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Famille Le Jolis de Villiers

La famille Le Jolis de Villiers ou Le Jolis de Villers est une famille subsistante de la noblesse française originaire du Cotentin en Normandie où elle a été anoblie en 1595. Elle a notamment donné le général d'armée Pierre de Villiers, chef d'État-Major des armées de 2014 à 2017, et le député de la Vendée Philippe de Villiers, secrétaire d'État à la Culture de 1986 à 1987 et fondateur du Puy du Fou.

Le Jolis de Villiers
Image illustrative de l’article Famille Le Jolis de Villiers
Armes.

Blasonnement D'azur au chevron d'or accompagné de trois aigles d'argent, les vols abaissés.
Période XVIe – XXIe siècles
Pays ou province d’origine Drapeau de la Normandie Normandie
Allégeance Drapeau du Royaume de France Royaume de France
Drapeau de la France France
Charges Secrétaire d'État
Député
Conseiller général
Maire
Sous-préfet
Conseiller de préfecture
Fonctions militaires Général
Officiers
Fonctions ecclésiastiques Prêtre
Récompenses militaires Ordre royal et militaire de Saint-Louis, ordre national de la Légion d'honneur, ordre national du Mérite, croix de guerre 1939-1945, croix du combattant volontaire, médaille des évadés, médaille de la Résistance, ...

Histoire

Le département de la Manche.
Le Cotentin.

La famille Le Jolis de Villiers ou Le Jolis de Villers[1] est originaire de Brucheville dans le Cotentin en Normandie[2].

Si loin que l'on ait recherché, on rencontre pour la première fois un personnage nommé Pierre Le Jolis, exerçant les fonctions de tabellion[Note 1] en 1536 à Sainte-Marie-du-Mont dans l’arrondissement de Cherbourg[Note 2] - [3].

Guillaume Le Jolis est le premier personnage formellement recensé de la famille Le Jolis. Il est natif vers 1550 du fief de Rochefort[4] dans la paroisse de Brucheville (arrondissement de Cherbourg), où sa famille possède un manoir[5] - [6]. Il est seigneur du Jonquay. Il occupe les fonctions de gouverneur du château-fort de Saint-Lô de 1589 à 1593 en succédant à Jean d'Estouteville[7]. Sur la recommandation du marquis d'O, il avait été décidé de démanteler le château-fort, mais devant l'opposition des officiers du roi, leur capitaine-gouverneur mit tout en œuvre pour en renforcer les défenses. En remerciement pour les services ainsi rendus au royaume de France, le roi Henri IV anoblit Guillaume Le Jolis par lettres patentes de [8] - [2], enregistrées à la Cour des comptes le , puis à la Cour des aides de Normandie le [9]. Conjointement avec son épouse, Marie du Buisson, dame du Bouillon[Note 3] (de La Lissondière)[11], Guillaume participe en 1602 à la fondation de la chapelle Saint-Éloi, annexée à l'ancienne collégiale Notre-Dame de Saint-Lô qui dépendait du château, sous l'autorité religieuse de Mgr de Briroy, évêque de Coutances[12].

Pierre Le Jolis, personnalité religieuse de la Manche, est l'un des fils de Guillaume Le Jolis. Il est nommé curé de Brucheville de 1647 jusqu'à sa mort survenue en 1670[13].

La commune de Brucheville a adopté le même blason que celui de la famille Le Jolis de Villiers : d'azur au chevron d'or accompagné de 3 aigles d'argent les vols abaissés, en souvenir des fiefs de Rochefort et de la Rousselière.

La famille Le Jolis était également titulaire du fief de la Ponterie à Villiers-Fossard, dans l'arrondissement de Saint-Lô. Elle sera connue sous le nom de Le Jolis de Villiers. La commune de Villiers-Fossard a adopté les armoiries de la famille — en y ajoutant une bordure d'or — en souvenir de sa présence dans la seigneurie et du manoir de la Ponterie édifié à la fin du XVIe siècle. Ce domaine a été vendu au XIXe siècle.

