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FĂ©lix Mayol

FĂ©lix Mayol est un chanteur français nĂ© Ă  Toulon le et mort dans la mĂȘme ville le [2].

FĂ©lix Mayol
Description de cette image, également commentée ci-aprÚs
FĂ©lix Mayol en 1939.
Photographie du Studio Harcourt.
Nom de naissance FĂ©lix Antoine Henry Mayol
Naissance
Toulon, Var
DĂ©cĂšs
Toulon, Var
Activité principale Chanteur
Style Café-concert
Music-hall
Activités annexes Directeur de salle
Lieux d'activité Paris
Années d'activité 1895-1940
Éditeurs Georges Ondet
Charles Mayol
FĂ©lix Mayol
Famille Charles Mayol (frÚre aßné)[1]

RĂ©pertoire

Biographie

Mayol et sa troupe, affiche d'Adrien BarrĂšre, 1915.

AprĂšs des dĂ©buts modestes Ă  Toulon et au Palais de Cristal de Marseille, FĂ©lix Mayol est engagĂ© Ă  Paris au Concert parisien le , oĂč il connaĂźt rapidement le succĂšs[3]. Une anecdote publiĂ©e dans ses mĂ©moires rapporte que faute de trouver un camĂ©lia, que les hommes Ă©lĂ©gants portaient Ă  l'Ă©poque au revers de leur redingote, il prend un brin de muguet qui devient son emblĂšme[3]. La prohĂ©minente houppe de cheveux qu'il arbore — et qui le font surnommer « l'artiste au toupet rouquin » ou « flamme de punch » — devient Ă©galement si cĂ©lĂšbre qu'elle inspire de nombreux imitateurs : Romerty, Doray, Rosel, De Certos, Elvhard[3] ; des chanteurs dĂ©butent dans le « rĂ©pertoire Mayol », comme Georgel et Alibert.

Il connaĂźt son premier grand succĂšs en 1896 avec La Paimpolaise de ThĂ©odore Botrel. En 1900, aprĂšs un bref passage Ă  l'Eldorado oĂč il chante À la cabane bambou, il est engagĂ© Ă  la Scala. C'est lĂ  qu'il crĂ©e le titre qui le rendra aussi riche que cĂ©lĂšbre : Viens, poupoule !, d'aprĂšs une chanson allemande arrangĂ©e par Henri ChristinĂ© et Alexandre TrĂ©bitsch (1902). Il rĂ©cidive en 1905 avec La Matchiche, l'adaptation d'une chanson-danse espagnole Ă  la mode. La mĂȘme annĂ©e, il tourne 13 phonoscĂšnes sous la direction d'Alice Guy. Il a dĂ©jĂ  Ă  son actif de nombreux enregistrements sur cylindres et sur disques[4].

En 1907, son opĂ©rette Cinderella Ă  la Scala ne convainc pas, contrairement Ă  l'une des chansons du spectacle, Les Mains de femmes qui devient un succĂšs, suivi en 1908 de Cousine[4]. Son cachet atteint alors la somme de 1 000 francs-or, ce qui lui permet de racheter en 1910 le Concert parisien qui prend dĂ©sormais son nom, le concert Mayol[5]. Vedette principale des spectacles qui s'y jouent, il lance Ă  son tour de jeunes artistes, parmi lesquels Valentin Sardou (pĂšre de Fernand et grand-pĂšre de Michel Sardou), Maurice Chevalier, Émile Audiffred et Raimu[6]. Il passe la main Ă  Oscar Dufrenne en 1914.

Il entame alors une tournée dans la France entiÚre et les pays francophones avec les tournées Baret. Sa renommée passe si bien les frontiÚres que Charlie Chaplin vient l'écouter. La période 1914-1918 est marquée, comme pour de nombreux artistes, par de nombreuses chansons anti-allemandes, destinées à maintenir le moral des troupes. Sa carriÚre marque le pas aprÚs la PremiÚre Guerre mondiale. Il publie ses Souvenirs en 1929, fait « sept adieux au public parisien » en 1938[7] et se retire à Toulon.

Il y recueillera notamment en 1932 à la villa Fémina, dans sa propriété du Cap-Brun dit « Clos Mayol »[8], l'ancienne artiste de café-concert et comédienne Paula Brébion[9] qui y restera jusqu'à son décÚs en 1952.

FĂ©lix Mayol donnant le coup d'envoi du match olympique de Paris-Toulon, en .

AttachĂ© Ă  sa ville natale et particuliĂšrement Ă  son club de rugby, il offre 60 000 francs-or pour financer la construction d’un stade qui porte son nom, le stade Mayol[10]. Le muguet porte-bonheur qu'il affectionnait est devenu l'emblĂšme du club et le somptueux dĂźner qu'il offrit aux joueurs pour fĂȘter le titre de 1931 est restĂ© dans les annales. Le traditionnel muguet de sa boutonniĂšre Ă©tait artificiel car il ne pouvait pas en supporter le parfum[11].

L'homosexualitĂ© de Mayol, liĂ©e Ă  son « jeu de scĂšne effĂ©minĂ© », fait de Mayol une cible des journalistes ; Ă  l'Ă©poque, les chansonniers et autres auteurs y font souvent allusion, tel le mariage entre Mayol et Mistinguett inventĂ© de toutes piĂšces et qui fit beaucoup rire. Dans ses MĂ©moires, Mayol Ă©voque sa « petite amie[12] ». Mais un tĂ©moignage de Louis Merlin dans ses MĂ©moires[11] restitue que Mayol « Ă©tait spirituel en diable et ne se fĂąchait qu'Ă  un seul propos, oĂč il Ă©tait intraitable : les plaisanteries que faisaient les journalistes chansonniers et revuistes — Rip en particulier auquel il vouait une haine fĂ©roce — sur son genre effĂ©minĂ© : “Je suis un mĂąle, que diable. Que je prĂ©fĂšre les jeunes garçons aux jeunes filles ne regarde que moi”. C'est bien pourquoi lorsque je le voyais s'intĂ©resser soudainement Ă  tel consommateur ou Ă  tel passant dans le “bel Ăąge”, je prĂ©textais un rendez-vous soudain pour ne point le gĂȘner
 ».

Dans ses chansons, souvent trÚs graveleuses, Mayol emploie la plupart du temps le « nous » du collectif masculin. Ces chansons mettent en scÚne des prostituées ou des femmes toujours accueillantes à la rencontre sexuelle[13].

Mayol est enterré au cimetiÚre central de Toulon[14].

RĂ©pertoire Mayol

FĂ©lix Mayol chantant La Fifille Ă  sa mĂšre, photographe anonyme[15].
FĂ©lix Mayol avec l’actrice Gaby Morlay, en 1912.

Selon ce qu'il indique dans ses MĂ©moires, Mayol aurait crĂ©Ă© au cours de sa carriĂšre environ un demi-millier de chansons, 495 trĂšs exactement — chiffre repris par la suite dans de nombreuses publications)[16]. Ce nombre d'environ 500 crĂ©ations peut-ĂȘtre mis en perspective avec les 2 500 chansons que Paulus aurait crĂ©Ă©es selon la revue Les chansons de Paris (1903)[17], soit cinq fois plus, pour des carriĂšres Ă  la longĂ©vitĂ© identique, environ 30 ans, et pour des chanteurs tous les deux Ă©diteurs de leur rĂ©pertoire.

La liste alphabĂ©tique ci-dessous[18], non exhaustive, regroupe dans une premiĂšre section les chansons de l'Ă©dition musicale dite « graphique » (partitions de petits, moyens et grands « formats », placards, recueils, revues
) oĂč apparaĂźt le nom ou la photographie de Mayol comme crĂ©ateur ou interprĂšte ou celles oĂč figure la mention « RĂ©pertoire Mayol ». Elle est basĂ©e sur les informations disponibles sur Gallica, le catalogue gĂ©nĂ©ral de la BNF ainsi que sur la collection d'images de partitions dĂ©posĂ©es sur MĂ©dihal[19] et sur la banque d'images du site Illustrated Sheet Music[20].

Les prĂ©cisions apportĂ©es Ă  chaque titre de chansons imprimĂ©es oĂč figurent la mention « crĂ©Ă©(e) par Mayol[21] » ou « crĂ©ation Mayol », celles avec la mention « chantĂ©es par », celles avec la mention « rĂ©pertoire Mayol »  ont permis de faire un classement entre les chansons « crĂ©Ă©es » ou « cocrĂ©Ă©es », interprĂ©tĂ©es
 par Mayol. Selon les principes de vĂ©rifiabilitĂ©, ne sont intĂ©grĂ©s dans cette section que les partitions dont le lieu de consultation est prĂ©cisĂ© ; la mention d'un titre sans visuel, nom des auteurs, ou avec des dates imprĂ©cises, n'est pas considĂ©rĂ©e comme une attestation d'existence d'une chanson en Ă©dition graphique.

Dans une seconde section, sont présentés les titres pour lesquels existe une attribution Mayol, mais aucune confirmation fiable en édition « graphique », à savoir ceux cités :

  • dans les MĂ©moires de Mayol ;
  • dans les catalogues des Ă©diteurs (verso des petits, moyens et grands formats) ;
  • dans des programmes de spectacles ou les journaux les annonçant ;
  • dans la presse musicale de l'Ă©poque.

Enfin dans une troisiÚme section, sont regroupées les chansons enregistrées par Mayol mais sans certaines attestations graphiques sur les partitions, comme Elle vendait des petits gùteaux.

Mention création Mayol (reclassement en cours)

