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Cathédrale Saint-Étienne de Toul

cathédrale située en Meurthe-et-Moselle, en France

Cette cathédrale n’est pas la seule cathédrale Saint-Étienne.

La cathédrale Saint-Étienne de Toul est un édifice de style gothique remarquable par sa façade occidentale, chef-d'œuvre du gothique flamboyant, et par son cloître gothique, le deuxième plus grand de ce style en France, et deux chapelles Renaissance. C'est, avec Notre-Dame-de-l'Annonciation de Nancy, l'une des deux cathédrales du diocèse de Nancy-Toul.

Cathédrale Saint-Étienne
Image illustrative de l’article Cathédrale Saint-Étienne de Toul
Présentation
Culte Catholique romain
Dédicataire Saint Étienne
Type Cathédrale
Rattachement Diocèse de Nancy-Toul
Début de la construction XIIIe siècle
Fin des travaux XVe siècle
(XVIe siècle chapelles Renaissance)
Style dominant Gothique
Protection Logo monument historique Classée MH (1840, 1889)
Site web Paroisse : Saint Mansuy du Toulois - Messes.Info
Géographie
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Ville Toul
Coordonnées 48° 40′ 31″ nord, 5° 53′ 40″ est
Localisation
Pays Drapeau de la France France
Région Lorraine
Département Meurthe-et-Moselle
Commune Toul
Édifice Cathédrale Saint-Étienne de Toul
Latitude
Longitude
48° 40′ 31″ nord, 5° 53′ 40″ est
Facteurs
Construction Curt Schwenkedel (1963)
Caractéristiques
Jeux 68 (70 registres)
Claviers 4
tuyaux 4896
Les Grandes Orgues Dupont (1755).

La cathédrale disposait d'un orgue au moins depuis le XIVe siècle. Il connut plusieurs aménagements successifs. À partir de 1740, les chanoines de la cathédrale s'adressèrent à plusieurs facteurs en vue d’édifier un grand instrument sur la tribune, en remplacement du précédent, qui datait du XVIe siècle : François Thierry, Charles Cachet et Jean-André Silbermann furent ainsi sollicités. Ils confièrent finalement le marché en 1751 à Nicolas Dupont, qui construisait alors les orgues de l’église Saint-Jacques de Lunéville, et dont ils avaient pu apprécier sur place le travail. La réception des travaux eut lieu le .

Les sculptures du buffet furent réalisées par Athanase Lacourt, de Toul. L'instrument avait quatre claviers et quarante et un jeu. Le premier titulaire fut Jean-Baptiste Nôtre (1732-1807), auteur d'un Livre d'orgue manuscrit. Comme il l’avait écrit dans son devis rédigé en 1751 pour les chanoines, l’ambition de Nicolas Dupont avait été de doter la cathédrale d’un instrument « comparable avec le plus grand nombre des grandes orgues de France, dans lequel on trouvera les jeux pour jouer tous les couplets qui peuvent se faire selon le bon goût du temps, et pouvoir les diversifier pendant tout un office, sans être obligé de répéter deux fois les mêmes mélanges ».

L’instrument de Nicolas Dupont, plusieurs fois modifié par la suite, fut complètement détruit le dans l’incendie de la cathédrale, et remplacé par un instrument de style néoclassique dû à Curt Schwenkedel, inauguré le par Gaston Litaize.

La restauration et la modernisation de l'instrument Curt Schwenkedel - financée par la ville de Toul (propriétaire) pour 468 905 euros (en trois parties, le travail du facteur d'orgue, le travail bénévole du technicien conseil de la ville Pascal Vigneron, à Hauteur de 150 000 euros, chamade de 4 pieds comprise, et le travail des artisans de la ville) - a été faite par le facteur d'orgues Kœnig, basé à Sarre-Union[9]. Son inauguration et sa bénédiction eurent lieu le , en la présence de Mgr Jean-Louis Papin (évêque de Nancy-Toul), Mgr Jean-Pierre Grallet (archevêque de Strasbourg) et de Mgr Claude Schockert (évêque émérite de Belfort-Montbéliard). C'est à Olivier Latry, organiste titulaire de Notre-Dame de Paris, que reviendra l’honneur de donner le concert d’inauguration l'après-midi même.

