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Collonge-Bellerive

Collonge-Bellerive est une commune suisse du canton de Genève, située au bord du lac Léman.

Collonge-Bellerive
Collonge-Bellerive
Collonge-Bellerive vue du ciel.
Blason de Collonge-Bellerive
Armoiries
Collonge-Bellerive
Logo
Administration
Pays Drapeau de la Suisse Suisse
Canton Drapeau du canton de Genève Genève
Communes limitrophes Corsier, Meinier, Choulex, Vandœuvres, Cologny
Maire
Mandat
Philippe Thorens (Le Centre)
2023-2024
NPA 1222 VĂ©senaz
1245 Collonge-Bellerive
No OFS 6616
DĂ©mographie
Gentilé Collongeois ou Collongeais, Bellerivien
Population
permanente
8 445 hab. (31 dĂ©cembre 2020)
DensitĂ© 1 380 hab./km2
Langue Français
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 15′ 27″ nord, 6° 12′ 25″ est
Altitude 414 m
Min. 374 m
Max. 473 m
Superficie 6,12 km2
Localisation
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Collonge-Bellerive
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Collonge-Bellerive
Liens
Site web www.collonge-bellerive.ch
Sources
Référence population suisse[1]
Référence superficie suisse[2]

    GĂ©ographie

    Lieux-dits de la commune de Collonge-Bellerive.
    La Belotte et Vésenaz: photo aérienne prise à 100 m par Walter Mittelholzer (1934)

    La commune de Collonge-Bellerive s'Ă©tend sur 6,12 km2[2]. 58,4 % de cette superficie correspond Ă  des surfaces d'habitat ou d'infrastructure, 37,0 % Ă  des surfaces agricoles, 4,1 % Ă  des surfaces boisĂ©es et 0,5 % Ă  des surfaces improductives.

    Sur la superficie totale, les surfaces d'infrastructures comportent 1,3 % de bâtiments industriels, 45,9 % de logements et 2,8 % de parcs ou terrains de sports alors que les surfaces agricoles contiennent 21,4 % de cultures, 13,7 % de vignes et 2,0% de pâturages. Les surfaces boisées sont composées de 2,5% de forêts denses et de 1,6 % de vergers. Les lacs contiennent toute l'eau de la municipalité.

    La commune se trouve sur la rive gauche du Léman et comprend les localités ou sous-sections de Collonge, Bellerive, Vésenaz, La Capite, La Pallanterie, La Gabiule, La Californie, La Combe et Saint-Maurice. Elle est limitrophe de Corsier, Meinier, Choulex, Vandœuvres et Cologny.

    Histoire

    Enserrée entre le Chablais et les possessions territoriales de la République de Genève, cette région limitrophe du Faucigny causa bien du tourment aux autorités genevoises, tout au long de son histoire.

    Si l'on peut affirmer que l'église de Collonge existe au moins depuis 1153, la paroisse, quant à elle, est certainement plus ancienne. Jusqu'à la Réforme, elle dépendait du prieuré de Saint-Jean-hors-les-murs.

    Le fief de Bellerive a brièvement appartenu à la famille de Reynold, famille de Gardes suisses[3].

    Vers la fin de la guerre d'indépendance de Genève, le territoire de Collonge-Bellerive posa de nouveaux problèmes politiques à sa voisine, dus à la présence des Bernois qui entendaient y maintenir leur souveraineté. Collonge-Bellerive revint à la Savoie pour finalement être cédée à Genève par le traité de Turin du 16 mars 1816.

    Politique

    La commune est dirigée par un Conseil administratif (exécutif) et un Conseil municipal (législatif).

    Conseil administratif

    Le Conseil administratif compte trois membres[4].

    Il est composé de deux représentants du Parti libéral-radical (un radical et un libéral avant la fusion des deux partis) et d'un représentant du Parti démocrate-chrétien (devenu Le Centre) depuis le début du siècle[5] - [6] - [7] - [8] - [9] - [10].