  1. À demain ou À d‘main, p'tite amie[22] (1912), « chansonnette comique crĂ©Ă©e par Mayol au concert Mayol », paroles de L. Mellinger, musique de Henri Roberty, Ă©d. Georges Ondet (GO4736) ;
    CrĂ©ation FM ; illustration de Georges Dola ; incipit : « Travaillant tous les deux, Ils se fir‘nt les yeux doux. »
  2. Ah ! la musique américaine (1913), « créée par Mayol », paroles de Henri Christiné et Alexandre Trébitsch, musique d'Henri Christiné, éd. Henri Christiné (C788)[19] - [23]. ;
    CrĂ©ation FM ; Illustrations : frise signĂ©e PEN (petit format), H. Armengol (grand format) ; incipit : « Jadis au music-hall, câ€˜Ă©tait la coutume, les revues avaient d‘ l‘esprit. »
  3. Ah ! le joli jeu (1907), « créé par Mayol, chantée par Esther Lekain à Parisiana et Lidia à la Scala, répertoire Mayol », paroles de E. Christien et Armand Foucher, musique d'Henri Christiné, éd. Henri Christiné (C499)[24] ;
    CrĂ©ation FM + rĂ©pertoire ; illustration anonyme ; incipit : « Bien des amoureux raffolent d‘un p‘tit jeu comm‘ pigeon vole. »
  4. Ah ! qu'on est bĂȘte (1913), « crĂ©Ă©e par Mayol, rĂ©pertoire Mayol », paroles de Henri ChristinĂ© et Henri Poupon, musique de Henri ChristinĂ©, Ă©d. ChristinĂ© (C779)[19] ;
    CrĂ©ation FM ; Frise anonyme ; incipit : « On rĂ©pĂ©t‘ tout l‘ temps Que l‘amour c'est vraiment charmant. »
  5. À la cabane bambou (1899), « lamentations d'un jeune nĂšgre perdu dans Paris, racontĂ©es par Mayol Ă  la Scala », paroles de Paul Marinier, musique arrangĂ©e et harmonisĂ©e par Paul Marinier[25], Ă©d. Georges Ondet (GO1390)[26] ;
    CrĂ©ation FM ; illustration de Georges Dola ; incipit : « Moi, bon nĂšgre tout noir, tout noir, de la tĂȘte aux pieds »
  6. Allemagne au-dessous de tout. 1914 ! Réplique française à Deutschland Uber Alles (1914), « créée par Mayol dans les casernes et dans les hÎpitaux », paroles de Jean Aicard (de l'Académie française), musique de Blanche Poupon, éd. Vve Charles Mayol (sans cotage)[27] ;
    CrĂ©ation FM ; illustration de ClĂ©rice FrĂšres ; incipit : « Les Allemands sont debout ! Ils vont chantant que l‘Allemagne triomphe au-dessus de tout. »
  7. Les Alliances de Guillaume (circa 1909-1910)[28], « créée par Mayol aux Ambassadeurs », paroles de Paul Marinier, musique recueillie et arrangée par Adrien Serge, éd. Marcel Labbé (ML8034)[29] ;
    CrĂ©ation FM ; dĂ©dicace : « À nos amis Charlus, Fernandez et Anthonus » ; photo Mayol anonyme ; incipit : « Cherchant pour l’Allemagne des alliances partout, Guillaum’ dit Ă  l’Espagne. »
  8. AllÎ ! mademoiselle, ou la Demoiselle et le Pompier (1911)[30], « chansonnette créée par Mayol », paroles de Ferdinand-Louis Bénech, musique de Romain Desmoulins, éd. Louis Bénech (LBP152)[19] ;
    CrĂ©ation FM ; illustration de LĂ©on Pousthomis ; incipit : « TrĂšs bien fait‘ de sa petit‘ personne, jolis yeux un minois chiffonnĂ©. »
  9. Allons mademoiselle ! (1903), « chanson naïve créée par Mayol à la Scala », paroles de Paul Briollet, musique de A. M. Fechner, éd. J. Rueff (JR146) ;
    CrĂ©ation FM ; illustration de E. Gros Fils ; incipit : « Un jour je vis un‘ brunette t'nant les yeux baissĂ©s. »
  10. Amour noir et blanc (1907), « créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles et musique Henri Christiné, éd. Christiné (C452)[31] - [32] ;
    CrĂ©ation FM ; photo Mayol anonyme ; incipit : « Un‘ petit‘ femm‘ tout en blanc Ă  l'air aguichant. »
  11. L'Amour à chaque étage (sans date), paroles de Georges Arnould et Henry Moreau, musique de Charles d'Orvict, éd. L. Maurel Aux répertoires réunis (sans cotage)
    Source : grand format artiste (sans couverture) ; rondeau crĂ©Ă©e par Mayol Ă  la Scala, rĂ©pertoire Mayol ; incipit : « L’amour est un gamin des plus volages, il est partout »
  12. Amours de trottins (1903), « chanson mime créée par Mayol à la Scala, répertoire Mayol de la Scala », paroles de Henri Dorsay et EugÚne Joullot, musique de Charles Borel-Clerc, éd. G. Ricordi et Cie (109667)[19] ;
    CrĂ©ation FM ; illustration de [Georges Dola][33] ; incipit : « L'autre jour, ru‘ d‘ la Paix, je suivais un trottin blond comme un ange. »
  13. Arpettes Marche (1909), paroles de René Champigny et Ferdinand-Louis Bénech, musique de Désiré Berniaux, éd. Marguaritat (sans cotage)[34] - [19] ;
    Incipit : « On voit chaqu‘ matin les p’ti‘s arpettes passer guill‘rettes sur les boul‘vards. »
  14. L‘Autre CortĂšge (1916), « crĂ©Ă© par Mayol au front le 14 juillet 1916, dit par l'auteur et Mme Madeleine Roch de la ComĂ©die française », rĂ©cit de Jean Bastia, musique de scĂšne de Charles Helmer, Ă©d. Roger Myra (sans cotage)[35] ;
    CrĂ©ation FM ; caricature Mayol anonyme ; incipit : « Quand Joffre reviendra par les Champs-ÉlysĂ©es. »
  15. La Ballade du roy Henri (1913) « légende béarnaise créée par Mayol », paroles de Charles-Albert Abadie, musique de Gaston Gabaroche, Vve Charles Mayol (CM165)[36] ;
    Création FM ; illustration de Clérice frÚres (grand format).
  16. Ballade moyennageuse (sic!) (1900)[28], « créée par Mayol à l'Eldorado », paroles de A. de Reuss, musique de J. Guédon, éd. A. Dorey et A. Gruny (ADAG166)[19] ;
    CrĂ©ation FM ; illustration de LĂ©on Pousthomis (sous rĂ©serves)[19] ; incipit : « Jadis, au Moyen Âge, vivait un chevalier, son Ă©pouse Ă©tait sage et son glaive d’acier. »
  17. La Baltique (1913), « chanson créée par Mayol », paroles de Bertal-Maubon, musique de Charles Borel-Clerc, éd. Charles Borel-Clerc (CBC125)[19] - [37] ;
    CrĂ©ation FM ; illustration ClĂ©rice FrĂšres ; incipit : « AprĂšs un’ traversĂ©e un Français rencontra dans un port non loin du ZuyderzĂ©e. »
  18. Banane et Printemps (1909), « monologue de Will créé par Mayol au Concert parisien et par l'auteur au cabaret du Grelot », éd. Charles Mayol (sans cotage)[38] - [19] ;
    CrĂ©ation FM ; incipit : « C’était au printemps enchantĂ© ce printemps fou qui vous Ă©nerve. »
  19. Blonde Lisette (1908), « chanson créée par Mayol au Moulin rouge, répertoire Mayol », éd. Charles Mayol ;
    Création FM (attribuée au « genre Gil », puis « genre Esther Lekain et Carmen Vildez)[39] ; illustration Léon Pousthomis (série bouquet), photo Mayol (anonyme)
  20. Bonjour m'amour (1909), « créée par Mayol au Concert parisien, chantée par Esther Lekain à Parisiana et Suzanne Chevalier à la Gaité-Rochechouart », paroles de Gaston Dumestre, musique de Tarelli et Pompilis, éd. Charles Mayol ;
    Création FM (« genre Esther Lekain et Carmen Vildez »)[39] ; illustration de Serge[40].
  21. Bonjour, toi ! (non daté), « chanson créée par Mayol à la Scala, Esther Lekain, Anna Thibaud, répertoire Mayol », paroles de E. Christien[41], musique de Henri Christiné, éd. Christiné (C467)[19] ;
    CrĂ©ation FM et autres, illustration de H. Viollet ; incipit : « Quand il la rencontra, elle avait dis-huit ans et tout le charme exquis d’un beau jour de printemps. »
  22. Bou-dou-ba-da-bouh ! (1913), « chanson nÚgre créée par Félix Mayol, le chanteur populaire, répertoire Mayol », paroles de Lucien Boyer, musique de Albert Valsien, éd. Vve Charles Mayol (CM168)[42] ;
    CrĂ©ation FM ; photo de Mayol, clichĂ© Walery (petit format) ; illustration de ClĂ©rice FrĂšres (grand format)[43] ; incipit : « Parmi les SĂ©nĂ©galais qu’on fit venir pour la revue l’ jour du Quatorze-Juillet. »
  23. Ce que disent les yeux (non datĂ©)[44], « chanson crĂ©Ă©e par Mayol Ă  la Scala, Stelly Ă  l'Eldorado, Dowe au Petit Casino », paroles de Horace Delattre, musique de Gaston Maquis, Ă©d. À la chanson moderne (CM223)[45];
    Création FM ; illustration de Ed. Maquis.
  24. C‘est le radium (1904), « chansonnette crĂ©Ă©e par Mayol Ă  la Scala », paroles de EugĂšne Lemercier, musique de F. Pradines, Ă©d. J. Rueff (JR257) ;
    CrĂ©ation FM ; photo anonyme ; incipit : « Chimistes par vocation, Monsieur et madam‘ (sic) Curie ont fait une rĂ©volution. »
  25. C‘est Rosalie. Chanson-marche (1915), paroles de Alcide, musique de Jack-Bill, Ă©d. Ch. Mayol (sans cotage)[46] ;
    'CrĂ©Ă©e par Mayol dans les casernes et dans les hĂŽpitaux ; incipit : « Depuis qu’ils sont en campagne, lĂ -bas sur les lign’s de feu »
    Attribuée à « genre Mayol » ou « genre Mayol Mansuelle » sur les catalogues
  26. Chanson d'adieu (non daté), « derniÚres créations de Mayol au Concert parisien », poésie et musique de Xavier Privas, accompagnement de Jacques Forest, éd. Gruny (sans cotage)[19] ;
    Illustration de L. Denis ; incipit : « Je t'ai rencontrĂ© un soir de dĂ©cembre oĂč tu te trouvais sans abri, sans pain. »
  27. La Chanson des mouchoirs (1911), « créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles de Charles-Albert Abadie, musique de Gaston Gabaroche, Vve Charles Mayol (CM142)[47] ;
    Illustrateur anonyme[48], photo Mayol Panajou[49] ; incipit : « Connaissez-vous quelque chose sur terre de plus varié que ceci : le mouchoir ? »
  28. Le Chapeau à la main (1911), « chansonnette créée par Mayol », paroles de Ferdinand-Louis Bénech, musique de Romain Desmoulins, éd. Bénech (LBP147) ;
    Illustration de Verjez ; incipit : « C’était un jeune garçon qui Ă©tait amoureux d’une jolie fleuriste. »
    Illustration de L. Denis ; incipit : « Je t'ai rencontrĂ© un soir de dĂ©cembre oĂč tu te trouvais sans abri, sans pain. »
  29. La Chasse (non daté), « chansonnette créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles et musique de Paul Marinier, éd. Smyth (Aux succÚs du XXe siÚcle) (sans cotage) ;
    Frise de ED ; incipit : « Aux derniĂšr’s ombres de la nuit, le brave chasseur part de chez lui. »
  30. Le CƓur des mamans (1907)[28], « chanson crĂ©Ă©e par Mayol », paroles de Will et PlĂ©bus, musique de Gaston Maquis, Ă©d. Rouart-Lerolle (RL&Cie4519)[19] ;
    Incipit : « Jean vivait prÚs de sa maman, qu'il aimait de toute son ùme. »
  31. Cousine (1911), « idylle provençale, chanson créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles de Lucien Boyer, musique de Albert Valsien, éd. Charles Mayol (C132M)[50] ;
    Illustration de Sem[51] ; incipit : « Autrefois, ma cousine Hortense arrivait de temps en temps chez mes parents. »
  32. La Croix de fer du Kaizer (1914)[52], « chanson anti-allemande créée par Mayol dans les casernes et dans les hÎpitaux », paroles et musique de Louis Beaufraux, éd. Vve Charles Mayol (CM1?4)[53] ;
    Illustration de Marcel Capy ; incipit : « Pas de parade ! Boche ! Moche ! Boche ! L’empereur de la sal’ mitraill’. »
  33. La Dame et l’ Monsieur (v. 1902-1903)[54], « chansonnette crĂ©Ă©e par Mayol aux Ambassadeurs, rĂ©pertoire Mayol », paroles de EugĂšne Joullot et Émile Ronn, musique de LĂ©o Daniderff, Ă©d. EugĂšne Joullot & Cie (EJ414)[19] ;
    Illustration de LĂ©on Pousthomis ; incipit : « Un monsieur de mƓurs honnĂȘtes en flĂąnant rencontre un’ p’tit’ femm’ coquette. »
  34. Dans l'ascenseur (non daté)[55], « chanson chantée par Gabrielle Lange, créée par Mayol aux Ambassadeurs », paroles d'Armand Foucher et Geraum[56], musique de Charles Borel-Clerc, éd. Charles Borel-Clerc (CBC4)[19] ;
    Photo Mayol L. Martin ; incipit : « Y avait dans un grand magasin un jouvenceau des plus malins. »
  35. Dans le biplan (1909), « chanson aéroplane répertoire Mayol », paroles de Jules Texier, musique de Chiarolanza et Raoul Soler, éd. Vve Charles Mayol (n.p.)[57] ;
    Illustration LĂ©on Pousthomis.
  36. Dix neuf-cent ! Quel joli temps (non daté)[58], « nouveau répertoire des chansonniers de Montmartre, fantaisie créée par Mayol », fantaisie de Paul Marinier, éd. Gaston Gross (GG1271)[19] ;
    Incipit : « Dix neuf cent ! Ah ! Dix neuf cent ! Et chacun s’en va rĂ©pĂ©tant. »
  37. D'oĂč ça vient-il donc ? (non datĂ©)[59], « chanson crĂ©Ă©e par Mayol Ă  la Scala », paroles d'Alexandre TrĂ©bitsch, musique de Gaston Maquis, Ă©d. À la chanson moderne (CM275) ;
    Illustration de Georges Dola ; incipit : « D’oĂč ça vient-il donc qu’ nous somm’s tous vivants qu’ nous pouvons aller le nez en avant. »
  38. Elle a... (non daté), « chanson créée par Mayol », paroles de Marc-Hély, musique de Albert Valsien, éd. Mayol (sans cotage)[19] ;
    Illustration anonyme ; incipit : « Ell’ demeur’ dans l’ faubourg Saint-Martin pas trĂšs loin. »
  39. EntÎlage espagnol (non daté), « chanson créée par Mayol à la Scala, répertoire Mayol », paroles de La Tulipe, musique de F. Pradines, éd. Christiné (C470) ;
    Frise de H. Viollet ; incipit : « Voyageant à Pampelune un soir au clair de la lune. »
  40. Et mĂȘme autre chose (circa 1905-1906)[28], « chantĂ©e par Mme Novelli Ă  l’Eldorado, Mme Laurence Deschamps au Petit Casino, rĂ©pertoire Mayol », paroles de Drouin de Bercy, musique de Anne de Bercy, Ă©d. Marcel LabbĂ© « successeur de la SociĂ©tĂ© anonyme du nouveau rĂ©pertoire des concerts de Paris » (ML7532) ;
    Frise anonyme ; incipit : « D’puis qu’qu’ temps, la gentille Yvonne pour Éloi se sentait un doux penchant. »
  41. Faut s’ r’poser le dimanche (non datĂ©), « chansonnette crĂ©Ă©e par Mayol », paroles de Belhiatus, musique de DĂ©sirĂ© Berniaux, Ă©d. Henri ChristinĂ© (C505)[19] ;
    Incipit : « C’est vraiment chic tout d’ mĂȘm’ cett’ loi, la loi du r’pos hebdomadaire. »
  42. Le Gosse et le Chien (1912), « chanson créée par Mayol », paroles de Charles-Albert Abadie et Jack Aymel, musique de Gaston Gabaroche et Jack Aymel, éd. Vve Charles Mayol (CM154)[60] ;
    Illustrateur anonyme[48] ; incipit : « C‘est la nuit, il fait froid, sur le boulevard sombre un gamin de treize ans. »
  43. Le Gosse et le Trottin (1910)[61], « chansonnette vécue, répertoire Mayol », paroles de Senga, musique de R. Tassin, éd. Vve Charles Mayol (CM106)[19] ;
    Illustration de Serge[40] ; incipit : « Lui c’était un p’tit commis d’ magasin dans la mĂȘm’ maison elle Ă©tait trottin. »
  44. Il était syndiqué (non daté), « chanson créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles de Marc-Hély, musique de Albert Valsien, éd. Mayol (sans cotage)[19] ;
    Photo de Mayol avec casquette et foulard (anonyme) ; incipit : « J’ai surpris l’aut’ jour dans mon usine un ouvrier qui mettait dans l’ tuyau d’ la machine pour s’amuser. »
  45. Instruisons (non daté)[62], « chansonnette comique créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles de Paul Briollet et Léo LeliÚvre, musique de Henri Christiné, éd. Marcel Labbé (SA1547) ;
    Frise anonyme, photo Payol ; incipit : « En France depuis qu’l’instruction est obligatoire. »
  46. La Javanette (1923), « java chantée à une ou deux voix, le triomphe de Mayol, répertoire Mayol », paroles de Louis Lemarchand, musique de Harold de Bozi, éd. du Music-hall Enoch et Cie (E&Cie8282) ;
    Caricature de SA ; incipit : « Appuyée au pilier d'un petit bal de quartier une enfant de seize ans. »
  47. Je ressemble à Mayol (1925), « créée par Mayol », paroles de Roger Myra et Géo Koger , musique de Vincent Scotto, éd. Mayol en dépÎt chez Scotto (sans cotage) ;
    Photo Mayol (?) ; incipit : « Comme j'ai la min‘ rĂ©jouie les copains m'ont dit en chƓur. »
  48. La Jolie Boiteuse (1907), « chanson-marche créée par Mayol à la Scala, chantée par Darbon, Darcet et le petit Alfred, répertoire Mayol », paroles de Paul Briollet et Léo LeliÚvre, musique de Désiré Berniaux, éd. Charles Mayol (CM17)[63] ;
    Illustration de LĂ©on Pousthomis ; incipit : « La fill’ de ma concierge est un peu boiteuse. »
  49. J’ suis un bon garçon (1908), « chanson crĂ©Ă©e par Mayol », paroles de Christien[41] et Rimbault, musique d'Henri ChristinĂ©, Ă©d. Henri ChristinĂ© (C574) ;
    Frise anonyme, photo Mayol Panajou frĂšres ; incipit : « Moi, j’ai l’ caractĂšre trĂšs bien fait ; on dit c’ qu’on veut je ne me fĂąch’ jamais. »
  50. Leçon de musette (non daté)[64], « chansonnette créée par Mayol », paroles de D. Pinet et G. ChimÚnes, musique de L. Lust, Aux 100.000 chansons, éd. A. Dorey (sans cotage)[19] ;
    Photo anonyme ; incipit : « J‘ vais ma belle Ninette t‘ donner une leçon. »
  51. Lettre à Colombine (1909), «créée par Mayol à la Scala », paroles et musique de Gaston Dumestre, éd. L. Digoudé-Diodet (sans cotage) ;
    Incipit : « Ma Colombine bien-aimée je t'écris du petit lit blanc. »
  52. La Lettre du gabier (1900)[28], « chanson créée par Mayol à la Scala », paroles et musique de Théodore Botrel, éd. Georges Ondet (GO2561) ;