Puis, au XXe siècle, les enfants, orphelins de Louis Le Jolis de Villiers, capitaine au 79e régiment d'infanterie, mort pour la France en 1914 au cours d'un combat dans la forêt de Saint-Paul à Champenoux en Meurthe-et-Moselle, sont inscrits comme pupilles de la nation. Ils seront adoptés ultérieurement par leur tante maternelle de Saintignon, originaire de Lorraine. La famille sera désormais connue sous le nom de Le Jolis de Villiers de Saintignon.

C'est au cours de ce siècle que Jacques de Villiers (1913-2000) s'installe dans le département de la Vendée. Parmi ses enfants deux personnalités s'illustrent sur le plan national : Philippe de Villiers, personnalité politique française, qui a été durant de nombreuses années président du Conseil départemental de la Vendée et ses descendants qui vivent toujours en Vendée où ils ont créé un parc d'attraction touristique, Le Puy du Fou. Pierre de Villiers, général d'armée, qui fut chef d'état-major des armées françaises de 2014 à 2017.

La famille Le Jolis de Villiers a adhéré à l'ANF en 1973[14] - [Note 4].

Généalogie

L'ascendance connue remonte au milieu du XVIe siècle à partir de Guillaume Le Jolis de Villiers, né en 1540[10].

  • Guillaume Le Jolis de Villiers (1540- ) Ă©pouse Marie du Bouillon ( -1649), anobli en 1595.
    • Alexandre Le Jolis de Villiers, sieur du Jonquey, Ă©cuyer, Ă©pouse Françoise Alexandre
      • Jean Le Jolis de Villiers, sieur de Neudy, Ă©cuyer (4 mai 1633 Ă  Brucheville), Ă©pouse le 16 juillet 1658 Suzanne d'Escageul
        • François Alexandre Le Jolis de Villiers (22 mai 1663 Ă  Brucheville - 13 aoĂ»t 1704 Ă  Höchstädt) Ă©pouse le , Louise de Prye, fille d'Émon-Antoine, marquis de Prye, haut-justicier de Plâne, Échampay, etc.
          • Alexandre LĂ©onor Le Jolis de Villiers (1702-1780), lieutenant de dragons, capitaine au bataillon de la milice de Caen, Ă©pouse le Ă  Saint-Jean-de-Daye (Manche) Mathurine Germain de La ContĂ©
            • François-Alexandre-LĂ©onor Le Jolis de Villiers (1760-1845) Ă©pouse en 1787 Anne-Marie de GĂ©raldin
              • Édouard Le Jolis de Villiers (1803-1863) Ă©pouse en 1830 AimĂ©e Langlois (1803-1878)
                • Prosper Le Jolis de Villiers (1840-1907), avocat et juge de paix, Ă©pouse en 1871 Louise Julienne Chauvel (1846-1902)
                  • Louis Paul LĂ©on Marie Raymond Le Jolis de Villiers, capitaine, nĂ© le Ă  Brucheville (Manche) et mort pour la France le Ă  Champenoux (Meurthe-et-Moselle)[15]. De son mariage Ă  Paris le avec Jeanne de Saintignon ( Ă  Auxerre (Yonne) - Ă  Bobigny (Seine-Saint-Denis)), sont nĂ©s cinq enfants : Monique (1906-1973), Yolande (1908-1994), Jean (1910-1991), Françoise (1911-2006) et Jacques (1913-2000) qui suit.

