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Col de Xiard

Le col de Xiard est un col non carrossable situĂ© dans le dĂ©partement des Vosges en France. Il s'Ă©lĂšve Ă  une altitude de 766 m et relie la communautĂ© de communes des Hautes Vosges et la communautĂ© de communes de la Porte des Vosges MĂ©ridionales.

Col de Xiard
Image illustrative de l’article Col de Xiard
Arrivée au col de Xiard en provenance de Thiéfosse par la route des Fossés, vallée de la Moselotte.
Altitude 766 m[1]
Massif Vosges
CoordonnĂ©es 47° 57â€Č 56″ nord, 6° 42â€Č 17″ est[1]
PaysDrapeau de la France France
ValléeVallée de la Moselle
(ouest)
Vallée de la Moselotte
(est)
Ascension depuisVecoux Thiéfosse
Déclivité moy.5,9 % 6,9 %
Déclivité max.18 % 10,3 %
Kilométrage6 km 4,3 km
AccÚsroute de Reherrey, puis sentier forestier route des Fossés, puis sentier forestier
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Col de Xiard
GĂ©olocalisation sur la carte : Vosges
(Voir situation sur carte : Vosges)
Col de Xiard

Aucune route bitumĂ©e ne conduit au col de Xiard. Du cĂŽtĂ© de la vallĂ©e de la Moselle, la route carrossable et Ă©troite qui longe le ruisseau du Reherrey devient sentier forestier Ă  partir de la derniĂšre ferme isolĂ©e du hameau Reherrey. Un panneau d’interdiction Ă  tous les vĂ©hicules Ă  moteur interdit l’accĂšs cĂŽtĂ© ouest ; il faut cinquante minutes pour atteindre le col Ă  pied Ă  partir de Reherrey. Sur la façade orientale donnant sur la vallĂ©e de la Moselotte, la route en provenance de ThiĂ©fosse s’arrĂȘte aux fermes isolĂ©es des FossĂ©s. L’accĂšs se fait pour les vĂ©hicules autorisĂ©s (forestiers, responsables de la rĂ©serve biologique par exemple) par un sentier forestier encore carrossable qui va en direction du col du RhamnĂ© (855 m) puis de Morbieux (791 m).

Le col de Xiard marque les limites du canton de La Bresse (anciennement canton de Saulxures-sur-Moselotte avant le rattachement Ă  celui de La Bresse) Ă  l’est et du canton de Remiremont Ă  l’ouest. Les deux cantons sont dans l’arrondissement d’Épinal. De ce fait, le col de Xiard fait la jonction entre l’aire urbaine de La Bresse avec le pays de Remiremont. Il dĂ©limite les territoires communaux de ThiĂ©fosse et Vagney (Zainvillers) avec Vecoux Ă  l’ouest.

Toponymie

Le col du Xiard et le lieu-dit forestier proche Trez de Xiard font rĂ©fĂ©rence au terme essart qui se prononce de maniĂšres diverses dans la montagne riche en variantes dialectales vosgiennes au sein de la famille du lorrain (Variantes xard, xiĂ©, hhiĂ©, hhiĂą, hhiĂ , Xette, Sart ou Sarte)[2]. Il s’agit d’un terrain communal ou ducal louĂ© et mis en culture.

Dans les publications anciennes, la graphie en /X/ a souvent Ă©tĂ© utilisĂ©e pour rendre le phonĂšme lorrain /HH/[3]. Plus rarement, on peut lire le graphĂšme /KH/. À moins d’ĂȘtre local et patoisant, il n’est pas possible de deviner la prononciation authentique du mot. Par ailleurs, comme le patois vosgien est en voie d‘extinction, mĂȘme les Vosgiens prononceront spontanĂ©ment le mot avec /KS/ (prononcĂ© en français : [ksiaʁ]). La graphie en /HH/ s’est revanche dĂ©mocratisĂ©e dans les publications scientifiques plus rĂ©centes indĂ©pendamment des formes retenues dans la toponymie officielle. La prononciation patoisante serait : /xja:/ ou pour le bassin Ă  la limite de l’aire franc-comtoise avec la chuintante (/ʃja:/).

GĂ©ographie

Le col de Xiard passe de l’endroit de Vecoux et Dommartin-lĂšs-Remiremont Ă  l’envers de ThiĂ©fosse qui s’étend de la cĂŽte de Fraine jusqu’à la gorge de Crosery. Le contraste entre les deux se manifeste Ă  vue d’Ɠil sur le terrain car l’envers est dĂ©frichĂ© et exploitĂ© plus en altitude que l’endroit sur la façade occidentale. Le passage entre la forĂȘt dense et ombragĂ©e du vallon du versant occidental se fait sans transition avec les trouĂ©es plus Ă©clairĂ©es et moins boisĂ©es du versant oriental.