    Illustration de Georges Redon ; incipit : « Hier matin, notre commandant, nous a dit que le bĂątiment, s’en allait partir Ă  la guerre. »
  53. Lettre d'un déserteur (1903), « chanson créée par Mayol à la Scala », paroles et musique de Gaston Dumestre, éd. Georges Ondet ;
    Illustration de Georges Dola.
  54. Lilas blanc (1904), « idylle créée par Mayol à la Scala », paroles et musique de Théodore Botrel, éd. Georges Ondet (GO3370) ;
    Illustration de Dillon ; incipit : « Elle naquit par un dimanche du plus joli des mois de mai. »
  55. Les Litanies des pieds (1903), « chanson crĂ©Ă©e par Mayol Ă  la Scala et chantĂ©e par Lucien Boyer au Cabaret des Quat' z' arts », paroles de Numa BlĂšs et Lucien Boyer, musique de Édouard MathĂ©, Ă©d. J. Rueff (JR173)[65] ;
    Création FM ; illustration de E. Gros fils (grand format) ; incipit : « Dans tous les temps les poÚtes en herbe, ont célébré le pied de leur beauté, pied japonais pied cambré pied superbe. »
  56. Ma cousine Lison (non daté), « chansonnette, répertoire Mayol », paroles de V. Telly, musique de Colo-Bonnet et Laurent Halet, éd. Mayol (sans cotage) ;
    Photo Panajou ; incipit : « Ma p’tit’ cousin’ Lison a dix huit ans et de grands yeux innocents. »
  57. Les Mains de femme (1906), « sur les motifs de Arpettes-Marche, crĂ©Ă©e par Mayol dans Cinderella au thĂ©Ăątre de la Porte-Saint-Martin et au Ambassadeurs[66] », paroles d'Émile Herbel, musique de DĂ©sirĂ© Berniaux, Ă©d. Margueritat, pĂšre, fils et gendre (sans cotage)[19] ;
    Illustration de ClĂ©rice FrĂšres ; incipit : « Les mains des p’tit’s femm’s sont admirables, et tout semblables Ă  des oiseaux. »
  58. La Malakoff (1911), « chanson russe », paroles de Paul Briollet, musique de Fattorini et Raoul Soler, éd. Gaston Gross (GG403)[67] ;
    Illustration ClĂ©rice frĂšres ; incipit : « Fill’ jolie d’ la Russie elle avait quittĂ© les prairies. »
  59. Margot, les p‘tits dĂ©fauts (1913), « chanson crĂ©Ă©e par FĂ©lix Mayol le chanteur populaire français (chanson provençale - intĂ©rieur) », paroles de LĂ©ognan, musique de De Nod, Ă©d. Vve Charles Mayol (CM157) ;
    Photo Mayol (clichĂ© Walery) ; incipit : « Margot, c'est un‘ fill‘ de Toulon Je n’ puis vous dir‘ que son prĂ©nom. »
  60. La Mattchiche (1905)[68], « sur les motifs populaires de la célÚbre marche espagnole, le grand succÚs de 1905, chansonnette créée par Mayol, chantée par (liste d'artistes dont Esther Lekain », paroles Léo LeliÚvre et Paul Briollet, musique arrangée par Charles Borel-Clerc, éd. Hachette Aux succÚs du XXe siÚcle (H&Cie2482)[19] ;
    Illustration de ED ; incipit : « Un espagnol sĂ©vĂšre d’une ouvriĂšre au Moulin d’ la galette. »
  61. Les MĂ©moires d'une pendule (non datĂ©), « chanson crĂ©Ă©e par Mayol Ă  la Scala », musique de LĂ©o LeliĂšvre et Élie Giraudet, musique de Byrec, Ă©d. Henri ChristinĂ© (C134)[19] ;
    Photo Mayol (anonyme) ; incipit : « Au fond d'une arriĂšre-boutique, un‘ vieill‘ pendule en dĂ©saroi. »
  62. Les Midinettes de Paris (7 mai 1903)[69], « (1er prix ex-Êquo (chansonnettes) du Concours de Paris qui chante, créé par Mayol à la matinée de Paris qui chante », musique de E. Rimbault et Desmarets, musique de J. Mérot, Paris qui chante no 21, 1re année, 14 juin 1903, pp. 4-5 ;
    Incipit : « Ru’ d’ la Paix, lorsque midi sonne, comme des abeill’s. »
  63. La Mokote (Femme de Provence) (1908-1909)[70], « chanson crĂ©Ă©e par Mayol Ă  la fĂȘte du Cap Brun (Toulon) », paroles de Gaston Dumestre, musique de EugĂšne Poncin, Ă©d. Charles Mayol ;
    Dédicace : « Hommage à mes compatriotes, les jolies Toulonnaises » ; illustration de Léon Pousthomis.
  64. La Musique des trottins (1908), « chansonnette-mime sur l'air de Colombia-Marche créée par Mayol à l'Apollo, répertoire Félix Mayol », paroles de Schmit et Geraum, musique de Jules Vercolier et C. Jardin, éd. Charles Mayol (CM001)[19] ;
    Illustration de LĂ©on Pousthomis, photo Mayol anonyme ; incipit : « Dans un’ vieill’ ville calme et tranquille, un’ musiqu’ militaire. »
  65. N’importe quoi (1916), « chanson crĂ©Ă©e par Mayol », paroles d'Henri ChristinĂ© et Roger Myra, musique d'Henri ChristinĂ©, Ă©d. Henri ChristinĂ© (C845)[19] ;
    Frise de Pen, photo Mayol Panajou ; incipit : « Tous les auteurs de chansons d‘amour, vous racontent que ça s‘ passe toujours. »
  66. Noël à bord (circa 1897-1898)[28], « chansons de Bretagne par Théodore Botrel chantée par Mayol au Parisien », paroles de Théodore Botrel, musique de E. Feautrier, éd. Georges Ondet (OG2172)[19] ;
    DĂ©dicace « Ă  Monsieur l’abbĂ© FouĂ©rĂ©-MagĂ©, recteur de Lehon» (p. 2) ; illustration d'EugĂšne HervĂ© Vincent ; incipit : « Amis, veillons tous Ă  genoux : NoĂ«l va venir parmi nous ! »
  67. L'Objet de ses amours (?), paroles de Briollet et Hiks (pseudonyme de LĂ©on de Bercy), musique de Charles d'Orvict, Ă©d. J. Rueff[19] ;
    Chanson créée par Mayol, publiée in Paris qui chante no 58 (p. 2-3), 28 février 1904 ; incipit : « Plus d'un ne comprend pas s'il adore une blonde »
  68. OĂč allez-vous comme ça ?
 (1911), « chanson crĂ©Ă©e par Mayol, rĂ©pertoire Mayol », paroles de Lucien Boyer, musique de Willy Redstone, Ă©d. Vve Charles Mayol (sans cotage) ;
    Montage photos Mayol par Panajou ; incipit : « Le plus bel amour comme toujours par un‘ banale aventure. »
  69. OĂč donc tu vas ? (1908), « chansonnette, rĂ©pertoire Mayol[71] », paroles de Belem, musique d'A. Terrier et Albert Valsien, Ă©d. Vve Charles Mayol (CM18)[72] ;
    Illustration LĂ©on Pousthomis (bouquet, rĂ©Ă©dition) ; incipit : « Quand je partis de mon village, j’étais frais comme un p’tit n‘enfant. »
    Création Bruel à l'Eldorado et Bosset à la Scala ; « genre Darius M. » (catalogues)
  70. La Paimpolaise (1895), « chanson des pĂȘcheurs d'Islande, crĂ©Ă©e par Mayol Ă  la Scala », paroles de ThĂ©odore Botrel, musique de EugĂšne Feautrier, Ă©d. Goerges Ondet (GO1998)[19] ;
    Illustration de Falco ; incipit : « Quittant ses genĂȘts et sa lande, quand le breton se fait marin. »
  71. Petite Moucheronne. Lettre d'Afrique (1908), « créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles de G. Dumestre, musique de E. Ponçin, éd. Charles Mayol (CM035)[73] ;
    Illustration de LĂ©on Pousthomis ; incipit : « Petit‘ Moucheronne aimĂ©â€˜, j‘ tâ€˜Ă©cris d‘ Bou-Sa-Ăą-da qu’est un sal‘ trou perdu dans l‘ dĂ©sert . »
  72. Petite femme honnĂȘte (1903 ?), « crĂ©Ă©e par Mayol Ă  la Scala », paroles de Paul Briollet et RĂ©mus, musique de Henri ChristinĂ©, Ă©d. MĂ©rot (sans cotage)[74] ;
    Incipit : « À l'heure oĂč goĂ»te la mondaine, je suivais hier par hasard. »
  73. Petite MaĂźtresse (non datĂ©), « chanson crĂ©Ă©e par Mayol Ă  la Scala, Mme Paula BrĂ©bion Ă  l'Eldorado, chantĂ©e par Karl Ditan au Moulin rouge », paroles de FĂ©lix Mortreuil, musique de Gaston Maquis, Ă©d. À la chanson moderne (CM243) ;
    Illustration de Léon Pousthomis ; incipit : « Te souviens-tu, belle maßtresse au quartier latin de ce jour. »
  74. Le Petit Mandarin (1909), « chinoiserie crĂ©Ă©e par Mayol au Concert parisien », paroles de Paul Ardot et Albert Laroche, musique d’Émile Lassailly, Ă©d. Charles Mayol (CM74)[75] ;
    Illustration de Serge[40] ; incipit : « Un p’tit Chinois trĂšs grivois cherchait en tapinois, au bois un minois. »
  75. Le Philtre et la Saucisse (circa 1898)[28], « vieille histoire dite par Mayol à l'Olympia », paroles de EugÚne Lemercier, musique de Paul Daubry, éd. Emile Benoit (EB7795)[19] ;
    Illustration anonyme ; incipit : « Digne d’ĂȘtre coulĂ©e en bronze, une brune aux lĂšvres de feu. »
  76. Le Poilu et le Tommy (circa 1915-1918)[76], « chanson créée par Mayol, répertoire Mayol, paroles de Alcide, musique de Albert Triollet, éd. Vve Charles Mayol (sans cotage)[19] ;
    Deux photos Mayol anonymes ; incipit : « Il y avait un brav‘ poilu, Ă©normĂ©ment barbu et surtout trĂšs velu ; dans sa tranchĂ©â€˜, avec lui, y avait aussi, un joyeux et brav‘ Tommy. »
  77. Polka des Englishs (1898)[28], « chansonnette créée par Mayol au Concert parisien et Portal à la Scala, paroles de F. Morteuil, musique arrangée par Henri Christiné d'aprÚs la Polka des clowns de G. Allier, éd. Ista-Beausier (IB122)[19] ;
    Illustration de Etienne ; incipit : « Quand ils quitt’nt l’Angleterre pour parcourir la terre les Anglais nos amis. »
    Enregistrement : Henri Thomas, La Voix de son maĂźtre 1499 (2-3-1899)[77]
  78. Polka des trottins (1902)[28], « créé par Mayol à la Scala », paroles d'Alexandre Trebitsch, musique d'Henri Christiné, éd. Mérot éditeur, Société anonyme (SA1451)[78] ;
    Illustration P. Dubois ; incipit : « Gais trottins le matin quand d’un pied mutin. »
  79. Pour ses parents, « Hommage à l'ami Bertal » (1916), paroles et musique d'Henri Christiné, éd. Henri Christiné (C841)[79] ;
    Frise A. Kerbinier (petit format) ; MĂ©daillon P.D. et photo Panajou (grand format) ; incipit : « Avec sa figure ingĂ©nue, ses cheveux d’or, ses yeux innocents. »
  80. Le printemps chante (1902), « chanson-marche créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles de Paul Marinier, musique de E. Poncin et Paul Marinier, éd. Smith et O. Dufrenne (H1344) ;
    Frise de ED, photo Bonfort (éd. originale), frise et photo anonyme (11e mille) ; incipit : « SitÎt que le printemps apparaßt sous les cieux. » ;
  81. Promenade nocturne (1917), « chanson créée par Mayol », paroles et musique d'Henri Christiné, éd. Christiné (C868) ;
    Frise de PEN ; incipit : « C’est le soir dans Paris tout est noir. »
  82. La P’tit’ Dame des galeries (1912)[80], « chansonnette[81] crĂ©Ă©e par Mayol », paroles de Lucien Boyer et Henri Bataille, musique de Lao SilĂ©su, Ă©d. Vve Charles Mayol (CM148) ;
    Frise anonyme ; photo Mayol (clichĂ© Panajou) ; Incipit : « L’autr’ jour aux Galeries Lafayette je me promenais en sondeur. »
  83. RĂȘve de fleur (non datĂ©), « rĂ©pertoire Mayol », paroles de R. GaĂ«l, musique de Romain Desmoulins, Ă©d. Mayol (sans cotage)[19] ;
    Frise anonyme ; incipit : « Un jour dans les prĂ©s une marguerite disait Ă  sa sƓur mignonne et petite. »
  84. Les Robes de Colibri (1908)[28], « historiette créée par Mayol », paroles de Pierre Chapelle (Will), musique de Chantrier et F. Heintz, éd. Pathé frÚres (PF101) ;
    Incipit : « Quand il rencontra Colibri, elle était pauvre et sans abri, mais ses yeux si noirs. »
  85. Le Rondeau du cafĂ©-concert (1910), « chanson rosse crĂ©Ă©e par Nine Pinson Ă  l’Eldorado et par Pierly au Concert Mayol, rĂ©pertoire Mayol », paroles de Pierre Chapelle, musique de Paul Fauchey, Ă©d. Vve Charles Mayol Ă©diteur (CM77)[19] ;
    Illustration de Serge[40] ; incipit : « Deux Ă©poux modestes savourent les restes hĂ©las indigestes d’un veau marengo. »
  86. Schujette (1913), « chanson Auvergnate créée par Mayol », paroles de Lucien Boyer, musique de Albert Valsien, éd. A. Bosc (AB1729)[82] ;
    Illustration de ClĂ©rice frĂšres ; incipit : « On l’appelait Schujete son pĂšre Ă©tait bougnat. »
  87. Signorina (non daté), « chanson napolitaine créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles d'Henri Christiné et E. Christien[41], musique d'Henri Christiné, éd. Henri Christiné (C492) ;
    Frise de H. Viollet ; incipit : « Quoiqu'on dise des Français qu'ils ne voyagent jamais. »
  88. Tes jolies choses (non daté), « chanson créée par Mayol (intérieur : à l'Alcazar) », paroles de William Burtey, musique de Charles Borel-Clerc, éd. Charles Borel-Clerc (CBC23)[19] ;
    Illustration de LĂ©on Pousthomis ; incipit : « P'tit‘ Loulou ! donne ta menotte disait son ami doux. »
  89. Tire, tire, Ninette (non daté)[83], « créée par Mayol, répertoire Mayol », paroles et musique de Henri Christiné, éd. Christiné (sans cotage) ;
    Frise de Georges Liodet ; incipit : « C'Ă©tait une midinette, c'Ă©tait un p‘tit employĂ©. »
  90. Tout au clou (1903)[84], « chanson créée par Mayol à la Scala, répertoire Mayol », paroles de Edgard Favart, musique de Tassin, éd. Au répertoire réunis (sans cotage) ;
    Caricature de Bossard ; incipit : « Quand il la rencontra ell‘ portait ce jour-lĂ  un‘ p‘tit‘ rob‘ d'alpaga. »
  91. Tout petit (1916)[85], « créée par Mayol », paroles d'Henri Christiné et Roger Myra, musique d'Henri Christiné, éd. Henri Christiné (C843) ;
    Photo Panajou (grand format) ; incipit : « Je dinais au restaurant l'autre soir, prĂšs de moi un‘ jeun‘ femme vint s'asseoir. »
  92. Tout’s les femmes (1910), « chanson-marche crĂ©Ă©e par Mayol au Concert Mayol », paroles de Ferdinand-Louis BĂ©nech et V. Telly, musique de Ch. de Bucovich, Ă©d. BĂ©nech (LBP133) ;
    Illustration de Verjez ; incipit : « Toutes les femmes sont des amours, c‘est gentil la nuit comme le jour. »
  93. Le Trottin qui trotte (non daté)[86], « chansonnette créée par Mayol », paroles de Vincent Telly, musique de Paul Marinier et F. Heintz, éd. Mayol (sans cotage)[19] ;
    Photo Mayol anonyme ; incipit : « Un p’tit trottin, dam’, il faut toujours que ça trotte, d’ ses p’tits mollets, soir et matin faut qu’ ça tricote. »
  94. Le Tzar en Italie (circa 1897-1898)[87], « crĂ©Ă©e par Mayol et chantĂ©e par l’auteur Ă  la Lune rousse », paroles de Paul Marinier sur l'air de Funiculi funicula, Ă©d. Paul Marinier (sans cotage)[19] ;
    Incipit : « Le Tzar, quand il mit l’ pied dans la partrie de La Patti, ça l’épata ! »
  95. Un bal chez le Mikado (1909), « chansonnette comique crĂ©Ă©e par Darius M. Ă  l’Alhambra, Gabrielle Lange Ă  l’Eldorado, Sardou au Concert parisien, rĂ©pertoire Mayol », paroles de G. Monge, musique de Marius Chaneur, Ă©d. Charles Mayol (CM65)[88] ;
    Création Darius M., Gabrielle Lange, Valentin Sardou ; Répertoire FM ; illustration de Serge[40] ; incipit : « De passage à Tokio je reçus aussitÎt un mot du mikado. »
  96. Un point c'est tout (1917), « répertoire Mayol », paroles de Roland Gaël, musique de Vincent Scotto, éd. O. Dufrenne (OD237) ;
    RĂ©pertoire FM ; frise anonyme ; incipit : « Sur le boul’vard une jolie femme a perdu ses gants tout Ă  coup. »
  97. Un p'tit bout d'homme (v. 1908)[89], « chansonnette créée par Mayol à la Scala », paroles de Jules Baldran, musique de Gustave Goublier, éd. Charles Mayol (CM38)[19] ;
    CrĂ©ation FM (« genre Lanthenay »)[90] ; illustration Raoul Tellier, photo de Mayol (clichĂ© anonyme) ; incipit : « Certain soir, ru’ BergĂšre une jeune ouvriĂšre » ;
  98. Un p'tit quéqu' chose (1909), « chansonnette créée par Mayol à l'Alcazar d'été », paroles et musique de Paul Marinier, éd. Charles Mayol (CM38)[91] ;
    CrĂ©ation FM ; illustration de LĂ©on Pousthomis, photo de Mayol (clichĂ© Pillischer) ; incipit : « Câ€˜Ă©tait un petit trottin qui s‘en allait chaqu‘ matin. »
  99. V‘lĂ  l‘ bĂ©guin (1905)[28], « chanson crĂ©Ă©e par Mayol Ă  la Scala, rĂ©pertoire Mayol[92] », paroles de Émile Ronn, musique de LĂ©o Daniderff, Ă©d. Georges Ondet (GO4208) ;
    CrĂ©ation FM ; caricature de L. DamarĂ© ; incipit : « C‘est charmant, ravissant, la petit‘ femme qui passe avec un bagage bien ferme. »
  100. Le Verger de madame Humbert. Épilogue (circa 1898-1899)[28], « crĂ©Ă©e par Mayol Ă  la Scala et aux Ambassadeurs », paroles de Dominique Bonnaud et Jean Varney, sur l'air V‘lĂ  les poires !, Ă©d. Georges Ondet (CM243) ;
    Chanson d'actualité sur ThérÚse Humbert.
    CrĂ©ation FM ; illustration de Georges Dola ; incipit : « L’étonnant Robert-Houdin nous parait bien anodin et le gigantesque Arton fait l’effet d’un avorton. » ;
  101. Viens, poupoule ! (1902), « chanson créée par Mayol à la Scala, chantée par Max-Morel à la Cigale, Portal au Moulin rouge, à Joanyd, à Mlle Morly, à Gabrielle Lange, à Gavrochinette, hommage à Mlle Villepré du Concert parisien », paroles d'Henri Christiné et Alexandre Trébitsch, musique d'Adolf Spahn arrangée par Henri Christiné, éd. Société anonyme (SA1496)[93] - [19] ;
    CrĂ©ation FM ; frise anonyme ; incipit : « Le sam’di soir, aprĂšs l’ turbin, l’ouvrier parisien. »
  102. Voilà pourquoi (1911), « chansonnette créée par Mayol, répertoire Mayol[94] », paroles de Léognan, musique de Albert Valsien, éd. Vve Charles Mayol (CM128)[95] ;
    CrĂ©ation FM ; illustration de LĂ©on Pousthomis, photo de Mayol (clichĂ© Panajou) ; incipit : « Non, tu n’es pas jolie, ma Loulou, mais j’ t’aim’rai tout’ la vie comme un fou. »

