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Centre culturel Tjibaou

Le centre culturel Tjibaou est un établissement public destiné à promouvoir la culture kanak, situé entre les baies de Tina et de Magenta, sur une presqu'île en périphérie de Nouméa, en Nouvelle-Calédonie. Il est géré par l’Agence de développement de la culture kanak (ADCK), établissement public à caractère administratif (EPCA) de l'État, créée en 1989 et transféré à la Nouvelle-Calédonie en [2].

Centre culturel Tjibaou
Vue du Centre culturel Tjibaou depuis la mer en 2013
Informations générales
Type
Ouverture
Surface
8 ha
Visiteurs par an
98 405 (2011)[1]
Site web
Bâtiment
Architecte
Protection
Localisation
Pays
Commune
Adresse
Centre culturel Tjibaou
Rue des accords de Matignon, Tina
BP 378
98845 Nouméa Cedex
Coordonnées
22° 15′ 23″ S, 166° 28′ 54″ E
Géolocalisation sur la carte : Océanie
(Voir situation sur carte : Océanie)
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Calédonie
(Voir situation sur carte : Nouvelle-Calédonie)
Géolocalisation sur la carte : Nouméa
(Voir situation sur carte : Nouméa)

Le centre culturel Tjibaou est :

  • Un pĂ´le de dĂ©veloppement de la crĂ©ation artistique kanake et un centre de diffusion de la culture contemporaine kanake. Il affirme la culture kanake dans son patrimoine, dans son actualitĂ© et ses crĂ©ations.
  • Un lieu privilĂ©giĂ© de rencontre et de crĂ©ation culturelle en Nouvelle-CalĂ©donie. Tout en donnant Ă  la culture kanake sa place de « culture de rĂ©fĂ©rence », il suscite l’émergence de pratiques et de rĂ©fĂ©rences culturelles nouvelles et communes Ă  la Nouvelle-CalĂ©donie[3].
  • Un pĂ´le de rayonnement et d’échanges culturels internationaux.

Ce complexe poly-culturel est donc à la fois un musée, une médiathèque, un palais des congrès, un centre de spectacle, un pôle de recherche et de création et un parc paysager et botanique.

La construction du bâtiment, incluse dans les Grandes opérations d'architecture et d'urbanisme de François Mitterrand, s'est faite entre 1995 et 1998 suivant les plans de l'architecte italien Renzo Piano.

Nom

Son nom lui a été attribué en hommage au chef indépendantiste kanak Jean-Marie Tjibaou, à l'origine de ce projet, et qui avait organisé à côté de ce site le festival Mélanésia 2000[4]. Le nom officiel exact du centre est Centre culturel Tjibaou et non pas Centre culturel kanak Jean-Marie Tjibaou ni Centre culturel Jean-Marie Tjibaou, ce point a d'ailleurs fait l'objet d'une explication par les chefs coutumiers lors de l'inauguration du centre en , et à cette occasion, une cérémonie coutumière a été organisée par le clan Tjibaou pour consacrer le don de leur nom au centre.

Histoire

Prévu dans les accords de Matignon de 1988, ce centre de la culture kanak a été édifié entre 1995 (le chantier est ouvert le 4 mars de cette année) et 1998 par l'architecte Renzo Piano (dont le projet est choisi en 1991) sur un terrain de 8 hectares cédé à titre gratuit à l'ADCK par la ville de Nouméa le . Le chantier est inscrit dans le cadre des Grands Travaux de la République engagés sous la présidence de François Mitterrand.

Inauguré les 4 et par le Premier ministre Lionel Jospin, alors qu'est signé l'accord de Nouméa, puis ouvert au public à partir du , l'édifice a coûté 320 millions de francs français[5], soit 5,82 milliards de francs CFP, valeur en 1991.

Architecture et organisation

Situation géographique du centre culturel.
Plan du Centre culturel Tjibaou.

Son parti pris architectural est une traduction moderne et monumentale de l'architecture vernaculaire de l'île insérée dans son environnement, s'étendant sur 8 ha. Cet ouvrage a été conçu par l'architecte italien Renzo Piano, choisi en 1991 à la suite d'un concours international, en concertation avec l'ADCK dont la veuve de Jean-Marie Tjibaou[6], Marie-Claude, est la présidente du conseil d'administration depuis 1990. Il comprend plusieurs espaces[7].

