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Cuves de Sassenage

Les Cuves de Sassenage ou grottes de Sassenage se situent dans le département de l'Isère, au pied du massif du Vercors, sur la commune de Sassenage, dans l'agglomération grenobloise.

Cuves de Sassenage
Entrée des Cuves de Sassenage.
Localisation
Coordonnées
45° 12′ 30″ N, 5° 39′ 06″ E
Pays
Région française|Régions
DĂ©partements
Massif
Localité voisine
Caractéristiques
Altitude de l'entrée
307,50 m
Longueur connue
12 295 m
Type de roche
Température
12 °C
Cours d'eau
Germe (affluent du Furon)
GĂ©olocalisation sur la carte : Grenoble-Alpes MĂ©tropole
(Voir situation sur carte : Grenoble-Alpes MĂ©tropole)
Géolocalisation sur la carte : Isère
(Voir situation sur carte : Isère)
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)

Le site, desservi par les transports en commun de l'agglomération grenobloise (SEMITAG), est partiellement ouvert au public (sauf les mois d'hiver), son entrée est payante et soumise aux aléas climatiques en raison des risques de crues liées à l'exsurgence du Germe. Ce site est présenté comme une des sept merveilles du Dauphiné dès la fin du Moyen Âge.

Historique

C'est au XVIIIe siècle, que commencent les premières explorations officielles des cuves, l'un des rares sites souterrains à se situer aussi près du centre d'un village, située, lui-même, non loin d'une grande ville. Cependant, il faudra attendre la seconde moitié du XIXe siècle pour que soient organisées des visites guidées[1].

Du XVIIe siècle au XIXe siècle

Gravure représentant la montagne et les cuves de Sassenage en 1792.

En 1683, le dominicain David L'enfant publie l'ouvrage dénommé Histoire générale de tous les siècles de la nouvelle Loy et évoque le lieu[2] :

« Les deux cuves de Sassenage taillées dans le roc qui vides toute l'année, se remplissent d'eau miraculeusement le sixième de janvier... »

En 1700, Joseph-François Duché de Vancy évoque les cuves dans des lettres adressées à des membres de la cour du Roi de France. Il les décrit en ces termes[3] :

« Les cuves de Sassenage sont regardées en Dauphiné comme le cinquième miracle de la province [...]. S'il eu faut croire quelques auteurs, c'est dans ce lieu que la fameuse Mélusine finit ses jours. On y voit au pied d'un grand rocher, deux grandes cuves de pierre et on assure qu'autrefois on les trouvait pleine d'eau, la veille des Rois, lorsque la récolte devait être abondante; on y en trouvait peu lorsque l'année devait être stérile. Le lendemain des Rois, cette eau s'écoulait d'elle même sans qu'on pût savoir d'où elle était venue dans ces cuves, ni par où elle s'en allait. Ces cuves ont donné lieu aux Jésuites de Grenoble de faire une devise sur les heureuses destinées des princes... »

Le « journal des sçavants » publié en 1783 évoque les cuves de Sassenage en donnant leurs dimensions de « cinq pieds de diamètre »[4].

Un ouvrage dénommé Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France, écrit en 1752 par l'abbé et géographe français Jean-Joseph Expilly, publié à Amsterdam, évoque les cuves « prétendues merveilleuses » qui selon ses propres écrits « se remplissent tout naturellement par la filtration des eaux ». L'abbé évoque également que le pronostic local au sujet des bonnes récoltes liées au niveau des eaux des cuves ne s'explique par le fait que les cuves sont « une espèce de thermomètre et baromètre tout naturel »[5].

Un ouvrage dénommé Dictionnaire critique des reliques et des images miraculeuses écrit et publié par un certain Collin De Plancy en 1821 évoquent les vertus miraculeuses des eaux des cuves, tout en révélant qu'il s'agit d'une habile supercherie[6].

En 1865, face à l'affluence de visiteurs, un poste officiel de guide est créé[7].

Un autre ouvrage écrit par un certain Richard, et publié en 1866 par les éditions Hachette, évoquent les cuves, leurs visites « tarifées » et le four-aux-fées[8].