Sur l’envers, les essarts atteignent une altitude de 795 m, un peu plus haut que le col lui-mĂȘme, en direction des autres cols non carrossables le long de la ligne de crĂȘte vers le sud-est. À proximitĂ© immĂ©diate du Xiard, on trouve trois fermes vosgiennes traditionnelles qui ont Ă©tĂ© rĂ©novĂ©es pour un usage plus rĂ©sidentiel. Les voies d’accĂšs sont les routes vicinales des FossĂ©s et de l’Envers, le chemin de la Charme et le chemin de la Gibolerie. Les lieux-dits de l’envers essartĂ© un peu plus en contrebas du col sont PĂ©chimont (480 m), les Gouttes (510 m), la Gotelle (700 m), les FossĂ©s (686 m), les Tonneux (795 m) et la Gibolerie (642 m). Le chemin de la Gibolerie longeant la cĂŽte Ă  travers la forĂȘt mĂšne aux Ă©carts d’altitude de Heutitry (666 m), Saurifaing (676 m) et la Selle (700 m). Les trois derniers lieux-dits se trouvent dans le vallon encaissĂ© du ruisseau de l’Envers de ThiĂ©fosse. Partout, l’habitat est y trĂšs dispersĂ© selon le schĂ©ma classique de l’habitat de montagne dans les Vosges du Sud[4].

Les Ă©tudes successives ont montrĂ© que, malgrĂ© la position dĂ©favorable sur l’ubac, les dĂ©frichements ont rĂ©ussi Ă  gagner les hauteurs en exploitant les sites mieux exposĂ©s, notamment au niveau des replats[5]. Par une maquette, des chercheurs de l’INRA ont montrĂ© que les ombres portĂ©es par les divers reliefs ont directement influĂ© sur l’implantation des fermes d’altitude et les massifs forestiers. Les pentes orientĂ©es nord-ouest attĂ©nuent quelque peu les facteurs dĂ©favorables de l’orientation. Dans l’ensemble du massif des Vosges du Sud, les versants les moins boisĂ©s sont gĂ©nĂ©ralement Ă  l’est et au sud[6]. Le versant de la vallĂ©e de la Moselotte correspond par consĂ©quent davantage Ă  l’image que l’on a habituellement du paysage agraire des Hautes Vosges Ă  l’instar des rĂ©gions de GĂ©rardmer et de La Bresse plus connues des touristes. Ceci Ă©tant, ces rĂ©gions touristiques actuelles faisaient partie au Moyen Âge du trĂšs grand ban de Vagney dont le col de Xiard Ă©tait la limite[7]. La base fonciĂšre de cette rĂ©gion vosgienne reposait sur une maison-bloc de grande taille abritant hommes et bĂȘtes au milieu d’un terrain de quelques hectares souvent trĂšs pentus[8]. Le mur pignon arriĂšre donnant accĂšs au « soleil » (nom local de la partie engrangement de la ferme) donne directement sur le chemin principal pour prou profiter de la pente, mais surtout parce que la forĂȘt sur les sommets protĂšgent clairement des intempĂ©ries du sud-ouest. Les prĂ©s juste en-dessous de la maison principale devaient ĂȘtre « fermĂ©s, royĂ©s, fumoyĂ©s »[9] c’est-Ă -dire entourĂ©s de murets grossiers, pourvus de rigoles d’irrigation et amendĂ©s par Ă©pandage de fumier ou lisier. De nos jours, l’envers de ThiĂ©fosse est composĂ© de friches avec un avenir Ă©conomique plus qu’incertain[10] sur le plan agricole.