    Une règle tacite limite les mandats à trois législatures[11].

    Carte des communes de Suisse au 1er janvier 2020.
    Composition actuelle (législature 2020-2025)
    Identité Étiquette Fonction
    (période 2023-2024)
    Dicastères
    Philippe Thorens Le Centre Maire Personnel et informatique
    Bâtiments et logement
    Social
    Parascolaire
    Culture
    Carole Lapaire PLR Conseiller administratif Aménagement
    Cimetières
    Environnement et développement durable
    Juridique et naturalisations
    État civil
    Scolaire
    Marcel Goehring PLR Conseiller administratif Finances
    Sécurité
    Routes et infrastructures
    Sports

    Conseil municipal

    Le Conseil municipal compte 23 membres depuis 2020[12].

    Le nombre de conseillers municipaux est défini par le droit cantonal en fonction du nombre d'habitants de la commune et arrêté par le Conseil d'État.

    Les conseillers municipaux sont élus au scrutin proportionnel, avec un seuil électoral (appelé quorum) fixé à 7 %, pour un mandat de cinq ans - .

    Le bureau est composé d'au moins trois membres (président, vice-président et secrétaire), dont au moins un membre de chaque groupe représenté au Conseil municipal[13].

    Les groupes d'au moins trois membres sont représentés de manière aussi proportionnelle que possible au sein des commissions[14]. La dernière élection en date a lieu le . En raison de l'augmentation de la population domiciliée dans la commune, deux sièges supplémentaires sont à pourvoir par rapport à la législature précédente[15].

    Le PLR (- 8,31 %) et, dans une moindre mesure le PDC renommé Le Centre après les élections (- 1,49 %), enregistrent un recul du pourcentage de suffrages obtenus mais maintiennent leur nombre de sièges (13 et 6 respectivement). L'élection voit l'accession des Vert'libéraux (11,26 %) au législatif, avec deux sièges. Alternative communale (10,21 %) remplace Nouvelles forces et décroche deux mandats, soit le même nombre de sièges que l'ancienne formation[16]. Au total, le législatif compte plus d'un tiers de nouveaux élus[15]. Le taux de participation s'élève à 41,99 %[16].

    Résultats détaillés
    Partis Voix Suffrages en % +/- Sièges +/-
    Parti libĂ©ral-radical 1 132 51,21 % en diminution 8,31
    13 / 23
    en stagnation 0
    Parti démocrate-chrétien

    renommé Le Centre

    586 27,32 % en diminution 1,49
    6 / 23
    en stagnation 0
    Vert'libéraux 258 11,26 % en augmentation 11,26
    2 / 23
    en augmentation 2
    Alternative 238 10,21 % en augmentation 10,21
    2 / 23
    en augmentation 2

    Population et société

    Gentilés et surnoms

    Les habitants de la localité de Collonge se nomment les Collongeois[17] ou les Collongeais[18].

    Les habitants de la localité de Bellerive se nomment les Belleriviens[19], ceux de La Capite sont surnommés les Citoyens (déformation de mitoyens, La Capite se situant à la limite de deux communes) et les Fumeurs de Pipe[20].

    DĂ©mographie

    Collonge-Bellerive compte 8 445 habitants au 31 dĂ©cembre 2020 pour une densitĂ© de population de 1 380 hab/km2[1]. Sur la pĂ©riode 2010-2019, sa population a augmentĂ© de 8,9 % (canton : 10,1 % ; Suisse : 9,4 %)[2].