Personnalités

  • Guillaume Le Jolis, gouverneur du château de Saint-LĂ´ (1589-1593), anobli en 1595
  • Jean Le Jolis de Villiers (1633-1707), Ă©cuyer, seigneur du Buisson. Officier au service du roi Louis XIV, il participe comme volontaire Ă  la campagne du Portugal en 1667 et 1668 dans la compagnie d'un rĂ©giment de cavalerie du marquis de Chamilly. Il se distingue au siège de la forteresse de Ferreira do Alentejo en . (Ă€ la suite de cette campagne, le Portugal obtient son indĂ©pendance vis-Ă -vis de l'Espagne le par le TraitĂ© de Lisbonne)
  • François-Alexandre (Ier) Le Jolis (1663-1704), Ă©cuyer, seigneur de Villiers, capitaine de dragons dans le rĂ©giment de Morsan ; puis capitaine de cavalerie dans le rĂ©giment de Fourquevaux. Dans les armĂ©es du roi Louis XIV, au cours de la guerre de Succession d'Espagne, il est tuĂ© Ă  la bataille de Höchstädt, le .
  • François-Alexandre (2e) Le Jolis de Villiers, nĂ© en 1693, capitaine de dragons, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, participe au siège de Fribourg-en-Brisgau en . (La victoire des troupes françaises entraine le TraitĂ© de Rastatt, signĂ© entre la France et l'Autriche, le )
  • François-Alexandre-LĂ©onor Le Jolis de Villiers (1760-1845), admis au collège royal de La Flèche, est incorporĂ© en 1776 comme cadet gentilhomme dans le rĂ©giment de Vermandois oĂą il sert comme officier jusqu'en 1788. Il avait Ă©pousĂ© en 1787 Marie Anne Perrine Catherine de GĂ©raldin, fille de feu Antoine, marquis de GĂ©raldin, brigadier des armĂ©es du roi, grand bailli d'Ă©pĂ©e du comtĂ© de Mortain. Il est maire de Saint-LĂ´ (1799-1803), conseiller de prĂ©fecture, membre du collège Ă©lectoral de la Manche et, enfin, dĂ©putĂ© conservateur de la Manche sous la seconde Restauration (1817-1822)[20].
  • Jacques Roger Marie Fernand Le Jolis de Villiers de Saintignon (1913-2000), lieutenant Ă  la fin de la seconde Guerre mondiale, maire de Boulogne (1947-1983), conseiller gĂ©nĂ©ral de la VendĂ©e (1973-1987)
  • Philippe Le Jolis de Villiers de Saintignon connu sous le nom « Philippe de Villiers » (1949), sous-prĂ©fet, dĂ©putĂ© (1987-1988, 1988-1994, 1997-2004), secrĂ©taire d'État Ă  la Culture (1986-1987), prĂ©sident du conseil gĂ©nĂ©ral de la VendĂ©e (1988-2010), fondateur d'un mouvement politique (Le Mouvement pour la France (MPF)) (1994-2018), dĂ©putĂ© europĂ©en (1994-1997, 1999, 2004-2014), candidat Ă  l'Ă©lection prĂ©sidentielle française de 1995 et de 2007. Fondateur en 1989 du parc Ă  thème Puy du Fou.
  • Bertrand Raymond Marie Louis Le Jolis de Villiers de Saintignon (1950), officier de cavalerie, conseiller gĂ©nĂ©ral de la VendĂ©e, poste dont il dĂ©missionne au lendemain de l’annonce faite par son frère de son dĂ©part du conseil gĂ©nĂ©ral, prĂ©sident d’Alouette, radio FM rĂ©gionale couvrant onze dĂ©partements de l’ouest de la France, et prĂ©sident du conseil d’administration de Sud Radio, couvrant vingt-deux dĂ©partements du sud de la France
  • Pierre Le Jolis de Villiers de Saintignon connu sous le nom de « gĂ©nĂ©ral Pierre de Villiers » (1956), gĂ©nĂ©ral d’armĂ©e nommĂ© chef d'État-Major des armĂ©es du au .
  • Emmanuel le Jolis de Villiers de Saintignon (1966), directeur gĂ©nĂ©ral du Puy du Fou de 1990 Ă  2002, appelĂ© au sauvetage du Futuroscope par RenĂ© Monory, fondateur, comme directeur du parc de 2002 Ă  2004. Chef d'entreprises, PrĂ©sident de L'Orfèvrerie d'Anjou (secteur du Luxe), du Groupe Kolmi Hopen (il rĂ©alise la nouvelle usine du leader europĂ©en des masques chirurgicaux, visitĂ©e par le PrĂ©sident de la RĂ©publique Emmanuel Macron le 30 mars 2020), du Groupe G2M (mĂ©tiers du handicap "L'innovation au service du handicap") de Les Ateliers de la Chapelle, entreprise du patrimoine vivant. cĂ©lèbre menuiserie d'art et de luxe.
  • Nicolas Louis Pierre Marie Le Jolis de Villiers de Saintignon (1979), prĂ©sident de l’association du Puy du Fou depuis 2004, du grand parc du Puy du Fou depuis 2012.
  • Jacques Le Jolis de Villiers.
    Jacques Le Jolis de Villiers.
  • Philippe Le Jolis de Villiers.
    Philippe Le Jolis de Villiers.
  • Pierre Le Jolis de Villiers.
    Pierre Le Jolis de Villiers.

