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Estrablin

Estrablin est une commune du nord de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Estrablin
Estrablin
Vue de l'Ă©glise d'Estrablin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
Département Isère
Arrondissement Vienne
Intercommunalité Vienne Condrieu Agglomération
Maire
Mandat
Denis Peillot
2020-2026
Code postal 38780
Code commune 38157
DĂ©mographie
Gentilé Estrablinois / Estrablinoise
Population
municipale
3 620 hab. (2020 en augmentation de 10,43 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 175 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 31′ 03″ nord, 4° 57′ 54″ est
Altitude Min. 186 m
Max. 352 m
Superficie 20,69 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Estrablin
(ville isolée)
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Vienne-2
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Estrablin
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Estrablin
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Estrablin
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Estrablin

    PeuplĂ©e d'environ 3 600 personnes, la commune est adhĂ©rente Ă  la communautĂ© de communes de Vienne Condrieu AgglomĂ©ration et ses habitants sont appelĂ©s les Estrablinois.

    GĂ©ographie

    Situation et description

    Estrablin est situĂ©e dans la rĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes, au nord-ouest du dĂ©partement de l'Isère. La superficie de la commune est de 2 069 hectares et l'altitude varie de 186 Ă  352 mètres.

    Proche de Vienne (km) et de Lyon (30 km), Estrablin demeure très attractive tant pour la proximitĂ© de ces grandes villes que pour son calme et sa verdure. Bien qu'encore Ă  forte connotation rurale, la commune tend Ă  se dĂ©velopper et ses limites s'Ă©tendent jusqu'Ă  Pont-ÉvĂŞque, avec la zone industrielle du Rocher. Estrablin est connue pour son très agrĂ©able centre aĂ©rĂ© qui accueille la fameuse « fĂŞte de la pomme Â», son appartenance Ă  la ville est due Ă  la philanthropie d'un prĂŞtre qui souhaitait laisser son château aux enfants.

    Communes limitrophes

    Climat

    La région d'Estrablin présente un climat de type semi-continental[1] qui se caractérise par des précipitations en toutes saisons, de nombreux orages se déroulant en été.

    Hydrographie

    La Gère à Gémens, commune d'Estrablin.

    Le territoire communal est traversĂ© par la Gère, un affluent du RhĂ´ne, d'une longueur de 34,5 km[2] et l'un de ses affluents, le ruisseau de la Vesonne.

    Transports en commun

    La commune est desservie par la ligne 7 du réseau de bus L'va.

    Urbanisme

    Typologie

    Estrablin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine d'Estrablin, une unitĂ© urbaine monocommunale[6] de 3 365 habitants en 2017, constituant une ville isolĂ©e[7] - [8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[9] - [10].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,9 %), zones agricoles hétérogènes (19,4 %), zones urbanisées (10,1 %), prairies (4,2 %), forêts (3,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,8 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques sismiques

    L'ensemble du territoire de la commune d'Estrablin est situé en zone de sismicité n°3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique[12].

    Terminologie des zones sismiques[13]
    Type de zoneNiveauDéfinitions (bâtiment à risque normal)
    Zone 3Sismicité modéréeaccélération = 1,1 m/s2

    Hameaux et lieux-dits

    La Rosière est un hameau important d'un millier d'habitants au sein de la commune d'Estrablin.

    Ce hameau a longtemps échappé à l'attraction du bourg principal d'Estrablin distant de près de km. Ceci est le fait de sa position géographique sur une colline à l'extrême sud de la commune par-delà la plaine où coulent la Gère et son affluent, la Vesonne.

    Ajoutons que ce hameau a pour axe principal la route départementale 538 partant de Vienne et qui conduit à Beaurepaire et en direction de la Drôme alors que le reste de la commune est organisé autour de l'axe de la D 502, la route de Saint-Jean-de-Bournay. La départementale 538 se nomme désormais la rue des Potiers au sein de ce hameau. Enfin, la vie du hameau a longtemps suivi celle de son école primaire publique mixte aujourd'hui fermée.

