Accueil🇫🇷Chercher

Chronologie de la crise de la dette grecque

La chronologie de la crise de la dette publique grecque débute en 2009 avec l'apparition des premiers déficits dans le budget grec[1].

2009

  • Octobre : après des Ă©lections, un nouveau gouvernement grec est Ă©lu. Il est dirigĂ© par le PASOK qui a obtenu 43,92 % des suffrages et 160 des 300 sièges du parlement grec.
  • 5 novembre : les premières estimations du budget font apparaĂ®tre un dĂ©ficit de 12,7 % du PIB, le double de ce qui Ă©tait initialement annoncĂ©.
  • 8 novembre : le projet de budget 2010 vise Ă  ramener le dĂ©ficit Ă  8,7 % du PIB. Il prĂ©voit aussi que la dette grecque atteindra 121 % du PIB en 2010 contre 113,4 % en 2009.
  • 8 dĂ©cembre : Fitch Ratings dĂ©grade sa note financière pour la Grèce de A- Ă  BBB+.
  • 16 dĂ©cembre : Standard & Poor's abaisse sa note de A- Ă  BBB+.
  • 22 dĂ©cembre : Moody's abaisse sa note de A1 Ă  A2.

2010

FĂ©vrier 2010
  • 2 fĂ©vrier : le gouvernement Ă©tend le gel des salaires publics Ă  ceux qui gagnent moins de 2 000 euros par mois.
  • 24 fĂ©vrier : une grève gĂ©nĂ©rale d'un jour contre les mesures d'austĂ©ritĂ© touche le secteur public et les transports
  • 25 fĂ©vrier : mission conjointe de l'Union europĂ©enne et du FMI en Grèce.
Mars 2010
  • 5 mars : nouvelles mesures d'austĂ©ritĂ© destinĂ©es Ă  Ă©conomiser 4,8 milliards d'euros avec notamment une augmentation de la TVA qui passe Ă  21 %, une rĂ©duction de 30 % des primes du secteur public, le gel des pensions, et une augmentation des taxes sur l'essence, le tabac et l'alcool.
  • 11 mars : grève dans les secteurs public et privĂ©.
  • 15 mars : les ministres des finances se mettent d'accord sur un mĂ©canisme d'aide Ă  la Grèce mais restent muets sur les dĂ©tails.
  • 18 mars : PapandrĂ©ou dĂ©clare que la Grèce ne pourra pas diminuer ses dĂ©ficits si les taux restent aussi Ă©levĂ©s et menace de s'adresser au FMI.
  • 19 mars : JosĂ© Manuel Barroso presse les pays de la zone euro de mettre au point un train de mesures d'aide Ă  la Grèce.
  • 25 mars : Jean-Claude Trichet dĂ©clare que la Banque centrale europĂ©enne acceptera comme collatĂ©ral des obligations grecques notĂ©es BBB- (auparavant, la limite infĂ©rieure Ă©tait A-) jusqu'en 2011.
Avril 2010
  • 11 avril : les responsables politiques des pays de la zone euro se mettent d'accord sur un plan d'aide Ă  la Grèce qui repose sur des prĂŞts bilatĂ©raux (durĂ©e trois ans, taux d'intĂ©rĂŞt environ 5 %) d'un montant de 30 milliards d'euros. Les prĂŞts seront accordĂ©s par les pays au prorata de leur participation au capital de la BCE.
  • 13 avril : la BCE apporte son soutien au plan d'aide Ă  la Grèce.
  • 23 avril : la Grèce demande officiellement l'activation du plan d'aide.
  • 27 avril : S&P rĂ©trograde la note des obligations portugaises.
  • 28 avril : S&P dĂ©grade les obligations espagnoles de AAA Ă  AA-
Mai 2010
  • 1er mai : manifestation de protestation contre les mesures d'austĂ©ritĂ© Ă  Athènes.
  • 2 mai : la Grèce annonce son quatrième plan d'austĂ©ritĂ©.
  • 3 mai : la Banque centrale europĂ©enne annonce qu'elle acceptera les obligations de la dette publique grecque comme collatĂ©ral quelle que soit sa note[2].
  • 5 mai : troisième grève gĂ©nĂ©rale depuis fĂ©vrier[3]. Ă€ cette occasion, une manifestation dĂ©gĂ©nère et cause la mort de trois employĂ©s d'une banque incendiĂ©e par des cocktails Molotov.
  • 7 mai : après plusieurs semaines de dĂ©bats, le Conseil europĂ©en valide le plan d'aide Ă  la Grèce de 110 milliards de prĂŞts sur 3 ans
  • Nuit du 9 au 10 mai 2010 : pour faire face Ă  la peur des marchĂ©s et Ă©viter que la crise grecque ne s'Ă©tende Ă  l'Espagne, au Portugal voire Ă  l'Italie, l'Union europĂ©enne en coopĂ©ration avec le FMI se dote d'un fonds de stabilisation de 750 milliards d'euros (la Commission europĂ©enne est autorisĂ©e Ă  emprunter 60 milliards d'euros, 440 milliards sont apportĂ©s par les États et 250 milliards par le FMI)[4]
  • 10 mai : la BCE dĂ©cide de permettre aux banques centrales de la zone d'acheter de la dette publique et de la dette privĂ©e sur les marchĂ©s secondaires.
Juin-juillet 2010
  • 14 juin : Moody's dĂ©grade la note de la dette Ă  Ba1. La note est de BB+ pour S&P et BBB- pour Fitch.
  • 8 juillet : sixième grève gĂ©nĂ©rale de l'annĂ©e pour protester contre le plan d'austĂ©ritĂ©[5].