Grandes Orgues de la cathédrale de Toul Schwenkedel - Koenig

Positif de dos Grand Orgue Récit expressif Pectoral Pédalier concave
1er clavier 2e clavier 3e clavier 4e clavier à l'allemande
56 notes 56 notes 56 notes 56 notes 32 notes
Montre 8 Montre 16 Bourdon 16 Bourdon en bois 8 Principal 32
Bourdon 8 Montre 8 Flûte à cheminée 8 Flûte à cheminée 4 Soubasse 32
Prestant 4 Bourdon conique 8 Principal 8 Principal 2 Principal 16
Flûte 4 Flute 8 Voix céleste 8 Flûte 2 Soubasse 16
Nazard 2 2/3 Prestant 4 Octave 4 Tierce 1 3/5 Principal 8
Doublette 2 Flûte à cheminée 4 Doublette 2 Sifflet 1 Flûte à fuseau 8
Tierce 1 3/5 Doublette 2 Cornet 5 rgs Cymbale 3 rgs Principal 4
Larigot 1 1/3 Quarte 2 Plein-jeu 4 - 5 rgs Ranquette 16 Flûte 4
Fourniture 4 rgs Flûte 1 Carillon 3 rgs Trompette 8 Bourdon 2
Cymbale 3 rgs Sesquialtera 2 rgs Trompette 8 Hautbois 8 Rauschpfeiffe 3 rgs
Trompette 8 Fourniture 5 - 7 rgs Clairon 4 Grosse mixture 5 rgs
Cromorne 8 Cymbale 4 rgs Voix humaine 8 Posaune 32
Clairon 4 Bombarde 16 Chamade 8 (du GO) Bombarde 16
Trompette 8 Chamade 4 (du GO) Trompette 8
Clairon 4 Douçaine 8
Chamade 8 Clairon 4
Chamade 4

4 claviers manuels 56 notes

1 pédalier concave, à l'allemande 32 notes - / - Tirasses/Positif/GO/Récit/Pectoral

Tirage, des registres électrique et traction, des notes mécanique - / - Appels d'Anches/Récit/GO/Positif

Tuyaux (alliage, d'étain et de plomb) - / - Accouplements/Positif/GO/Récit/Pectoral

Combinateur Pietrique - Pédale (Expression Récit)

70 registres

Le Festival Bach de Toul

Depuis, la commune organise le Festival Bach de Toul consacré à Johann Sebastian Bach. La première édition voit la participation de François-Henri Houbart, organiste de la Madeleine à Paris, Suzanne Ramon, lauréat du Conservatoire national supérieur de musique de Paris, Yeon-Ju Kim, du quatuor de saxophone Versax, de Pascal Vigneron, Christine Auger et de Karolos Zouganelis dans les variations Goldberg BWV 978. L'édition 2011 voit la participation de Pierre Méa, organiste de la cathédrale de Reims, Véréne Westphal, violoncelliste, Thierry Ospital, lauréat du Conservatoire national supérieur de musique de Paris, Manuel Roque Cardoso, pianiste, lauréat de l’École normale de musique de Paris, Le quatuor de clarinette Clarias, la mezzo soprano Anne Maugard, Le claveciniste Pieter-Jan Belder, le pianiste Dimitri Vassilakis. Le directeur artistique du Festival Bach de Toul est Pascal Vigneron. Les lieux des concerts sont la cathédrale Saint-Étienne, la collégiale Saint-Gengoult, le musée de Toul, la chapelle de l'hôpital Saint-Charles.

Les vitraux

Vitrail du Transept Nord daté 1503

Riche de la tradition verrière et des vitrilliers lorrains, la cathédrale conserve des vitraux depuis son édification (XIIIe siècle) jusqu'aux créations du XIXe siècle.

