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Enseignement de la psychanalyse à l'université

La question de l'enseignement de la psychanalyse à l'université est posée par Sigmund Freud de manière inaugurale en Hongrie, au Congrès de Budapest de 1918 : Sándor Ferenczi est chargé de cet enseignement. En France, l'enseignement de la psychanalyse à l'université est introduit dans le cadre des études de psychologie, d'abord dans l'après-guerre autour de la personnalité de Daniel Lagache, puis à partir des années 1960. La psychanalyse est devenue aujourd'hui une composante de la vie intellectuelle dans la culture française et occidentale. Elle traverse actuellement une crise de son enseignement à l'université.

En effet, dans la recherche universitaire, elle s'est retrouvée déconsidérée dans le monde anglo saxon à la suite des "Freud Wars" au cours des années 90. Ainsi, la psychalyse se retrouve en dehors du consensus scientifique en psychiatrie et en psychologie[1]. Cette élimination de la psychanalyse a fait suite au besoin des psychologues d'avoir une base empirique[2]. En effet, la psychanalyse manque de preuves empiriques prouvant la pertinence des théories psychanalytiques[3].

En France, la psychanalyse décline, fait noté par Élisabeth Roudinesco[4] mais reste vivaces dans certaines universités[5], comme par exemple à l'Université Paris-VIII-Vincennes–Saint-Denis[6].

Histoire

La psychanalyse aura été « introduite » en présence à l'université par Sigmund Freud lui-même avant son intervention de 1918 au Congrès de Budapest, où il pose la question problématique de son enseignement par les premiers psychanalystes, puis leurs successeurs.

1909-1917 : Conférences de Freud dans deux universités

Invité en 1909 par Granville Stanley Hall à tenir une série de conférences aux États-Unis, où il se rend avec Sandor Ferenczi et Carl Gustav Jung, Freud prononce Cinq leçons sur la psychanalyse à l'Université Clark de Worcester (Massachusetts)[7] - [8].

Traduction anglaise par Joan Riviere des Leçons d'introduction à la psychanalyse que Freud a données à l'Université de Vienne en 1915-1917.

Entre 1915 et 1917, il donne une série de conférences à l'Université de Vienne destinées à un public de médecins et de profanes, qui feront l'objet d'une publication (entre 1916 et 1917) intitulée Leçons d'introduction à la psychanalyse (Vorlesungen zur Einführung in die Psychoanalyse)[9].

1918, au Congrès de Budapest

« Doit-on enseigner la psychanalyse à l'université? » : Freud introduit son propos par cette question à l'automne 1918, lors du Ve Congrès international de psychanalyse à Budapest[10]. Ce bref article est paru dans le numéro du 30 mars 1919 de l'hebdomadaire hongrois Gyógyászat (« La Thérapeutique ») à l'occasion d'une enquête sur la réforme de l'enseignement médical : il était alors question d'y intégrer un enseignement de la psychanalyse en faveur duquel plus d'un millier d'étudiants avaient adressé une pétition au recteur de l'Université[11]. Sándor Ferenczi fut chargé de cet enseignement pendant une brève période, de mars à août 1919, au moment du gouvernement bolchevique de Béla Kun[11]. Le texte original n'ayant pas été retrouvé, c'est sa traduction en hongrois (Kell-e az egyetemen a psychoanalysist tanitani?), probablement par Ferenczi, qui fut d'abord publiée, et ensuite retraduite[11]. La première traduction française (à partir du hongrois), de Judith Dupont, sous le titre « Faut-il enseigner la psychanalyse à l'Université? », est parue en 1971 dans Le Coq Héron[11].

Un problème de fond

Selon Danièle Brun, dans son intervention de 1919, Freud visait un problème de fond constitutif de la psychanalyse : « le caractère foncièrement étranger de la cure à toute espèce d'enseignement », ce qui fait toujours débat aujourd'hui : le débat tourne autour, d'un enseignement de la psychanalyse à l'université « hors les murs » (expression de Jean Laplanche)[10]. La psychanalyse se diviserait effectivement en « une partie privée, la cure » et « une partie publique, la métapsychologie », d'où un certain conflit entre la partie « privée » représentée par les sociétés de psychanalyse émettant un reproche d'ingérence de l'université dans la décision d'entreprendre une analyse, et la partie « publique » représentée par les enseignants pour lesquels l'accueil de la psychanalyse dans leur cursus met en question sa scientificité[10]. D'après Danièle Brun, c'est pour parer ce genre de risque qu'au moment de l'ouverture de l'université de Vincennes, Serge Leclaire fera en sorte que la psychanalyse y soit rattachée à la philosophie, sans pouvoir éviter du coup pour ce département sa dépendance de l'École de la Cause freudienne[10].

