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Château de Gombervaux

Le château de Gombervaux est un château du XIVe siècle situé près de la commune française de Vaucouleurs dans le département de la Meuse, en Lorraine, dans la région administrative région Grand Est.

Château de Gombervaux
Image illustrative de l’article Château de Gombervaux
Vue du château et des douves.
Période ou style Médiéval
Type Château fort
Début construction XIVe siècle
Propriétaire initial Geoffroy de Nancy
Protection Logo monument historique ClassĂ© MH (1994)
CoordonnĂ©es 48° 38′ 02″ nord, 5° 39′ 04″ est
Pays Drapeau de la France France
Anciennes provinces de France Duché de Lorraine
RĂ©gion Grand Est
DĂ©partement Meuse
Commune Vaucouleurs
GĂ©olocalisation sur la carte : Meuse
(Voir situation sur carte : Meuse)
Château de Gombervaux
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Château de Gombervaux
Site web http://www.gombervaux.com
La porte-donjon à créneaux.
Château de Gombervaux.
Château de Gombervaux.

Cette maison forte, dont il ne subsiste guère que la façade, Ă©tait dotĂ©e de quatre tours d'angle et d'un altier donjon-porche Ă  crĂ©neaux. Une partie du château a Ă©tĂ© utilisĂ©e comme carrière de pierre par les habitants des villages voisins. Le château est entourĂ© de douves emplies d'eau, alimentĂ©es par trois sources. L'eau des douves est rĂ©gulĂ©e par une vanne et le trop-plein s'Ă©coule dans le fossĂ© dit « de Gombervaux Â».

Le site de Gombervaux a été classé au titre des monuments historiques par un arrêté du [1] - [2].

La création de l'Association Gombervaux, le , a permis de sauver le château qui était alors totalement à l'abandon, ses douves n'existaient plus, et la végétation avait envahi le château. Grâce aux efforts de l'association, le château de Gombervaux a pu renaître de ses ruines, de nombreux éléments ont été restaurés. L'association anime le lieu en organisant des actions culturelles et touristiques, attirant un large public soucieux de mieux connaitre ce patrimoine régional.

Localisation

Gombervaux est situĂ© Ă  3,5 km au nord ouest de Vaucouleurs, en contrebas de la route qui mène Ă  Commercy. Autrefois, ce point de passage obligĂ© entre Vaucouleurs et Void-Vacon surveillait les chemins reliant plusieurs villages de la châtellenie.

Historique

  • 1335 : le roi Philippe VI acquiert par Ă©change avec Jean de Joinville la seigneurie de Vaucouleurs dont fait partie Gombervaux.
  • 1338 : Geoffroy de Nancy reçoit le fief de Gombervaux.
  • Entre 1338 et 1357 : construction du château.
  • De 1334 Ă  1341 : rattachement de Vaucouleurs au domaine royal, et le la ville et son ban deviennent dĂ©finitivement français. Vaucouleurs est qualifiĂ©e de bonne ville murĂ©e et ses habitants de bourgeois du roi. La châtellenie, composĂ©e de vingt-et-un villages, devient prĂ©vĂ´tĂ© royale. Mais l’acte final du rattachement n’interviendra que le , Ă  la mort du comte Henri de VaudĂ©mont, Ă  qui le roi Charles V avait concĂ©dĂ© la seigneurie.
  • 1367 : Le roi Charles V et le duc de Lorraine signent le traitĂ© de Vaucouleurs au château. Charles V souhaite renforcer la sĂ©curitĂ© sur les frontières de l'est pour mieux se consacrer Ă  la guerre contre l'Angleterre. Le roi veut empĂŞcher les guerres privĂ©es auxquelles se livrent les seigneurs fĂ©odaux et qui dĂ©stabilisent la rĂ©gion. Ă€ cette occasion, un fastueux banquet aurait eu lieu au château de Gombervaux, avec la participation de Taillevent, premier queux royal. Sont prĂ©sents Ă  ce banquet :
Le traité de Vaucouleurs entre le roi de France et le duc de Lorraine Jean vise à réprimer les bandes qui désolent alors les campagnes de Lorraine, de Bar et de Champagne.
  • 1617 : les grands seigneurs du royaume se soulèvent contre Marie de MĂ©dicis et son favori Concini ; occupĂ© par des insurgĂ©s, le château de Gombervaux est libĂ©rĂ© par les Valcolorois après treize jours de siège.
  • 1639 : pendant la guerre de Trente Ans, la France envisage de dĂ©truire le château de Gombervaux afin qu'il ne tombe pas aux mains du duc de Lorraine, alliĂ© de l'Autriche.
  • 1769 : le château est abandonnĂ© comme rĂ©sidence seigneuriale.
  • 1843 : le domaine devient la propriĂ©tĂ© de la famille Plauche Gillon.
  • 1954 : le château est inscrit Ă  l'inventaire supplĂ©mentaire des monuments historique par arrĂŞtĂ© du .
  • 1989 : crĂ©ation de l'Association Gombervaux pour sauvegarder et animer le château et son site.
  • 1994 : Le château est classĂ© monument historique par arrĂŞtĂ© ministĂ©riel du .