Bâtiment principal

Le cĹ“ur du Centre est un bâtiment de 6 970 m2 constituĂ© notamment de dix hautes structures nervurĂ©es et effilĂ©es rappelant les cases traditionnelles kanakes, et rĂ©parties sur 230 m le long d'un arc orientĂ© nord-est / sud-ouest. L'ossature de ces cases est mixte : bois d'iroko lamellĂ©-collĂ© et acier. Leurs dimensions sont variables : trois grandes de 140 m2 et 28 m de haut chacune, trois moyennes de 92 m2 et 22 m de haut chacune et enfin quatre petites de 55 m2 et 20 m de haut chacune. Elles sont longĂ©es par un bâtiment plus bas, plat, avec une allĂ©e desservant les cases (le mot allĂ©e renvoyant Ă  l'allĂ©e centrale spĂ©cifique de l'habitat traditionnel kanak) et diffĂ©rentes salles[7]. Ainsi formĂ©, le bâtiment principal est divisĂ© en trois « villages », ayant chacun une fonction particulière avec, du nord-est au sud-ouest[8]

  • Le « village 1 », ou « village kanak », pour l'« identitĂ© et les collections kanakes et ocĂ©aniennes », espace musĂ©ographique qui sert Ă  la prĂ©sentation des cultures traditionnelles et modernes du Pacifique, comprenant :
    • La petite « case Bwenadoo » (« rassemblement coutumier » en cèmuhĂ®) qui accueille des expositions de collections du patrimoine kanak, prĂŞtĂ©es par les musĂ©es internationaux, essentiellement le musĂ©e de l'Homme et celui du quai Branly Ă  Paris,
    • La grande « case Jinu » (« esprit » en pije, fwâi, ) qui permet de dĂ©couvrir les civilisations pluri-millĂ©naires du Pacifique au travers des sculptures monumentales traditionnelles du Vanuatu, de Papouasie-Nouvelle-GuinĂ©e, de Nouvelle-GuinĂ©e occidentale, de Nouvelle-ZĂ©lande et de Nouvelle-CalĂ©donie, construites spĂ©cialement pour le centre,
    • La moyenne « case KanakĂ© » (du nom de l'ancĂŞtre commun d'un mythe en langue paicĂ® mis en scène par Jean-Marie Tjibaou lors du festival MĂ©lanĂ©sia 2000), espace multimĂ©dia qui propose des projections vidĂ©o continues sur Ă©cran gĂ©ant sur « la mĂ©moire, la quĂŞte, l'affirmation de la culture kanak » et posant « un regard sur sa philosophie et son mode de vie »,
    • La moyenne « case PĂ©rui » (« rencontre » en nĂŞlĂŞmwa), qui abrite la cafĂ©tĂ©ria,
    • La « salle BĂ©rĂ©tara » (« regarder, admirer » en xârâcùù), face Ă  la case Jinu, exposition permanente renouvelĂ©e chaque annĂ©e d'une partie de la collection publique du Fonds d'art contemporain kanak et ocĂ©anien constituĂ© (FACKO) et gĂ©rĂ© par l'ADCK (qui dispose de plus de 800 pièces exceptionnelles, en constante augmentation),
    • La « salle Kavitara » (« sculpture de seuil » en ajiĂ«), face Ă  la case KanakĂ©, pour les expositions temporaires d'artistes contemporains,
    • La « salle Sisia » (« bouger, chanter, danser » en faga uvea), face Ă  la case PĂ©rui, grande salle de spectacle couverte et souterraine de 400 places avec une scène de 257 m2, dotĂ©e d'Ă©quipements techniques et acoustiques pour y accueillir des concerts ou reprĂ©sentations d'artistes, groupes ou troupes locales, nationales, rĂ©gionales ou internationales,
    • La boutique, face Ă©galement Ă  la case PĂ©rui et Ă  cĂ´tĂ© de l'entrĂ©e principale du bâtiment qui sĂ©pare les villages 1 et 2, il propose aux visiteurs l'achat d'objets artisanaux, des articles de souvenir ou promotionnels, ainsi que des articles multimĂ©dias livres, revues, affiches, cartes postales, cassettes vidĂ©o, CD et cassettes audio ainsi que des ouvrages historiques et littĂ©raires sur les cultures kanakes ou ocĂ©aniennes (livres, revues, affiches, cartes postales, cassettes vidĂ©o, CD, cassettes ou ouvrages historiques et littĂ©raires),
  • Le « village 2 », qui accueille la mĂ©diathèque et un centre d'art contemporain, avec :
    • la petite « case Ngan Vhalik » (« maison de la parole » en pije), dĂ©diĂ©e Ă  l'audiovisuel (165 000 images fixes de type photographies ou cartes postales anciennes, 3 000 DVD et cassettes vidĂ©o, 2 500 films d'archives, 6 000 CD et cassettes audio, 350 heures d'archives sonores, 50 CD-ROM et une sĂ©lection de sites internet consacrĂ©s Ă  l'OcĂ©anie[9],
    • La grande « case MwĂ  VĂ©Ă© » (« maison de la parole » en nââ drubĂ©a) qui sert de bibliothèque (17 000 ouvrages, 500 thèses et mĂ©moires, 1 100 tirĂ©s Ă  part et dossiers et 280 titres de pĂ©riodiques), dotĂ© Ă©galement d'un espace de travail avec accès Ă  certains CD-ROM, CD audio et sites internet[9],
    • La petite « case UmatĂ« » (« grenier Ă  igname » en drehu) pour des expositions temporaires,
    • La « salle Komwi » (« exposer, montrer » en nemi) d'expositions temporaires sur deux niveaux, face Ă  la case Ngan Vhalik,
    • une salle de rĂ©union et de confĂ©rences, face Ă  la case UmatĂ«,
  • Le « village 3 » consacrĂ© Ă  la « rencontre et la rĂ©flexion », Ă  vocation essentiellement pĂ©dagogique et orientĂ©e vers les jeunes et les enfants :
    • La petite « case Mâlep » (« vivre » en nyelâyu) oĂą est organisĂ©e une prĂ©sentation et hommage Ă  la vie et Ă  l'Ĺ“uvre de Jean-Marie Tjibaou,
    • La grande « case Eman » (« palabre » en nengone) qui sert d'espace multimĂ©dia de confĂ©rences, de dĂ©bats et de rencontres,
    • La petite « case VinimoĂŻ » (« raconter des histoires aux enfants » en ajiĂ«), avec une exposition permanente prĂ©sentant le projet architectural du Centre,
    • Les bureaux de l'administration, face Ă  la case Eman.