Attestation de création (incertaines ou contradictoires)

Quelques chansons sont imprimées en plusieurs éditions contradictoires sur le recto des partitions : l'une avec mention Mayol créateur, l'autre sans. Les mentions sur les pages intérieures des partitions sont également contradictoires : il est courant que les chansons pour lesquelles sont attestées plusieurs éditions mentionnant en recto des créateurs différents soient vierges de toute indication à l'intérieur.

  1. Ah ! Si vous voulez d'l'amour, parodie (1907), « célÚbre marche chantée, créée par Mayol aux Ambassadeurs, chantée par Darbon, Baldy, Jean Flor, Rosel, Menotti, Vilette », paroles de William Burtey, musique de Vincent Scotto, éd. L. Digoudé-Diodet (DD946)[19] ;
    Incipit : « Nos aĂŻeux quand ils faisaient la fĂȘte ne craignaient pas d’ĂȘtre pompettes »
    Plusieurs petits formats illustrĂ©s (illustration de H. Viollet ou sans illustration), attribuant la crĂ©ation Ă  des artistes diffĂ©rents : Adeline Lanthenay (Ă  la Scala, 1907), Esther Lekain (Ă  Parisianna, 1907), FĂ©lix Mayol (aux Ambassadeurs, 1907)
 Dans ses MĂ©moires, Mayol cite cette chanson parmi ses « triomphes » (p. 49) et comme « chanson lancĂ©e » (p. 189), ce qui n'est pas une revendication de crĂ©ation.
    Aucun enregistrement par Mayol, nombreux enregistrements par plusieurs artistes dont en 1908 Bérard, Karl Ditan, Dalbret, Adeline Lanthenay, Charlus, etc., par plusieurs orchestres ; puis Esther Lekain (1931), puis chanson intégrée au répertoire des orchestres (Jacques Hélian, Aimable,
  2. Le Bon Chemin (1912), « chansonnette anglaise », paroles de Louis Bénech, musique de Romain Desmoulins, éd. Bénech (LBP176) ;
    Incipit : « C'était une petite miss d'Angleterre qui n'aimait ni le calcul ni la grammaire »
    Plusieurs petits formats illustrés (illustration de Léon Pousthomis), créée par Mayol ou sans mention ; la page intérieure des différentes éditions porte toujours la mention « créée par Mayol, au Concert Mayol » ; dans les recueils des éditions Bénech, la chanson ne porte pas la mention « créée par Mayol »
  3. Une noce Ă  la cascade (1895), paroles de Paul Marinier, musique de EugĂšne Poncin, Ă©d. Henry Cas (HC234) puis Georges Ondet ;
    Incipit : « Trois, quatr', cinq, six, sept, huit voitures »
    Un petit format édité par Henry Cas (illustration signée, illisible)[96], dédicacé « à l'ami Mauris» (chanteur pensionnaire de la Scala)[97], porte les mentions « créée par Mayol à Ba-ta-Clan » et « créée par Dalbret à la PépiniÚre » ; l'intérieur ne mentionne aucun chanteur et précise « conforme au visa du 2 décembre 1995 ». Un petit format différent (illustration Georges Dola), publié plus tardivement par les éditions Ondet, signale Mayol comme seul créateur, avec dédicace « à nos amis Dalbret et Mauris ». Martin Pénet, qui précise Ondet comme premier éditeur, donne Mayol seul comme interprÚte[98].
    Dans ses mĂ©moires (p. 113), Mayol affirme ĂȘtre le crĂ©ateur de cette chanson en octobre 1896 : « J'eus la chance (
) de crĂ©er une ravissante chanson (
) de Paul Marinier qui rĂ©ussit au-delĂ  de toute espĂ©rance ».
    Enregistrements : , Mayol (Zonophone 11661 12 septembre 1902[99] ; Gramophone 2-32120), SĂ©vianne (1904, Voix de son maĂźtre 3694[100])
    Rien dans l'état actuel de la documentation disponible ne permet d'affirmer qui est le créateur de la chanson : Mauris, Dalbret ou Mayol ; nous ne disposons d'aucune information sur la trajectoire de cette chanson entre sa date de visa par la censure (décembre 1895) et la date de création revendiquée par Mayol (octobre 1896). L'hypothÚse est que Mauris a été le premier créateur, et que Dalbret et Mayol, alors en début de carriÚre, ont repris un succÚs ; elle est renforcée par le fait qu'aucune mention de créateur n'est mentionné sur la page intérieure.

Répertoire Mayol (sans précision création)

  1. Ah ! Dis-moi tu (1911), paroles et musique de Paul Marinier, Ă©d. Vve Charles Mayol (CM131)[101]
    Incipit : « Il l’avait rencontrĂ© un soir que l’temps s’était mis Ă  pleuvoir »
    Répertoire Mayol (« genre Mayol » sur les catalogues de l'éditeur).
    PFI non attesté
    Enregistrements Mayol (1913)
  2. Ah ! mad’moiselle... dites-moi donc ! (1910), « chansonnette », paroles de G. Arnoult, musique de Gustave Goublier, Ă©d. Vve Charles Mayol (sans cotage)[19] ;
    Incipit : « Dans un Music-Hall de Paris, un‘ blonde et lĂ©gĂšre danseuse. »
    PFI illustration de LĂ©on Pousthomis
    Répertoire Mayol (« genre Mayol » sur les catalogues de l'éditeur)
  3. Ah ! voui ! (1909), paroles et musique de Paul Marinier et Henri Christiné, éd. Christiné (C649)[19] - [102] ;
    RĂ©pertoire Mayol ; illustration de ClĂ©rice FrĂšres ; incipit : « Il l'avait rencontrĂ©e Un jour prĂšs du squar‘ Montholon. »
  4. Arrouah
 Sidi (1910), « chanson arabe », paroles de Paul Briollet et Jules Combe, musique de Albert Valsien, Ă©d. Vve Charles Mayol (CM103) ;
    RĂ©pertoire Mayol (« genre Mayol » sur les catalogues de l'Ă©diteur) ; illustration de Serge[40] ; incipit : « Étant de passage Ă  Mascara, Arbi, chouĂŻa, barka ! »
  5. Aubade à la rose (1910), « chansonnette », paroles de G. Monge, Pin Sylvestre et Henri Poupon, musique de Vincent Puget, éd. Vve Charles Mayol (CM085) ;
    RĂ©pertoire Mayol (« genre Mayol » sur les catalogues de l'Ă©diteur) ; illustration de Serge[40] ; incipit : « C'est aujourd'hui la fĂȘte, la fĂȘt‘ de tes quinze ans, ouvre moi ta chambrette. »
  6. Avec madame Durand (1918)[103], « chansonnette, répertoire Mayol », paroles de Alcide, musique de Jack Bill, éd. Félix (FM202)[19] ;
    RĂ©pertoire Mayol (« genre Mayol » sur les catalogues de l'Ă©diteur) ; illustration de LĂ©on Pousthomis[104], photo Mayol (clichĂ© Panajou) ; incipit : « Un jeun’ mĂ©d’cin pour e faire un’ clientĂšle, vint un jour Ă  Jouy-sur-Lot. »
  7. Ça n’est pas grand-chose (1910), « chansonnette, rĂ©pertoire Mayol », paroles de Henri ChristinĂ©, musique de V. Valente, Ă©d. Vve Charles Mayol (sans cotage)[105] ;
    Répertoire Mayol (« genre Mayol » sur les catalogues de l'éditeur) ; illustration de Serge[40].
  8. La Ceinture (1909), « chanson moyenùgeuse créée par Mayol à la Scala », paroles d'Alcide, musique d'EugÚne de Grossi, éd. Charles Mayol (sans cotage)[106] ;
    RĂ©pertoire Mayol (« genre Mayol » sur les catalogues) ; illustration de Serge[40] ; incipit : « Partant pour la croisade un sire trĂšs jaloux de l’honneur de son nom. »