Alliances

Les principales alliances de la famille Le Jolis de Villiers sont : du Bouillon, Alexandre, d'Escaguel (1658), de Prye (1693), Germain de La Conté (1756), de Géraldin (1787), de Lentaigne de Logivière (1822), Langlois (1830), Chauvel (1871), de Saintignon (1904), d'Arexy, de Buor de Villeneuve, de Dieuleveult, de Buttet, Griffon du Bellay, d'Alès Tyczynski, Touvet... etc.

Armes & titre

Les armes de la famille Le Jolis de Villiers sont : D'azur au chevron d'or accompagné de trois aigles d'argent, les vols abaissés[21] ou d'azur au chevron d'or accompagné de trois aigles de sable, 2 en chef et 1 en pointe[22] ou d'azur, au chevron d'or, accompagné de trois aiglettes éployées d'argent[23].

Titre de noblesse : vicomte (titre de courtoisie)

Postérité

  • Blasons des communes de Brucheville et de Villiers-Fossard.

Pour approfondir

Bibliographie

  • Jean-Louis Beaucarnot, « Famille Le Jolis de Villiers de Saintignon (origine du nom et histoire de la famille) », in Le tout politique, [lire en ligne], Archipel 2011, (ISBN 2-80980-763-9)
  • Philippe HouĂ«l de Chaulieu, « Famille Le Jolis », in Les familles nobles de Basse-Normandie, Ă©ditions L'IntermĂ©diaire des chercheurs et curieux
  • Hippolyte Sauvage, Le château de Saint-LĂ´ et ses capitaines-gouverneurs, 1900.
  • RenĂ© Toustain de Billy, La Ville de Saint-LĂ´, rĂ©Ă©dition de Bruxelles, 1976.
  • RĂ©gis Valette, Catalogue de la noblesse française, Robert Laffont, 2007.
  • Nicolas Viton de Saint-Allais, Dictionnaire encyclopĂ©dique de la noblesse de France, volume 1.
  • Nicolas Viton de Saint-Allais, Nobiliaire universel de France, ou Recueil gĂ©nĂ©ral des gĂ©nĂ©alogies historiques des maisons nobles de ce royaume, tome 1, Paris, 1878, p. 321-323, [lire en ligne]
  • SociĂ©tĂ© d'archĂ©ologie et d'histoire de la Manche, « Famille Le Jolis de Villiers » in Notices, mĂ©moires et documents publiĂ©s par la SociĂ©tĂ© d'agriculture, d'archĂ©ologie et d'histoire naturelle du dĂ©partement de la Manche, 1851-1920, [lire en ligne]

