, et obtient en 1572 la charge de garde des sceaux royaux Ă  Lyon.
  • François Chaponay, fils de Jean III, est prĂ©vĂ´t des marchands en 1627, 1628 et 1629[9]. Il est seigneur de Feyzin et de Bellegarde, chevalier de l'ordre du roi[A 1].
  • Humbert Chaponay[N 4], fils de Nicolas II, est Intendant de Lyon en 1633, du Bourbonnais en 1638 et du Berry en 1640. Il invente une gĂ©nĂ©alogie qui fait remonter très haut la famille Chaponay.
  • Balthazar Chaponay, fils d'Humbert, est conseiller au Parlement de Metz de 1662 Ă  1678 et prĂ©vĂ´t des marchands de Lyon en 1677-1678. Balthazar meurt sans hĂ©riter, sa branche des Chaponay s'Ă©teignant avec lui[9].
  • Soffrey de Chaponay, autre fils de Jean II, perpĂ©tue la famille. Il succède Ă  son père comme prĂ©sident de la Chambre des Comptes du DauphinĂ© et meurt Ă  Grenoble en 1544.
  • Laurent de Chaponay, son fils, lui succède dans sa charge et meurt en 1582. Ses descendants sont tous titulaires de charges anoblissantes, ce qui leur permet d'ĂŞtre maintenus dans leur noblesse en 1667 par jugement de l'intendant de Grenoble, François DuguĂ© de Bagnols, puis de comparaĂ®tre aux assemblĂ©es provinciales de la noblesse, en 1789[10].

Époque contemporaine

Au XXe siècle, la famille compte pour représentant François Pierre, marquis de Chaponay, attaché d'ambassade (Lyon, 2 juin 1851 - Lyon, 19 septembre 1941), marié au Creusot le 17 février 1887 avec Constance Schneider (Le Creusot, 14 septembre 1865 - 1935), fille du maître de Forges Henri Schneider. Tous deux ont deux enfants : Nicole de Chaponay (1890-1977), mariée avec Antoine de Lévis Mirepoix, duc de San Fernando Luis, et Antoine, marquis de Chaponay (1893-1956), dernier représentant de sa famille, marié avec Diane de Cossé-Brissac (1901-1921), puis en 1923 avec la princesse Geneviève d'Orléans (1901-1983). Il laisse uniquement une fille, Henryane de Chaponay (1924-2019)[9].

En 1937, François Pierre de Chaponay et son fils sont admis à l'Association d'Entraide de la Noblesse française.

Généalogie

  • Tableau gĂ©nĂ©alogique armoriĂ© de la famille XVIIe siècle
    Tableau généalogique armorié de la famille XVIIe siècle
  • Tableau gĂ©nĂ©alogique, ascendance d’Alexandre de Chaponay, XVIIIe siècle
    Tableau généalogique, ascendance d’Alexandre de Chaponay, XVIIIe siècle
  • Tableau gĂ©nĂ©alogique, ascendance de Robert de Chaponay, XVIIIe siècle
    Tableau généalogique, ascendance de Robert de Chaponay, XVIIIe siècle

Armoiries

Les armoiries de la famille sont[11] :

  • Supports : Deux lions d'or.
  • Cimier : Un coq d'or, crĂŞte, barbĂ© & membrĂ© de gueules.
  • Devise : Gallo Canente Spes Redit.

Les armes des Chaponay ont été admises dans la salle des Croisades, à Versailles, sur la production d'un acte d'emprunt de l'an 1191, effectué au camp de Saint-Jean-d'Acre par Falcon de Chaponay & quelques autres seigneurs Dauphinois, acte revêtu du monogramme royal & scellé du grand sceau de Philippe-Auguste.

Patrimoine

Galerie

  • Acte de nomination d'Antoine de Chaponay au parlement du DauphinĂ©, 1510. Suite sur cette page.
    Acte de nomination d'Antoine de Chaponay au parlement du Dauphiné, 1510. Suite sur cette page.
  • Testament de Pierre de Chaponay, doyen de l'Ă©glise de Gap, 13 septembre 1573, suite sur cette page
    Testament de Pierre de Chaponay, doyen de l'Ă©glise de Gap, 13 septembre 1573, suite sur cette page
  • Charte de mariage de Nicolas II de Chaponay et de Marie-Bernard de ChintrĂ©, 1579
    Charte de mariage de Nicolas II de Chaponay et de Marie-Bernard de Chintré, 1579
  • Charte de mariage de Pierre II de Chaponay et de Françoise Scarron, 1582
    Charte de mariage de Pierre II de Chaponay et de Françoise Scarron, 1582
  • Portrait de Guyonne de Chaponay, 1583
    Portrait de Guyonne de Chaponay, 1583
  • Portrait d'Humbert de Chaponay, 1638
    Portrait d'Humbert de Chaponay, 1638
  • Charte de mariage d' Octavien de Chaponay avec Louise de Loras, 1643
    Charte de mariage d' Octavien de Chaponay avec Louise de Loras, 1643
  • Annonce de soutenance de thèse par Alexandre de Chaponay Ă  Grenoble, 26 juin 1689
    Annonce de soutenance de thèse par Alexandre de Chaponay à Grenoble, 26 juin 1689

Postérité

Une rue est nommée au nom de la famille à la Guillotière en 1839[2].