Concernant l’endroit orientĂ© plein ouest, le taux de boisement y est trĂšs Ă©levĂ©. Cela tient au fait que l’accĂšs au col se fait par un vallon trĂšs resserrĂ© le long du ruisseau de Reherrey entre le massif du DĂ©sert et le Bambois de Reherrey au nord, celui du Haut Planois, du Fays et de la Saye au sud. Les Ă©carts dĂ©frichĂ©s et habitĂ©s sont dans le thalweg au lieu-dit HanauprĂ© (546 m) et Reherrey (490 m). Le flottage du bois n'y est pas possible, y compris Ă  bĂ»ches perdues. La plupart des fermes dispersĂ©es sont aujourd’hui des ruines et les anciens prĂ©s de pĂąture sur les hauteurs ont Ă©tĂ© reconquis par la forĂȘt. Une des curiositĂ©s du vallon de Reherrey en direction du col de Xiard est la source chaude du lieu-dit Chaudefontaine Ă  565 m d’altitude. L’eau sort toute l’annĂ©e Ă  21 °C. Sa composition se rapproche de celle de la station thermale de PlombiĂšres-les-Bains. Sur ce versant, le schĂ©ma traditionnel de la ferme sur pente se substitue Ă  un habitat implantĂ© davantage en fond de vallĂ©e sur des replats de la pente. En longeant le chemin vicinal, les fermes se succĂšdent en fonction des facteurs d’implantation vitaux comme la prĂ©sence d'une source. Le type de la maison est le mĂȘme que sur le versant oriental : la maison-bloc Ă  trois travĂ©es perpendiculaires au mur pignon, plus en largeur que le modĂšle lorrain du plateau et de la plaine sous-vosgienne. La porte cochĂšre et l’entrĂ©e de la partie habitat sont orientĂ©es vers l’est, donc vers le col, afin de se protĂ©ger des intempĂ©ries provenant traditionnellement du sud-ouest dans la rĂ©gion. À Reherrey, on peut parler d’un Ă©cart ou hameau puisque plusieurs fermes cohabitent sur un espace plus resserrĂ© que d’habitude dans l’habitat dispersĂ© montagnard.

Grand tétras qui se maintient encore dans le secteur de la tourbiÚre des Charmes.

Si l’on considĂšre l’axe nord-sud c’est-Ă -dire la ligne de crĂȘte depuis la tĂȘte de HouĂ© (846 m) jusqu’au Groffer (898 m), le col de Xiard s’intĂšgre dans une sĂ©rie de cols non carrossables — col de BrochĂ© (884 m), col du RhamnĂ© — qui caractĂ©risent ce massif entre la large vallĂ©e de la Moselle et la petite vallĂ©e de la Moselotte. Jusqu’à aujourd’hui, il n’est pas possible de traverser ces hauteurs par une route entre le col de Cheneau (523 m) au nord et le col de Morbieux au sud. On peut s’en Ă©tonner puisqu’il ne s’agit pas d’un massif montagneux infranchissable. Toutes les voies bitumĂ©es s’arrĂȘtent cĂŽtĂ© endroit et envers Ă  quelques kilomĂštres des cols. Il faut Ă  titre indicatif deux heures de marche pour relier le col de Xiard au col du RhamnĂ©. Les spĂ©cialistes se rĂ©jouissent Ă  postĂ©riori de la trĂšs faible frĂ©quentation du massif sur des siĂšcles car la conservation de milieux naturels et d’espĂšces animales et vĂ©gĂ©tales n’aurait peut-ĂȘtre pas Ă©tĂ© possible si le tourisme s’était dĂ©veloppĂ© davantage[11] et si l’accĂšs aux cols avaient Ă©tĂ© facilitĂ©. À moins d’un kilomĂštre du col de Xiard avec un petit dĂ©nivelĂ© de 47 m se trouve par exemple la rĂ©serve naturelle rĂ©gionale de la tourbiĂšre des Charmes[12]. Cette tourbiĂšre est la plus Ă©tendue du massif des Vosges[13] et a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e le 28 mars 2008[14]. La tourbe peut atteindre 7 mĂštres d’épaisseur[15] et offre un cadre de vie apaisĂ© Ă  de nombreux animaux sensibles et un biotope favorable Ă  des espĂšces de plantes particuliĂšres comme le champignon Pseudombrophila petrakii qui pousse sur les fientes[16] du grand tĂ©tras. La prĂ©sence de la tourbiĂšre avec sapiniĂšres Ă  myrtilles favorisent en effet le maintien du grand tĂ©tras dont le nombre de mĂąles chanteurs reste stable dans le massif de Longegoutte alors que cet oiseau disparaĂźt sensiblement dans tout le massif vosgien en dehors des zones trĂšs protĂ©gĂ©es. Le Grand TĂ©tras Ă©tant considĂ©rĂ© comme un indicateur de la qualitĂ© du milieu et Ă©tant reconnu comme une espĂšce parapluie, la qualitĂ© des habitats naturels du site Natura 2000 Ă  Longegoutte-GĂ©hant est favorable et trĂšs favorable pour l’accueil du coq de bruyĂšre pour 31 % de la surface du secteur comparĂ©s aux 24 % de la surface cumulĂ©e des habitats trĂšs favorables et favorables de l’ensemble de la zone de protection spĂ©ciale (ZPS). La gestion forestiĂšre mise en Ɠuvre dans le cadre du projet Natura 2000 contribue Ă©galement Ă  maintenir ou Ă  amĂ©liorer la qualitĂ© des habitats d’autres espĂšces d’oiseaux d’intĂ©rĂȘt communautaire comme la chouette de Tengmalm ou la gĂ©linotte des bois par entre autres[17].