Propriétaires

Geoffroy de Nancy

Philippe VI, roi de France, accorde entre 1338 et 1341 maintes libéralités au chevalier lorrain Geoffroy de Nancy, dont Gombervaux. Par lettres données à Ethioles le , le souverain établit ce même Geoffroy châtelain de Vaucouleurs en remplacement du chevalier Poins de Chaudenay, et successivement lui accorde avantages, argent et titres : conseiller du roi, bailli de Chaumont, capitaine.

Après maints succès et libéralités royales, Geoffroy se livre à des exactions, abus de pouvoirs, agissant plus en tyran qu’en pondérateur. Le , un arrêt du Parlement de Paris le condamne. En 1350, Jean II le Bon, roi de France, fait arrêter Geoffroy qu’il accuse de forfaiture. Geoffroy réussit à s’enfuir pour se réfugier à La Ferté-sur-Chiers (Ardennes). Banni du royaume par contumace, ses biens sont confisqués. Le roi est vaincu à Poitiers par les Anglais et s’en va, prisonnier, à Londres. Charles V est paré du titre de lieutenant du royaume. Geoffroy se fait enjôleur et plaide sa cause, obtient son pardon et récupère, le château de Gombervaux, en cours de reconstruction, mais non son territoire, puis aussi partie de ses biens, largement amputés. Le dauphin lui accorde, en , des lettres de grâce. Et le 11 du même mois Geoffroy de Nancy prête foi et hommage au dauphin Charles pour la seigneurie de Gombervaux dans laquelle il est rentré en possession. Geoffroy jouit encore quelque temps de titres honorifiques mais son pouvoir a été sérieusement amoindri.

Les descendants de Geoffroy

Armes de la maison de Nancy, branche cadette de la maison de Lenoncourt : d'argent à la croix engrêlée de gueules.

Geoffrin dit parfois Geoffroy II, fils aîné de Geoffroy de Nancy et d'Agnès de Pulligny, est armé chevalier en 1380, et sera seigneur de Gombervaux, ainsi que ses deux frères Jean et Guérard.

La maison de Vernancourt (1428-1490)

Armes : d'argent Ă  trois fasces de gueules

Jeanne de Nancy épouse Eustache de Vernancourt, le célèbre chevalier de Charles VII et chef de bande qui écuma la Champagne pendant de nombreuses années ; cette alliance fut une transition mouvementée. Elle permit cependant aux seigneurs de Gombervaux d’accroître considérablement leur richesse et leur puissance.

La maison des Salles (1490-1594)

Armes : d'argent à la tour donjonnée de sable, posée sur une motte de sinople

Nicole de Vernancourt épouse en premières noces Pierre des Salles en 1490. Pierre des Salles était chambellan du duc de Lorraine, qui a brillamment combattu aux côtés de René II à la bataille de Nancy en 1477. Le il obtient du roi Charles VIII la possession du moulin de Chalaines, source d'importants revenus. Les seigneurs des Salles ont possédé Gombervaux durant tout le XVIe siècle. En 1573, Jean de Salles est assassiné à Nancy par Jean IX, comte de Salm, gouverneur de Nancy et seigneur de Domrémy, à l'issue d'une querelle d'héritage. Sa veuve est Marguerite du Hautoy, décédée en 1600.

