Accueil🇫🇷Chercher

Communay

Communay est une commune française située dans le département du Rhône, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie des communes dites de l'Est lyonnais.

Communay
Communay
Vue générale.
Blason de Communay
HĂ©raldique
Communay
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement RhĂ´ne
Arrondissement Lyon
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de l'Ozon
Maire
Mandat
Jean-Philippe Choné
2020-2026
Code postal 69360
Code commune 69272
DĂ©mographie
Gentilé Communaysards, Communaysardes
Population
municipale
4 455 hab. (2020 en augmentation de 6,6 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 423 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 36′ 19″ nord, 4° 50′ 08″ est
Altitude Min. 210 m
Max. 359 m
Superficie 10,54 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Lyon
(banlieue)
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Saint-Symphorien-d'Ozon
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Communay
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Communay
GĂ©olocalisation sur la carte : RhĂ´ne
Voir sur la carte topographique du RhĂ´ne
Communay
GĂ©olocalisation sur la carte : RhĂ´ne
Voir sur la carte administrative du RhĂ´ne
Communay
Liens
Site web communay.fr

    GĂ©ographie

    Communay se situe à moins de 20 km du centre-ville de Lyon, à 12 km de Vienne et à 8 km de Givors. Sa situation sur une colline surplombant les environs offre un point de vue dégagé sur les environs. Lyon, les monts du Lyonnais et les monts d'Or, les massifs du Mont-Blanc et du Vercors, ainsi que le Pilat et la Côtière de l'Ain sont visibles depuis la colline du château d'eau. Le territoire communal se trouve au-dessus du bassin houiller de la Loire.

    Voies routières

    A46 au niveau de la sortie 16, vers Marseille.

    La commune est desservie par l'autoroute A46 (sortie 16). La route nationale 7 traverse le hameau des Pins et fait office de limite communale à l'est. La route départementale 150 forme l'axe principal du village et permet de rallier les communes environnantes.

    Transports en commun

    Communay est desservie par les lignes 111 et 113 des cars du Rhône reliant respectivement Vienne et Givors à Vénissieux, ainsi que par un service de navettes TER vers Sérézin.

    Urbanisme

    Typologie

    Communay est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Lyon, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 124 communes[4] et 1 653 951 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomĂ©ration de Lyon est la deuxième plus importante de la France en termes de population, derrière celle de Paris[5] - [6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[7] - [8].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,9 %), zones agricoles hétérogènes (18,3 %), zones urbanisées (16,1 %), forêts (10,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,4 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Histoire

    Époque romaine

    Le site de la commune était déjà occupé à l'époque romaine, en témoigne une pierre gravée retrouvée sur l'une des pierres de l'église. Le nom de la commune serait d'ailleurs d'origine romaine[11]. Le site occupé est celui dit de Saint Lazare au niveau de l'actuelle autoroute. Des fosses Gallo-romaines ont été trouvées dans le secteur de Charvas

    Moyen Ă‚ge

    Mais ce n'est qu'en 910, dans une des chartes, qu’apparaît la première mention du village, sous le nom "Cominiaco". La première église, celle de Saint-Lazare aujourd'hui disparue, ainsi que la deuxième, l'actuelle, Saint-Pierre, ont été citées pour la première fois en 951, mais l'église actuelle n'était alors que la chapelle de l'ancien château. Son clocher ne fut construit que vers le XIIIe siècle. Communay et sa seigneurie sont alors propriété féodale de l'Église de Vienne depuis 1013 et le resteront jusqu'en 1789[12].

    L'Ă©glise du village, surplombant celui-ci.

    Temps modernes

    Communay, alors bourg agricole verra apparaître les premières activités industrielles tout à la fin du XVIIIe siècle. La mine fut ouverte peu après.

    La mine

    Une action de la mine d'anthracite.