2011

  • 15 janvier : la banque centrale d'Irlande fait savoir qu'elle a procĂ©dĂ©, depuis septembre, Ă  diverses opĂ©rations de refinancement des banques commerciales sans contrepartie, pour environ 50 milliards d'euros. Ces opĂ©rations se caractĂ©risent par de la crĂ©ation de monnaie scripturale, avec le consentement officiel de la BCE et en conformitĂ© avec les traitĂ©s europĂ©ens[6]. Ces mesures exceptionnelles sont liĂ©es Ă  une fuite importante des dĂ©pĂ´ts bancaires irlandais vers l'Ă©tranger depuis plusieurs mois.
  • 25 janvier : le Fonds europĂ©en de stabilitĂ© financière (FESF) effectue ses premières Ă©missions d'obligations avec succès. L'opĂ©ration a permis de lever près de 5 milliards d'euros, pour plus de 45 milliards proposĂ©s par les marchĂ©s[7].
  • 23 fĂ©vrier 2011 : grève gĂ©nĂ©rale en Grèce pour protester contre l'austĂ©ritĂ©[8].
  • Sommet europĂ©en du 12 mars 2011. En Ă©change d'une accĂ©lĂ©ration de son programme de privatisations, la Grèce devrait voir la durĂ©e des emprunts octroyĂ©s par les pays europĂ©ens passer de 4,5 ans Ă  7,5 ans et les taux passer Ă  4,2 % contre 5,2 % initialement[9]
  • Mai 2011. Lors d'un sommet de six ministres des Finances europĂ©ens au château de Sennigen au Luxembourg, un nouveau plan de sauvetage aurait Ă©tĂ© Ă©voquĂ©[10].
  • 13 juin, Standard & Poor's abaisse la note grecque Ă  CCC, estimant que le pays pourrait restructurer sa dette d'une façon qui pourrait ĂŞtre assimilĂ©e Ă  un dĂ©faut[11].
  • 17 juin, remaniement gouvernemental. Evángelos VenizĂ©los, figure du PASOK et principal opposant interne du Premier ministre, est nommĂ© ministre des Finances et vice-Premier ministre.
  • 19 et 20 octobre, treizième grève gĂ©nĂ©rale, de 48 heures. Des heurts entre militants communistes et militants antiautoritaires causent la mort d'un syndicaliste du PAME[12].
  • 27 octobre plan d'aide qui prĂ©voit un abandon par les banques privĂ©es de 50 % de la dette publique qu'elles dĂ©tiennent sur la Grèce en Ă©change d'une recapitalisation pour un montant de 106 milliards d'euros[13].
  • 31 octobre, le Premier ministre PapandrĂ©ou annonce un rĂ©fĂ©rendum sur le nouveau plan d'aide europĂ©en d'aide dĂ©cidĂ© le 27 octobre[14].
  • 4 novembre, le ministre des Finances annonce l'abandon du projet de rĂ©fĂ©rendum, PapandrĂ©ou s'engageant Ă  dĂ©missionner après un vote de confiance prĂ©vu le soir mĂŞme au Parlement[15].