La maison de Myon (1594-1685)

Armes de la maison de Myon : écartelé d'or et de gueules

Simon de Myon était conseiller d'État et chambellan du duc de Lorraine Charles III. Il devient seigneur de Gombervaux par son mariage avec Antoinette des Salles, chanoinesse de Remiremont. Originaire de Franche-Comté, elle fut la dernière grande famille à posséder le château.

La maison du Breuil de la Brossardière (1685-1766)

Famille portant : d'argent Ă  trois merlettes de sable mises deux en chef et une en pointe

La maison de Mailliart (1766-1843)

Armes : de pourpre, au chevron d'or, accompagné de trois têtes

Galerie des armoiries de Gombervaux
  • de Nancy
    de Nancy
  • de Pulligny
    de Pulligny
  • de Vernancourt
    de Vernancourt
  • du Hautoy
    du Hautoy
  • de Myon
    de Myon
  • du Breuil de la Brossardière
    du Breuil de la Brossardière
  • de Maillart
    de Maillart

Description

Scientifiquement parlant, le château de Gombervaux est une maison forte, mais le mot de « château » s’est imposé au langage quotidien et cartographique.

L’ensemble forme un quadrilatère, renforcé à chaque angle par une tour ronde, que domine un imposant donjon-porche. Celui-ci comporte cinq niveaux : au rez-de-chaussée, trois étages et la terrasse sommitale. La porte principale est dotée d’un arc en tiers-point, doublé par un arc en plein cintre. Des rainures verticales permettent le coulissement de la herse, aujourd’hui disparue. La porte sur cour possède un seul arc en plein cintre. Au deuxième niveau, une belle cheminée, moulurée et bien travaillée, encadrée de deux fenêtres à coussièges, occupe le mur nord. Au troisième niveau, une cheminée, pareillement située et de mêmes dimensions, embellit l’espace éclairé par une fenêtre à coussiège, elle aussi, et à voûte en berceau, sur la muraille sud. Le conduit intérieur de la fumée est double et dessert les deux cheminées. Au quatrième niveau, une fenêtre présente un linteau garni de moulures. Le sommet du donjon comporte neuf créneaux.

Sur la façade extérieure du donjon sont sculptés trois écus disposés en triangle ; ceux des maisons de Myon (écartelé d’or et de gueules), des Salles (d’argent à la tour donjonnée de sable, posée sur une motte de sinople) et du Hautoy[3] (d'argent au lion de gueules, armé, lampassé et couronné d'or).

Le rez-de-chaussée de la tour sud-est possède une belle voûte en coupole et le mur est percé de trois archères. À l’étage, des travaux effectués en 1990 ont fait apparaître les reliefs d’une cheminée.

Une salle voûtée, de plan trapézoïdal, existe sous le logis sud-ouest. Cette salle est couverte d’une voûte en berceau soutenue par six arcs-doubleaux. Ce logis, dont le sol actuel, est plus bas qu’à l’origine, comprend les vestiges d’une belle cheminée dont demeurent encore les piédroits.

L’accès au premier niveau de la tour sud-ouest se fait par la salle voĂ»tĂ©e. La muraille dĂ©limite une salle circulaire de 4,45 m de diamètre, qui s’élève et se termine en cul-de-four. Elle est percĂ©e de trois archères. Le second niveau possède une seule entrĂ©e Ă  l’intĂ©rieur du logis sud-ouest et donne accès Ă  trois parties : la salle intĂ©rieure, un escalier et des latrines dont un tiers de lunette subsiste encore.

Sur des coussièges de la tour restent des traces du jeu du moulin.

L’association

L’Association Gombervaux a été créée, le , par Laurent Baudoin, son père Claude Baudoin, et leurs cousins Annie et Michel Barbier, assistés de quelques personnes. Elle a pour buts essentiels la sauvegarde, la réhabilitation, l’étude et l’animation du château et du site de Gombervaux que préside depuis le : Christian Laurent[4].