    Évolution de la population de Collonge-Bellerive entre 1850 et 2020[21] - [1]

    Sports et associations

    • FC Saint-Paul, football
    • Tennis Club de Collonge-Bellerive (TCCB)
    • KaratĂ© Club de Collonge-Bellerive (KCCB)
    • Club d'Aviron VĂ©senaz (CAV)
    • Judo Club de Collonge-Bellerive (JCCB)
    • Collonge-Bellerive Wake Sport Center
    • La Californienne, club de pĂ©tanque
    • Collonge Basket Club
    • Club de l'Etrier
    • Club Nautique de la Baie de Corsier
    • Gymnastique GSF
    • Gymnastique des AĂ®nĂ©s
    • Cerfs-Volistes (ACK Kinkikite)
    • Manège de La Pallanterie
    • Yacht Club de Corsier-Port
    • Sapeurs Pompiers de Collonge-Bellerive

    Économie

    La commune, après un passé voué à l'agriculture, a aujourd'hui une vocation essentiellement résidentielle. On y compte toutefois de nombreuses entreprises artisanales, des commerces et des professions libérales.

    Culture et patrimoine

    Curiosités

    La réserve naturelle de la Pointe à la Bise est l'une des plus anciennes réserves naturelles du canton, elle fut classée par le Conseil d'État en 1933. Depuis les temps les plus anciens, les habitants de Collonge et de Vésenaz y avaient leurs pâturages communs, et c'est sous la dénomination de « communaux » que la Bise apparaît dans les premiers documents qui nous sont parvenus : des reconnaissances féodales passées en 1432 en faveur de l'abbaye de Bellerive qui possédait des terres environnantes.

    Monuments

    Le site palafittique Bellerive I est compris dans l'ensemble des 111 sites palafittiques préhistoriques autour des Alpes classés au patrimoine mondial de l'UNESCO en 2011. Il est également inscrit dans la liste des biens culturels d'importance nationale, tout comme le château de Bellerive et la villa-chalet du prince Essling. Enfin, la ferme Rivollet (qui accueille actuellement la mairie) et la maison forte de Vésenaz sont inscrits comme biens culturels d'importance régionale.

    Armoiries

    Ces armes sont celles de la famille de Plonjon, devenus seigneurs de Bellerive en 1565 en obtenant les biens confisqués aux cisterciennes de Bellerive par la Réforme et l'occupation bernoise ; criblés de dettes, les Plonjon s'en débarrassèrent en 1666. Cette famille donna par ailleurs plusieurs magistrats à la république de Genève. Le syndic Louis Plonjon fut un des membres du parti des Eidguenots du temps de Berthelier.

    Ports

    • Port de Bellerive
    • Port de la Gouille
    • Port de la Savonnière

    À Vésenaz et La Pointe à la Bise

    • François Favre (~1483-1551), drapier et homme politique genevois[22], un des propriĂ©taires successifs du château de VĂ©senaz.
    • Pietro Giannone (1676-1748), historien et jurisconsulte italien, a Ă©tĂ© arrĂŞtĂ© au château de VĂ©senaz, le 24 mars 1736[23].
    • Albert Wessel (1829-1885), notaire et homme politique suisse[24], a habitĂ© au 41 route de Thonon.
    • Jules-ThĂ©odore Boutier de Catus (1838-1910), ingĂ©nieur belge, a habitĂ© au 21 chemin des Rayes[25].
    • Jacques-ElysĂ©e Goss (de) (1839-1921), architecte suisse, a terminĂ© sa vie Ă  VĂ©senaz.
    • Victor-Auguste Godinet (1853-1936), industriel français, a eu pour rĂ©sidence secondaire la villa "Les Hirondelles", alors 18 chemin de Botterel.
    • Émile Schaer (1862-1931), astronome suisse, a terminĂ© sa vie Ă  VĂ©senaz.
    • Alexandre Scriabine (1871-1915), pianiste et compositeur russe, a habitĂ© la villa "Les Lilas", 1bis chemin du Vieux-VĂ©senaz, oĂą il a composĂ© son Poème de l'extase.
    • Édouard Folliet (1881-1972), professeur de technique commerciale Ă  la FacultĂ© des sciences Ă©conomiques et sociales de Genève[26], a habitĂ© au 31 route de Thonon.
    • Marc-Joseph Saugey (1908-1971), architecte suisse, est nĂ© au 88 route de Thonon.
    • Ferdinand Denzler (en) (1909-1991), sculpteur suisse, a habitĂ© et eu son atelier dans la propriĂ©tĂ© "La Solitude", alors 23 route d'Hermance.
    • Khaled ben Abdelaziz Al Saoud (1913-1982), roi d'Arabie saoudite, a eu une rĂ©sidence au chemin de Botterel.
    • Victor-Emmanuel de Savoie (1937), prĂ©tendant au trĂ´ne d'Italie, a fait construire et habitĂ© le 23 route d'Hermance.

