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Bouvante

Bouvante est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Bouvante
Bouvante
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement DrĂ´me
Arrondissement Die
Intercommunalité Communauté de communes du Royans-Vercors
Maire
Mandat
Jean-Luc Faure
2020-2026
Code postal 26190
Code commune 26059
DĂ©mographie
Gentilé Bouvantiens, Bouvantiennes
Population
municipale
210 hab. (2020 en diminution de 14,63 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 2,5 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 57′ 55″ nord, 5° 16′ 17″ est
Altitude Min. 311 m
Max. 1 701 m
Superficie 83,88 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Vercors-Monts du Matin
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Bouvante
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Bouvante
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Bouvante
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Bouvante

    Ses habitants sont dénommés les Bouvantiens[1].

    GĂ©ographie

    Localisation

    Bouvante est situĂ©e dans le Royans. Elle fait partie de la communautĂ© de communes du Royans-Vercors. La commune est situĂ©e Ă  40 km Ă  l'est de Romans-sur-Isère et Ă  km au sud de Saint-Jean-en-Royans.

    GĂ©ologie et relief

    La commune est positionnée au pied du col de la Bataille, un des plus hauts cols routiers du massif préalpin du Vercors.

    Les cours d'eau

    La Lyonne (quelquefois Ă©crit : la Lionne), affluent de la Bourne, traverse le territoire communal.

    Le lac de Bouvante

    Situé sur le cours de la Lyonne, le lac artificiel de Bouvante est le plus grand lac du Massif du Vercors qui en compte très peu, du fait de sa nature calcaire.

    • Il a une surface de 18 hectares et un volume 1,3 million de m3.
    • Le barrage sur la Lyonne a Ă©tĂ© construit en 1925, afin de produire de l’électricitĂ© dans une usine situĂ©e Ă  six kilomètres en aval, sur le cours du torrent. Une conduite forcĂ©e de plus de km de longueur amène l’eau depuis le barrage jusqu’à la centrale. En aval du barrage, le dĂ©bit du torrent est de 33 l/s[2].

    Climat

    Le climat est de type montagnard à influence océanique au nord mais influencé par le climat méditerranéen au sud. Du fait d'un conflit entre ces masses d'air, il est assez humide.

    Voies de communication et transports

    Il est possible de rejoindre Saint-Jean, via le Col de la croix lorsque l'on se trouve Ă  Bouvante le Haut.

    Urbanisme

    Typologie

    Bouvante est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5]. La commune est en outre hors attraction des villes[6] - [7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (91,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (76,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,9 %), prairies (6,6 %), zones agricoles hétérogènes (1,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,3 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Morphologie urbaine

    La commune se compose de deux hameaux principaux : Bouvante-le-Haut et Bouvante-le Bas[9].

    Hameaux et lieux-dits

    Liste des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux, ainsi que les écarts qui composent le territoire de la commune de Bouvante, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[10].

    • Chaillard
    • les Rochats
    • les Vignes
    • PĂ©landrĂ©
    • Lente
    • la Courerie
    • la Rouye
    • les Sables
    • Bouvante-le Bas
    • Sainte-Marie (ancienne chartreuse)
    • Douçanet
    • Bessou
    • les Vignons
    • PĂ´tre
    • les Roux
    • la Pène
    • le Maillet
    • Dragoux
    • le Bruchet
    • Peyroux
    • les Ranches
    • les Ollats
    • les Contents
    • le Toit
    • les Jacines
    • Charet
    • Blache
    • Many
    • Bouvante-le-Haut
    • Logue
    • les Roissards
    • Gampaloux
    • les Granges

    Risques sismiques

    L'ensemble du territoire de la commune de Bouvante est située en zone de sismicité no 4 (sur une échelle de 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique[11].

    Terminologie des zones sismiques[12]
    Type de zoneNiveauDéfinitions (bâtiment à risque normal)
    Zone 4Sismicité moyenneaccélération = 1,6 m/s2

    Toponymie

    Attestations

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[13] :

    • 1190 : Vallem de Bovanti (cartulaire de LĂ©oncel, 44).
    • 1265 : Bovantio (cartulaire de LĂ©oncel, 218).
    • 1265 : mention de l'Ă©glise (Saint-Pierre) : Capella de Bovantis (cartulaire de LĂ©oncel, 218).
    • 1446 : mention de l'Ă©glise (Saint-Pierre) : Ecclesia de Bovantio (pouillĂ© hist.).
    • 1452 : Bouvancium (archives de la DrĂ´me, E 2421).
    • 1466 : Boventium (pap. de Valfanjouse).
    • 1576 : Bouvantis (pouillĂ© de Die).
    • 1629 : mention de l'Ă©glise (Saint-Pierre) : La cure de Bouvantis (rĂ´le de dĂ©cimes).
    • 1779 : Bouvente (Aff. du DauphinĂ©).
    • 1891 : Bouvantes, commune du canton de Saint-Jean-en-Royans.