Les travaux réalisés

  • 1989 : mise hors d'eau provisoire de la grande salle et de la tour sud-est. Étaiement de la grande cheminĂ©e.
  • 1990 : dĂ©but de rĂ©fection de la salle voĂ»tĂ©e. DĂ©blaiement du premier Ă©tage de la tour sud-est ; pose d'une toiture autoportante.
  • 1991 : restauration du mur de soutènement de la grande salle; pose d'une dalle de bĂ©ton. RĂ©fection du sommet de la courtine sud-est
  • 1992 : pose d'Ă©chafaudage en bois contre la tour nord-est Ă  demi effondrĂ©e (cinq niveaux de travail). RĂ©fection d'une fenĂŞtre de la courtine sud-est.
  • 1993 : sauvegarde du mur ouest: pose d'un Ă©chafaudage en bois (quatre niveaux), ouverture d'une fenĂŞtre comblĂ©e. DĂ©but de rĂ©fection de la base de la tour sud-ouest.
  • 1994 : installation d'escaliers et de passerelles entre les diffĂ©rents logis. RĂ©fection de deux fenĂŞtres. DĂ©but du nettoyage des douves.
  • 1995 : travaux de rĂ©fection de la Salle voĂ»tĂ©e, mise en place de la grille mĂ©tallique, amĂ©nagement de la cour intĂ©rieure et assemblage et montage de la charpente en rĂ©sineux pour en coiffer la tour sud-est.
  • 1998 : dĂ©but de la consolidation du parement du premier Ă©tage de la tour sud-est.
  • 2000 et 2001 : exploration archĂ©ologique avec le concours du SRA, permet la dĂ©couverte, le soubassement de la tour nord-ouest, disparue, des vestiges du mur de courtine, un dallage de fours probablement du XVIIIe siècle.
  • 2002 : travaux d'ampleur sur le château ; tour sud-ouest : restauration du parement extĂ©rieur cĂ´tĂ© douves, restauration du cĹ“ur de la cheminĂ©e intĂ©rieure au premier Ă©tage ; salle voĂ»tĂ©e : rĂ©fection de plusieurs arcs doubleaux menaçant de s'effondrer et rĂ©fection de l'embrasure de la fenĂŞtre cĂ´tĂ© cour. Le coĂ»t total des travaux fut financĂ© par les subventions de la DRAC Lorraine, de l'Union europĂ©enne, du propriĂ©taire et de l'Association.
  • 2003 et 2004 : reconstruction du lavoir
  • 2005 : rĂ©alisation de deux bacs de dĂ©cantation
  • 2006 et 2007 : archĂ©ologie Ă  l'intĂ©rieur du donjon. Remplacement du parement du mur ouest. DĂ©montage de l'Ă©chafaudage de la tour N.E.
  • 2008 : remplacement de pierres. Installation dans l'âtre de la cheminĂ©e du premier Ă©tage d'un pavage de briques dĂ©gagĂ© dans le sol du donjon entre les deux portes.
  • 2009 : dĂ©couverte de la fondation du mur du logis parallèle Ă  la courtine S.E.. Remplacement de pierres. AmĂ©nagement de l'accès au passage du donjon depuis la cour : pierres de seuil et fabrication d'un escalier de 4 marches.. Fabrication d'une porte pour les latrines.
  • 2010 : finalisation du mur intĂ©rieur du donjon cĂ´tĂ© est. Remplacement de pierres. RĂ©alisation d'un canal de sortie d'eau au lavoir et d'un pavage.
  • 2011 : restauration du mur extĂ©rieur du donjon cĂ´tĂ© est et des retours cĂ´tĂ© douves. Nettoyage du plan d'eau.
  • 2012 : restauration des parements intĂ©rieurs du donjon. nettoyage du plan d'eau.
  • 2013 Ă  2017 : pendant ces cinq annĂ©es s'est poursuivit la restauration de la cheminĂ©e du logis sud-ouest. Les travaux ont Ă©tĂ© menĂ©s par un groupe de bĂ©nĂ©voles de l'association qui ont effectuĂ© les plans, prĂ©parĂ© les travaux pour les dĂ©coupes de pierre faites par les participants aux Chantiers BĂ©nĂ©voles Internationaux Rempart d'Ă©tĂ©, puis ont installĂ© les pierres taillĂ©es pour constituer les diffĂ©rents Ă©lĂ©ments de la cheminĂ©e : linteau, corniche hotte et contrecĹ“ur.
  • Entre avril 2016 et octobre 2017, une campagne de restauration menĂ©e conjointement par deux maĂ®tres d’ouvrage le GFA de Gombervaux et l’association Gombervaux.
    • Les crĂ©neaux de la tour-porche ont Ă©tĂ© restaurĂ©s ; un toit en plomb avec chĂ©neaux en cuivre a remplacĂ© la couverture en fibrociment.
    • Les parements de la courtine sud-est ont bĂ©nĂ©ficiĂ© d’un « gommage », d’un rejointoiement complet. Les six lits de la partie sommitale de cette courtine ont Ă©tĂ© restaurĂ©s par le remplacement en tiroir ou en totalitĂ© de très nombreuses pierres. L’énorme brèche de la base a Ă©tĂ© comblĂ©e.
    • La tour sud-est a reçu en totalitĂ© un gommage, un rejointoiement et de nombreux remplacements de pierres. Un rehaussement de m de l’arc sud de celle-ci, une couverture en plomb (poivrière) avec chĂ©neau en cuivre et une gargouille ont Ă©tĂ© aussi rĂ©alisĂ©s.
  • 2017 : en aout 2017, un chantier menuiserie a Ă©tĂ© consacrĂ© Ă  la rĂ©alisation d'une herse dont l'emplacement est attestĂ© au niveau du porche du donjon par deux rainures latĂ©rales et les traces d'ancrage du mĂ©canisme de levage Ă  l'Ă©tage supĂ©rieur. Sa conception s'est inspirĂ©e de la herse du Palais des rois de Majorque Ă  Perpignan. Elle a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en chĂŞne de Meuse. Son poids total dĂ©passe 650 kg.
  • 2018 : encadrement de la porte qui permet d'accĂ©der au premier Ă©tage du donjon. Construction d'une timonerie pour manipuler la herse. Faite en bois selon les techniques en vigueur au XIVe siècle.