Interprétation (avec ou sans mention de création par d'autres chanteurs)

  1. Celle qu’on aime (non datĂ©)[62], paroles de L. Garnier et Gaston Maquis, musique de Gaston Maquis, Ă©d. À la chanson moderne (CM99)[107] ;
    Répertoire Mercadier, chanson chantée par Mayol au Jardin de Paris ; illustration de Edmond André Rocher ; incipit : « Quand on est aimé d'une femme et qu'on l'adore également. »
    Enregistrement : Mercadier, La Voix de son maĂźtre 1133G (7-1900)[108]
  2. Ce qui nous reste (1903)[109], paroles de Félix Mortreuil, musique d'Henri Christiné, éd. Maurel (sans cotage)[110] ;
    Créée par Portal à la Scala, Max-Morel à la Cigale, chantée par Mayol au Concert parisien ; illustration de G. Delgronge ; incipit : « Je suis de l'avis du poÚte, et comme dit la chanson »
  3. C’est toi ! bonjour (1909), « chansonnette », paroles de Roland GaĂ«l, musique de LĂ©on Dequin, Ă©d. Charles Mayol (CM68)[111] ;
    CrĂ©Ă©e par Anna Thibaud Ă  la Scala, rĂ©pertoire Mayol ; RĂ©pertoire FM ; illustration de Serge[40], photo Mayol Walery ; incipit : « C’était une charmant’ midinette ; un jeune homme lui contait fleurette. »
  4. La Chanson du pùtour (1900)[28], paroles et musique de Théodore Botrel, éd. G. Ondet (GO2267)[112] ;
    DĂ©dicace (intĂ©rieure) : « À mes interprĂštes Mayol et Yvain » ; illustration non signĂ©e ; incipit : « Celle que j'adore en cachette a les yeux bleus »
  5. Premier Froid (1898)[113], paroles de FĂ©lix Mortreuil, musique de Gaston Maquis, Ă©d. À la chanson moderne (CM160)[19] ;
    Illustration de P. H. Lobel ; incipit : « Lorsqu’on est amant et maĂźtresse, Ah ! qu’ils sont beaux, les premiers temps ! »
    Répertoire Mercadier, chantée par Mayol au Concert parisien et Karl Ditan au Nouveau-Concert
  6. Pretty-May - Le Joli mai (1909), paroles de E. Codey et Paul Marinier, musique de Paul Marinier et E. Poncin, Ă©d. Charles Mayol (CM44)[114] ;
    Illustration de Léon Pousthomis ; incipit : « Avec le premier mai, reviennent les chansons : rossignols et pinsons. »
    Créée par Villepré à Parisiana, Carmen Vildez à l'Eldorado, répertoire Mayol

Dédicace ou photo Mayol (sans mention répertoire ou création Mayol)

  1. À la Martinique (1912), « chanson nĂšgre », paroles d'Henri ChristinĂ©, musique de G. M. Cohan et Henri ChristinĂ©, Ă©d. Henri ChristinĂ© (C759)[19] ;
    RĂ©pertoire Fragson ; aucune attestation graphique avec « chantĂ©e par Mayol » ou «rĂ©pertoire Mayol » ; dĂ©dicace : « Hommage Ă  Mayol, le chanteur populaire », photo Fragson (clichĂ© ChristinĂ©) ; incipit : « Y‘ avait un nĂ©gro, tout jeune et dĂ©jĂ  costaud qui, venant d' la Martinique ».

Attestation graphique sans mention Mayol (avec enregistrement par Mayol)

  1. Les Tambours du rĂ©giment (1895)[28], paroles de H. Darsay & Jost, musique de FĂ©licien Vargues, Éd. E. Meuriot (EM1725)
    Incipit : « Il était un' fois un p'tit gars/Qui suivait toujours les soldats »
    Créée par Mlle IrÚne Théry, M. Perval ; illustration signée C. Lavigne[115]
    : Enregistrements : Perval des concerts de Paris (Gramophone 3-32950 232022, 22 janvier 1909)[116], Maréchal (Odéon 36713, 1906)[117], Mayol (Gramophone 2-32170 2128F - 1903)[118]

Catalogue des Ă©diteurs

Cette section propose les chansons portant la mention Mayol sur les catalogues éditeurs (verso des petits, moyens et grands formats) mais dont il n'existe pour l'instant pas de confirmation attestée fiable ou consultable en édition graphique (petits formats, recueils, revues, etc.).

Éditions Georges Ondet

Georges Ondet est le principal éditeur chez qui Mayol, alors interprÚte des chansonniers, choisit ses chansons lors de ses débuts.

  • Jean Battaille
    • Les Femmes au barreau
  • Émile BessiĂšre
    • Les Vieilles DĂ©votes
  • Dominique Bonnaud
    • Nos braves agents
  • ThĂ©odore Botrel
    • Dors mon gars
    • Fanchette
    • Il Ă©tait un petit navire
    • Jobic le philosophe
    • Ma Bretagne
    • Les Sabots de JĂ©sus
    • Les Terr’ neuvas
  • Lucien Boyer
    • L’Heure de l’école
  • Rodolphe Bringer
    • Vertu punie
  • Louis Byrec (compositeur)
    • Au bon marchĂ©
  • Georges Colias
    • Le Souffleur
  • Alfred Dalleroy
    • À une jeune fille
    • Illusions de poĂšte
  • Jean Daris
    • Les P’tits Soupers parisiens
  • DĂ©sirĂ© Dihau (compositeur)
    • Ta bouche
  • Georges Fabri
    • Bijou de famille
  • Jean Goudezki
  • Paul Henrion (compositeur)
    • Trop chaud
    • Les Mains sales
  • EugĂšne Lemercier
    • Les Automobiles
    • Baisons-nous Lisette
    • Cas d’exemption
    • Chanson pour elle
    • Chez le coiffeur
    • Le Distrait
    • Les Lutteurs
    • Les NĂšgres blancs
    • Les Nichons
    • Le Portrait de Lisette
  • Paul Marinier
    • Aventure andalouse
    • Chanson des baisers
    • Comment ils voyagent
    • Les Femmes mariĂ©es
    • Gare les rayons X
      Création Yvette Guilbert[122]
    • Lettre d’un petit soldat
    • Par un clair de lune
    • Les Plaisirs du dimanche
  • Yann Nibor (compositeur)
    • Berceuse verte
    • Romance toulonnaise
  • Xavier Privas
    • Chanson paillarde
  • Jacques Redelsperger
    • Les Lettres
    • Maman
  • Gaston SĂ©cot
    • L’Occasion
  • Jean Varney
    • BĂ©guin-Valse
    • Le Moment suprĂȘme
    • Visite de charitĂ©
  • LĂ©on Xanrof
    • Coup de foudre
    • La Ballade des michĂ©s
    • Le Bougeoir
    • Le Petit FrĂšre
    • Le Soulier
    • Les Dames trop mĂ»res
    • Les Duels
    • Les Enfants
    • Les Restaurants Ă  25 sous
    • Les SoirĂ©es
    • Purgation
    • Rupture
  • Henri Yan
    • Trop fĂ©conde
  • Parolier ou compositeur non prĂ©cisĂ©s
    • Airelle la Montmartoise
    • À l’atelier
    • Complainte du petit gars breton
    • Histoire de bureau
    • La Leçon de clarinette
    • La MĂšre Ă  Nana
    • Les Omnibus
    • Peintre d’histoire
    • Premier sourire
    • Le Temps des bĂ©guins
    • Les Vertus du baiser
    • La Veuve

Sources : RĂ©pertoire de Mayol de la Scala[123], catalogue en recto de la chanson Tout Ă  son utilitĂ©[124], catalogue en recto de la chanson J‘ rĂ©chauffe des marrons glacĂ©s !...[125].

Catalogue des éditeurs avec mention Mayol créateur ou genre
  1. Adieux d’amants, Ă©d. Louis Michaud (auteur-Ă©diteur) ;
  2. Ah ! je l’ savais bien, Ă©d. A. Dorey ;
  3. Ah ! les petites femmes, Ă©d. A. Dorey ;
  4. Ah oui, je connais une affaire, Ă©d. Dufrenne ;
  5. Ah ! oui l’amour, Ă©d. Jean PĂ©heu ;
  6. Ah ! viens ma Suzon, Ă©d. A. Dorey ;
  7. Allons, Chouchou ! , Ă©d. Granier ;
  8. L’Amour ah ! qu’ c’est bon, Ă©d. A. Dorey ;
  9. Amour Ă  l’anglaise, chansonnette, paroles de Briollet et LeliĂšvre, musique de Perpignan, Ă©d. J. Rueff (Paris qui chante)[126] ;
  10. L’Amour c’ que c’est bĂȘte, Ă©d. À la chanson moderne (chansons de Gaston Maquis) ;
  11. L’Amour en priĂšre, Ă©d. A. Dorey ;
  12. Amour et culotte, Ă©d. Valentin Pannetier ;
  13. Amoureux d’une gosse, Ă©d. A. Dorey ;
  14. Aux Iles canaries, Ă©d. Ch. Borel-Clerc ;
  15. Aventure de trottin, Ă©d. À la chanson moderne (chansons de Gaston Maquis) ;
  16. Les Berceuses, Ă©d Maurel ;
  17. Bon pour la santé, éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts ;
  18. Le Bon président, éd. Dorey ;
  19. Le Bout de ruban, Ă©d. Dorey ;
  20. Ça ne s'use pas, Ă©d. Rueff (Paris qui chante) ;
  21. Cantique d’amour, Ă©d. Gruny[127] ;
  22. C'est dommage, Ă©d. Rueff (Paris qui chante) ;
  23. Chanson des douleurs, Ă©d. Gruny[127] ;
  24. Chanson du pardon, Ă©d. Gruny[127] ;
  25. Chanson Ă©lectorale, Ă©d. Dorey ;
  26. Chevauchée amoureuse, éd. Jean Péheu ;
  27. Les Chichis de Guillaume, Ă©d. Gabaroche ;
  28. Cinémato parisien, éd. Granier ;
  29. Civilisons, Ă©d. Dorey ;
  30. Colimaçon du sacristain. Chanson grivoise, éd. Maurel ;
  31. Comme elle boite, Ă©d. Jean PĂ©heu ;
  32. Comment on nomme sa mĂšre, Ă©d. A la Chanson moderne (chanson de Gaston Maquis) ;
  33. Comment on s'en tire, Ă©d. Dorey ;
  34. Comment on sert son pays, Ă©d. Gruny[127] ;
  35. Le Contribuable content, Ă©d. Chavat et Girier ;
  36. Les convenances, Ă©d. O. Dufrenne ;
  37. De FondandĂšze Ă  Barcelonne, Ă©d. Dorey ;
  38. De l’eau, de l’eau, Ă©d. Dorey ;
  39. Dodo cĂąlin, Ă©d. Dorey ;
  40. Dolly ! Dolly !, Ă©d. Borel-Clerc ;
  41. Le Double pari, paroles de LeliĂšvre, musique de Chaudoir, Ă©d. J. Rueff (Paris qui chante)[126] ;
  42. Le Droit du seigneur, Ă©d. Delormel;
  43. Elle a tout pour elle, éd. Christiné ;
  44. Elle a le bras long, éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts ;
  45. Les Faiseurs, Ă©d. Rueff (Paris qui chante) ;
  46. La Famille Pignouf, Ă©d. Chavat et Girier ;
  47. Fausse route, Ă©d. Maurel ;
  48. Fais-moi-z'y penser, Ă©d. Gaston Gross[128] ;
  49. Femmes dites pourquoi, Ă©d. Gruny[127] ;
  50. La Fille du général, éd. Maurel ;
  51. Flirtages, éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts de Paris ;
  52. La FrĂȘle parisienne, Ă©d A la chanson moderne (chansons de Gaston Maquis) ;
  53. Frissons de femmes, Ă©d. Maurel ;
  54. Le Furet, Ă©d. Fouquet ;
  55. Les Gentils amoureux, Ă©d. Fouquet ;
  56. Grand’ MĂšre, Ă©d. Gruny[127] ;
  57. Il Ă©tait une fois, Ă©d. Fouquet ;
  58. Il fait si sommeil. Idylle, Ă©d. A. Dorey ;
  59. Il n’est donc jamais lĂ , Ă©d. Granier ;
  60. J’ai gardĂ© tes baisers, Ă©d. Gruny[127] ;
  61. Je vous l’ prĂȘte, Ă©d. Jean PĂ©heu ;
  62. J’ paye Ă  diner, Ă©d. SociĂ©tĂ© anonyme du nouveau rĂ©pertoire des concerts de Paris ;
  63. J’ suis trop timide, Ă©d. Gruny[127] ;
  64. LĂ©gende des trottins, Ă©d. A la Chanson moderne ;
  65. Lorsque sonne minuit, Ă©d. Chavat et Girier ;
  66. Ma petite Mionne. Romance, Ă©d. A. Dorey ;
  67. La Marche des p’tits loupiots, Ă©d. A. Dorey ;
  68. Marionnettes, Ă©d. Chavat et Girier ;
  69. Tes seins, Ă©d. Michaud Louis (auteur-Ă©diteur) ;
  70. Microbomanie, éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts de Paris ;
  71. Midinette-Marche, éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts de Paris ;
  72. Modernes sérénades, éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts de Paris ;
  73. Mon loup, Ă©d. Gruny[127] ;
  74. Le Mousse de Paimpol, Ă©d. Fouquet ;
  75. Noël à Madame, éd. A La Chanson Moderne ;
  76. O Charlotte, Ă©d. A. Dorey ;
  77. Oh ! les filles, Ă©d. A. Dorey ;
  78. On les blague, éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts de Paris ;
  79. Orchestre de Dames, Ă©d. Maurel ;
  80. Parlons d’amour, Ă©d. SociĂ©tĂ© anonyme du nouveau rĂ©pertoire des concerts de Paris ;
  81. Pas devant l’ monde, Ă©d. Aux succĂšs modernes ;
  82. Petite chose, Ă©d. Maurel ;
  83. Petite Nichonnette, éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts de Paris ;
  84. Petite Nini, éd. Guéprotte[127] ;
  85. Petites phrases, Ă©d. Maurel ;
  86. Polka des conducteurs, éd. Société anonyme du Nouveau répertoire des Concerts de Paris ;
  87. La Pompe (grivoiserie), Ă©d. Gruny[127] ;
  88. Poupoulette, éd. Guéprotte[127] ;
  89. Pour notre France, éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts de Paris ;
  90. Pour qui m’ prenez vous, Ă©d. Maurel ;
  91. Printemps libertin. Chansonnette, Ă©d. A. Dorey ;
  92. Les Projets de Mimile, Ă©d. Gruny[127] ;
  93. La P’tite fossette, Ă©d. A. Dorey ;
  94. Les P’tites amoureuses parisiennes, Ă©d. A. Dorey ;
  95. Quand tu voudras Colombine, Ă©d. A. Gruny[127] ;
  96. Quels tourments !, Ă©d. J. Rueff (Paris Qui chante) ;
  97. Les Questions, Ă©d. Granier Ă©diteur ;
  98. Qui veut des prunes, Ă©d. A. Dorey ;
  99. Le Repos dominical, Ă©d. A. Dorey ;
  100. Les Restaurants, Ă©d. Chavat et Girier ;
  101. Retour d’Afrique. SĂ©rĂ©nade militaire, Ă©d. A La chanson moderne ;
  102. RĂȘve de folie, Ă©d. A. Dorey ;
  103. Saisons d’amour, Ă©d. J. Rueff (Paris Qui chante) ;
  104. Sans ta maman, Ă©d. A. Dorey ;
  105. Si on connaissait l’avenir, Ă©d. Maurel ;
  106. SƓur Jacqueline, Ă©d. A. Dorey ;
  107. Sous la feuillée, éd. A. Dorey ;
  108. Ta chair, Ă©d. Gruny[127] ;
  109. Talisman normand, Ă©d. A. Dorey ;
  110. Ton départ, éd. Gruny[127] ;
  111. Le Trac, éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts de Paris ;
  112. TrĂšs excitante, Ă©d. Jean PĂ©heu ;
  113. Trottin professionnel, Ă©d. A. Dorey ;
  114. Un remĂšde salutaire, Ă©d. A. Dorey ;
  115. Vadrouille pharmaceutique, éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts de Paris ;
  116. Le Va-z-et-vient, Ă©d. Gaston Gross[128] ;
  117. Viens nous-en, éd. éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts de Paris ;
  118. Le VƓu d’Isaac, Ă©d. Granier ;
  119. Les Voisins, éd. éd. Société anonyme du nouveau répertoire des concerts de Paris ;
  120. Vous perdez quĂ©qu’ chose, Ă©d. SociĂ©tĂ© anonyme du nouveau rĂ©pertoire des concerts de Paris ;