2012

Plusieurs dizaines de milliers de manifestants place Syntagma, le 12 février peu avant 18h.
  • En janvier, une action « contre l'austĂ©ritĂ© et la rĂ©forme du marchĂ© du travail » rencontre peu d'Ă©chos parmi les salariĂ©s du secteur privĂ©, mais plusieurs partis anti-austĂ©ritĂ© semblent se renforcer : SYRIZA, KKE, DIMAR… Parallèlement le pays a besoin de 99 milliards d'euros (environ 30 milliards utilisable pour les nĂ©gociations avec les crĂ©anciers privĂ©s, 30 Ă  40 milliards pour recapitaliser les banques et 29 milliards pour faire face au service de la dette)[16]
  • 12 fĂ©vrier : Le parlement grec vote un nouveau plan d'austĂ©ritĂ© « en prĂ©alable au dĂ©blocage du deuxième plan de sauvetage du pays »[17] cependant qu'entre 80 000 et 160 000 manifestants[18] protestent dans la violence contre le vote et les mesures prĂ©conisĂ©es par le FMI et l'Union europĂ©enne[19]. Le lendemain (lundi 13 fĂ©vrier) on annonce la tenue d'Ă©lections lĂ©gislatives anticipĂ©es dès avril 2012 alors que le mandat du gouvernement pouvait durer jusqu'Ă  octobre 2013[20]. Pour trois ministres allemands Wolfgang Schäuble, Guido Westerwelle et Philipp Rösler, « les promesses de la Grèce ne nous suffisent plus. Ils doivent, lors d'un nouveau programme, d'abord mettre en Ĺ“uvre les parties de l'ancien programme et Ă©conomiser ». Pour Philip Rösler, « le jour J (de sortie de la Grèce de la zone euro) fait de moins en moins peur »[21].
  • 21 fĂ©vrier : nouveau plan de sauvetage de 130 milliards d'euros[22].
  • 6 mai : Des Ă©lections lĂ©gislatives anticipĂ©es conduisent Ă  un dĂ©saveu cinglant des 3 seuls partis Ă  avoir soutenu les divers plans d'austĂ©ritĂ© PASOK, ND et LAOS. Les deux premiers passent d'un total de 77 % des suffrages exprimĂ©s Ă  32 % (13 + 19). Le dernier n'atteint pas les 3 % nĂ©cessaires pour conserver des dĂ©putĂ©s.
  • 16 mai : Aucun gouvernement politique ne parvient Ă  ĂŞtre mis en place, les deux partis ayant acceptĂ© les conditionnalitĂ©s liĂ©es aux plans de sauvetage (parfois qualifiĂ©s de pro-austĂ©ritĂ©) ne disposant pas de la majoritĂ© absolue. Un gouvernement intĂ©rimaire est confiĂ© au prĂ©sident du Conseil d'État, dans l'attente de nouvelles Ă©lections programmĂ©es pour le 17 juin[23].

2013

  • En janvier 2013, l'Ă©conomiste en chef du FMI, Olivier Blanchard, et Daniel Leigh, un autre collaborateur du FMI qui suit Ă  la loupe l'Ă©volution des perspectives de l'Ă©conomie mondiale publient un texte intitulĂ© « Erreurs de prĂ©visions de croissance et multiplicateurs budgĂ©taires »[24] - [25].
    Dans ce rapport, le FMI admet, non pas une erreur de calcul au sens strict, mais une difficile et sans doute mauvaise estimation du « multiplicateur budgétaire ». Les deux économistes du FMI concluent de façon humble, qu'« il n'y a pas un seul multiplicateur en tout temps et pour tous les pays » et que « les multiplicateurs peuvent être plus ou moins élevés au cours du temps et d'une économie à l'autre ». Ensuite, qu'« il semble prudent, pour le moment, lorsque l'on pense à la consolidation budgétaire, de supposer que les multiplicateurs sont plus élevés qu'avant la crise ». Enfin, que leurs résultats « ne signifient pas que la consolidation budgétaire n'est pas souhaitable ».
  • Le , le FMI fait son mea culpa par la voix de Christine Lagarde, admettant que le premier plan de sauvetage de la Grèce[26] s'Ă©tait soldĂ© par des « Ă©checs notables » en raison notamment de dĂ©saccords avec ses partenaires europĂ©ens au sein de la « troĂŻka », « la confiance des marchĂ©s n'a pas Ă©tĂ© rĂ©tablie (…) et l'Ă©conomie a Ă©tĂ© confrontĂ©e Ă  une rĂ©cession bien plus forte que prĂ©vu ». Les projections de dette publique grecque Ă©tablies par le Fonds ont elles aussi Ă©tĂ© balayĂ©es « dans une très large mesure », reconnaĂ®t l'institution[27].
  • Le , est annoncĂ© la fermeture de l'ERT (EllinikĂ­ RadiofonĂ­a TileĂłrasi)[N 1].
  • Le , plusieurs dizaines de milliers de personnes, 20 000 selon les organisateurs protestent Ă  Athènes devant le siège de l'ERT mais aussi dans d'autres villes contre la fermeture de la radio tĂ©lĂ©vision publique annoncĂ©e par le gouvernement[28].