Le chœur fut orné de vitraux commandés par l'évêque Roger de Mercy en 1235, ces vitraux représentent des scènes bibliques ou de la vie de saint et furent déplacés dans les absidioles attenantes au chœur au XIXe siècle à la suite de la conception de nouveaux vitraux par Casimir de Balthazar de Gachéo. Ce dernier composa de beaux vitraux pour habiller les trois fenêtres à doubles lancettes de 26 mètres de haut éclairant le chœur : dans un style historiciste, l'artiste présente 14 scènes de la vie du Christ dans la verrière centrale ; des scènes de l'Ancien Testament dans celle de gauche ; des épisodes clefs de la vie de l'Église dans cette de droite.

L'œuvre majeure de Balthazar de Gachéo est le grandiose vitrail du transept Sud posé en 1863. Cette vaste verrière habille la plus vaste ouverture gothique d'un seul tenant de France (28 m de haut - 216 m2). Le registre supérieur évoque l'invention des reliques de Saint-Étienne tandis que la partie inférieure représente quatre des plus célèbres évêques de Toul : le premier, saint Mansuy ; saint Epvre ; saint Gérard et saint Léon IX évêque puis Pape et les scènes de vies qui leur sont associées.

Le vitrail du transept Nord date du XVe siècle et représente une très beau couronnement de la Vierge, thématique intéressante puisqu'il rappelle notamment la double consécration de la cathédrale de Toul à Notre-Dame en plus de saint Étienne. Ce vitrail de 1503 est signé I.V. pour Jean le Verrier et comme pour le transept Sud possède des proportions remarquables.

Les fenêtres hautes de la nef quant à elles présentent des grisailles aux liserés bleutés du XVe siècle.

Gisants et plaques mortuaires

Outre les gisants de Mansuy de Toul, de Gérard et d'un autre évêque, il y a une grande quantité de gisants et de plaques mortuaires au sol de la cathédrale, quarante-trois sont classés. Il y en a aussi dans le cloître.

  • Un dans la cathédrale,

  • un chevalier de st-Jean,

  • dans le cloître,

  • de l'évêque Mansuy.

Les cloches

Clocheton Renaissance de la façade et sa cloche de 1536.

Si les archives nous indiquent que les premières cloches sonnèrent en 1497, probablement dans la tour sud-ouest, nous ne connaissons ni leurs dates de fontes ni leur nombre exact mais probablement quatre.

En 1534 étaient faites trois grosses cloches pour le campanile (14000, 10000 et 6 000 livres). La seconde fut refondue en 1634 par Nicolas de Lépine. Trois cloches furent refondues en 1767 par Ignace-Antoine Henriot pour obtenir les notes de fa, sol, la et si.

Une autre cloche fut également mise en place en 1536 dans le carillon situé dans le clocheton Renaissance de la façade. Sa fonction n'étant pas religieuse, elle fut conservée et sonne toujours les heures depuis son installation durant la Renaissance. Le beffroi de la tour nord-ouest n'a pas été modifié depuis son édification c'est ainsi l'un des plus anciens de France.

Au moment de la Révolution française, la cathédrale possédait donc 8 cloches sonnant l'octave complet, les quatre plus grosses dans la tour Saint-Gérard (gros clocher) et les autres dans la tour Saint-Étienne. Destinées à rythmer la vie du clergé, elles furent presque toutes envoyées à Metz pour y être fondues durant la Révolution française. Une cloche par beffroi fut cependant conservée, elles furent refondues en 1820 pour en faire 4 nouvelles cloches, elles disparurent toutes durant l'incendie de la tour sud-ouest en .

En 1961 furent fondues 5 cloches par la fonderie Causard à Colmar[10] :

  • Marie-au-pied-d'Argent, 457 kg sonne un "la",
  • Jeanne-d'Arc, 647 kg, sonne un "sol",
  • Mansuy, 955 kg sonne un "fa",
  • Étienne, 1 527 kg sonne un "ré",
  • Léon - le bourdon du nom du pape Léon IX - 1,93 m de diamètre pour 4 884 kg sonne le "la" du diapason.