    À Bellerive

    • Uwe Jens Lornsen (de) (1793-1838), juriste et homme politique allemand, s'est donnĂ© la mort sur la grève du lac, vraisemblablement vers l'actuel 39 chemin du Milieu[27].
    • AndrĂ© Massena (1829-1898), 4e prince d'Essling, a fait construire le Chalet des Roses, 27 chemin du Milieu.
    • Louis Eugène Dupont (1839-1901), ingĂ©nieur et consul suisse[28], a eu une rĂ©sidence secondaire au 29 chemin du Milieu.
    • Charles Hanford Henderson (en) (1861-1941), Ă©crivain amĂ©ricain, a sĂ©journĂ© au château de Bellerive qu'il Ă©voque dans John Percyfield : the anatomy of cheerfulness.
    • Emmerich von PflĂĽgl (1873-1956), diplomate autrichien, un des propriĂ©taires successifs du château de Bellerive.
    • Jacques Chenevière (1886-1976), homme de lettres[29], a eu une rĂ©sidence secondaire au Port-Bleu, 17 chemin du Milieu.
    • Francis Gallay (1888-1970), industriel suisse[30], a fait construire et habitĂ© la villa "Les Saules", 41 chemin du Port.
    • Somerville Pinkney Tuck (1891-1967), diplomate amĂ©ricain, un des propriĂ©taires successifs du château de Bellerive.
    • Georges-Henri Martin (1916-1992), homme de presse suisse[31], a habitĂ© au 16 chemin du Milieu.
    • Fahd ben Abdelaziz Al Saoud (~1920-2005), roi d'Arabie saoudite, a fait construire un palais au 17 chemin des Contamines.
    • Natacha de Senger (1925-2012), sculptrice suĂ©doise, a habitĂ© et fondĂ© le Festival de Bellerive au 38 chemin du Milieu.
    • Sadruddin Aga Khan (1933-2003), Haut Commissaire des Nations unies pour les RĂ©fugiĂ©s, un des propriĂ©taires successifs du château de Bellerive.
    • Keith Richards (1943), guitariste britannique, a sĂ©journĂ© au château de Bellerive.
    • Dinara Kulibayeva NazarbaĂŻeva (1967), femme d'affaires kazakhe, propriĂ©taire actuelle du château de Bellerive et du Chalet des Roses.

    À Saint-Maurice et La Pallanterie

    • Hugues Bolard (cit. 1469-av. 1524), peintre genevois[32], a eu une propriĂ©tĂ© sous Saint-Maurice, vers l'actuel 7 du chemin de la Gentille.
    • Jean Contoz (av. 1515-ap. 1527), architecte savoyard[33], a vĂ©cu Ă  l'actuel 23 chemin Prudent-Balland ou Ă  son emplacement.
    • Jacques Jacobi (1877-1957), peintre suisse, a habitĂ© la propriĂ©tĂ© "La Sauvigne", 9 chemin Prudent-Balland.
    • Cecil von Renthe-Fink (1885-1964), diplomate allemand, a habitĂ© la maison de maĂ®tre alors au 102 chemin de la Dame.
    • Maurice Barraud (1889-1954), peintre suisse, a habitĂ© au 22 chemin Prudent-Balland.
    • NoĂ©mi Raymond (en) (1889-1980), artiste et designer amĂ©ricano-française, a habitĂ© Saint-Maurice.
    • Pierre Cailler (1901-1971), Ă©diteur suisse[34], a habitĂ© au 229 route de La Capite. Ses Ă©ditions portent toutefois l’adresse « Ă€ VĂ©senaz ».
    • Henri Verneuil (1920-2002), cinĂ©aste français, a habitĂ© au 41 chemin des PrĂ©s-Galland.
    • Tom Tscherning (sv) (1930-2017), diplomate suĂ©dois, a habitĂ© la propriĂ©tĂ© « La Sauvigne », 9 chemin Prudent-Balland.