Enseignement de la psychanalyse en France

En 1949, Daniel Lagache, dont l'objectif était de « séparer à l'université l'enseignement de la psychologie de la philosophie » intègre la psychanalyse à la psychologie dans le cadre d'un programme de psychologie clinique[12], et ce dans le but de « favoriser l'accès des non-médecins à la psychanalyse »[12].

En 1968, une action menée par Juliette Favez-Boutonier, Jacques Gagey et Pierre Fédida, développée ensuite par Didier Anzieu à Nanterre, débouche sur deux diplômes nationaux que délivrent les principales U.F.R. de psychologie : le D.E.S.S. pour exercer la profession de psychologue clinicien, et le D.E.A. préliminaire à la thèse de doctorat[10]. Jean Laplanche crée en 1970 à Paris un Laboratoire de psychanalyse et de psychopathologie, en 1975 la revue Psychanalyse à l'université et en 1976, le « D.E.A. de psychanalyse » avec le doctorat qui lui sera associé au sein de la nouvelle Université Paris VII, dans l' U.E.R. des Sciences Humaines Cliniques dont il est l'un des fondateurs[10] - [13].

Dans son article du Dictionnaire international de la psychanalyse (2002/2005), Danièle Brun considère que, plus de cinquante ans après « l'entrée officielle de la psychanalyse à l'université », la médecine « ne lui fait plus guère de place, et la psychiatrie témoigne d'un désinvestissement progressif », tandis que « le mouvement cognitiviste se montre de plus en plus fort »[10]. Cependant, la psychanalyse reste « présente dans la plupart des cursus en France et en Europe », ajoute-t-elle[10].

Aux yeux de Gérard Pommier, bien que la psychanalyse en France n'ait « jamais été autant prise en considération » et soit « devenue un fait majeur de notre culture – au sens le plus profond, comme le plus léger[note 1] du terme », elle est aujourd'hui « en passe d’être bannie des universités »[14]. Ce psychiatre et psychanalyste précise son dire en ces termes : « D’un côté – première historique – la psychanalyse vient d’être reconnue dans la loi relative à la politique de santé publique (voté en août 2004). L’article 52 de ce texte accorde le titre de psychothérapeute non seulement aux médecins et aux psychologues, mais aux membres des associations psychanalytiques »[14], tandis que « d’un autre côté, diverses commissions d’expertises s’acharnent à faire disparaître la psychanalyse de l’université »[14]. L’enseignement de la psychanalyse serait donc « en voie d’élimination des facultés de psychologie. La commission d’experts de l’aeres, qui évalue les unités de recherche, ne reflète plus la diversité des paradigmes de formation de la psychologie »[14] - [note 2]. Pour Gérard Pommier, « l’on ne dénombre plus les universités de psychologie où la clinique n’est plus enseignée, et encore moins celle d’orientation psychanalytique »[14].

Débats actuels dans le champ médiatique

En octobre 2019, d'après L'Obs, une tribune lancée par Sophie Robert (auteure des documentaires à charge à l'encontre de la psychanalyse Le Mur[note 3] - [15] et Le Phallus et le Néant[16]), « signée par soixante psychiatres et psychologues appelle à exclure l’approche freudienne des expertises judiciaires et de l’enseignement à l’université »[17].

À propos du débat sur Le Livre noir de la psychanalyse, l'épistémologue et psychologue Émile Jalley interroge : « Quelles répercussions les tentatives d’effraction de la psychanalyse ont-elles dans notre profession ? En quoi ce phénomène entre-t-il en résonance avec ce qui se joue aujourd’hui dans les universités de psychologie ? »[18]. Selon lui, l'avenir de la psychologie clinique nécessite d’être particulièrement vigilant à la dynamique en œuvre derrière ces débats d’actualités[18]. Jalley considère que le moment actuel de l'« attaque massive liée à la parution du Livre noir est dangereux pour la psychanalyse, même si le caractère remarquable de cette offensive est qu’elle reflète un niveau d’argumentation intellectuelle très bas »[18].