Expositions

Une exposition sur la famille Chaponay au Maroc a eu lieu à la Bibliothèque nationale du Royaume du Maroc à Rabat du au [A 2].

Le fonds Chaponay

Les fonds archivistiques de la famille Chaponay, constitués au fil des siècles, furent regroupés au XIXe siècle au château de la Flachère dans une salle spécialement aménagée. Ils ont été donnés en dépôt à l'État par Antoine de Lévis-Mirepoix, dernier propriétaire en 1978 ; l'État en laissant la garde aux Archives départementales du Rhône. Depuis 1984, ils sont conservés aux Archives départementales du Rhône.

Ce fonds est remarquable par sa cohérence et sa continuité[12].

Bibliographie

Ouvrages anciens

  • Claude Le Laboureur, Les Masures de l'abbaye royale de l'Isle Barbe lès Lyon, ou Recueil historique de tout ce qui s'est fait de plus mĂ©morable en cette Ă©glise, depuis sa fondation jusques Ă  prĂ©sent, avec le catalogue de tous ses abbez, t. II, Lyon, C. Galbit, (BNF 30782696)
  • Vital de Valous, Citoyens et bourgeois de Lyon Ă  diverses Ă©poques, vol. 3 : Famille de Chaponay, Lyon, A. Brun, (BNF 36028877)
  • Henri de Jouvencel, L'assemblĂ©e de la noblesse de la sĂ©nĂ©chaussĂ©e de Lyon en 1789 : Ă©tude historique et gĂ©nĂ©alogique, Lyon, Brun,

Travaux contemporains

  • RenĂ© FĂ©dou, Les hommes de loi lyonnais Ă  la fin du Moyen-age, Paris, Les Belles lettres,
  • Guy de Valous, Le patriciat lyonnais aux XIIIe et XIVe siècle, A. et J. Picard, , 490 p.
  • Jean-Pierre Gutton, Les Lyonnais dans l'histoire, Lyon, Privat, , 405 p. (ISBN 2-7089-9402-6)
  • Philippe Rosset (dir.) et Michel Ollion, Fonds de la famille Chaponay : sous-sĂ©rie 44 J, Lyon, Archives dĂ©partementales du RhĂ´ne, , 413 p. (ISBN 2-86069-030-1)
  • Patrice BĂ©ghain, Bruno Benoit, GĂ©rard Corneloup et Bruno ThĂ©venon (coord.), Dictionnaire historique de Lyon, Lyon, StĂ©phane Bachès, , 1054 p. (ISBN 978-2-915266-65-8, BNF 42001687)

Références

Sources

  1. Martin, Bullaire, n° 737, 816, 818.
  2. Chartes de Forez, n° 71 ; Archives nationales, Layette du trésor des chartes, J 256, n° 41.
  3. Rec. des chartes de Cluny, n° 4742.
  4. C. L., n° 386, 470-471.
  5. C. L., n° 463, 524 et ss.
  6. Obit. prov. Lyon, II, 149.
  7. cart. d'Ainay, II, n° 31, 218.
  8. C. L., II, n° 48, 533-537.
  9. C. M., n° 379.
  10. C. M., n° 411.
  11. Arch. Lyon, CC 60.
  12. C. M., 415.
  13. Obit. Église de Lyon, 84.

Ouvrages de synthèses

  1. Gutton 1985, p. 208.
  2. DhL, p. 268.
  3. Rosset et Ollion 2002, p. 9.
  4. Rosset et Ollion 2002, p. 10.
  5. Valous 1973, p. 170.
  6. Valous 1973, p. 171.
  7. Valous 1973, p. 172.
  8. Gutton 1985, p. 209.
  9. Gutton 1985, p. 210.
  10. Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des Familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 9, Evreux, Imprimerie Charles Herissey, (lire en ligne), p. 372-376
  11. Site personnel
  12. Rosset et Ollion 2002, p. 7.

Autres sources d'information

  1. Chasot de Nantigny, Tablettes de Thémis, 3e partie, Chronologie des présidents, chevaliers d'Honneur, avocats & procureurs généraux des Chambres des Comptes de France et de Lorraaine, des Cours des Aides, & de celles des Monnaies, les Prévôts des Marchands de Paris & de Lyon, & la liste des Bureaux des Finances, Présidiaux, Baillages, Sénéchaussées et Prévôtés, & une table alphabétique des noms de familles, p. 274-284, Paris, 1755.
  2. Site de la Bibliothèque, Sur noblesse et royauté.com

Notes

  1. Cette sentence rappelle que les habitants de la ville sont libres vis-à-vis des autorités ecclésiastiques d'entretenir leurs fortifications et de gérer les finances de Lyon.
  2. Alias PĂ©ronet ou Peronin.
  3. Lieu-dit sur le haut de la Croix-Rousse situé au niveau de l'école normale d'institrice, au 80 boulevard de la Croix-Rousse. Voir André Steyert, Notes sur l'histoire de Lyon, 1899.
  4. Seigneur de l'Isle de Meaux, de Beauregard, de la Chartonnière ; vice-bailli de Vienne, lieutenant général au présidial de Lyon, maître des requêtes en 1633.

Voir aussi

Liens externes

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