Une étude en soufflerie, avec mesure des pressions locales, a été réalisée au CSTB de Nantes[10] sur une maquette de plexiglas au 1/100e de cette structure[11].

Ce bâtiment principal est entouré par un certain nombre d'espaces extérieurs.

Espaces extérieurs

Grande case du Sud dans l'aire coutumière Mwakaa

Ces espaces aménagés en plein air, et au milieu de la végétation (de type forêt sèche et mangrove), comprennent[8] :

  • le « chemin kanak », dont le parcours encercle le bâtiment principal et l'espace Ape Vila, est un parcours vĂ©gĂ©tal initiatique bordĂ© d'essences endĂ©miques visant Ă  initier le visiteur Ă  la symbolique du vĂ©gĂ©tal dans la sociĂ©tĂ© kanake et Ă  retracer, Ă  travers le langage des plantes, les cinq Ă©tapes du mythe du premier homme Téâ KanakĂ© (l'origine des ĂŞtres, la terre nourricière, la terre des ancĂŞtres, le pays des esprits et la renaissance)[7] - [8].
  • l'« aire coutumière Mwakaa » (« espace de la chefferie » en nââ drubĂ©a) en contrebas du village 1, organisĂ©e autour de trois grandes cases reprĂ©sentant les spĂ©cificitĂ©s architecturales des provinces (grandes cases du Sud, la plus haute et la moins large, du Nord et des ĂŽles LoyautĂ©, la plus basse et la plus large) mais aussi d'un fare polynĂ©sien lĂ©gèrement en retrait, il « relie le passĂ© au prĂ©sent et fonde la lĂ©gitimitĂ© du site » en servant de lieu de parole, de vie et d'Ă©changes coutumiers. Cet espace est longĂ© au sud par la plage 1000[12].
  • l'« espace Kâmi Yo » (« le rythme et la danse » en kwĂŞnyii), au sud de l'aire coutumière et en contrebas du BelvĂ©dère, en bord de mer et de la plage 1000, accueille une scène en plein air servant essentiellement aux grands concerts de vedettes internationales et peut recevoir jusqu'Ă  4 500 personnes[13].
  • l'« espace Ape Vila » (« lieu de danse » en hwâvèkĂ©), dans la continuitĂ© nord-ouest de la salle Sisia, au bord de la mangrove, est une aire de danse et chants traditionnels, oĂą peut ĂŞtre installĂ©e une scène dĂ©montable et pouvant accueillir jusqu'Ă  1 000 personnes[13].
  • le BelvĂ©dère, surplombant la baie de Magenta et l'ensemble du site, au sud-est, oĂą ont Ă©tĂ© construits un ensemble de bâtiments (dortoirs, ateliers d'artiste et sanitaires) pour abriter les artistes, les intervenants culturels ou les jeunes scolaires en rĂ©sidence.
  • la statue de Jean-Marie Tjibaou, au sommet de la colline, avant l'accès au BelvĂ©dère et dominant l'aire coutumière, l'espace Kâmi Yo et le bâtiment principal Ă  l'est.