    De 1748 datent les premiers Ă©crits sur l'existence du charbon Ă  Communay oĂą il est utilisĂ© pour se chauffer, sous forme de « terre noire » par les habitants du hameau de Bayettan oĂą il affleure. Dès 1812, on engage les premières prospections Ă  des fins industrielles. En 1833, deux concessions, l'une Ă  Communay, l'autre Ă  Ternay, sont accordĂ©es sur ordonnance du roi Louis-Philippe Ier et se limitent Ă  km2. L'exploitation dĂ©bute en 1834 par un premier puits Ă  Bayettan (aussi appelĂ© Puits Mallard ou Veuve Mallard. En 1884, on compte cinq puits Ă  Communay : Bayettan, Gueymard, EspĂ©rance, Sainte-Lucie et Saint-AndrĂ©. De 1898 Ă  1912, l'exploitation est rĂ©gulière 30 000 Ă  40 000 tonnes par an avec 300 Ă  400 ouvriers. En 1907 il y a mĂŞme pĂ©nurie de main d’œuvre ce qui entraĂ®ne l'arrivĂ©e de mineurs italiens, marocains et polonais. Des grèves, des bagarres Ă©clatent. On ne compte pas moins de 13 bistrots. Parallèlement Ă  ces grèves, on dĂ©couvre aussi des malversations de la part des actionnaires et les bĂ©nĂ©fices disparaissent, des procès sont intentĂ©s. En 1927 a lieu la première fermeture de la mine de Communay.

    À partir de 1898 il a existé un chemin de fer à voie étroite reliant la mine de Communay à la gare de Chasse-sur-Rhône, le matériel ainsi que les rails ont été vendus à un ferrailleur en 1938.

    En 1941, on a dĂ©jĂ  extrait 650 000 tonnes de la mine d'anthracite de Communay et les rĂ©serves sont estimĂ©es Ă  3 000 000 tonnes. Le , au cours de la descente d'une pompe « d'exhaure », destinĂ©e Ă  faire baisser le niveau de l'eau au puits EspĂ©rance qu'on veut remettre en activitĂ©[13], deux ouvriers trouvent la mort tandis que le directeur, monsieur Marcel Deparis[14], est gravement blessĂ©. Cet accident fait suite Ă  d'autres : en 1845, un mort par chute de benne, en 1879, trois morts par chute de bloc, en 1902, blessure par treuil Ă©lectrique, en 1908 un mineur est tuĂ© par un wagonnet, bien que la mine ne soit pas sujette au coup de grisou.

    En 1951, la mauvaise rentabilité et qualité du charbon, l'épuisement de certains filons, la concurrence d'autres mines davantage mécanisées entraînent la fermeture. Tout est très vite démoli pour rendre une reprise éventuelle impossible, et ce, malgré l'opposition des mineurs de Communay impuissants et déçus. Aujourd’hui, le site Internet des Amis de la mine de Communay[15] présente un historique de cette activité.

    • Les houillères de Communay.
    • Le puits EspĂ©rance et son chevalement en bois.
      Le puits Espérance et son chevalement en bois.
    • Sortie du puits Sainte-Lucie (Ă  droite) en 1911. Le puits EspĂ©rance est visible au fond Ă  gauche.
      Sortie du puits Sainte-Lucie (à droite) en 1911. Le puits Espérance est visible au fond à gauche.
    • Le puits Sainte-Lucie.
      Le puits Sainte-Lucie.

    Époque contemporaine

    Ă€ cette pĂ©riode suivit, lors de l'après-guerre, la pĂ©riurbanisation. La commune fut alors rattachĂ©e au dĂ©partement du Rhone en vue d'un rattachement futur Ă  l'agglomĂ©ration lyonnaise. Une vĂ©ritable explosion dĂ©mographique se produit alors : de 1 062 habitants en 1962, on en compte presque 4 000 en 1999. De nombreux lotissements sont construits et la commune dut alors se munir de nombreux Ă©quipements pour suivre cette nouvelle Ă©volution : nouvelles Ă©coles, gymnase...

    Changement de département

    Initialement rattachée au département de l'Isère, la commune de Communay est transférée, comme l'ensemble du canton de Saint-Symphorien-d'Ozon, au département du Rhône par la loi no 67-1205 du .

    Politique et administration

    La mairie.

    Administration municipale

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    ? ? M. Gordin Maire en 1895
    ? ? Claudius GĂ©taz Maire en 1920
    avant 1988 1995 Bernard Tenet PS
    1995 mars 2001 Michel Pras Enseignant
    mars 2001 mars 2008 Serge Merguerian SE-DVD
    mars 2008 mars 2014 Laurent Verdone DVG Ingénieur mécanicien
    Vice-président de la CC du Pays de l'Ozon
    mars 2014 En cours
    (au 27 mai 2020)
    Jean-Philippe Choné SE Ingénieur retraité
    Vice-président de la CC du Pays de l'Ozon
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[16]
    Les données manquantes sont à compléter.