    Ce hameau a connu une forte croissance de sa population au début des années 1980 en raison de la construction de deux ensembles pavillonnaires : le grand lotissement de la Rosière (65 maisons) et le lotissement des Cèdres (24 maisons).

    Des hameaux plus petits encore environnent directement la Rosière : les Brosses, la Basse-Rosière, la Coupe, Chez Janin, appelé aussi le Janin et le Salignat.

    Toponymie

    Stabliano (Xe siècle), Estrablin (1793), Estrablen (1801).
    Le nom d'Estrablin, d'origine Celte, provient des trembles, arbres de la famille des peupliers présents en grande quantité sur la commune, surtout au bord des rivières. Ou d'un nom de personne romane Stabilius suivi du suffixe -anum[14].

    Histoire

    Antiquité

    Proche de Vienne la gallo-romaine, le territoire d'Estrablin sera rapidement occupé et exploité par l'Homme. Ainsi, les temps romains ont laissé de nombreuses traces. Tout d'abord, il est important de signaler qu'à l'époque romaine, Estrablin, conjointement avec Eyzin-Pinet, était la principale source d'approvisionnement en eau de la ville de Vienne. En effet, quatre des onze aqueducs apportant l'eau à Vienne venaient du territoire de l'actuelle commune d'Estrablin. Trois de ces ouvrages prenaient leur eau dans la nappe aquifère du bassin de la Gère (deux au lieu-dit Gémens, un à la Gabetière). Le dernier aqueduc, lui, puisait directement dans le ruisseau de la Suze à partir d'un barrage-réservoir que les Romains avaient construit entre le Moulin de Malissol, en amont, et le confluent de la Gère, en aval.

    La dĂ©couverte d’objets antiques sur le territoire de la commune atteste aussi d'une occupation ancienne. Ainsi, lors des travaux d'amĂ©nagement de la route D 41, en 1837, on dĂ©couvrit, au lieu-dit de La Coupe, un vase en terre renfermant plus de 1 000 pièces de monnaie romaines datant des IIIe et IVe siècles. Malheureusement, l'intĂ©gralitĂ© de ces pièces disparurent, probablement partagĂ©es entre les ouvriers Ă  l'origine de la dĂ©couverte.

    Moyen Âge et Époque moderne

    L'actuelle commune d'Estrablin est née de l'union de deux paroisses : Estrablin et Gemens. Le hameau de Gemens, par sa proximité avec Vienne, connaîtra, au Moyen Âge, un formidable développement. En effet, diverses industries vinrent s'installer au bord de la Gère : moulins à grains, battoirs à chanvres, papeteries... On sait qu'en 1452, le dauphin Louis, futur Louis XI de France légua le territoire de Gemens (alors appelée Gemma dans les textes) à son valet de chambre, un dénommé Montaigu.

    D'autres textes d'archives nous apprennent qu'en 1575, une importante papeterie, appartenant à Jean-Jacques Gabet, fonctionne à Gemens approvisionnant les nombreuses imprimeries de Vienne. À partir du XVIIIe siècle, les industries de Gemens disparurent peu à peu et, en 1721, la paroisse, en déclin, fut supprimée et rattachée à celle d'Estrablin. Le curé d'Estrablin devenait ainsi curé d'Estrablin et de Gemens.

    Jacques Gabet, qui doit être le père de celui dont le nom est évoqué plus haut, fut un important personnage du Moyen Âge à Estrablin. Ce juge viennois, né à Châtonnay, résidait dans une grosse bâtisse de la paroisse d'Estrablin que l'on appela depuis Gabetière. Protestant engagé, Gabet fut impliqué dans les guerres de religion du XVIe siècle. En effet, après avoir pris une part active à la conjuration d'Amboise, Gabet fit célébrer, dans sa maison de Vienne, le premier prêche protestant de la région viennoise (janvier 1562). Il introduisit le Baron des Adrets dans la ville, le logea chez lui, et laissa piller la cité et ses églises. Plusieurs fois poursuivi, il tenta un coup de main sur Vienne, mais échoua. Il sera finalement abattu par les catholiques lorsque ceux-ci vinrent soustraire Vienne aux protestants. "Ledit Gabet… étant à Châtonnay, faisant entrepinse de se saisir de ceste ville de Vienne, fut prins par les soldats de ceste ville le vingt-cinquième apvril et, se voulant rebeller, en l'amenant, fut tué par les soldats à coup d'arquebusades" (Les Jocteur Monrozier en Dauphiné, par Yves Jocteur Monrozier, page 16).