Aux yeux d'Émile Jalley, « le public cultivé actuel pompe à grands traits de la mamelle américaine ce qu’il croit de bonne foi, sur le crédit de journalistes professionnels connus, le vrai lait de la science »[18]. En citant le dossier intitulé « Faut-il en finir avec la psychanalyse ?» (1er septembre 2005), à la suite duquel est paru dans Le Nouvel Observateur un autre dossier avec pour titre « Les neurosciences analysent la boîte noire des 12-18 ans » (15-21 septembre 2005), Jalley montre comment dans sa conférence du 19 septembre, le professeur Édouard Zarifian, psychiatre auquel on doit en grande partie la mise au point des méthodes les plus récentes de l’imagerie cérébrale, a déclaré, lors de l’Université européenne d’été de Paris-VII, qu’« une partie non négligeable des affirmations contenues dans ce dossier étaient incertaines, mal vérifiées, peu crédibles, si ce n’est même tendancieuses »[18]. Pour Émile Jalley, É. Zarifian laissait entendre que « nombre de découvertes nord-américaines sont d’abord amplifiées par les médias avant d’être livrées à la communauté scientifique »[18].

Notes et références

Notes

  1. Dans son article paru en 2008, Gérard Pommier donne quelques exemples choisis dans l'actualité française de l'époque (vers 2007/2008 : alors sous la présidence de Nicolas Sarkozy ) : « aucun homme politique ne lâche un lapsus sans qu’il soit considéré comme le révélateur d’un désir caché ». Autre exemple à propos d'une « psychanalyse » habitant notre culture française également au sens « le plus léger » du mot : « lorsque notre président a été hospitalisé pour un flegmon de la gorge le jour fatidique de son divorce, le fait a été considéré aussitôt comme un symptôme ».
  2. En 2008, Gérard Pommier précise aussi : « Le recteur Monteil, le professeur Fayol, et autres experts en majorité cognitivistes n’ont jamais caché leur intention d’exclure la psychanalyse, ou tout du moins de la rejeter vers des humanités sans diplômes soignants ». Il s'insurge contre la « furie évaluatrice » dans le cadre de laquelle s'inscrivent « leurs “expertises” » et fournit ensuite plusieurs exemples de « ce qui se passe lorsqu’une commission d’experts à large majorité cognitiviste vient évaluer une unité de recherche d’orientation psychanalytique » et que l’avis de telles expertises est suivi : les accréditations des unités de recherche de Rennes et de Poitiers n'ont pas été reconduites et ces universités risquaient de ne plus pouvoir enseigner leur clinique dès la rentrée 2008 ; le laboratoire de Lyon II n’a été accrédité que pour deux ans ; l’enseignement de la psychanalyse à Toulouse et à Nantes est « en voie d’extinction au fur et à mesure des recrutements ». À l’université de Université Paris-Nanterre, l’enseignement d’anthropologie clinique et psychanalytique a été supprimé en 2007.
  3. Selon la psychiatre Loriane Brunessaux s'exprimant « à propos du documentaire Le Mur », « il existe un féroce mouvement « antipsychanalytique », porté notamment par certaines associations de parents de personnes d’autistes soutenus par des hommes et femmes politiques [...], pour qui l’urgence ne semble pas être la réflexion autour de l’amélioration des prises en charge de ces enfants et adultes mais la dénonciation des dérives de certaines théories psychanalytiques, la condamnation et l’interdiction de la psychanalyse, sans prendre en compte l’extrême diversité de ce champ ».