    À Caran

    • Sophie de Niederhausern (1856-1926), peintre suisse, a habitĂ© une villa alors au 8 chemin Sous-Caran.
    • Louis GuĂ©ry (1871-1904), Ă©crivain suisse, a vĂ©cu au 37 chemin Sous-Caran, siège actuel du foyer « Les Écureuils GuĂ©ry ».
    • Edgar Brandt (1880-1960), industriel français, a Ă©tĂ© un des propriĂ©taires successifs de la villa Chenevière, 15 chemin de Bois-Caran.
    • Bernard Sabrier (1953), homme d'affaires suisse, a Ă©tĂ© un des propriĂ©taires successifs de la villa Chenevière.

    À La Capite

    • Émile Cambessedès (de) (1826-1891), enseignant et homme politique suisse[35], a habitĂ© au 202 route de La Capite.
    • Jean Brocher (1899-1979), cinĂ©aste suisse[36], a habitĂ© au 14d chemin des Champs de Chaux.
    • Georges Amoudruz (1900-1975), spĂ©lĂ©ologue et ethnologue suisse, a habitĂ© au 202 route de La Capite.
    • Bob Azzam (1925-2004), chanteur Ă©gyptien, a habitĂ© une villa alors au 7a chemin des CrĂŞts.

    À Cherre et La Gabiule

    À Collonge

    • Antoine Froment (1509-1581), pasteur dauphinois, a brièvement desservi la paroisse protestante de Collonge vers 1537.
    • François de Reynold (1642-1722), Lieutenant gĂ©nĂ©ral des armĂ©es du roi de France, membre du Conseil de la Guerre, Colonel gĂ©nĂ©ral des Suisses et des Grisons, dont la famille a brièvement possĂ©dĂ© le fief de Bellerive[3].
    • Jean-Baptiste Tessières de Boisbertrand (1809-1876), fondateur de Cayastá (es) en Argentine, a rĂ©sidĂ© Ă  Collonge[37].
    • Joseph DĂ©ruaz (1826-1911), Ă©vĂŞque de Lausanne et Genève, a passĂ© son enfance Ă  Collonge, paroisse de ses grands-parents maternels[38].
    • Willy Vuilleumier (1898-1983), sculpteur suisse, a eu son atelier Ă  l'emplacement du 172 de la route d'Hermance.