Chiffres

Entrées

En 2011, le Centre culturel Tjibaou a enregistrĂ© 98 405 entrĂ©es[1], dont :

  • 43 546 visiteurs pour le site et les expositions,
  • 15 900 scolaires en classe,
  • 7 478 participants Ă  des sĂ©minaires et des confĂ©rences,
  • 10 231 spectateurs aux spectacles de l'ADCK,
  • 21 250 entrĂ©es pour les autres spectacles accueillis.

Effectifs

Le Centre culturel emploie 65 agents[1] de l'ADCK. Celle-ci fait de plus régulièrement appel à plus de 75 vacataires[1] occasionnels pour les visites guidées, les accueils ou les enquêtes culturelles et la médiation.

Tarifs

Le prix du billet unitaire normal est de 500 francs CFP (4,19 â‚¬), et de 200 francs CFP (1,68 €) pour les moins de 18 ans, les plus de 65 ans et les titulaires de carte (Ă©tudiante, apprenti, jeune, de l'Agence pour l'emploi ou APE, de l'aide mĂ©dicale gratuite AMG-A). Les visites guidĂ©es, ainsi que le spectacle du chemin kanak (tous les mardis et jeudis), les autres spectacles (prix dĂ©cidĂ©s par les organisateurs), les articles de la boutique, les produits de la cafĂ©tĂ©ria et les emprunts Ă  la mĂ©diathèque (avec la carte Ngan Vhalik), font l'objet d'une tarification supplĂ©mentaire ou spĂ©ciale. Le Centre culturel Tjibaou fait partie des 6 lieux de NoumĂ©a (avec l'aquarium des lagons, le parc zoologique et forestier, le musĂ©e de Nouvelle-CalĂ©donie, le musĂ©e de la ville, le MusĂ©e de l'histoire maritime de Nouvelle-CalĂ©donie) inscrits dans le dispositif du « Pass nature et culture », formule Ă  1 700 F CFP (14,25 â‚¬) donnant une entrĂ©e pour une personne dans chacun de ces sites pour une durĂ©e d'un mois Ă  partir de la première visite.

Enfin, le Centre culturel Tjibaou propose trois abonnements d'accès au site et à ses services :