    Conseil municipal de Communay (2020-2026)

    GroupeListeEffectifStatut
    SE« Communay en action »22majorité
    DVC« J'aime Communay »5opposition

    Intercommunalité

    La commune fait partie de la communauté de communes du Pays de l'Ozon.

    Population et société

    DĂ©mographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[18].

    En 2020, la commune comptait 4 455 habitants[Note 3], en augmentation de 6,6 % par rapport Ă  2014 (RhĂ´ne : +4,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    460499672649712766756709775
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    818739732700681768700662696
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    9571 0661 130855759848770821894
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 0621 2471 8592 3562 9183 8833 9133 9224 128
    2018 2020 - - - - - - -
    4 2194 455-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee Ă  partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Porte d'accès à la mairie.

    Communay possède une école maternelle, une école primaire et un collège public, rénové en 2013.

    Santé

    Un cabinet médical est installé au dessus de la pharmacie, route de Ternay. Le cabinet dentaire se trouve au centre du village, près du bureau de poste. D'autres services médicaux existent et sont répartis dans la commune[21].

    Sports

    Le Sud Lyonnais Football, créé par la fusion des clubs de L'AS Communay et du FCSSR, joue au stade de la plaine, qui va être réaménagé.

    Sans oublier le Basket Club Communay Ternay (BCCT) qui dans une région de grande culture de basket a su faire sa place.

    Le club des Archers de Cornavan que l'on peut apercevoir très régulièrement près du gymnase de la plaine, sur un pas de tir extérieur et un pas de tir intérieur au gymnase du collège.

    Cadre de vie

    La partie sud du territoire communal est recouverte par le bois de Cornavan, que l'on traverse en empruntant la nationale 7.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 44 253 €, ce qui plaçait Communay au 1 002e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[22].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le chevalement reconstituĂ© du puits EspĂ©rance et les divers vestiges miniers, notamment des terrils.
    • Patrimoine minier.
    • Chevalement reconstituĂ© du puits EspĂ©rance.
      Chevalement reconstitué du puits Espérance.
    • Le château d'eau du puits EspĂ©rance.
      Le château d'eau du puits Espérance.
    • Le terril du puits Sauveur.
      Le terril du puits Sauveur.
    • L'Ă©glise Saint-Blaise.
    • Le lavoir.
    • Le lavoir.
      Le lavoir.
    • L'Ă©glise Saint-Blaise.
      L'Ă©glise Saint-Blaise.

    Manifestations culturelles et festivités

    La commune de Communay voit se dérouler différents événements culturels tout au long de l'année, pour citer quelques exemples :

    • la Vogue (fĂŞte foraine) au mois de mai ;
    • la fĂŞte de l'automne est organisĂ©e chaque annĂ©e dĂ©but octobre ;
    • les JOA (journĂ©es de l'occasion astronomique) reviennent chaque annĂ©e au printemps et mĂŞlent animations sur le thème de l'astronomie et ventes de matĂ©riel d'occasion[23]

    L'association l'Étincelle de Communay organise de nombreuses animations (la fête d'automne, le Noël des enfants, le carnaval, la fête de la musique, art et jardins, les séances de cinéma, les spectacles).

    Personnalités liées à la commune

    • Le cavalier Jean Simian a reçu avec trente autres soldats mĂ©ritants la toute première LĂ©gion d'honneur.
    • Samuel Dumoulin (nĂ© en 1980), cycliste professionnel.

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Lyon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Robert Vayer, L'église Saint-Pierre de Communay, deuxième semestre 1993, p. 10.
    12. Robert Vayer, L'église Saint-Pierre de Communay, deuxième semestre 1993, p. 12.
    13. les gens avaient détourné une rivière pour noyer les galeries de la mine pour éviter qu'elles s'écroulent
    14. Monsieur Deparis fut le dernier directeur de la mine de Communay.
    15. Le site des Amis de la mine
    16. « Jean-Philippe Choné ré-élu maire a souhaité à tous les élus un mandat serein et productif », Le Progrès,‎ (lire en ligne).
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    21. « communay.fr/spip.php?rubrique4… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
    22. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
    23. (en) « Astrozorg.fr », sur astrozorg.fr (consulté le ).

    Bibliographie

    • Robert Vayer, L'Ă©glise Saint-Pierre de Communay, Saint-Etienne, Imprimerie Dumas, , 55 p. (ISBN 2-9507873-0-4).
    • Robert Cluze et Paul Bertrand, ...Ă  Communay, LA MINE..., Lyon, Imprimerie DEP, .

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.