    Liens externes

    Références

    1. « Bilan démographique selon le niveau géographique institutionnel », sur Office fédéral de la statistique (consulté le ).
    2. « Portraits régionaux 2021: chiffres-clés de toutes les communes » Accès libre [xls], sur Office fédéral de la statistique (consulté le ).
    3. Yves du Parc-Locmaria, « En cherchant un bâton de maréchal », Annales fribourgeoises,‎ , p. 114-128, 137-168 (lire en ligne)
    4. « Collonge-Bellerive en ligne: Conseil administratif », sur www.collonge-bellerive.ch (consulté le )
    5. « Collonge-Bellerive - Résultats détaillés - Premier tour de l'élection des exécutifs communaux du 15 mars 2020 », sur www.ge.ch (consulté le )
    6. « Résultats de l'élection du 19 avril 2015 - Commune de Collonge-Bellerive », sur www.ge.ch (consulté le )
    7. « Collonge-Bellerive - Résultats des élections administratives du 17 avril 2011 », sur www.ge.ch (consulté le )
    8. « Collonge-Bellerive Résultats des élections administratives du 29 avril 2007 », sur www.ge.ch (consulté le )
    9. « Résultats des élections administratives du 4 mai 2003 - Commune de Collonge-Bellerive », sur www.ge.ch (consulté le )
    10. « Collonge-Bellerive - Résultats détaillés - Second tour de l'élection des exécutifs communaux du 2 mai 1999 », sur www.ge.ch (consulté le )
    11. Chloé Dethurens, « Ils ont marqué la politique communale – Ses yeux brillent toujours pour sa commune », sur Tribune de Genève, (consulté le )
    12. « Communiqué de presse du Conseil d'État - Composition des conseils municipaux et des exécutifs communaux pour les élections communales de 2020 », sur site officiel du canton de Genève, (consulté le )
    13. CH, GE. « Règlement du 5 novembre 2013 du Conseil municipal de la Commune de Collonge-Bellerive », art. 11 [lire en ligne]
    14. CH, GE. « Règlement du 5 novembre 2013 du Conseil municipal de la Commune de Collonge-Bellerive », art. 80 [lire en ligne]
    15. Écho - L'information du Conseil administratif de la commune de Collonge-Bellerive, Un Déliberatif tout neuf, décembre 2020, p. 3 [lire en ligne (page consultée le 28.8.2021)]
    16. « Collonge-Bellerive - Résultats détaillés - Élection des conseils municipaux du 15 mars 2020 », sur site officiel du canton de Genève (consulté le )
    17. « Collonge-Bellerive en ligne: Portrait », sur www.collonge-bellerive.ch (consulté le )
    18. Paul Fehlmann, Ethniques, surnoms et sobriquets des villes et villages en Suisse romande, Haute-Savoie et alentour, dans la vallée d'Aoste et au Tessin, Genève, Jullien, , 274 p. (ISBN 2-88412-000-9), p. 33
    19. Paul Fehlmann, Ethniques, surnoms et sobriquets des villes et villages en Suisse romande, Haute-Savoie et alentour, dans la vallée d'Aoste et au Tessin, Genève, Jullien, , 274 p. (ISBN 2-88412-000-9), p. 11
    20. Paul Fehlmann, Ethniques, surnoms et sobriquets des villes et villages en Suisse romande, Haute-Savoie et alentour, dans la vallée d'Aoste et au Tessin, Genève, Jullien, , 274 p. (ISBN 2-88412-000-9), p. 22
    21. « Évolution de la population des communes 1850-2000 » Accès libre, sur Office fédéral de la statistique, (consulté le ).
    22. (« François Favre » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.)
    23. Georges Curtet, Notes d'histoire, Collonge-Bellerive, 2010, pp. 89-90.
    24. (« Albert Wessel » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.)
    25. Jean-Philippe Mayerat, Un gentilhomme-architecte au bord du Léman : Jules de Catus (1838-1910) dans Le Chasse-Marée : la revue du monde maritime, n° 123 (mars 1999).
    26. (« Edouard Folliet » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.)
    27. L'acte de décès précise qu'il «a été trouvé mort à Collonge Bellerive au bord du lac, en face la propriété de Monsieur Duroveray lieu dit à la Baye» (lire «à l'Abbaye»).
    28. (« Louis Eugène Dupont » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.)
    29. (« Jacques Chenevière » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.)
    30. (« Francis Gallay » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.)
    31. (« Georges-Henri Martin » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.)
    32. (« Hugues Bolard » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.)
    33. (« Jean Contoz » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.)
    34. (« Pierre Cailler » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.)
    35. (« Ă‰mile Cambessedès » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.)
    36. (« Jean Brocher » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.)
    37. Son fils Edmond y est né le 15 décembre 1835. Genève, Archives d'État, E.C. Collonge-Bellerive 14, Naissances, n° 20.
    38. Bulletin paroissial de Collonge-Bellerive de juin 1909, page 5.
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