    PĂ©riode contemporaine

    Installations de stockage de grains La Dauphinoise Ă  La Craz, Estrablin

    En 1853, Jean Mayoud est désigné maire d'Estrablin et lance une grande campagne de travaux pour améliorer les quelques routes et nombreux chemins de la commune. Quelques ponts sont alors construits et plusieurs chemins sont agrandis et peu à peu transformés en routes.

    L'annĂ©e 1867 marque un tournant pour la commune d'Estrablin puisqu'elle perd une partie de son territoire au profit de la nouvelle commune de Pont-ÉvĂŞque, dont la crĂ©ation fut dĂ©cidĂ©e par la loi du . La superficie d'Estrablin passe alors de 2 215 Ă  2 069 ha. En 1877, la nouvelle Ă©glise est construite en remplacement d'un ancien Ă©difice mĂ©diĂ©val dont il reste une portion dans le cimetière.

    La forge de Gemens ferme en 1890 et la papeterie, également située à Gemens, cesse d’opérer en 1946 à la suite d'une inondation ayant endommagé les machines. 45 personnes étaient alors employées dans cette usine[15]. Estrablin est raccordée au réseau électrique en 1926[15] et une nouvelle mairie, abritant également l’école communale, est construite en 1935.

    L'activité économique de la commune va aussi changer entre les XIXe et XXe siècles. En effet, l'agriculture occupe toujours une place importante dans les années 1980 où encore plus de 66 % du territoire d'Estrablin lui est consacré. Les principales productions de la commune demeurent les céréales (blé, maïs...) et l'élevage de bovins. La vigne, présente au siècle dernier, a aujourd'hui presque totalement disparu. Les surfaces toujours en herbe sont encore très nombreuses (16 % du territoire) notamment à cause du Julin.

    Les productions cĂ©rĂ©alières ont Ă©tĂ© encouragĂ©es avec l'installation, en 1962, d'une importante installation de stockage de cĂ©rĂ©ales au lieu-dit de 'lLa Craz. Acquis en 1961 par la CoopĂ©rative agricole dauphinoise (aussi connu sous le nom La Dauphinoise), le terrain en question Ă©tait autrefois occupĂ© par une stĂ©arinerie produisant bougies et savons. Cette prĂ©cĂ©dente installation industrielle, qui employa pendant plusieurs dĂ©cennies nombre de travailleurs du village (110 salariĂ©s en 1958[15]), avait Ă©tĂ© dĂ©truite, en 1958, dans un gigantesque incendie. Les silos Ă  grains sont toujours utilisĂ©s et peuvent contenir jusqu'Ă  23 000 tonnes de cĂ©rĂ©ales. Ils sont approvisionnĂ©s par des agriculteurs provenant de diffĂ©rentes communes de la rĂ©gion et non uniquement par des exploitants agricoles d'Estrablin.

    La dĂ©mographie de la commune a aussi Ă©tĂ© bouleversĂ©e au cours des deux derniers siècles. Alors que l'on compte 1 308 habitants en 1881, on n'en dĂ©nombre plus que 967 en 1962 soit 26 % de moins. Cette dĂ©sertification est essentiellement due Ă  l'industrialisation des communes voisines de Vienne et Pont-ÉvĂŞque oĂą une main-d’œuvre abondante Ă©tait demandĂ©e. Ainsi, nombre d'habitants d'Estrablin dĂ©cidèrent d'aller tenter leur chance dans les usines viennoises et dès lors, allèrent s'installer dans ces deux communes voisines.