Catalogue des éditeurs (mention Mayol créateur ou genre) et attestations avec d'autres chanteurs (édition graphique)

  1. Chanson des heures, paroles et musique de Xavier Privas, Ă©d. Gruny[127] ;
    Créée par Dickson, Mercadier, Ruol[129]
    Enregistrée par Mercadier (Gramophone Zonophone X-82177 1906)[130]
Éditions Charles Mayol

Sont regroupĂ©s ici les titres prĂ©sents sur un ou plusieurs catalogues des Ă©ditions Mayol, oĂč FĂ©lix Mayol est mentionnĂ© comme « genre » ou « rĂ©pertoire », et pour lesquels n'a pas Ă©tĂ© trouvĂ© pour le moment d'attestation en Ă©dition graphique. Les indications en deuxiĂšme ligne aprĂšs les titres renseignent sur les Ă©volutions de « genre » mentionnĂ©s sur les catalogues des Ă©ditions Mayol, des premiers catalogues aux catalogues tardifs. Mayol – chanteur et Ă©diteur – a la maĂźtrise sur les informations publiĂ©es sur les catalogues de ses Ă©ditions. Il est lĂ©gitime de considĂ©rer les Ă©volutions des attributions (« genre » des chansons) comme une politique Ă©ditoriale, et donc de classer ces titres dans une sous-section.

  1. Ah ! Ah ! Ah !
    genre Lejal → genre Mayol
  2. Ah ! si vous voulez du bonheur ou Si vous voulez du bonheur
    genre Mayol
  3. C’était un petit soldat
    genre Mayol
  4. Cachez-ça
    genre Darbon → genre Mayol
  5. Chanson de Suzette, musique Raoul Soler
    genre Esther Lekain → genre Suzanne Chevalier → genre Mayol
  6. Les Chataignes
    genre Gabrielle Lange → genre Mayol
  7. Les Coiffes
    genre Yvonnec → genre Mayol
  8. Cri du cƓur
    genre Mayol ou genre Lemercier-Norcel, ou Norcel
  9. La Dame et le Chien ou La Dame au chien
    genre Mayol
  10. Dans mon jardin
    genre Mayol
  11. La Diligence
    genre Mayol
  12. Le Docteur gai
    genre Dranem → genre Mayol
  13. Doucement
    genre Mayol
  14. Elle frotte
    genre Mayol
  15. La femme qui colle
    genre Mayol
  16. France et prusse
    genre Mayol
  17. La gentille cordonniĂšre
    genre Mayol
  18. HĂ©sitation
    genre Mayol
  19. Il l’aimait beaucoup
    genre Henriette Leblond → genre Mayol
  20. J’adore le printemps
    genre Mayol
  21. La Jolie LaitiĂšre
    genre Mayol
  22. La Jolie Photographe
    genre Mayol
  23. Laissez-moi faire
    genre Mayol
  24. Lettre d’un gosse à son pùre
    genre Mayol
  25. Lettre d’un petit tambour
    genre Mayol
  26. Lorsqu’arrive le printemps
    genre Darius M. → genre Mayol
  27. Louisticana
    genre Dranem → genre Mayol
  28. Ma P’tite Camille ou La P’tite Camille
    genre Dranem → genre Mayol
  29. Mam’zelle Jasmin
    genre Mayol
  30. Marius voyage
    genre Mayol
  31. La P’tite moukùre
    genre Foscolo → genre Mayol
  32. Parigote
    genre Mayol
  33. Parisienne savante
    genre Mayol
  34. Le Petit DĂ©clanchement (sic)
    genre Mayol
  35. La Plaintes d’Ali Tchouk-Tchouk
    genre Mayol
  36. Pour bien débuter
    genre Gabrielle Lange → genre Mayol
  37. Le RĂ©giment des entraĂźneuses
    genre Foscolo → genre Mayol
  38. Revue d’amour
    genre Lejal → genre Mayol
  39. Sérénade à la pùtissiÚre
    genre Mayol
  40. Soir de bonheur
    genre Dickson → genre Mayol
  41. Les Soldats du midi
    genre Mayol
  42. Son joli p’tit chose
    genre Mayol
  43. Tombouctou
    genre Mayol
  44. Totoche
    genre Mayol
  45. Tu n’ veux plus m’aimer
    genre Dalbret → genre Mayol
  46. Un tout petit soldat
    genre Mayol
  47. Viens Gilette
    genre Esther Lekain → genre Mayol
  48. Viens-tu, mon chéri
    genre Mayol
  49. Vous en voudreririez (sic!) ou Vous en voudriez
    genre Dutard → genre Mayol
  50. Y en a ou Y en a, y en a
    genre Lejal → genre Mayol

Sources : Catalogues des Ă©ditions Mayol, en ligne sur MĂ©dihal

MĂ©moires de Mayol

Dans ses MĂ©moires, Mayol Ă©voque plus de 200 chansons, dont deux donnĂ©es en exemple d'anecdotes. Les prĂ©cisions donnĂ©es par le chanteur lui-mĂȘme montrent que toutes ces chansons ne sont pas revendiquĂ©es comme des « crĂ©ations ».

  1. L‘Accordeur de pianos (non datĂ©)[131] ;
  2. L'Adoration du schah (1912)[132], « chansonnette répertoire Mayol », paroles de Phylo, musique de Laurent Halet, éd. Vve Charles Mayol (cotage n. p.) ;
    Répertoire FM (« genre Mayol » catalogues)
  3. Les Bonnes Grosses Dames (1896), de Jean Bataille, Ă©d. Georges Ondet[133]‘[134]
  4. Le Chien policier, éd. Mayol (catalogues : « genre Mayol »)
  5. Comme une cigarette (1910)[135] ;
    Illustration de Serge[40].
  6. Elle vendait des petits gĂąteaux, chansonnette grivoise, paroles de Jean Bertet et Vincent Scotto, musique de Vincent Scotto ;
  7. Les Trois Ulhans, de Paul Marinier, éd. Félix (catalogues : « genre Mayol »)

Programmes et presse

  1. Effet de saisons, Ă©d. Fouquet[136] ;
  2. Jour de dĂȘche, Ă©d. Ondet[137] ;
  3. Lettre d’un prisonnier boer, Alcazar de Marseille, 30 dĂ©cembre 1901[138] ;
  4. Oh ! la jolie saison, Alcazar de Marseille, 30 décembre 1901[138] ;
  5. Visite au salon ou ces dames au salon, Alcazar de Marseille, 30 décembre 1901[138].

Enregistrements sans attestation graphique

Cette section prĂ©sente les Ɠuvres enregistrĂ©es par Mayol, dont l'attestation en Ă©dition graphique n'a pas encore Ă©tĂ© trouvĂ©e ; l'enregistrement du titre par d'autres artistes est mentionnĂ© au cas oĂč elle est connue. Les rĂ©fĂ©rences discographiques sont issues des catalogues discographiques disponibles (cf. sources). Au cas oĂč une rĂ©fĂ©rence en Ă©dition graphique sans mention de chanteur, ou attribuĂ©e Ă  d'autres chanteurs que FĂ©lix Mayol (Harry Fragson, Paul Marinier, etc.), est attestĂ©e, le titre est intĂ©grĂ© dans le catalogue « Ă©dition graphique ». Lors de la pĂ©riode d'activitĂ© de Mayol, la diffusion des chansons Ă©tant assurĂ©e par l'Ă©dition graphique, l'hypothĂšse est que des attestations graphiques seront Ă  terme retrouvĂ©es pour tous les titres enregistrĂ©s par Mayol.

Précisions : l'identification d'une chanson par les références phonographiques exige des recoupements et des vérifications. Les étiquettes des premiers disques mentionnent les compositeurs, mais ni les éditeurs, ni les paroliers ne sont indiqués. Les titres sur les étiquettes ne sont pas toujours identiques à ceux des éditions graphiques ; de plus, l'existence de nombreux titres de chansons homonymes ou trÚs proches (les titres n'étant pas protégés par le droit d'auteur) est source récurrente d'erreurs.

  1. Aïcha la brune, musique de M. Franceschini, Pathé (saphir 4439), sans date[139]
  2. Les Caniches, musique de L. Gangloff, Gramophone and Typewritter (futur La Voix de son maĂźtre)(2-32170/2127-F), avril 1903[140]
    Attribuée à Goudezki, catalogue Ondet en recto (répertoire et création de Mayol), chanson Tout à son utilité !... (1895)[141]
  3. Le CĂ©libataire ou l’Homme sans femme ;
    Titre attribué à Dranem, catalogue des éditions Mayol
  4. Ce que rĂȘvent les hommes, chansonnette, musique de Fragson, Gramophone and Typeweitter (2-32160 / 2047-F, disque 17 cm), avril 1903[140]
    Mayol évoque cette chanson dans ses Mémoires (p. 113) comme un de ses « succÚs » de l'année 1896 au Concert parisien (sans préciser « création »)
  5. Charmante, Pathé (saphir) 4451/3216 (sans date)[142]
    Valse extraite de l'opérette La Dame en rose (The Pink Lady, paroles originales de Hugh Morton, musique de Ivan Caryll, créée à Broadway en 1912 puis dans une version française de Louis Verneuil en 1916[143]
  6. Les Chiens sauveteurs, chanson d'actualité, Zonophone 11657 (12 septembre 1902)[144]
  7. Les Trois petits enrhumés ou La Ballade des trois petits enrhumés (1897-1898)[145] ;
  8. Vertus de femmes (1903), paroles de Gil, musique de Gaston Maquis (éditeur non-précisé);

Sources :

  • Alan Kelly (dir.), His master's voice/La Voix de son maĂźtre : The French Catalogue. A Complete Numerical Catalogue of French Gramophone Recordinds made from 1898 to 1929 in France and elsewhere by The Gramophone Company Ltd, with the cooperation of the EMI Music Archive, Greenwood Press, New York-London, 1990, 679 p. (ISBN 0-313-27333-2)
  • Catalogue de la BNF
  • Christian Zwarg, Firmendiscographine (catalogues formats XL tĂ©lĂ©chargeables)

Extraits de chansons

Ah ! mad'moiselle
 dites-moi donc !

Paroles de G. Arnoult, musique de Gustave Goublier (1910)
Ah! mad‘moiselle, dites-moi donc !
Et‘s-vous d‘ Grenelle ou de London ?
Donnez-moi votre pied avec la cuisse par-dessus le marché !
Vous ĂȘt‘s enfant d‘ BohĂȘme,
Tenez, je vois bien ça,
[
]
La petit‘ sans se fair‘ prier
Emm‘na le jeune homme chez elle ;
[
]
Puis ell‘ lui dit : « Joli garçon
Pendant que j'allum‘ la chandelle,
Il faut que tu frottes, mon mignon. »

Allemagne au-dessous de tout

Chanson patriotique, paroles de Jean Aicard, musique de Blanche Poupon (1914)[27]
La honteuse Allemagne
Tombe plus bas que tout.
Des soldats pris au bagne
N'inspirent que dégoût.
Parmi les pleurs, les rĂąles,
Ils sont ivres de vin,
Brûlent nos cathédrales !
Reims et Louvain
Nous crient : « Vengeance ! »
Vive la France !