Cette tourbiĂšre est enchĂąssĂ©e dans la rĂ©serve biologique dirigĂ©e de Longegoutte[18] qui longe la frontiĂšre cantonale sur la ligne de crĂȘte. Elle a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e le 12 juillet 1997[19]. C'est « un espace protĂ©gĂ© en milieu forestier, ou en milieu associĂ© Ă  la forĂȘt (landes, mares, tourbiĂšres, dunes), dans lequel une gestion conservatoire visant la protection d'espĂšces et d'habitats remarquables ou menacĂ©s est mise en place[20]. ». Sur le pourtour de la tourbiĂšre poussent des bouleaux qui donnent l’aspect d’un pays russe ou scandinave. En rĂ©alitĂ©, ils rĂ©vĂšlent les anciens fronts de taille rĂ©alisĂ©s par la population locale pour s’alimenter en tourbe comme « charbon du pauvre ». Ce fut notamment encore le cas pendant la Seconde Guerre mondiale. La tourbe des Charmes a Ă©tĂ© extraite comme combustible au XIXe siĂšcle pour alimenter les usines de l’industrie textile de la vallĂ©e de la Moselle[21].

Histoire

Le col de Xiard Ă©tait situĂ© sur la route historique qui reliait les deux abbayes impĂ©riales influentes de chaque cĂŽtĂ© de la ligne des crĂȘtes vosgiennes pendant des siĂšcles, l’abbaye de Remiremont et l’abbaye de Munster. L’une et l’autre possĂ©daient de nombreuses terres en totalitĂ© ou en partie avec d’autres comparsonniers comme le duc de Lorraine. Il y avait d’ailleurs un pĂ©age ou tonlieu d’altitude au lieu-dit « Xard le Coucou » juste avant le col de Morbieux dont l’abbesse impĂ©riale de Remiremont et le duc de Lorraine se partageaient les revenus pour moitiĂ© chacun. La route Ă©tait essentiellement frĂ©quentĂ©e par les colporteurs et les marchands, accessoirement les officiers et les reprĂ©sentants des seigneuries locales.

La forte concentration de l’appellatif toponymique « prĂ© » indique que les pĂąturages en pleine forĂȘt montaient autrefois plus haut que les terres dĂ©frichĂ©es en fond de vallĂ©e (PrĂ© Fautrot, PrĂ© Briot, le Beau PrĂ©. Les conditions topographiques et mĂ©tĂ©orologiques n’ont nĂ©anmoins pas Ă©tĂ© favorables Ă  des essartages aussi hauts que sur le versant oriental lĂ©gĂšrement plus Ă  l’abri que sur le versant occidental. Il s’agit d’un usage toponymique local trĂšs dynamique dans la vallĂ©e. Le prĂ© signifie ici la ferme et le terrain dĂ©frichĂ© sur lequel elle se situe de plain-pied selon les usages introduits dans l’Ancien RĂ©gime en Lorraine : PrĂ© NavĂ©, PrĂ© Arnette, PrĂ© NoĂ«l, PrĂ© Grandemange ou RocĂ© PrĂ©, HanauprĂ© par exemple. L’acensement provoque de nombreuses enclaves dans la forĂȘt avec des prĂ©s boisĂ©s, des essarts ou fouillies Ă  mi-pente et des prĂ©s de fauche en bas de pente. Chaque versant du col illustre les vagues de dĂ©frichements en Lorraine ducale qui ont pris des formes des spĂ©cifiques comme les acensements, les arrentements, les fouillies et les essarts[22].