    NĂ©anmoins, une forte reprise dĂ©mographique se fit sentir depuis. En effet, Ă  partir de 1962, la population ne cesse d'augmenter et l'on passe, entre 1962 et 1982, de 967 Ă  2738 habitants soit une hausse considĂ©rable en si peu de temps. D'ailleurs, on constate une nette explosion dĂ©mographique entre 1975 et 1982 oĂą la population croĂ®t de 103 %. Un nouveau groupe scolaire doit ĂŞtre construit en 1977, l'ancien (situĂ© dans la mairie) Ă©tant devenu trop Ă©troit. L'Ă©volution dĂ©mographique rĂ©cente tient surtout au fait qu'Estrablin tend de plus en plus Ă  devenir une banlieue pavillonnaire de Vienne nombre de personnes travaillant Ă  Vienne voire Ă  Lyon s'y installant. La verdure et le calme d'Estrablin attirent et de nombreuses villas seront construites dans la commune, principalement dans les annĂ©es 1970-80. On note d'ailleurs une pointe Ă  91 maisons individuelles construites pour la seule annĂ©e 1976. Aujourd'hui, d'après les chiffres de l'INSEE publiĂ©s en 2005, la commune d'Estrablin compterait 3 283 habitants.

    Politique et administration

    La mairie-Ă©cole d'Estrablin

    Liste des maires

    Liste des maires depuis 1963
    Période Identité Étiquette Qualité
    1963 1977 Pierre Lacroix DVD
    1977 2014 Roger Porcheron PS
    2014 2020 Sylvain Laignel PS puis LREM
    2020 ---- Denis Peillot Sans Etiquette

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[17].

    En 2020, la commune comptait 3 620 habitants[Note 3], en augmentation de 10,43 % par rapport Ă  2014 (Isère : +2,73 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    5573276998699721 0991 2281 2811 390
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6051 7511 9061 3161 2641 3081 2891 2771 250
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2431 1691 1401 0641 0481 0131 0289751 080
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    9671 1121 3502 7382 9313 2143 2833 3003 264
    2015 2020 - - - - - - -
    3 2963 620-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee Ă  partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Les établissements scolaires de la commune sont rattachés à l'académie de Grenoble.

    MĂ©dias

    Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Nord-Isère (édition de Vienne), un ou plusieurs articles à l'actualité du canton et quelquefois de la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

    Cultes

    La communauté catholique et l'église d'Estrablin (propriété de la commune) sont desservies par la paroisse Sainte Mère Teresa en Viennois, elle-même rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[20].

    Sport

    • Football : CF Estrablin
    • gymnastique ESSE

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Quelques photos de divers monuments et lieux d'Estrablin
    • L’église.
      L’église.
    • Monument aux morts de la commune.
      Monument aux morts de la commune.
    • Citerne d'eau potable d'Estrablin (1822).
      Citerne d'eau potable d'Estrablin (1822).
    • Chapelle du cimetière.
      Chapelle du cimetière.
    • Château Guerre, rĂ©sidence de la famille Fleurieu de Martène.
      Château Guerre, résidence de la famille Fleurieu de Martène.
    • Domaine de la Craz (château Doyon).
      Domaine de la Craz (château Doyon).
    • Maison forte d'Aiguebelle.
      Maison forte d'Aiguebelle.
    • La Gabetière.
      La Gabetière.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Estrablin possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Annick Auffray, Alain Brisson, Agnès Tamburini, Valérie Dziak, Véronique Maloisel, Sophie Martinoni-Lapierre, « Climat de la région Rhône-Alpes », sur rhone-alpes.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Gère (V32-0400) » (consulté le )
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 d'Estrablin », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
    13. Toponymie générale de la France, Volume 1 - Ernest Nègre.
    14. L'Essor de l'Isère, Numéro 1670, vendredi 27 octobre 1978
    15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    19. Site diocese-grenoble-vienne.fr, page sur la paroisse Sainte Mère Teresa en Viennois, consulté le 15 septembre 2021.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jean Pierre Mayoud, Estrablin et ses environs, Ed. SavignĂ©, Vienne, 1883, 100 pages
    • Joannès et AndrĂ© Levet, Estrablin, histoire d'une commune, Ville d'Estrablin, 1999, 228 pages, (ISBN 2-9514387-0-2)

    Article connexe

    Liens externes

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