Le XXe siècle

En 1947, la suite après la salle du Styx est explorée par des jeunes spéléologues débutants que l'on retrouvera plus tard au gouffre Berger[9]. Les galeries est et ouest ainsi que l'affluent de Saint-Nizier sont découverts en 1949.

Fin mai 1955, le siphon de la salle Ă  manger est explorĂ© par les spĂ©lĂ©ologues. En 1959, les spĂ©lĂ©ologues Grenoblois du CAF trouvent la suite et explorent l'affluent de Saint-Nizier jusqu'Ă  un siphon Ă  +60 mètres[N 1]. En 1963 et 1964, ils s'arrĂŞtent sur un siphon Ă  +379 mètres.

En novembre 1965, un groupe d’adolescents accompagnĂ© de quatre adultes se font surprendre par une crue soudaine qui les bloque durant 17 heures dans les cuves. En 1967, le point haut des Cuves est atteint Ă  +432 m.

Le , les installations permettant les visites sont en grande partie détruites, à l'occasion d'une crue dévastatrice du Furon. La grille d'entrée est arrachée par les eaux en furie et deux spéléologues trouveront la mort dans le réseau du gouffre Berger[10]. Le site d'accueil du public sera ensuite reconstruit à l'identique.

Le XXIe siècle

En mai 2002, 25 personnes, dont 22 collégiens et leurs 3 accompagnants adultes, sont restés bloqués plusieurs heures par la montée des eaux dans les cuves[11] - [12]. Ils réussirent à ressortir les uns après les autres la nuit suivante, en traversant un boyau envahi par les eaux avec l'aide des sauveteurs du Spéléo secours Isère notamment[13].

Le , huit spéléologues, engagés dans les nombreuses galeries des Cuves de Sassenage, sont bloqués par la montée des eaux et ne réussissent à ressortir que le lendemain[14]. En 2015, les plongées des siphons de la galerie ouest et du siphon Bonneval pour jonctionner avec le gouffre Berger se poursuivent[15] - [16].

Le , sept personnes, en majorité de nationalité néerlandaise, accompagnées d'un guide, se retrouvent bloquées dans les galeries des Cuves après que d'abondantes chutes de pluie ont provoqué une subite montée des eaux. Une opération de secours permet de les dégager avant la nuit[17].

Le , trois spéléologues, deux guides et une enseignante, encadrant une sortie scolaire avec des élèves de collège, restent bloqués par une violente montée des eaux. Une des deux guides meurt en sauvant la dernière élève, emportée par les eaux, malgré sa grande expérience de spéléologue[18]. Les collégiens, grâce à l'action des encadrants, ont pu sortir du site avant la montée des eaux[19].

Localisation et description

Le site des cuves (au fond de la photo) est situé à proximité du bourg central de Sassenage.

Localisation

Les cuves de Sassenage se positionnent au pied d'une grande falaise, à quelques dizaines de mètres au-dessus du bourg ancien de Sassenage et de son église. L'entrée des cuves sont accessibles à pied depuis un parking situé dans le bourg.

Le site est également situé sur le territoire de la métropole de Grenoble et dans le canton de Fontaine-Vercors.

Description

Présentant une faune et une flore préservées, les cuves de Sassenage sont classées patrimoine naturel[20] et permettent de contempler les eaux limpides de la Germe (perte du Furon) en profitant de la proximité d'une grande agglomération. Ce lieu apparaît comme une grotte de développement moyen mesurant environ une douzaine de kilomètres de longueur.

La partie ouverte aux touristes permet de découvrir le « grand vestibule » marquant la jonction entre les deux entrées. Un torrent (le Germe) traverse cette partie et se jette à un niveau inférieur grâce à une belle cascade qui bénéficie d'un bel éclairage vers le bas par la partie dénommée « grotte Carrée ». L’intérieur se compose de galeries modestes, parcourues durant certaines périodes par un torrent et se terminant sur un bel espace souterrain dénommé « salle Saint-Bruno »[21].

La température de la grotte est de 12 °C toute l’année et celle-ci se développe sur l'exsurgence d'un affluent du Furon, le Germe.

