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Centrale de la Sainte-Marguerite-3

L’amĂ©nagement hydroĂ©lectrique de la Sainte-Marguerite-3, aussi connu sous le sigle SM-3, est composĂ© d'une centrale hydroĂ©lectrique et d'un barrage, le barrage Denis-Perron, Ă©rigĂ©s sur la rivière Sainte-Marguerite par Hydro-QuĂ©bec, Ă  Lac-Walker, sur la CĂ´te-Nord, au QuĂ©bec. La centrale, d'une puissance installĂ©e de 884 MW, devait ĂŞtre mise en service en 2001. Elle a connu plusieurs retards provoquĂ©s par des problèmes techniques. Le coĂ»t total de la construction du complexe a Ă©tĂ© Ă©valuĂ© par Hydro-QuĂ©bec Ă  2,5 milliards de dollars en 2007[1].

Centrale de la Sainte-Marguerite-3
GĂ©ographie
Pays
Province
RĂ©gion administrative
MRC
Coordonnées
50° 42′ 18″ N, 66° 46′ 47″ O
Cours d'eau
Objectifs et impacts
Vocation
production Ă©lectrique
Propriétaire
Date du début des travaux
1994
Date de mise en service
2003
Barrage
Type
Hauteur
(fondation)
171 m
Longueur
378 m
Épaisseur en crête
10 m
Épaisseur à la base
500 m
RĂ©servoir
Altitude
410 m
Volume
327,2 kmÂł
Superficie
253 km²
Longueur
140 km
Centrale(s) hydroélectrique(s)
Hauteur de chute
330 m
Nombre de turbines
2
Type de turbines
Puissance installée
884 MW
Production annuelle
2,73 TWh/an
Facteur de charge
37,5 %

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Localisation sur la carte du Québec
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Les problèmes techniques ont retardé le début de la production à octobre 2003[2] et la mise en route à pleine puissance des deux groupes à 2007. Un des deux groupes a également subi un arrêt de production en 2009[3].

GĂ©ographie

La rivière Sainte-Marguerite est un affluent du fleuve Saint-Laurent qu'elle rejoint Ă  Clarke City, un secteur de la ville de Sept-ĂŽles, sur la CĂ´te-Nord Ă  700 km Ă  l'est de MontrĂ©al. Au moment de la construction de SM-3, deux centrales, situĂ©es près de l'estuaire, existaient dĂ©jĂ  : les centrales de la Sainte-Marguerite-2 (18 MW), exploitĂ©e par Gulf Power et la centrale de la Sainte-Marguerite-1 (8,5 MW) d'Hydrowatt[4].

ProfondĂ©ment encaissĂ©e dans le bouclier laurentien, la rivière draine un bassin versant de 6 200 km2 et fournit un dĂ©bit moyen Ă  l'embouchure de 156 m3/s. Comme les autres rivières de la rĂ©gion, la Sainte-Marguerite est sensible Ă  l'acidification. La faune aquatique est dominĂ©e par le meunier rouge et le secteur du rapide du Grand Portage, oĂą est construite la centrale, prĂ©sente un intĂ©rĂŞt pour la pĂŞche en raison du bon potentiel de l'omble de fontaine[5].

Ouvrages

Barrage et réservoir

Le barrage est situĂ© Ă  13 km en amont de la centrale. Construit en forme de pyramide, l'ouvrage en enrochement d'une hauteur de 141 m et d'une largeur de 378 m en crĂŞte est le plus haut au QuĂ©bec. Sa crĂŞte est situĂ©e Ă  410 m d'altitude. Le barrage est exploitĂ© dans une fourchette se situant 393 et 407 m. Il peut supporter une pression verticale maximale de 3 000 kilopascals[6].

Il a été renommé barrage Denis-Perron le afin d'honorer la mémoire de Denis Perron[7], qui a été député péquiste de la circonscription de Duplessis de 1976 jusqu'à son décès en fonction le . M. Perron est un ancien manœuvre et opérateur de centrale qui a été à l'emploi d'Hydro-Québec de 1956 jusqu'à son élection[8].