  • la carte Mwakaa (abonnement gĂ©nĂ©ral) de 15 000 F CFP (125,70 â‚¬), ou 12 500 F CFP (104,75 â‚¬) pour les groupes d'au moins 10 personnes, qui permet une entrĂ©e gratuite sur un an, la gratuitĂ© Ă©galement sur l’ensemble des spectacles produits par l’ADCK, un tarif rĂ©duit sur certaines manifestations accueillies au centre, un tarif rĂ©duit pour un invitĂ©, des rĂ©ductions aussi pour d'autres lieux culturels (théâtres de l'Ă®le et de poche, cafĂ© musique Le Mouv'), 50 % de remise sur l'abonnement Ngan Vhalik et 10 % Ă  la boutique du Centre.
  • la carte Sisia (abonnement spectacle) de 3 000 F CFP (25,14 â‚¬), ou 2 500 F CFP (20,95 â‚¬) pour les groupes d'au moins 10 personnes, offrant les mĂŞmes avantages que la carte Mwakaa sauf pour assister aux spectacles produits par l’ADCK, qui ne sont pas gratuits mais rĂ©duits de 40 %.
  • la carte Ngan Vhalik (abonnement mĂ©diathèque) de 4 000 F CFP (33,52 â‚¬), ou seulement 500 F CFP (4,19 â‚¬) pour les moins de 18 ans et les dĂ©tenteurs des cartes Ă©tudiantes, jeunes, APE, AMG-A, senior de plus de 65 ans et apprentis, dĂ©livrĂ© sur fourniture de certains documents (pièce d'identitĂ© et RIB). Elle offre elle aussi une entrĂ©e gratuite annuelle, mais aussi l'emprunt de six documents (ouvrages, vidĂ©os, cassettes ou CD-audios) pour 15 jours renouvelables une fois pour les rĂ©sidents de NoumĂ©a ou 3 semaines renouvelables une fois pour ceux habitant hors du chef-lieu, la livraison Ă  domicile d'un bimestriel pour se tenir informĂ© des Ă©vĂ©nements Ă  venir, des invitations aux confĂ©rences, et des rĂ©ductions de 50 % sur le prix de la carte Sisia (pour les dĂ©tenteurs d'une Ngan Vhalik Ă  4 000 F CFP (33,52 â‚¬), de 20 % pour la Mwakaa et de 10 % Ă  la boutique.

Philatélie

Le Centre culturel Tjibaou figure sur deux timbres, de 2008 et 2018, émis par l'OPT. Ils sont illustrés, le premier par une photographie de D. Becker, le deuxième par une photographie de M. Le Chélard. Ces timbres commémorent respectivement le dixième et le vingtième anniversaire de l'établissement[14] - [15].

Notes et références

  1. Nombres indiqués sur la page présentation du CCT
  2. Transfert signé le 21 août 2012, article dans Les Nouvelles Calédoniennes du 22 août 2012, titre seul accessible sur le site du journal, article complet uniquement sur abonnement
  3. Selim Lander : "Le Centre culturel Tjibaou - La culture au service de la paix en Nouvelle-Calédonie", Mondesfrancophones.com
  4. Contrairement à ce qui est souvent écrit ou dit, le Centre culturel Tjibaou n’est pas construit sur le site où s’est déroulé le festival Mélanésia 2000. Ce festival s'est tenu dans la vallée située à quelques centaines de mètres avant d'arriver au CCT. Cette vallée est aujourd’hui occupée par l’un des greens du golf de Tina.
  5. Montant indiqué sur le site officiel du centre culturel
  6. Documentaire Renzo Piano Le chemin kanak coproduit en 2008 par aaa production, RFO, CANAL OVERSEAS PRODUCTIONS et ADCK Centre culturel Tjibaou
  7. Architecture du Centre culturel Tjibaou sur le site de l'ADCK
  8. Visite guidée du Centre culturel Tjibaou sur le site officiel de l'ADCK
  9. Présentation de la médiathèque du centre culturel Tjibaou sur son site internet
  10. (fr) Références sur la section architecture cyclonique du site du CSTB de Nantes
  11. (fr) Maquette réalisée par l'ATELIER BLANCHARD
  12. Le nom de cette plage vient du camp de vacances « Plage 1000 » organisé pour les enfants dans les années 1970 pendant les vacances d'été.
  13. Présentation du département spectacles de l'ADCK sur son site officiel
  14. « Nouvelle Calédonie - 10 ans du centre culturel Tjibaou », sur philateliefree.fr (consulté le )
  15. « 20ème ANNIVERSAIRE DU CENTRE CULTUREL TJIBAOU », sur caledoscope.opt.nc (consulté le )

Voir aussi

Bibliographie

  • (fr) Alban Bensa, Ethnologie & architecture : NoumĂ©a, Nouvelle-CalĂ©donie, le Centre culturel Tjibaou, une rĂ©alisation de Renzo Piano, Biro, Paris, 2000, 207 p. (ISBN 2-87660-240-7)
  • (fr) CĂ©cile Mozziconacci, Voyage dans le Centre culturel Tjibaou, Éd. Grain de sable, NoumĂ©a, 2001, 86 p. (ISBN 2-8417-0084-4)
  • (de)(en) Werner Blaser, Renzo Piano, Centre Kanak : Kulturzentrum der Kanak / Cultural center of the Kanak people, Birkhäuser Verlag, Bâle, 2001, 104 p. (ISBN 3-7643-6540-4)

Articles connexes

Liens externes

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