Une coloration a révélé que les cuves de Sassenage sont en réalité une exsurgence en liaison avec le célèbre gouffre Berger, situé sur le proche plateau du Vercors. Une rivière souterraine, le Germe traverse les Cuves de Sassenage et a une origine triple : les eaux du plateau de Sornin[22], celles du plateau de Saint-Nizier et des pertes du Furon. Le sentier des cuves reste très pittoresque, car tout le long de la montée, le calcaire sénonien affleurant présente des fossiles d’organismes marins datant d'environ 115 millions d’années. Les cuves présentent une diversité remarquable de paysages souterrains : méandres, réseaux aquatiques, grosses galeries ébouleuses, marmites de géant, réseaux labyrinthiques.

Origine du nom

Ces grottes ont reçu le nom de cuves, du fait de leur particularité géologique : une légende évoque la présence de deux marmites creusées dans la pierre calcaire à l’entrée même des grottes et encore visible de nos jours. Selon la croyance des habitants du village, le fait que l’une ou l’autre de ces marmites était pleine d’eau, le jour des rois, permettait d'augurer que la saison allait être bonne pour la culture de la vigne ou pour la culture du blé[23].

Tourisme

Cette cavitĂ© est sommairement amĂ©nagĂ©e pour des visites touristiques guidĂ©es mais aussi des animations et d'autre parcours ludiques en hauteur dĂ©nommĂ©s « accrogrotte »[24]. L'office de tourisme est situĂ©, non loin des grottes, au château de Sassenage. La frĂ©quentation annuelle moyenne de la grotte est de 10 000 visiteurs[25].

Traditions et légendes

Les cuves prophétiques

De nombreux ouvrages anciens évoquent des cuves dites « prophétiques » par le simple fait que les cuves se remplissant d'eau tous les ans au moment de la fête de l'Épiphanie permettait d'indiquer aux villageois que la récolte allait être bonne, donnant ainsi à l'endroit un aspect miraculeux[26].

La bouche de l'enfer de Dante

L'Enfer, illustré par Gustave Doré (1861).

Depuis le fin du fond du Moyen Âge, les cuves sont classées quatrième merveille du Dauphiné dans le rang des Sept merveilles du Dauphiné. Selon une croyance de cette même époque, cette grotte qui rejetait les eux bouillonnantes d'un torrent dénommé le Germe ne pouvait qu'être une des portes de l'Enfer.

Certaines galeries portent des noms très évocateurs telle que la galerie des enfers ou l'allée des tombeaux. Pour ces raisons, de nombreux sites touristiques[27] - [28] considèrent que le poète italien Dante se serait inspiré des Cuves de Sassenage pour des passages de la Divine Comédie, notamment sa première partie sur L'Enfer, écrite en 1307 et 1321[29] - [30].

L'historien Claude Muller évoque dans son livre les Mystères du Dauphiné, paru aux Éditions De Borée, l'histoire de deux érudits grenoblois, Touvard et Richard, qui, à la suite de leur visite des cuves, décrivent les similitudes entre la grotte et certaines descriptions dans l'œuvre du poète[31].

La fée Mélusine

MĂ©lusine surprise par son Ă©poux, par Julius HĂĽbner.

Mélusine, dont le personnage est représenté sur la façade du château de Sassenage, est une femme légendaire originaire du Poitou, souvent vue comme fée. C'est une image célèbre des contes populaires et chevaleresques du Moyen Âge qui, étymologiquement, signifie « merveille » ou « brouillard de la mer ». Pour les Lusignan, on l’appelle « Mère Lusigne » (la mère des Lusignans), fondatrice de leur lignée. Dans le dictionnaire Littré, elle est appelée « Merlusigne », ce qui pourrait faire penser à une connotation aquatique.