Le barrage retient un rĂ©servoir d'une longueur de 140 km et d'une superficie de 253 km2. Son volume de rĂ©serve utile s'Ă©tablit Ă  3,3 milliards de mètres cubes sur un volume total de 12,5 milliards de mètres cubes. La profondeur maximale du rĂ©servoir est de 145 m[6]. Le remplissage du rĂ©servoir a durĂ© trois ans et a Ă©tĂ© complĂ©tĂ© en 2001. L'opĂ©ration de remplissage a temporairement rĂ©duit de 76 % l'apport d'eau douce dans l'estuaire de la rivière[9].

Centrale

La centrale de la Sainte-Marguerite-3 est une centrale souterraine amĂ©nagĂ©e Ă  79 km de l'embouchure de la rivière Sainte-Marguerite. Construite Ă  90 m sous la surface[10], elle est Ă©quipĂ©e de deux groupes turbine-alternateur d'une puissance de 441 mĂ©gawatts chacune, pour une puissance installĂ©e totale de 882 MW[6]. Les groupes turbine-alternateurs ont Ă©tĂ© conçus et fabriquĂ©s par la compagnie GĂ©nĂ©rale Ă©lectrique du Canada[11].

L'espace occupĂ© par la centrale a Ă©tĂ© excavĂ© dans le roc du Bouclier canadien, libĂ©rant un espace de 106 m de longueur, de 27 m de largeur et de 39 m de hauteur. Un espace supplĂ©mentaire a Ă©tĂ© creusĂ© lors de la construction initiale, rĂ©duisant les coĂ»ts de l'ajout d'un troisième groupe Ă  la centrale. Les pièces les plus lourdes de l'ensemble sont les rotors, dont les 28 pĂ´les ont une masse de 508 tonnes. Ces gigantesques Ă©lectroaimants ont Ă©tĂ© assemblĂ©s sur place[10].

Le coût de revient annoncé par Hydro-Québec dans son étude d'impact initiale était estimé à 3,8 cents le kilowatt-heure en dollars canadiens de 1992[12].

Historique

Avant-projet

Au nord de la centrale SM-2, la vallĂ©e de la rivière devient beaucoup plus encaissĂ©e. Un rapide de 13 km offre une dĂ©nivellation attrayante pour un amĂ©nagement hydroĂ©lectrique et Hydro-QuĂ©bec rĂ©alise une Ă©tude prĂ©liminaire du site entre 1982 et 1985 afin de dĂ©terminer le potentiel Ă©nergĂ©tique et Ă©conomique du projet[13].

Entre 1986 et 1991, le projet a fait l'objet de deux phases d'avant-projet. Dans un premier temps, les études ont eu pour objectif de définir les principales caractéristiques de l'ouvrage et de fournir une documentation adéquate pour une étude d'impact détaillée. Le deuxième avant-projet, entre 1988 et 1991, a été consacré à la réalisation d'études techniques et environnementales, la planification détaillée et l'évaluation des coûts. Une première phase des consultations publiques a été menée en 1991[14].

Avant le début des travaux, la centrale dû subir l'examen du Bureau d'audiences publiques sur l'environnement. Hydro-Québec dépose ses études d'avant-projet en juillet 1991 et le BAPE entreprend le processus d'information et d'audiences publiques sur le projet le 26 août 1992[15]. Après des audiences publiques qui ont lieu au cours de l'hiver 1993, le BAPE remet son rapport final le . Le document approuve le projet sous certaines conditions, mais questionne les prévisions de demande d'Hydro-Québec[16] et rejette le détournement de deux tributaires de la rivière Moisie, les rivières Carheil et aux Pékans, en raison des risques que ferait peser le projet sur le saumon de l'Atlantique[17]. Le gouvernement retient l'avis du BAPE au sujet des affluents de la Moisie, mais autorise la construction de la centrale le [18].

Entente avec les Innus

Les représentants d'Hydro-Québec et de la communauté Innu de Uashat-Malioténam ont conclu une entente de compensation de 66 millions de dollars sur 50 ans, le [19] — 50 ans jour pour jour après la prise de contrôle de la Montreal Light, Heat and Power par la société d'État québécoise. L'entente de principe a été ratifiée par référendum dans les deux réserves au mois de juin 1994, malgré l'opposition d'un groupe traditionaliste, qui a érigé un barrage routier pendant deux semaines[20].