Les Alliances de Guillaume

Créé aux Ambassadeurs (circa 1910), paroles de Paul Marinier, musique recueillie
et arrangée par Adrien Serge, éd. Marcel Labbé (ML8034)[29]

Cherchant pour l'Allemagne
Des alliances partout,
Guillaum‘ dit à l'Espagne:
« Soyez donc avec nous ! »
Ou ! ou ! ou ! ou ! c'est un sal‘ coup
Mais l'Espagn‘ trùs gentille
Lui dit dans l'embarras
« J‘ viens de rec‘voir Émile

Pour l'instant je n‘ peux pas ! »
Ah ! Ah ! Ah! Ah!

L'Amour muet

Chansonnette créée à l'Alcazar d'été (1908)[146], paroles de F.-L. Bénech, musique de D. Berniaux
Quand je la rencontrais, elle Ă©tait Ă  g‘noux
D‘vant la statu‘ d'Saint-Antoin‘ de Padoue,
Ses grands yeux au ciel, l'air un peu morose
J‘ pensai : Cett‘ dame a perdu quelque chose

Arpettes-Marche

Paroles de L. Champigny et F.-L. BĂ©nech, musique de D. Berniaux (1909)[147]
On voit chaqu‘ matin les p‘tites arpettes
Passer guill‘rettes
Sur les boul'vards
Cousett‘es modillons, trottins, fleuristes,
Ont Ă  leur piste de vieux paillards
Aussi sous la pluie
La mine réjouie
L'arpette en traversant
Le ruisseau débordant
Pense à des riviùr‘s de diamant

L'Autre CortĂšge

Récit créé au front le 14 juillet 1916, par l'auteur et Madeleine Roch de la Comédie-Française,
texte de Jean Bastia, musique de scĂšne de Charles Helmer[35].

Quand Joffre reviendra par les Champs-ÉlysĂ©es
Au milieu des clameurs dont les foules grisées
Salueront son retour vainqueur
Quand les cƓurs libĂ©rĂ©s enfin de leur malaise
Battront le ban de gloire et que la Marseillaise
Ne sera qu'un immense chƓur ;
Lorsque, derriÚre lui, viendront, dorés sur tranches,
Ses généraux, tous les héros de la revanche,
Les capitaines d'aujourd'hui :
Pétain qui gardera Verdun inviolée

Le Bon Chemin

Chansonnette anglaise créée par Mayol (1912), paroles de Ferdinand-Louis Bénech,
musique de Romain Desmoulins, Ă©d. L. BĂ©nech (LBP176).

(Refrain final)
Aoh ! Ce n'est pas le bon chemin,
Vous n'arriv'rez jamais Ă  rien.
Vous faites fauss' route,
Dit la p'tite petite Louloutte
Laissez-moi vous conduire gentiment
Donnez-moi donc votr' main
Je vais la conduire
Dans le bon chemin!

Le Chien sergent de ville

Paroles de Lucien Boyer et Henri Bataille, musique d'Adolph Stanislas, Ă©d. S. Eichard (S47E)[148].
(Premier couplet)[149]
Mesdam's et Messieurs, faut qu' tout le mond' le sache,
BientĂŽt, dans Paris, y aura plus d'apaches:
On pourra chez soi rentrer l' soir Ă  pied
Car on vient d' créer le chien policier !
(Second couplet)
Ben c' lui qu'a trouvé le chien sergent d' ville
Est loin mes amis d'ĂȘtre un imbĂ©cile,
Car un chien, ça court pus vit' qu'un agent
Et ç'a l'avantag' d'ĂȘtre intelligent

Le Petit Mandarin

Chinoiserie (1909), paroles de P. Ardot et A. Laroche, musique d'Émile Lasailly, Ă©d. Ch. Mayol[75].
(Incipit)
Un p'tit chinois,
TrĂšs grivois
Cherchait en tapinois,
Au bois,
Un minois,
Rencontre une jeun‘ bergùre

Le Poilu et le Tommy

Chansonnette (1914-1918?)[150], paroles de Alcide, musique d'Albert Triollet, Ă©d. Vve Ch. Mayol.
Il y avait un brav' poilu,
ÉnormĂ©ment barbu
Et surtout trĂšs velu ;
Dans sa tranché', avec lui, y avait aussi
Un joyeux et brav' Tommy.
Ils devinr'nt de bons copains,
Unis par le destin
Et toujours pleins d'entrain.
On les voyaient tous les deux,
S'Ă©lancer gaiement au feu.

Pour ses parents

Paroles et musique d'Henri Christiné (1916).
Ah ! monsieur ! c'est pour mes parents,
Si vous saviez comm‘ ce sont des brav‘s gens,
Moi, j‘ suis une honnĂȘte fille
Et j'ador‘ ma famille
(Refrain final)
Mes parents m‘ rĂ©pĂštent tous les jours
« Evit‘ le mal et prends garde Ă  l'amour
Fais le bien ». Alors moi, monsieur,
Je l‘ fais aussi bien que j‘ peux !

Filmographie

Mayol a été filmé à plusieurs reprises par Gaumont pour les Actualités ; on peut signaler la séquence Une soirée mondaine de Henri Diamant-Berger, tournée en 1917, mise en musique par Jean Wiener dans les années 1970[151]

Films synchronisés avec des enregistrements sonores

L'inventaire des PhonoscÚnes Gaumont de Mayol est publié dans les catalogues de la firme[152].

  • La Fifille Ă  sa mĂšre no 143
  • Le Petit Panier no 144
  • Le Petit GrĂ©goire no 145
  • La Fifille Ă  sa mĂšre no 146
  • Lilas blanc no 147
  • Le Jeune Homme et le trottin no 148
  • La Polka des trottins no 149
  • La Paimpolaise no 150
  • C'est une ingĂ©nue no 151
  • Si ça t‘ va no 152
  • À la cabane bambou no 153
  • Questions indiscrĂštes no 154
  • La Matchiche no 155

Longs métrages :

Discographie

Une partie des chansons de Mayol n'a cessĂ© d'ĂȘtre rĂ©Ă©ditĂ©e, au fur et Ă  mesure de l'Ă©volution de l'Ă©dition phonographique : sur 33 tours vinyl, puis depuis l'invention du CD au travers d'anthologies (par artiste, thĂšme ou annĂ©e).

RĂ©Ă©ditions CD :

  • Mayol (23 titres), coll. Chansophone DK 040, 1995 – Livret de 7 pages de Jacques Primack et Gilles PĂ©tard[156].

Bibliographie

  • Chantal Brunschwig, Louis-Jean Calvet, Jean-Claude Klein, Cent ans de chanson française, Seuil (coll. Points actuels), 1981 (ISBN 2-02-00-2915-4) (1re Ă©d. reliĂ©e 1972)Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article.
  • AndrĂ© SallĂ©e et Philippe Chauveau (dir.), Music-hall et CafĂ©-concert, Bordas, Paris, 1985 (ISBN 2-04-016371-9)Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article.
  • Jean-RĂ©my Julien, Musique et publicitĂ© : du cri de Paris aux messages publicitaires radiophoniques et tĂ©lĂ©visĂ©s, Flammarion (coll. Harmoniques : SĂ©rie Les goĂ»ts rĂ©unis), 1989 (ISBN 2-08-066292-9)Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article.
  • François Caradec et Alain Weill, Le CafĂ©-concert (1848-1914), Fayard, Paris, 2007 (ISBN 978-2-213-63124-0)Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article.
  • Christian Marcadet, « Du rĂ©pertoire Ă  la performance : ou comment FĂ©lix Mayol s‘imposa au cafĂ©-concert », in StĂ©phane Hirschi, Ėlizabeth Pillet et Alain Vaillant (dir.), L‘Art de la paroles vive : paroles chantĂ©es et parodies dites Ă  lâ€˜Ă©poque moderne, Presses universitaires de Valenciennes (coll. Recherches Valenciennes), 2006, p. 275–298 (ISBN 2-905725-80-X)Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article.
  • Regina M. Sweeney, Singing our Way to Victory: French Cultural Politics and Music during the Great War, Wesleyan University Press, 2001 (ISBN 0819564737)Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article.
  • RĂ©my Campos, « FĂ©lix Mayol dans la grande guerre », in StĂ©phane Audoin-Rouzeau, Esteban Buch, Myriam ChimĂšnes et Georgie Durosoir (dir.), La Grande Guerre des musiciens, SymĂ©trie (Lyon), 2009, pp. 103-118 (ISBN 978-2-914373-54-8)Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article.
  • Thomas Louis Jacques Schmitt, « ScĂšnes primitives. Notes sur quelques genres comiques “hĂ©ritĂ©s“ du cafĂ©-concert », in 1895 : revue de l’Association française de recherche sur l’histoire du cinĂ©ma (AFRHC), no 61, 2010, p. 174-190[157] (rĂ©sumĂ© en ligne ; texte intĂ©gral septembre 2013).

Sources historiques

  • Mayol, MĂ©moires recueillis par Charles Cluny, Ă©d. Louis Querelle, 1929, 335 p.
    Plusieurs index : « liste alphabĂ©tique des personnalitĂ©s, villes, Ɠuvres et Ă©tablissements citĂ©s au cours du prĂ©sent ouvrage » ; « Chansons » (p. 328-332) ; « ƒuvres littĂ©raires et thĂ©Ăątrales » (p. 332) ; « Villes » (p. 332-333) ; « Établissements » (p. 333-334).
  • Une heure de musique avec Mayol, prĂ©face de Charles Cluny, sĂ©rie lĂ©gĂšre no 9, coll. du musicien, Ă©d. Cosmopolites, 1930.
  • G. PĂ©richard, « Mayol », Les Hommes du jour. Annales politiques, sociales, littĂ©raires et artistiques no 220 (5e annĂ©e), 6 avril 1912, dessins de G. RaĂŻeter).
  • Georges Pioch, « Monsieur Mayol », Les Hommes du jour. Annales politiques, sociales, littĂ©raires et artistiques no 497, 27 octobre 1917, p. 2-3 (photo Mayol par Henri Manuel en couverture.

Édition musicale : revues, recueils et placards

  • La Musique pour tous no ??, « Mayol (1re sĂ©rie) », s.d.
    Dix chansons : Le Printemps chante, Le Petit Panier, Les Plaisirs de la plage, Sérénade à l'inconnue, Folichonnade, L'Amour à chaque étage, Family-House, Souviens-toi, La Neige, Au r'voir.
  • La Musique pour tous no 27, janvier 1908, « Mayol (2e sĂ©rie) »[158]
    Contient : Catalogue (p. 2) ; « Un chanteur populaire Mayol », article de Jean-Pascal (pp. 3-4) ; « Mayol et la presse » (p. 5) ; Dix chansons : Le Vrai Diabolo, Le Jeune Homme et le Trottin, Celle qui vous aime, Le Repos du dimanche, La Chasse, La Fifille à sa mÚre, Quand on voyage, L'Amour qui s'en va, Les Suicides d'un auteur, L'Espérantelle.
  • La Musique pour tous no 60, « Mayol (3e sĂ©rie », s.d. (illustration couverture par JoĂ« Bridge)
    Contient : Mayol chez lui par EugÚne Joullot ; dix chansons : Clématite. Polka japonaise, Les Mains de femmes, Chand d'amour, Leur fille, La Dame et l' monsieur, C'était sa gosse, Petite Nichonette, Elle est gentille, Quand vient l'été, Les « Panpan ».
  • La Petite musique pour tous no 16, Ă©d. universelle, « Les grands succĂšs de Mayol », s.d.
    Contient
    Bou-dou-ba-da-bouh !, Come darling, Le Gosse et le Chien, Mon blanc Muguet, Lettre d'un petit tambour.
  • Mayol
    Recueil de douze chansons avec la musique
    (exemplaire incomplet), piano-chant, Ă©d. Charles Mayol, 1910
    Chansons illustrées par des miniatures (non-signées) inspirées des frises de Léon Pousthomis. Contient
    publicitĂ© liqueur Mon mĂ©decin ; photo Mayol en Égypte (1908) ; Avis
    « À partir du 1er septembre 1910, Mayol devient directeur du grand Concert parisien. C'est dans cet Ă©tablissement qu'il interprĂ©tera les nombreuses chansons qu'il a l'habitude de lancer chaque annĂ©e Ă  Paris. Il sera entourĂ© d'une troupe d'artistes de premier ordre. » (p. 2) ; Huit chansons (avec la date du copyright et une partie des cotages)
    Les Fraises de Plougastel, Petite Moucheronne, La Ceinture, Dans le biplan, Amoureux Sauvetage, Le Métier des amours, J'étais pure et Banane et Printemps ; publicités A. and S. J. Van Arpels ; manufactures de pianos Henri Pruvost, Cheveux coiffures Loisel, Christiné compositeur-éditeur de musique ; Sylvain Rosenthal, tailleur de Mayol, HygiÚne et antisepsie de la bouche La Mayoline (avant-derniÚre page).
  • Environ 100 enregistrements de Mayol en ligne sur la Phonobase