2014

2015

  • Les Ă©lections lĂ©gislatives du 25 janvier portent au pouvoir le parti de gauche radicale anti-austĂ©ritĂ© Syriza, avec 36,34 % des voix et 149 dĂ©putĂ©s sur 300. Ce vote est un dĂ©saveu cinglant pour la droite du Premier ministre sortant, AntĂłnis Samarás, mais Ă©galement pour le Pasok, parti de gauche historique du paysage politique grec avec lequel il a gouvernĂ© depuis juin 2012.
  • Le , la BCE annonce la suspension du rĂ©gime dĂ©rogatoire de refinancement qu'elle accordait aux banques grecques[32].
  • Le , la BCE porte le plafond des avances d'urgence aux banques grecques Ă  60 milliards[33].
  • Le , la BCE porte Ă  68 milliards d'euros le plafond des avances d'urgence en liquiditĂ©s aux banques grecques[34].
  • Le , la Banque centrale europĂ©enne porte Ă  75,5 milliards d'euros le plafond des aides d'urgences aux banques grecques[35]
  • Le , la BCE porte Ă  84 milliards d'euros le plafond des avances d'urgence aux banques grecques[36].
  • Le 27 juin 2015 Ă  minuit, AlĂ©xis TsĂ­pras annonce la tenue d'un rĂ©fĂ©rendum sur l'acceptation ou non du plan proposĂ© par les crĂ©anciers[37].
  • Le 5 juillet 2015, Ă  la question soumise au rĂ©fĂ©rendum « Acceptez-vous le projet d'accord soumis par la Commission europĂ©enne, la Banque centrale europĂ©enne et le Fonds monĂ©taire international lors de l'Eurogroupe du 25 juin 2015 et composĂ© de deux parties, qui constitue leur proposition unifiĂ©e ? », les Grecs rĂ©pondent « non » Ă  plus de 61 %.
  • Le 13 juillet, les chefs d’État de l'Eurogroupe concluent avec la Grèce un accord sur un nouveau plan d’austĂ©ritĂ© devant ouvrir la voie Ă  un rĂ©amĂ©nagement de la dette grecque
  • Le 17 juillet, le Bundestag ratifie ce projet d'accord, qui doit recevoir la non-opposition de 85 % des actionnaires du MĂ©canisme europĂ©en de stabilitĂ© (MES), par 439 votes pour, 119 dĂ©putĂ©s contre et 40 abstentions[38].

2016

  • Avril : RĂ©vĂ©lation d'un document interne du FMI relatant une discussion entre des responsables du Fonds monĂ©taire international Poul Mathias Thomsen, Delia Velkouleskou et Iva Petrova qui exposent un plan. Selon Mediapart : « Ceux-ci semblent prĂŞts Ă  aller jusqu’à pousser la Grèce Ă  la faillite pour obtenir un accord europĂ©en sur l’allègement de la dette grecque et amener le gouvernement grec Ă  faire toutes les rĂ©formes souhaitĂ©es par le FMI »[39] - [40] - [41]. Sa diffusion a donnĂ© lieu Ă  une vive rĂ©action d'Alexis Tsipras Ă  laquelle Christine Lagarde a rĂ©pondu en confirmant en partie et indirectement les Ă©lĂ©ments alarmants contenus de l'Ă©change de ses deux collaborateurs[42].