L'entente porte sur une « première phase » du projet et ne comprend pas le détournement des rivières aux Pékans et Carheil, deux affluents de la rivière Moisie qui ont été exclues du développement de l'aménagement autorisé par Québec. Les représentants des deux parties sont convenus que cette entente ne constituait pas à une renonciation aux droits ancestraux des autochtones. Elle prévoit aussi la gestion conjointe des travaux correcteurs ainsi que des assurances en matière de formation de la main d'œuvre, d'embauche et d'octroi de certains contrats[19].

Construction

La route d'accès à la centrale SM-3 a été construite dans le cadre du projet d'aménagement hydroélectrique.

L'amĂ©nagement de la route d'accès et la construction d'un campement temporaire près du site de la centrale marquent les premières Ă©tapes d'un projet de construction dĂ©butĂ© en fĂ©vrier 1994[14]. Dans un premier temps, l'amĂ©nagement de la centrale a nĂ©cessitĂ© la mise Ă  niveau d'une route forestière existante, construite par la Gulf Pulp and Paper au dĂ©but du XXe siècle afin de relier les ouvrages Ă  la route 138 Ă  la hauteur de Sept-ĂŽles. Sept tronçons routiers, 350 ponceaux d'une longueur allant de 6 Ă  90 m ainsi qu'un pont de 180 m enjambant la rivière Sainte-Marguerite, Ă  la hauteur de la centrale, ont Ă©tĂ© construits[21].

Deux campements temporaires ont été aménagés pour faciliter la construction de la route. Le campement principal, d'une capacité maximale de 1200 travailleurs, a accueilli ses premiers résidents en janvier 1995. Le campement était équipé d'une cafétéria, d'un centre de loisirs, de bureaux, d'un centre d'information, d'un bar et d'un dépanneur. Pour l'occasion, Hydro-Québec a recyclé des bâtiments préfabriqués qui avaient été utilisés sur différents sites à la Baie-James[21].

Les travaux d'excavation de la galerie d'amenĂ©e, longue de 8,3 km, a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© par forages entre 1996 et 1999. Le creusage a permis de retirer 1,6 million de mètres cubes de roc, dont une partie a Ă©tĂ© rĂ©utilisĂ©e pour construire les routes environnantes. Compte tenu de la taille de la galerie, dont les dimensions sont de 16,5 mètres de hauteur par 11,5 mètres de largeur, les ouvriers ont d'abord excavĂ© les m supĂ©rieurs du tunnel par forage horizontal, Ă  raison de 4 ou m par dynamitage. La partie infĂ©rieure, la banquette, a Ă©tĂ© excavĂ©e par forage vertical. La galerie d'amenĂ©e n'a pas Ă©tĂ© bĂ©tonnĂ©e[22].

La plus grande partie des travaux d'excavation de la centrale ont été effectués en 1998. La salle des machines, trois conduites forcées et trois galeries des barres blindées sont construites en décembre. L'année 1999 est consacrée au bétonnage et au début de l'installation de la mécanique lourde[10].

Installation d'un troisième groupe

En 2018, Hydro-Québec entreprend des négociations avec les autorités de la nation Innu de Uashat-Malioténam (ITUM) en vue d'installer un troisième groupe turbine-alternateur dans la centrale. Lors de sa construction, la centrale avait été conçue en fonction d'y ajouter éventuellement un suréquipement, ce qui permettrait d'augmenter la puissance de cette installation lors de la pointe hivernale. Une offre de compensation financière a été déposée, mais les autochtones réclament du gouvernement du Québec un décret interdisant à l'entreprise ne pas dériver les débits des rivières Carheil et aux Pékans, deux affluents de la rivière Moisie. Cette entente ferait suite à l'entente signée en 1994 entre ITUM et la société d'État, qui a donné lieu à la construction de la centrale[23].

En cas d'entente, Hydro-Québec estime que les demandes d'autorisation pourraient être soumises en 2020 en vue d'une mise en service à l'horizon 2025[24].