Notes et références

  1. Éditeur des chansons de Mayol et d'autres interprùtes et compositeurs, dont Raoul Soler.
  2. « Je l'ai fait ! Mayol, Félix », sur BibliothÚques spécialisées de la Ville de Paris (consulté le ).
  3. François Caradec, Alain Weill, Le Café-concert, op. cit., p. 313.
  4. François Caradec, Alain Weill, Le Café-concert, op. cit., p. 317.
  5. L'immeuble qui abritait le concert Mayol au 10, rue de l'Échiquier Ă  Paris, existe toujours, bien que la salle ait Ă©tĂ© dĂ©truite en 1976. À la place, on trouve un restaurant : Le Jardin des voluptĂ©s.
  6. Paul Olivier, Raimu ou l'ÉpopĂ©e de CĂ©sar, Ă©ditions France-Empire, 1977.
  7. Chantal Brunschwig, Louis-Jean Calvet, Jean-Claude Klein, Cent ans de chanson française, p. 260.
  8. « Le Clos Mayol », sur www.dutempsdescerisesauxfeuillesmortes.net (consulté le ).
  9. « Le Journal », sur Gallica, (consulté le ).
  10. Son buste trĂŽne en haut des escaliers de la tribune Lafontan.
  11. "J'en ai vu des choses..." de Louis Merlin, Tome I, Ă©ditions Julliard, 1962, page 260.
  12. « J'avais Ă  l'Ă©poque, une petite amie : Jenny Cook — charmante, tu peux le croire ! — Mieux que parisienne, c'est une vraie parigote. » in: Mayol, Les MĂ©moires de Mayol, op. cit., chap. VI.
  13. Pour une Ă©tude sur les relations amoureuses en chansons, voir Anne Simon, « Tu m’as donnĂ© le grand frisson : Les Mots pour le dire dans la chanson populaire française du dĂ©but du XXe siĂšcle », Clio no 31 « Érotiques », 2010.
  14. CimetiĂšres de France et d'ailleurs.
  15. Paris qui chante no 250, , p. 6.
  16. Cf. Les Mémoires de Mayol, p. 48 ; pour l'utilisation de ce chiffre sans aucune critique, voir par exemple François Caradec et Alain Weill, op. cit., p. 320.
  17. Chansons de Paris, no 2, , p. 10.
  18. Selon les conventions bibliographiques, seuls les articles définis la, le, les sont ignorés pour le classement.
  19. Éliane Daphy, RĂ©pertoire Mayol avec couvertures des petits formats et catalogues des Ă©diteurs sur MĂ©dihal.
  20. Site anglophone qui prĂ©sente plus de 10 000 illustrations de partitions (en majoritĂ© des grands formats) et fournit des indications prĂ©cises sur la date, l'Ă©diteur, le cotage.
  21. Les mentions « crĂ©e(e) par », « chantĂ©(e) par », « dit(e) par », « racontĂ©(e)s par » sont toujours accordĂ©es — sauf erreur — sur le sous-titre de la chanson. Par exemple : un monologue crĂ©e, chantĂ©, racontĂ© par
 ; une chansonnette crĂ©Ă©e, chantĂ©e, interprĂ©tĂ©e par

  22. p. 2 du petit format.
  23. Voir le grand format illustré par H. Armengol sur ISM.
  24. Voir le grand format illustré par Clérice frÚres sur ISM.
  25. Sur la musique de la chanson traditionnelle de Guadeloupe Adieu foulards adieu Madras.
  26. Fiche de l’Ɠuvre sur ISM.
  27. Fiche de l’Ɠuvre sur MĂ©dihal.
  28. Datation par cotage.
  29. Fiche de l’Ɠuvre sur MĂ©dihal.
  30. Datation par la mention sur le petit format illustré par Léon Pousthomis et la cotation des éditions Louis Bénech (LBP152) qui confirme cette date.
  31. Fiche de l’Ɠuvre sur MĂ©dihal.
  32. Voir le grand format illustré par Georges Liodet sur ISM.
  33. Voir le grand format sur ISM.
  34. Paris qui chante no 352, 31 octobre 1909, pp. 8-9, qui mentionne en bas de page : « publiée avec l'autorisation de M. Marguaritat »
  35. Fiche de l’Ɠuvre sur MĂ©dihal.
  36. Voir le grand format sur ISM
  37. Voir le grand format sur ISM.
  38. Publié in Mayol : Recueil de douze chansons, op. cit..
  39. Cf. catalogues des Ă©ditions Mayol.
  40. Monogramme « SS » pour Serge de Solomko (1867-1928).
  41. Anagramme d'Henri Christiné.
  42. Fiche de l’Ɠuvre sur MĂ©dihal.
  43. Grand format sur ISM.
  44. Fin XIXe (datation par l'Ă©diteur).
  45. Voir le petit format illustré sur ISM.
  46. Publiée in Chansons des poilus recueillies et publiées par le Journal sur le Vif, hors série no 1, p. 2-3. cf. medihal-00591142
  47. Chanson des mouchoirs Petits formats sur MĂ©dihal.
  48. Dans le style de Serge = monogramme SS
  49. Les ré-impressions n'ont que la photo de Mayol.
  50. Fiche de l’Ɠuvre sur MĂ©dihal.
  51. Illustration utilisée en série, i.e. ayant servi à illustrer plusieurs petits formats de chansons différentes.
  52. Datation par le petit format illustré par Marcel Capy et l'édition Vve Charles Mayol.
  53. Fiche de l’Ɠuvre sur MĂ©dihal.
  54. Datation par cotage Ă©diteur 1902-1903.
  55. Circa début XXe.
  56. Pseudonyme de Georges Mauger (18..-1939), source BNF.
  57. Fiche de l'Ɠuvre sur ISM
  58. Premier quart du XXe.
  59. Circa fin XIXe.
  60. Fiche de l’Ɠuvre sur MĂ©dihal.
  61. « Le gosse et le trottin : chansonnette vécue », sur BibliothÚques spécialisées de la Ville de Paris (consulté le )
  62. Fin XIXe (datation par l'Ă©diteur).
  63. Fiche de l’Ɠuvre sur MĂ©dihal.
  64. Circa fin XIXe- début XXe
  65. Fiche de l’Ɠuvre sur MĂ©dihal.
  66. Cf. rectos ou pages 2 des partitions petits formats ; datation par la signature de l'illustration. Aucun des six petits formats (images sur médihal) ne porte de cotage.
  67. Fiche de l’Ɠuvre sur MĂ©dihal.
  68. « La mattchiche Mayol, Félix », sur BibliothÚques spécialisées de la Ville de Paris (consulté le )
  69. Date annoncée pour la représentation, Paris qui chante no 13, 1re année, 19 avril 1903, couv. verso.
  70. Datation par les catalogues de l'Ă©dition Charles Mayol.
  71. Cette chanson du « répertoire Mayol » est renseignée comme « genre Darius M. » sur les catalogues les plus anciens des éditions Mayol ; voir en ligne l'image sans la mention Mayol sur ISM.
  72. Datation et renseignements à l'intérieur du petit format illustré sur Médihal.
  73. Fiche de l’Ɠuvre sur MĂ©dihal.
  74. Paris qui chante no 14, 26 avril 1903, pp. 8-9, avec mention en bas de page : « Le format de piano est en vente chez Mérot, éditeur, 7 rue d'Enghien ».
  75. Fiche de l’Ɠuvre sur MĂ©dihal.
  76. Datation par contexte : chanson de la Grande Guerre.
  77. Alan Kelly, op. cit., p. 81.
  78. Également publiĂ© in Paris qui chante, no 1, 1re annĂ©e, 24 janvier 1903, pp. 6-7, 3 photos de Mayol, et mention sour le titre « crĂ©Ă©e par Mayol Ă  la Scala ».
  79. Fiche de l’Ɠuvre sur MĂ©dihal ; Fiche Sacem ; la mention de Mayol crĂ©ateur n'est prĂ©cisĂ© sous le tire ni Ă  l'intĂ©rieur du grand format, ni sur la partition sans couverture destinĂ©e aux artistes.
  80. 1918 selon DTCFM.
  81. Recto : « chanson », intérieur « chansonnette ».
  82. Fiche de l’Ɠuvre sur MĂ©dihal.
  83. Avant 1910, le catalogue verso affichant « derniers succÚs 1910 ».
  84. Datation par catalogue verso : « supplément au catalogue général 1903 ».
  85. Dates et cotages similaires sur deux partitions (grand format piano et artiste), confirmation de la date par la notice BNF.
  86. Entre 1914 et 1918, la chanson évoquant un « poilu ».
  87. Datation par contexte historique.
  88. Fiche de l’Ɠuvre sur MĂ©dihal.
  89. Datation approximative par cotage Ă©diteur sur le petit format.
  90. Cf. catalogue CM66CMFM35.
  91. Fiche de l’Ɠuvre sur MĂ©dihal.
  92. Précision intérieure : « visé sous le titre Béguin-Marche ».
  93. Également publiĂ© in Paris qui chante, no 5, 1re annĂ©e, 22 janvier 1903, pp. 4-5.
  94. Mention « répertoire» p. 2.
  95. Fiche de l’Ɠuvre sur MĂ©dihal.
  96. medihal-00595111
  97. Mauris est un chanteur pensionnaire de la Scala dont on retrouve le nom dans la presse spécialisée.
  98. Martin PĂ©net, p. 814.
  99. Datation par catalogue Christian Zwarg.
  100. Kelly, p. 217.
  101. Source, in Recueil 10 chansons nouvelles, Ă©d. Vve Charles Mayol, 1911.
  102. Précisons que 1) la date donnée dans ce catalogue (1909) est celle du copyright mentionné sur la partition. Pour Martin Pénet in Mémoire de la chanson française (T.1, p. 1091) : « InterprÚtes : Mayol, AngÚle Moreau (à l'Eldorado - septembre 1906 puis aux Ambassadeurs - juillet 1907) ». Pour Mayol, in Mémoires (p. 193) : « création 1908 », sans précision d'établissement, ce qui est cohérent avec la date du © (1909), Mayol évoquant la « saison » 1908, donc automne 1908-printemps 1909.
  103. Datation par un petit format de la chanson, créée par Priollet, éd. Herpin.
  104. Utilisée sur de nombreux petits formats avec des présentations et couleurs différentes (ré-impression). Cf. série « Bouquet muguet rond » sur Médihal.
  105. Voir le petit format sur ISM.
  106. Fiche de l’Ɠuvre sur MĂ©dihal.
  107. Voir le petit format illustré sur ISM ; le petit format a été aussi imprimé sans la mention « chantée par Mayol », cf. sur Médihal.
  108. Alan Kelly, op. cit., p. 93.
  109. Datation par catalogue.
  110. Fiche de l’Ɠuvre sur MĂ©dihal.
  111. Fiche de l’Ɠuvre sur MĂ©dihal.
  112. Fiche de l’Ɠuvre sur MĂ©dihal.
  113. Datation par signature illustrateur.
  114. Fiche de l’Ɠuvre sur MĂ©dihal.
  115. MĂ©dihal
  116. Kelly, op. cit., p. 100 ; selon notice BNF, Gramophone 2-32173 FRBNF37890516.
  117. Datation par catalogue Christian Zwarg ; consultable FRBNF38344015.
  118. Kelly, op. cit., p. 100.
  119. La partition petit format (cotage GO786, datation par cotage 1892), ne porte aucune mention de Mayol ; la chanson fait partie de la série Les Montmartroises (n° 1).
  120. La partition petit format (cotage GO786, datation par cotage 1892), ne porte aucune mention de Mayol ; la chanson fait partie de la série Les Montmartroises (n° 3).
  121. La partition petit format (cotage GO786, datation par cotage 1892), ne porte aucune mention de Mayol ; la chanson fait partie de la série Les Montmartroises (n° 34).
  122. Cf. Site Archéophone.
  123. Mayol interprĂšte des chansonniers modernes, au verso de plusieurs chansons de Mayol sur MĂ©dihal.
  124. Répertoire et créations de Mayol sur Médihal.
  125. Catalogue Ondet sur MĂ©dihal.
  126. Source : Romances, chansons et chansonnettes. Catalogue de J. Rueff, Ă©diteur.
  127. Sources : Deux listes de titres des Ă©ditions Gruny, en recto des petits formats Lettre Ă  Colombine et Chanson d'adieuChanson d'adieu sur MĂ©dihal.
  128. Source : Catalogue Gaston Gross Ă©diteur au verso de plusieurs chansons, dont La Malakoff sur MĂ©dihal.
  129. Cf. le petit format illustré, édition Digoudé-Diodet sur ISM
  130. Cf. notice BNF.
  131. Selon les Mémoires de Mayol (p. 117) : « Lancée au Concert Parisien » à la saison 1897 (soit 1897-1898). La cocréation n'est pas mentionnée.
  132. MĂ©moires de Mayol, p. 236
  133. MĂ©moires de Mayol, p. 118 : « CrĂ©Ă©e Ă  Alger [
] qui rĂ©ussit assez bien ».
  134. Catalogue des Ă©ditions Ondet.
  135. MĂ©moires de Mayol (p. 222)
  136. Music-hall revue : Organe des auteurs, compositeurs, éditeurs et artistes no 1, 1re année, 5 janvier 1902, p. 3 (annonce « chez les éditeurs ») .
  137. ML'Art lyrique et le music-hall. Journal indépendant des cafés-concerts, concerts et théùtres 1896 no 1, 1re année, 5 janvier 1902, p. 3 (annonce « chez les éditeurs ») .
  138. Music-hall revue : Organe des auteurs, compositeurs, éditeurs et artistes no 1, 1re année, 5 janvier 1902, p. 8.
  139. FRBNF37955512 Notice BNF
  140. Alan Kelly, His master's voice/La Voix de son maĂźtre : The French Catalogue, p. 100.
  141. medihal-00591723
  142. Notice BNF
  143. Cf. partitions sur ISM.
  144. Catalogue Christian Zwarg, sans précision (compositeur/parolier)
  145. Datation par les MĂ©moires de Mayol, qui Ă©voque cette chanson : « J'Ă©trennais Ă  Bordeaux la Ballade des trois petits enrhumĂ©s
 » (p. 118).
  146. Petit et grand formats, illustrés par Pousthomis sur le site Illustrated Sheet Music.
  147. Paris qui chante no 352, 31 octobre 1909, p. 8-9.
  148. Datation impossible.
  149. Chanson Ă  strophe sans refrain
  150. Le petit format dont sont tirées les paroles ne permet pas de dater précisément la chanson.
  151. Archives Gaumont 1917PFIC 00010, catalogué comme « fiction ».
  152. Reproduction en fac-similĂ©, cf.Thomas Louis Jacques Schmitt, « ScĂšnes primitives
 », 2010, p. 180-181.
  153. BIFI
  154. BIFI
  155. BIFI
  156. Notice BNF.
  157. Thomas Louis Jacques Schmitt, « ScĂšnes primitives. Notes sur quelques genres comiques « hĂ©ritĂ©s » du cafĂ©-concert », 1895. Mille huit cent quatre-vingt-quinze. Revue de l'association française de recherche sur l'histoire du cinĂ©ma, no 61,‎ , p. 174–190 (ISSN 0769-0959, DOI 10.4000/1895.3838, lire en ligne, consultĂ© le )
  158. BNF 38727277 Notice BNF

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