Références

  1. Propos recueillis par Jean-François Marmion, « Franck Ramus : Pourquoi l’hypothèse neurodéveloppementale s’impose pour l’autisme », sur www.scienceshumaines.com (consulté le )
  2. (en-US) Patricia Cohen, « Freud Is Widely Taught at Universities, Except in the Psychology Department », The New York Times, (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le )
  3. (en) Joel Paris, « Is Psychoanalysis Still Relevant to Psychiatry? », The Canadian Journal of Psychiatry, vol. 62, no 5, , p. 308–312 (ISSN 0706-7437 et 1497-0015, PMID 28141952, PMCID PMC5459228, DOI 10.1177/0706743717692306, lire en ligne, consulté le )
  4. « Elisabeth Roudinesco : « Les psychanalystes ont contribué à leur propre déclin » », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
  5. « Masters de Psychologie : Nous avons du boulot ! - APSU », (consulté le )
  6. Marion Thélisson, « Liste des facs de psychologie », sur Ose ton Lib’, (consulté le )
  7. Notice d'Alain Rauzy pour : Sigmund Freud, De la psychanalyse. Cinq leçons données pour la célébration du vingtième anniversaire de la fondation de la Clark University de Worcester, Mass., septembre 1909, OCF.P, volume X 1909-1910, Paris, PUF, 1993, p. 2-3.
  8. UQAC, « Collection les auteur(e)s classiques - Cinq leçons de psychanalyse. (1909) » (consulté le )
  9. Sophie de Mijolla-Mellor, « Introduction à la psychanalyse », dans Dictionnaire international de la psychanalyse, , p. 884-885.
  10. Danièle Brun, « université (enseignement de la psychanalyse à l'-) », dans Dictionnaire international de la psychanalyse, , p. 1879-1880.
  11. Alain Rauzy, Notice pour « Faut-il enseigner la psychanalyse à l'université ? » de S. Freud, OCF.P vol. XV, 2000, p. 110.
  12. Élisabeth Roudinesco et Michel Plon, « psychologie clinique », dans Dictionnaire de la psychanalyse, , p. 1236-1237.
  13. Dominique Scarfone, Jean Laplanche, Paris, PUF, coll. « Psychanalystes d’aujourd’hui », , 128 p. (ISBN 2-13-048405-0), p. 6.
  14. Gérard Pommier, « L'enseignement de la psychanalyse à l'université est-il condamné à disparaître ? », La clinique lacanienne, 2008/1 (no 1), p. 209-212. DOI : 10.3917/cla.013.0209. [lire en ligne]
  15. Loriane Brunessaux, « À propos du documentaire « Le mur » », L'Information psychiatrique, 2012/3 (Volume 88), p. 177-179. DOI : 10.3917/inpsy.8803.0177. [lire en ligne].
  16. Jean-Luc Collongues, « Le documentaire polémique sur les psychanalystes sera bien programmé dans la région », sur ladepeche.fr (consulté le )
  17. Véronique Radier, « Pourquoi les psychanalystes doivent être exclus des tribunaux » Accès libre, sur L'Obs,
  18. Émile Jalley, « À propos du débat sur Le Livre noir de la psychanalyse », Le Journal des psychologues, 2006/2 (n° 235), p. 27-33. DOI : 10.3917/jdp.235.0027. [lire en ligne]

Voir aussi

Textes de référence

  • Sigmund Freud,
    • « Faut-il enseigner la psychanalyse à l'université? » (1918? première publication en hongrois, [1919] : Kell-e az egyetemen a psychoanalysist tanitani? [Soll die Psychoanalyse an den Universitäten gelehrt werden?]), traduction (du hongrois) par Judith Dupont, dans Œuvres complètes de Freud / Psychanalyse, vol. XV : 1916-1920, Paris, PUF, 2000, p. 109-114 (ISBN 2 13 047850 6).
    • Introduction à la psychanalyse (Vorlesungen zur Einführung in die Psychoanalyse, 1916-1917), Paris, Payot, ; Leçons d'introduction à la psychanalyse, OCF.P,vol. XIV : 1915-1917, traducteurs : Janine Altounian, André Bourguignon, Pierre Cotet, Jean-Gilbert Delarbre, Daniel Hartmann, François Robert, Paris, PUF, 2000, (ISBN 2 13 050944 4).
    • De la psychanalyse. Cinq leçons données pour la célébration du vingtième anniversaire de la fondation de la Clark University de Worcester, Mass., septembre 1909, traduction de René Laîné, Johanna Stute-Cadiot, dans OCF.P, volume X 1909-1910, Paris, PUF, 1993, (ISBN 2 13 045767 3), p. 1-55 ; De la psychanalyse, préface d'Alain Rauzy, Paris, PUF / Quadrige, 2018, [lire en ligne].