Exploitation

La pĂ©riode de rodage de la centrale SM-3 a Ă©tĂ© marquĂ©e par une sĂ©rie d'incidents. En 2001, une inspection dĂ©cèle des fissures dans les galeries, entraĂ®nant des fuites d'eau de l'ordre de 183 l/s[25]. Le problème requiert des travaux de bĂ©tonnage supplĂ©mentaires d'une durĂ©e de six mois qui augmentent les coĂ»ts de 60 millions de dollars[26]. Le retard dans la mise en service de la centrale fait en sorte que l'eau accumulĂ©e doit ĂŞtre dĂ©versĂ©e sans ĂŞtre turbinĂ©e, qui constitue Ă©galement un manque Ă  gagner pour la sociĂ©tĂ© d'État[27].

Au dĂ©but 2003, les essais du premier groupe turbine-alternateur font surgir un problème avec un des alternateurs, survenu lors de l'assemblage. D'autres tests rĂ©vèlent des fissures dans la roue Ă  eau de la turbine du second groupe en mai 2003. De plus, un problème de rĂ©sonance limite la capacitĂ© des deux turbines Ă  300 MW chacune, ce qui rĂ©duit la puissance installĂ©e de SM-3 d'un tiers. NĂ©anmoins, il s'agissait d'une amĂ©lioration, puisqu'Hydro-QuĂ©bec avait laissĂ© s'Ă©chapper l'Ă©quivalent de 1,2 tĂ©rawatt-heure d'eau en la dĂ©versant par l'Ă©vacuateur de crue du barrage au cours de l'annĂ©e prĂ©cĂ©dente[26], ce qui a occasionnĂ© des pertes de production estimĂ©es Ă  175 millions de dollars[1].

SM-3 a produit 600 mĂ©gawatts pendant une pĂ©riode de 12 Ă  14 mois en 2003 et 2004[28]. En dĂ©cembre 2004, le mauvais fonctionnement des gicleurs d'huile et des dĂ©tecteurs a forcĂ© l'arrĂŞt d'un des deux groupes en raison d'une surchauffe[29].

En novembre 2005, des pièces de métal se sont détachées pendant des tests à haute vitesse d'un groupe turbine-alternateur qui venait d'être remplacé par le fournisseur General Electric[30]. Des travaux ont été effectués au cours de l'hiver 2006 afin de réparer les dommages, mais en mars, le socle du rotor de ce groupe se brise au cours de tests de magnétisation, retardant encore une fois la mise en service[31].

Les travaux de réparation sont effectués durant l'été 2006 donnant bon espoir à la société d'État d'exploiter la pleine capacité de la centrale dès l'hiver 2006-2007[32]. La mise en service complète de la centrale, dont le coût total est estimé à 2,5 milliards de dollars, n'aura cependant lieu qu'en novembre 2007[1].

En juillet 2009, Hydro-Québec a détecté un bris de l'alternateur d'un des deux groupes, qui a dû être retiré du service pendant six mois afin d'effectuer les travaux de réparation nécessaires[33]. Le groupe turbine-alternateur a été remis en service en janvier 2010, après que le fournisseur Andritz eut remplacé des pièces d'équipement sous garantie[3].