Notes et références

Annexes

Sources et bibliographie

Sur l'édifice

Par ordre chronologique de parution :

  • Dom Augustin Calmet, « Cathédrale de Toul. Plan, élévation », dans Histoire ecclésiastique et civile de Lorraine, qui comprend ce qui s'est passé de plus mémorable dans l' archevêché de Trèves, et dans les évêchés de Metz, Toul et Verdun, depuis l'entrée de Jules César dans les Gaules jusqu'à la mort de Charles V, duc de Lorraine, arrivée en 1690, chez Jean-Baptiste Cusson, Nancy, tome 3, 1728, planches VIII et IX (lire en ligne)
  • Abbé Guillaume, « La cathédrale de Toul », dans Mémoires de la Société d'archéologie lorraine, 1863, p. 91-284 (lire en ligne)
  • G. Clanché, « Les deux chapelles Renaissance de la cathédrale de Toul », dans Revue lorraine illustrée, 1913, p. 9-24 (lire en ligne)
  • Jacques Choux, La cathédrale de Toul avant le XIIIe siècle, Annales de l'Est, no 6, 1955, p. 32-47, 99-143.
  • Jean Vallery-Radot, Toul. Cathédrale, Congrès archéologique de France. 96e session. Nancy et Verdun. 1933, Société française d'archéologie, Paris, 1934, p. 229-257
  • Alain Villes, « La cathédrale de Toul, sa place dans l'histoire de l'architecture gothique », dans Le Pays lorrain, 1971, no 1, p. 33-44 (lire en ligne) (comte-rendu par Peter Kurmann, dans Bulletin Monumental, 1971, tome 129, no 4, p. 278-279)
  • Alain Villes, « Les campagnes de construction de la cathédrale de Toul. Première partie. Les campagnes du XIIIe siècle », dans Bulletin Monumental, 1972, tome 130, no 3, p. 179-189 (lire en ligne)
  • Alain Villes, « Les campagnes de construction de la cathédrale de Toul. Deuxième partie. La campagne du XIVe siècle », dans Bulletin Monumental, 1975, tome 133, no 3, p. 233-243 (lire en ligne)
  • Alain Villes, La Cathédrale de Toul, Histoire et Architecture, Éditions "Le Pélican", , 252 p.
  • Marie-Claire Burnand, La Lorraine gothique, Picard éditeur (collection Les monuments de la France gothique), Paris, 1989, p. 310-321, (ISBN 2-7084-0385-0)
  • Alde Harmand, « Une restauration à la cathédrale de Toul au milieu du XIXe siècle », dans Études touloises, no 107, 2003, p. 3-11 (lire en ligne)
  • Jean-Louis Jolin, Toul, la Collégiale Saint-Gengoult, la Cathédrale Saint-Étienne, Nancy, éditions Serpenoise, , 108 p. (ISBN 2-87692-617-2)
  • Hubert Collin, « Toul, cathédrale Saint-Étienne », dans Congrès archéologique de France. 164e session. Nancy et Lorraine méridionale. 2006, Société française d'archéologie, Paris, 2008, p. 207-235, (ISBN 978-2-901837-32-9)
  • Pierre-Yves Caillault, « Toul, la polychromie intérieure de la cathédrale », dans Congrès archéologique de France. 164e session. Nancy et Lorraine méridionale. 2006, Société française d'archéologie, Paris, 2008, p. 237-239, (ISBN 978-2-901837-32-9)
  • Alain Villes, « La cathédrale Saint-Étienne de Toul. 1- Aspects historiques et archéologiques », dans Études touloises, no 163, 2018, p. 5-25 (lire en ligne)
  • Michel Hachet, « Destructions et restaurations de la cathédrale de Toul. Constat et état des lieux en 1994 », dans Études Touloises, 2018, no 163, p. 26-31 (lire en ligne)