Notes et références

  1. « Notice n°PA00106648 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  2. « Château fort, Château de Gombervaux », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  3. « Le château de Gombervaux », sur Eglise protestante unie de France (consulté le ).
  4. « Association Gombervaux », sur gombervaux.fr (consulté le ).

Annexes

Bibliographie

Par ordre chronologique de parution :

  • Francis de Chanteau (archiviste palĂ©ographe), Notice Historique sur le Château de Gombervaux, Meuse ; Ă©diteur : Typographie de l'Ĺ’uvre de Saint-Paul, L. Phiilipona & Cie 36, rue de la Banque, Bar-le-Duc Meuse, 1883. avec : appendice gĂ©nĂ©alogiques, pièces justificatives, 57 pages.
  • Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du Moyen Ă‚ge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
  • Edmon des Robert, « Les derniers seigneurs de Gombervaux. Un tableau ancien de la Maison-Forte », dans Le Pays lorrain, 35e annĂ©e, 1954, p. 73-78 (lire en ligne)
  • Marie-Claire Burnand, « Gombervaux », dans Lorraine gothique, Picard Ă©diteur, Paris, 1989, p. 362, (ISBN 2-7084-0385-0)
  • HervĂ© Piant, « Vaucouleurs, le château de Gombervaux : une maison-forte en Lorraine Ă  la fin du Moyen Ă‚ge », dans Congrès archĂ©ologique de France. 149e session. Les Trois-ÉvĂŞchĂ©s et l'ancien duchĂ© de Bar. 1991, p. 393-401, SociĂ©tĂ© française d'archĂ©ologie, Paris, 1995
  • Laurent Baudoin, Gombervaux, une forteresse au pays de Jeanne d'Arc : Entre l'Aigle et le Lys, Chalaines, association Gombervaux, 1993 (rĂ©impr. 1999) (ISBN 2-9507817-0-5)
  • Michel Barbier, Laurent Baudouin et Françoise Beucher de Challan, « Mythes et lĂ©gendes Ă  Gombervaux », dans Philippe Martin (dir.) et NoĂ«lle Cazin (dir.), Vaucouleurs, pays de frontière (XXIXe JournĂ©es d'Ă©tudes meusiennes, Vaucouleurs, -), Bar-le-Duc, SociĂ©tĂ© des lettres, sciences et arts de Bar-le-Duc, , 143 p. (ISBN 2-907708-13-9), p. 129 et suivantes.

Articles connexes

Liens externes

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