À Sassenage, et selon un récit relaté par l'écrivain et historien grenoblois Nicolas Chorier[32], ce personnage est une sirène qui vit dans les « Cuves de Sassenage », depuis que son mari l'a surprise au bain, un samedi alors qu'elle subissait sa malédiction, c'est-à-dire d'être mi-femme mi-poisson un jour par semaine. Celle-ci ne pouvant, dès lors, reprendre sa forme initiale de femme, reste prisonnière de la grotte, se faisant de temps en temps entendre dans les « cuves » et annonçant, trois jours avant, la mort de ses descendants, membres de la famille de la Maison de Sassenage, les Béranger. Ses larmes se sont transformées en petits galets réputés magiques dénommés également « pierres d'hirondelle » et qui soignaient les troubles ophtalmiques.

Patrimoine faunistique

Les chiroptères

Chauve-souris type Vespertilion.

Un espace interne à la grotte se dénomme : « salle des Rataplanades ». Ce nom est dû à la présence de nombreuses chauves-souris dénommées rataplanades en patois dauphinois, car la grotte abritait autrefois de nombreuses espèces différentes de chiroptères, toujours présentes aux abords des cuves et dans les cavités du massif du Vercors[33].

La grotte, dans sa partie la moins fréquentée, héberge donc différentes espèces de chiroptera locales dont :

Il est extrêmement rares de rencontrer des chauves-souris car leur reproduction est limitée (un petit par an).

Représentation dans la peinture

Le peintre grenoblois Louis Vagnat (1841-1886) réalise Chemin des cimes à Sassenage représentant la montée vers ces cuves[34], parfois aussi intitulé Le chemin des Cuves de Sassenage.

Le chemin des Cuves de Sassenage de Louis Vagnat, entre 1860 et 1886 (musée de Grenoble)

Galerie

  • « Quelques photos du site des Cuves de Sassenage »
  • La montĂ©e en escalier vers les cuves de Sassenage.
    La montée en escalier vers les cuves de Sassenage.
  • La sortie des eaux, le « Germe ».
    La sortie des eaux, le « Germe ».
  • Vue intĂ©rieure du site : les Marmites de gĂ©ant ou cuves.
    Vue intérieure du site : les Marmites de géant ou cuves.
  • Passage en opposition.
    Passage en opposition.
  • Nodules de silex sur les parois des cuves.
    Nodules de silex sur les parois des cuves.
  • Passage de vire dans la partie non amĂ©nagĂ©e des Cuves de Sassenage.
    Passage de vire dans la partie non aménagée des Cuves de Sassenage.

Accès

Bien que se positionnant en bordure immédiate de la falaise, ces grottes sont situées en pleine zone urbaine et sont desservies par des lignes de bus du réseau de transports en commun de l'agglomération de Grenoble (réseau SEMITAG), telles que

Ce site s'ouvre sur un petit parking (dit des Prés), d'un accès très étroit pour les véhicules et qui ne peut recevoir qu'un nombre très limité de véhicules (une vingtaine de places). Deux autres parkings plus vastes sont situés près de l'église de Sassenage et de l'école municipale du bourg, soit à moins de deux cents mètres du premier parking.

Près de ce parking, un espace est aménagé pour les visiteurs (panneaux, bancs, tables). L'accès piétonnier au site (chemin en dévers avec de nombreuses marches) demande une condition physique incompatible avec un handicap moteur. L'accès par la rivière est interdit.

Notes et références

Notes

  1. En spéléologie, les mesures négatives ou positives se définissent par rapport à un point de référence qui est l'entrée du réseau, connue, la plus élevée en altitude.