Sur les orgues

  • Gustave Clanché, La Musique, le chœur, le bas-chœur de la cathédrale de Toul (documents historiques), Toul, 1936.
  • Olivier Douchain, « Quinze années d’histoire de l’orgue à la cathédrale de Toul (1744-1755) », Annales de l’Est, 1971, p. 157-205 ; du même auteur, « Les organistes laïques du diocèse de Toul aux XVIIe et XVIIIe siècles », Recherches sur la musique française classique, t. 20, 1981, p. 77-181, t. 21, 1983, p. 43-117 et t. 22, 1984, p. 164‑218
  • « Les grandes orgues de la cathédrale restaurées », dans Études touloises, no 40, 1986, p. 3-5 (lire en ligne)
  • Orgues de Lorraine : Meurthe-et-Moselle, dir. Christian Lutz et René Depoutot, Metz, 1990, p. 410‑420.
  • Jean-Luc Gester et Damien Vaisse, « Jean-Baptiste Nôtre, organiste de Toul, et son Livre d’orgue », Études touloises, no 109, 2004, p. 29-39 ; article republié avec quelques compléments dans La Tribune de l'orgue. Revue suisse romande, t. 57/1, 2005, p. 10-23.
  • Pascal Vigneron, « Une seconde vie pour le Grand Orgue de Saint-Étienne », dans Études touloises, no 160, 2016, p. 3-10 (lire en ligne)
  • Pascal Vigneron, « L'orgue de Curt Schwenkedel , 1963 », dans Études touloises, no 156, 2016, p. 11-12 (lire en ligne)

Sur les vitraux

  • Michel Hérold, « Un vitrail d'Hermann de Munster à la cathédrale de Toul », dans Le Pays lorrain, 66e année, 1985, p. 34-39 (lire en ligne)
  • Michel Hérold, « Les vitraux de la cathédrale de Toul », dans Congrès archéologique de France. 149e session. Les Trois-Évêchés et l'ancien duché de Bar. 1991, p. 363-374, Société française d'archéologie, Paris, 1995
  • Alde Harmand, « Un vitrail à la rose ouest de la cathédrale de Toul », dans Études touloises, no 100, 2001, p. 3-5 (lire en ligne)
  • Michel Marchand, « Balthazar de Gachéo et le vitrail de Saint-Étienne au transept de la cathédrale de Toul », dans Études touloise, no 156, 2016, p. 13-19 (lire en ligne)

Sur les cloches

  • Thibaut Laplace, « Toul sonnante : panorama du patrimoine campanaire de Toul », dans Études touloises, no 160, 2017, no 3-16 (lire en ligne)

Sur le chapitre de la cathédrale

  • Jean-Paul Aubé, « Les chanoines de la cathédrale de Toul », à la veille de la Révolution. Des hommes de leur temps, dans Études touloises, 2017, no 162, p. 19-25 (lire en ligne)

Autres

  • Michel Hachet, « Le mausolée de saint Mansuy à la Cathédrale de Toul : fin d’une pérégrination », dans Études touloises, 2013, no 146, p. 3-7 (lire en ligne)

Articles connexes

Discographie

  • Paraphrases sur Les Jours de l'Apocalypse d'après les poèmes d'Armel Guerne. Pascal Vigneron, aux grandes orgues Curt Schwenkedel de la cathédrale de Toul ; Marie-Christine Barrault, récitante.
  • Johann Sebatian Bach, les Variations Goldberg, premier enregistrement critique avec les trois instruments à claviers - Pascal Vigneron, aux Grandes Orgues Curt Schwenkedel de la Cathédrale de Toul, Dimitri Vassilakis, piano et Christine Auger, clavecin.
  • Jean-Baptiste Nôtre 1738-1807, Le Livre d'orgue - premier enregistrement mondial - Pascal Vigneron, aux Grandes Orgues Curt Schwenkedel de la cathédrale de Toul, et de l'orgue historique de Domgermain
  • Johann Sebatian Bach, Partitas pour clavier, Pascal Vigneron, aux Grandes Orgues Curt Schwenkedel de la cathédrale de Toul
  • Les orgues de Meurthe et Moselle, Volume I, Pascal Vigneron, aux orgues de la cathédrale de Toul, de la collégiale Saint-Gengoult, de des églises de Domgermain, Vezelize, Colombey-les-belles, Lucey, Foug, Villey-Saint-Étienne

Liens externes