Notes

Sources

Références

Bibliographie

  • (en) « TIMELINE-Greece's debt crisis », Reuters,‎ (lire en ligne)
  • (en) Wilhelm Hankel, Wilhelm Nölling, Karl Albrecht Schachtschneider et Joachim Starbatty, « A euro exit is the only way out for Greece », Financial Times,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  • Gabriel GrĂ©sillon, « En Grèce, George PapandrĂ©ou doit rĂ©pondre Ă  une dĂ©gradation du climat social », Les Échos,‎ (lire en ligne)
  • Philippe Ricard, « L'Europe rĂ©pond aux marchĂ©s par une riposte massive », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  • Marie de Vergès, « Le fonds d'aide europĂ©en lance avec succès sa première Ă©mission », Le Monde,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  • « Grève gĂ©nĂ©rale en Grèce », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  • Arnaud Leparmentier et Philippe Ricard, « Crise de la dette : la zone euro avance Ă  pas mesurĂ©s », Le Monde,‎
  • « Grèce : un deuxième sauvetage se profile », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  • Massimo Prandi, « Grèce : la grève ne fait plus recette, la troĂŻka revient », Les Échos,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  • « Grèce : 100.000 manifestants contre le plan de rigueur que les dĂ©putĂ©s sont appelĂ©s Ă  voter », Le Quotidien,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  • Louisa Gouliamaki, « Scènes de guĂ©rilla urbaine en Grèce », Le Point,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  • Alain Franco, « UE : Grecs, encore un effort! », Le Point,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  • Louisa Gouliamaki, « Grèce : des Ă©lections anticipĂ©es en avril », Le Point,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  • « Berlin loue les efforts de rĂ©forme de l'Espagne et du Portugal », sur France24, (consultĂ© le )
  • Renaud HonorĂ©, « Les EuropĂ©ens s'offrent un rĂ©pit sur le front grec et veulent renforcer leur pare-feu », Les Échos,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  • Harry Papachristou et Lefteris Papadimas, « Un juge pour gouverner la Grèce jusqu'aux Ă©lections du 17 juin », Le Nouvel Observateur,‎ (lire en ligne)
  • Gabriel Colletis, « Erreur de calcul du FMI ? Ou excès des zĂ©lateurs de l'austĂ©ritĂ© ? », Le Monde Ă©conomie,‎ (lire en ligne)
  • « Grèce: l'impulsion de Sarkozy « dĂ©cisive » selon CopĂ© », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  • « Christine Lagarde: le FMI a fait son mea culpa sur le plan de sauvetage de la Grèce », Le Huffington Post,‎ (lire en ligne)
  • « Journal 18h », sur Radio Vaticana, (consultĂ© le )
  • Martin Orange, « Grèce: la stratĂ©gie du choc imaginĂ©e par le FMI », Mediapart,‎ (lire en ligne)
  • Julian Assange, « IMF Internal Meeting Predicts Greek 'Disaster', Threatens to Leave Troika », sur Wikileaks,
  • Nikos Chrysoloras et Eleni Chrepa, « IMF Discussed Pressuring Germany on Greek Debt, WikiLeaks Says », Bloomberg,‎ (lire en ligne)
  • FrĂ©dĂ©ric LemaĂ®tre, « Les dĂ©putĂ©s allemands adoptent largement l’accord avec la Grèce », Le Monde,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  • Le Nouvel Obs, « La Grèce entame sa sixième grève gĂ©nĂ©rale », Le Nouvel Obs,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  • Donald O'Donovan, « Central Bank steps up its cash support to Irish banks financed by institution printing own money », Independent,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  • Reuters, « S&P abaisse la note souveraine grecque Ă  long terme Ă  CCC », sur Boursier.com, (consultĂ© le )
  • Parti communiste français, « Un syndicaliste du PAME tuĂ© par des provocateurs », sur lepcf.fr, (consultĂ© le )
  • Le Nouvel Obs, « Crise de l'euro. La dette grecque rĂ©duite de 100 milliards d'euros », Le Nouvel Obs,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  • Le Monde, « Les Grecs se prononceront par rĂ©fĂ©rendum sur le plan d'aide europĂ©en », Le Monde,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  • « Grèce : rĂ©fĂ©rendum annulĂ©, PapandrĂ©ou sur le dĂ©part », Atlantico,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  • Corinne Deloy, Le coup de poker du Premier ministre grec Antonis Samaras, Fondation Robert Schuman, (lire en ligne)
  • « Το βίντεο Χαϊκάλη (UPD) : Documentaire vidĂ©o de la conversation entre Pavlos Haikalis et Giorgos Apostolopoulos », sur thepressproject.org,‎
  • Nikos Smyrnaios, « Politique, mensonges et vidĂ©os en Grèce: pourquoi la route de Syriza vers le pouvoir est semĂ©e d’embĂ»ches », sur ephemeron.eu,
  • « CommuniquĂ© de presse de la BCE du 4 fĂ©vrier 2015 », sur BCE, (consultĂ© le )
  • Le Monde, « Grèce : la BCE relève le plafond de ses aides d'urgence aux banques », Le Monde,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  • Reuters, « La BCE relève le plafond d'aide d'urgence aux banques grecques », Capital,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  • Jean-Philippe Lacour, « La BCE accorde un rĂ©pit aux banques grecques », Les Échos,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  • Jean-Philippe Lacour, « La BCE relève Ă  nouveau l'aide d'urgence aux banques grecques », Les Échos,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  • « Alexis Tsipras va soumettre le plan d’aide Ă  la Grèce au rĂ©fĂ©rendum », Le Monde,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  • AFP, « Christine Lagarde rĂ©pond Ă  Alexis Tsipras après les fuites sur un Ă©ventuel dĂ©faut de la Grèce », Le Huffington Post,‎ (lire en ligne)
Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.