L’histoire Ă©conomique du col se limite pratiquement Ă  l’exploitation forestiĂšre due Ă  la prĂ©sence de sapiniĂšres[13] qui alimentĂšrent le flottage du bois dans la vallĂ©e de la Moselotte dĂšs le XVIe siĂšcle, l’un des foyers de flottage et de sciage du massif vosgien avec la vallĂ©e de la Meurthe et la vallĂ©e de la Sarre. L’un des trois ports de bois flottĂ© avec ses quais se situe en contrebas du col de Xiard Ă  Zainvillers. La scierie se trouvait en amont de Zainvillers Ă  ThiĂ©fosse oĂč dĂ©bouche la route du col. Il fallait transporter le bois par voie de terre jusqu’aux rives de la Moselotte, elle-mĂȘme flottable par train de planches que par le truchement de nombreux barrages et Ă©cluses augmentant le dĂ©bit de la riviĂšre pour le passage des voiles. La plupart des familles de flotteurs sont originaires du ban de Vagney. Ils sont le plus souvent locataires des scieries qui jalonnent la riviĂšre sur moins de 30 km. À la fin XVIIe siĂšcle, c’est Ă©galement dans cette vallĂ©e que les bois de mĂąture pour les chantiers navals de la Normandie seront coupĂ©s et acheminĂ©s par flottage[23].

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Références

  1. « Carte IGN classique » sur Géoportail.
  2. Xavier Thiriat, La VallĂ©e de Cleurie. Statistique, topographie, histoire, mƓurs et idiomes des communes du syndicat de St. AmĂ©, de Laforge, de Cleurie ..., canton de Remiremont (Vosges), Mirecourt, Humbert, (lire en ligne), p. 257
  3. SociĂ©tĂ© d'Ă©mulation des Vosges, Annales de la SociĂ©tĂ© d'Ă©mulation du dĂ©partement des Vosges, Épinal, Gerard, (BNF 34423013), p. 184-185.
  4. Joseph Bonnemaire, Jacques Brossier et André Brun, Institut national de la recherche agronomique (France), Pays Paysans Paysages dans les Vosges du sud, Paris, éditions Quae, coll. « Espaces ruraux », , 192 p. (ISBN 2-7380-0597-7 et 9782738005977, lire en ligne)
  5. Bonnemaire 1995, p. 30 figure 5.
  6. Bonnemaire 1995, p. 31.
  7. Ban de Vagney en 1345 dans : L. Duhamel, Documents rares ou inédits de l'histoire des Vosges, vol. 2, t. 2, Gle, , 432 p., p. 221.
  8. Bonnemaire 1995, p. 16.
  9. Garnier et 2004 516-517.
  10. Bonnemaire 1995, p. 4.
  11. Bonnemaire 1995, p. 15.
  12. Robert Curien-Girot et Berthe Curien-Girot, Counehets d'autrefois, , 130 p..
  13. Fr. Ritter (dir.), Annuaire de la Société historique, littéraire et scientifique du Club vosgien, vol. 5, Société historique, littéraire et scientifique du Club vosgien, (lire en ligne), p. 96.
  14. « Création de la réserve naturelle régionale de la TourbiÚre des Charmes » [PDF], sur INPN-MNHN,
  15. Patrick Laurent (Mycologue), « Vosges / TourbiĂšres des Charmes : Dans la magie des Charmes », Le chasseur français, no hors sĂ©rie,‎ , p. 3-4.
  16. Jean Cavet, « Sur deux PĂ©zizales peu courants, Pseudombrophila petrakii et Flavoscypha phlebophora », Bulletin mensuel de la SociĂ©tĂ© linnĂ©enne de Lyon, vol. 74, no 8,‎ , p. 85-89 (DOI https://doi.org/10.3406/linly.2005.13561).
  17. Jacky VÉRET et Anne WOLFF, Document d’objectifs : Zone de Protection SpĂ©ciale « Massif Vosgien » Natura 2000, vol. cahier 1 Site FR4112003, Munster, , 223 p..
  18. « Massif forestier de Longegoutte », sur DREAL Grand-Est, .
  19. « Longegoutte », sur Inventaire national du patrimoine naturel, 2003-2018.Code national : FR2300075, code international : 62791 Protected Planet.
  20. « Réserve biologique dirigée ou intégrale », sur data.gouv.fr, 2018.
  21. Explications donnĂ©es par le panneau informatif placĂ© devant la tourbiĂšre intitulĂ© « Vous ĂȘtes devant la TourbiĂšre des Charmes » gĂ©rĂ© par les responsables de la rĂ©serve naturelle.
  22. Garnier 2004, p. 486-516.
  23. Emmanuel Garnier (prĂ©f. Jean-Marc Moriceau), Terre de conquĂȘtes : La forĂȘt vosgienne sous l’Ancien RĂ©gime, Paris, Fayard, , 620 p. (ISBN 2-213-61783-X), p. 327, figure 9.
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