Références

  1. Site annuaire de l'Isère, page sur les cuves de Sassenage
  2. Google Books, Histoire générale de tous les siècles de la nouvelle loy, page 69
  3. Google Books, Lettres inédites de Duché de Vanci
  4. Google Books, le journal des savant pour l'année 1783, page 219
  5. Google Books, Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France page 640
  6. Google Books, Dictionnaire critique des reliques et des images miraculeuses
  7. Le petit futé, Alpes, 2017-2018.
  8. Google Books, Guide du voyageur en France, page 175
  9. « Naissance du SGCAF : De Jeunes amis pratiquant la spéléo vont créer le SGCAF… », sur Spéléos grenoblois du club alpin français (consulté le ).
  10. Site du gouffre berger sur la crue de 1996 et la mort de deux spéléologues
  11. Site ssi.fr, page sur les cuves de Sassenage.
  12. « Hydrologie des crues-Application aux Cuves de Sassenage », sur docplayer.fr (consulté le ).
  13. Dauphiné Libéré, édition du 23/07/2014 : Cuves de Sassenage : les huit spéléologues sont sortis.
  14. Site de France 3 régions, page sur les 8 spéléologues bloqués en 2014
  15. Serge Caillault, « Les Cuves de Sassenage -Source du gouffre Berger. », Spéléo Magazine no 94,‎ , p. 20-27 (ISSN 1629-1573)
  16. Xavier Meniscus, « Conférence sur les Cuves de Sassenage », Le fil-Bulletin de liaison de la commission nationale de plongee souterraine, no 28,‎ , p. 17-21 (lire en ligne)
  17. Site du Dauphiné, article "Bloqués dans les Cuves de Sassenage..."
  18. « Le spéléo secours Isère en deuil », (consulté le )
  19. « Métropole grenobloise. Secours spéléologique aux Cuves de Sassenage : la guide est décédée en portant secours à une collégienne », sur www.ledauphine.com (consulté le )
  20. Site echosciences-grenoble.fr, page sur les cuves de Sassenage, consulté le 20 septembre 2019
  21. Site du comité départemental de spéléologie de l'Isère, page sur les Cuves
  22. Parc naturel régional du Vercors, « Les Cuves de Sassenage » [PDF], sur parc-du-vercors.fr, (consulté le ).
  23. Site c-agir, page sur les cuves de Sassenage
  24. Site de la ville de Sassenage sur les cuves
  25. [PDF] pro.isere-tourisme.com
  26. Google Books, Dictionnaire critique des reliques et des images miraculeuses, Volume 1, page 229
  27. Site c-agir net
  28. Site accrogrotte
  29. Site de c-agir, page sur sassenage
  30. Guide de la ville de sassenage, page 19
  31. Google Books, Livre "les mystère du dauphiné"
  32. Site du Château de Sassenage, page sur Mélusine
  33. Site accrogrotte, page du site touristique
  34. Base Joconde, Chemin des cimes Ă  Sassenage.

Voir aussi

Bibliographie

  • AndrĂ© Bourgin, « Circulations souterraines: Les Cuves de Sassenage », revue de gĂ©ographie alpine, vol. 42,‎ , p. 457-464 (lire en ligne, consultĂ© le ).
  • Jean-Jacques Delannoy et Richard Maire, « Les grandes cavitĂ©s alpines. RĂ©partition et contexte hydrogĂ©ologique », revue Karstologia, vol. 3,‎ , p. 65 (lire en ligne, consultĂ© le ).
  • Jean-Jacques Delannoy, Association française de karstologie, « Le Vercors : un massif de la moyenne montagne alpine », Karstologia : revue de karstologie et de spĂ©lĂ©ologie physique de la FĂ©dĂ©ration française de spĂ©lĂ©ologie et de l'Association française de karstologie, Paris, FĂ©dĂ©ration française de spĂ©lĂ©ologie, no 1,‎ 1er semestre 1984, p. 44 (ISSN 0751-7688, lire en ligne, consultĂ© le ).
  • Serge Caillault, Dominique Haffner et Thierry Krattinger, SpĂ©lĂ©o sportive dans le Vercors-Tome 1, Aix-en-Provence, Edisud, , 23-27 p. (ISBN 2-85744-897-X).
  • Beaudouin Lismonde et ComitĂ© dĂ©partemental de spĂ©lĂ©ologie de l'Isère., Les Cuves de Sassenage, Grenoble, ComitĂ© dĂ©partemental de spĂ©lĂ©ologie de l'Isère, , 192 p., A4 (ISSN 0336-0326, prĂ©sentation en ligne).
  • Serge Caillault, « Les Cuves de Sassenage-Source du gouffre Berger », SpĂ©lĂ©o, Corenc, SpĂ©lĂ©o magazine, no 94,‎ , p. 20-27 (ISSN 1629-1573).

Articles connexes

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