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Un tabellion est un notaire.
  2. La commune de Sainte-Marie-du-Mont est située à km de Brucheville.
  3. Marie du Buisson est parfois qualifiée de Dame du Bouillon. Joseph Valynseele la nomme « Marie du Bouillon » à sa mort le à Brucheville[10].
  4. La famille fournit, à l'association d'entraide de la noblesse française (ANF), le certificat de noblesse délivré le par Antoine Marie d'Hozier de Sérigny pour l'admission dans le collège royal de La Flèche.
  5. Anne Aymone d'Alès est la fille du capitaine Christian d'Alès, diplômé de l'École spéciale militaire de Saint-Cyr, 13e RDP, mort à l'âge de 36 ans en en poste au service action du Service de documentation extérieure et de contre-espionnage (SDECE, renommé en 1982 Direction générale de la Sécurité extérieure (DGSE))

Références

  1. René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 122.
  2. Nicolas Viton de Saint-Allais, Nobiliaire universel de France, ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, tome 1, p. 321, Paris, 1878, [lire en ligne].
  3. M.Dubosc, Archives départementales de la Manche.
  4. BĂ©rault, Coutume de Normandie, p. 168.
  5. Bérault, Coutume de Normandie, « Un procès s'éleva entre Richard Osber et Guillame Le Jolis, sieur de Rochefort, pour les droits honorifiques que chacun prétendait avoir dans l'église de Brucheville. Obser soutenait que Le Jolis n'était ni seigneur ni patron de l'église ; que lui était noble d'ancienne race, qu'il était aussi plus ancien d'âge, et qu'à tous ces titres il devait être préféré à Le Jolis pour la préséance et les honneurs dans l'église. Le bailli de Cotentin ou son lieutenant à Carentan, donna gain de cause à Guillaume Le Jolis. Mais le Parlement, par arrêt du réforma la sentence… ».
  6. Notices, mémoires et documents publiés par la Société d'agriculture, d'archéologie et d'histoire naturelle du département de la Manche, Société d'archéologie et d'histoire de la Manche, 1851-1920, [lire en ligne].
  7. Hippolyte Sauvage, Le château de Saint-Lô (Manche) et ses capitaines-gouverneurs, 1900.
  8. Régis Valette, Catalogue de la Noblesse française, Robert Laffont, 2007, p. 123.
  9. BN. Manuscrits. Cabinet des titres. Nouveau d'Hozier. Pièces originales, no 1583.
  10. Joseph Valynseele et Denis Grando, À la découverte de leurs racines, tome 2, Paris 1994. (ISBN 2-90800-303-1).
  11. Armorial des familles de Normandie, lettre B.
  12. René Toustain de Billy, Histoire ecclésiastique du diocèse de Coutance, Vol. 2.
  13. Ch.Berthelot du Chesnay, Les missions de saint Jean Eudes, archives de l'évêché de Coutances-ADC,IX, X, no 70, Paris, 1967, p. 346.
  14. Table des familles admises Ă  l'ANF.
  15. Sa fiche sur le site « Mémoire des hommes ».
  16. Who's Who in France, Ă©dition 2008, p. 2222.
  17. Liste de références de faire-part.
  18. « Kolmi-Hopen. Le groupe prospère à visage découvert », sur le site du mensuel le Journal des Entreprises, (consulté le )
  19. Bottin mondain, Ă©dition 2007, p. 1615.
  20. Adolphe Robert et Gaston Cougny, Biographie de François, Alexandre, Léonor Le Jolis de Villiers in Dictionnaire des parlementaires français, [lire en ligne].
  21. Jean-Louis Beaucarnot, Famille Le Jolis de Villiers de Saintignon (origine du nom et histoire de la famille), in Le tout politique, [lire en ligne], Archipel 2011, (ISBN 2-80980-763-9).
  22. Philippe Dayre de Mailhol, Dictionnaire historique et héraldique de la noblesse française, [lire en ligne].
  23. Nicolas Viton de Saint-Allais, Dictionnaire encyclopédique de la noblesse de France, volume 1, [lire en ligne].
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