Notes et références

  1. Radio-Canada, « Hydro-Québec : La centrale SM-3 est enfin prête », sur Radio-Canada Nouvelles, (consulté le )
  2. Radio-Canada, « Production d'Hydro-Québec à SM-3. », sur Radio-Canada Nouvelles, (consulté le )
  3. Radio-Canada, « Centrale Sainte-Marguerite-3 : À nouveau en fonction », sur Radio-Canada Nouvelles, (consulté le )
  4. Hydro-Québec 1999, p. 2.
  5. BAPE 1993, p. 18.
  6. Hydro-Québec 1999, p. 8.
  7. Québec, « Le nom « Barrage Denis-Perron » est officiellement reconnu », sur Commission de toponymie du Québec, (consulté le )
  8. Assemblée nationale du Québec, « Denis Perron (1938-1997) », (consulté le )
  9. Hydro-Québec 2003, p. 8.
  10. Hydro-Québec 1999, p. 7.
  11. Radio-Canada, « Maux de tête pour Hydro-Québec », sur Radio-Canada Nouvelles, (consulté le )
  12. BAPE 1993, p. 9.
  13. Hydro-Québec 1999, p. 3-4.
  14. Hydro-Québec 1999, p. 5.
  15. BAPE 1993, p. 1.
  16. BAPE 1993, p. 365.
  17. BAPE 1993, p. 367.
  18. Hydro-Québec 2000, p. 29.
  19. Louis-Gilles Francoeur, « Au cours des 50 prochaines années: Hydro-Québec versera 66 millions de $ aux Montagnais : L'entente de principe fera l'objet d'un référendum à la mi-juin », Le Devoir, Montréal,‎ , A4
  20. Alain-A. Bouchard, « SM3 : vote aujourd'hui à Uashat-Malioténam », Le Soleil, Québec,‎ , A3
  21. Hydro-Québec 1999, p. 4.
  22. Hydro-Québec 1999, p. 6.
  23. Luc André, « Plus question d’exploiter les ressources naturelles sans un partenariat avec les Autochtones », Radio-Canada Nouvelles,‎ (lire en ligne, consulté le )
  24. « Hydro-Québec négocie avec les Innus pour l'ajout d'une turbine à SM-3 », Radio-Canada Nouvelles,‎ (lire en ligne, consulté le )
  25. Radio-Canada, « Fuites d'eau à SM-3 : les travaux correcteurs commenceront en décembre », sur Radio-Canada Nouvelles, (consulté le )
  26. Louis-Gilles Francoeur, « Perspectives - Vendeuse de permis? », Le Devoir, Montréal,‎ (lire en ligne)
  27. Radio-Canada, « Radio-Canada.ca - Nouvelles: Report indéterminé de l'ouverture de SM3 », sur Radio-Canada Nouvelles, (consulté le )
  28. Le Devoir, « SM-3: les ratés se poursuivent », Le Devoir, Montréal,‎ (lire en ligne)
  29. Radio-Canada, « Le sort s'acharne de nouveau sur la centrale SM-3 », sur Radio-Canada Nouvelles, (consulté le )
  30. Radio-Canada, « Nouveaux ratés à la centrale SM-3 », sur Radio-Canada Nouvelles, (consulté le )
  31. Radio-Canada, « SM-3 : La série noire se poursuit », sur Radio-Canada Nouvelles, (consulté le )
  32. Radio-Canada, « La centrale produira à plein régime cet hiver », sur Radio-Canada Nouvelles, (consulté le )
  33. Radio-Canada, « Centrale Sainte-Marguerite-3 : De nouveaux problèmes », sur Radio-Canada Nouvelles, (consulté le )

Voir aussi

Bibliographie

  • Hydro-QuĂ©bec, AmĂ©nagement hydroĂ©lectrique de la Sainte-Marguerite-3 : En accord avec le milieu, MontrĂ©al, Hydro-QuĂ©bec, , 12 p., PDF (ISBN 2-550-34711-0, lire en ligne)
  • Hydro-QuĂ©bec, L’amĂ©nagement hydroĂ©lectrique de la Sainte-Marguerite-3 : Bilan des activitĂ©s environnementales 1999, MontrĂ©al, Hydro-QuĂ©bec, , 82 p. (lire en ligne)
  • Hydro-QuĂ©bec, Construction de l'amĂ©nagement hydroĂ©lectrique de la Sainte-Marguerite-3 :Faits saillants du bilan environnemental 1994-2002, MontrĂ©al, Hydro-QuĂ©bec, , 21 p., PDF (ISBN 2-550-40229-4, lire en ligne)
  • Hydro-QuĂ©bec, SurĂ©quipement de la centrale de la Sainte-Marguerite-3, MontrĂ©al, Hydro-QuĂ©bec, , 4 p. (lire en ligne)
  • QuĂ©bec, Rapport d'enquĂŞte et d'audience publique numĂ©ro 60 : AmĂ©nagement hydroĂ©lectrique de la Sainte-Marguerite-3, QuĂ©bec, Bureau d'audiences publiques sur l'environnement, , 452 p., PDF (ISBN 2-550-27867-4, lire en ligne)

Articles connexes

Liens externes

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