Études

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

(Par ordre alphabétique des noms d'auteurs)

  • Élise Aurin, Laurent Ottavi, « Psychanalyse et Université à l’orée des années 1950 : l’axe d’une question pérenne; approche succincte », Psychologie Clinique, 2021/2 (n° 52), p. 211-219. DOI : 10.1051/psyc/202152211. [lire en ligne]
  • Jean-François Chiantaretto, « L'analyste chercheur impliqué », Recherches en psychanalyse, 2004/1 (no 1), p. 171-178. DOI : 10.3917/rep.001.0171. [lire en ligne]
  • Jean Florence, Patrick De Neuter, Sesto Passone, Xavier Renders, La psychanalyse et l'Université. L'expérience de Louvain, Actes de colloque, Academia-Bruylant, Louvain-la-Neuve, 2002, (ISBN 2872096728). Présentation en ligne sur le site de l'éditeur [lire en ligne]
    • Anne-Christine Frankard, « La psychanalyse et l'université. Jean Florence (coord.), Patrick De Neuter, Sesto Passone, Xavier Renders, Louvain-la-Neuve, Académia, 2002, 238 p. Érès, 2001, 416 p. », Cahiers de psychologie clinique, 2003/1 (n° 20), p. 235-236. DOI : 10.3917/cpc.020.0235. [lire en ligne]
    • Dominic Stockwell, « Jean Florence, Patrick De Neuter, Sesto Passone, Xavier Renders : La psychanalyse et l'Université. L'expérience de Louvain », Figures de la psychanalyse, 2004/1 (no9), p. 203-205. DOI : 10.3917/fp.009.0203. [lire en ligne]
  • Émile Jalley,
  • Jean Laplanche, « Psychanalyse à l'université : Éditorial », Psychanalyse à l'université, no 1, (lire en ligne [PDF])
  • Dans : Alain de Mijolla (dir.), Dictionnaire international de la psychanalyse, Paris, Calmann-Lévy, (ISBN 2-7021-2530-1); rééditions : Hachette-Littérature, 2005 (ISBN 9782012791459).
    • Danièle Brun,
      • « université (enseignement de la psychanalyse à l'-) », dans Dictionnaire international de la psychanalyse, , p. 1879-1880.Document utilisé pour la rédaction de l’article
      • « médecine et psychanalyse », dans Dictionnaire international de la psychanalyse, , p. 1037-1039.
    • Sophie de Mijolla-Mellor,
      • « recherche en psychanalyse », dans Dictionnaire international de la psychanalyse, , p. 1471-1473.
      • « Introduction à la psychanalyse », dans Dictionnaire international de la psychanalyse, , p. 884-885.Document utilisé pour la rédaction de l’article
    • Eva Rosenblum, « Daniel Lagache », dans Dictionnaire international de la psychanalyse, , p. 950-951.
    • Bernard Golse, « Favez-Boutonier, Juliette », dans Dictionnaire international de la psychanalyse, , p. 615-616.
    • Eva Brabant-Gerö, « Hongrie », dans Dictionnaire international de la psychanalyse, , p. 791.
    • Roger Perron,
      • « Question de l'analyse profane (La-) », dans Dictionnaire international de la psychanalyse, , p. 1445-1446.
      • « psychologie et psychanalyse », dans Dictionnaire international de la psychanalyse, , p. 1396-1397.
  • Annick Ohayon, Psychologie et psychanalyse en France. L'impossible rencontre 1919 - 1969, éd. La Découverte, 2006 (ISBN 2707147796) [lire en ligne].
  • Gérard Pommier, « L'enseignement de la psychanalyse à l'université est-il condamné à disparaître ? », La clinique lacanienne, 2008/1 (no 13), p. 209-212. DOI : 10.3917/cla.013.0209. [lire en ligne]Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Alain Rauzy,
    • Notice pour S. Freud, « Faut-il enseigner la psychanalyse à l'université? » de S. Freud, OCF.P vol. XV, 2000, p. 110.Document utilisé pour la rédaction de l’article
    • Notice pour De la psychanalyse. Cinq leçons données pour la célébration du vingtième anniversaire de la fondation de la Clark University de Worcester, Mass., septembre 1909, OCF.P X 1909-1910, Paris, PUF, 1993, p. 2-3.Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Élisabeth Roudinesco et Michel Plon, « psychologie clinique », dans Dictionnaire de la psychanalyse, , p. 1236-1237.Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Dominique Scarfone, Jean Laplanche, Paris, PUF, coll. « Psychanalystes d’aujourd’hui », , 128 p. (ISBN 2-13-048405-0).Document utilisé pour la rédaction de l’article

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