    Non daté : Bouvante.

    Étymologie

    Le nom de la commune serait issu d'un composé gaulois *Bo-venton, l'abattoir (ou aire de sacrifice) à bœufs, d'après Xavier Delamarre[14]. Delamarre n'en parle pas dans son Dictionnaire de la langue gauloise de 2001.

    Histoire

    Protohistoire : les Celtes

    Durant la période celte, le territoire de Bouvante se situait en limite du territoire des Allobroges et de celui des Ségovellaunes.

    Antiquité : les Gallo-romains

    Le lieu-dit « Quatre Têtes », situé près de Saint-Nazaire-en-Royans (à quelques kilomètres de Bouvante) et qui domine le confluent de la Bourne et de l'Isère, pourrait avoir été un oppidum. Il fait partie des hypothèses sur l'emplacement de la cité non localisée de Ventia[15].

    Du Moyen Ă‚ge Ă  la RĂ©volution

    Le fief est disputé entre les dauphins de Viennois et les comtes de Diois (puis les évêques de Die)[9].

    La seigneurie[13] :

    • Fief des dauphins.
    • 1151 : donnĂ© Ă  la chartreuse du Val-Sainte-Marie.

    Il y avait, en 1789, dans cette commune, 185 chefs de famille[13].

    Avant 1790, Bouvante était une communauté de l'élection et subdélégation de Valence et du bailliage de Saint-Marcellin, formant une paroisse du diocèse de Die. Son église, sous le vocable de Saint-Pierre, et les dîmes appartenaient aux chartreux du Val-Sainte-Marie (voir le Couvent), depuis la donation qui leur en fut faite en 1189 par les comtes de Valentinois, qui les avaient acquises de l'abbaye de Saint-Bénigne de Dijon[13].

    La chartreuse du Val-Sainte-Marie

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[16] :

    • 1145 : maison de chartreux, fondĂ©e par les dauphins qui la dotèrent aussitĂ´t de la seigneurie temporelle de Bouvante, et Ă  qui les comtes de Valentinois acquirent, en 1186, les dĂ®mes de la paroisse de ce nom.
      • Les moines dĂ©frichèrent et exploitèrent les lieux.
    • 1179 : Prioratus Vallis Beate Marie (cartulaire de Die, 30).
    • 1190 : Vallis Sancte Marie de Valle Bovanti (cartulaire de LĂ©oncel, 44).
    • 1196 : Domus Vallis Sancte Marie (cartulaire de LĂ©oncel, 62).
    • 1504 : Prioratus Sancte Marie de Vallis et la Chartreuze de Bouvente (terrier du Val-Sainte-Marie).
    • 1516 : Cartusia Vallis Sancte Marie (pouillĂ© de Die).
    • 1576 : La Chartrousse Laval Sainte-Marye (rĂ´le de dĂ©cimes).
    • 1788 : La Chartreuse du Val-Sainte-Marie (Alman. du DauphinĂ©).
    • 1891 : Le Couvent, ruine de la commune de Bouvante.

    De la RĂ©volution Ă  nos jours

    Comprise en 1790 dans le canton de Rochefort-Samson, cette commune, qui forme actuellement deux paroisses dites du Haut-Bouvantes et du Bas-Bouvantes, fait partie du canton de Saint-Jean-en-Royans depuis la réorganisation de l'an VIII[13].

    1791 : Les chartreux du Val-Sainte-Marie sont expulsés de Bouvante. Le couvent détenait des boiseries exceptionnelles. Elles seront rachetées à l'État par la commune de Saint-Jean-en-Royans qui les installera dans son église.

    Le , lors d'un pique-nique en famille, un policier découvre au bord du lac une pierre de 8,kg. Cette météorite, une des cinq météorites françaises provenant de l'astéroïde Vesta, sera identifiée par le géologue François Kraut.

    • Un fragment de cette mĂ©tĂ©orite fut visible lors l'exposition « MĂ©tĂ©orites, entre ciel et terre » organisĂ© dans la grande galerie de l'Ă©volution du MusĂ©e d'histoire naturelle de Paris du au [17].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1951 Henri Labrosse
    mars 1951 1983 Claude Labrosse
    mars 1983 1989 Henri Allier
    mars 1989 En cours Jean-Luc Faure[18] DVG Retraité de l'enseignement

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[20].

    En 2020, la commune comptait 210 habitants[Note 2], en diminution de 14,63 % par rapport Ă  2014 (DrĂ´me : +3,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8018491 0291 014955922908848852
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    838826835771744690709653628
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    561523463401434377354315287
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    285250222219220223237239244
    2018 2020 - - - - - - -
    214210-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee Ă  partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    la commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

    Manifestations culturelles et festivités

    • FĂŞte : premier dimanche d'aoĂ»t (Bouvante-le-Haut) et quatrième dimanche d'aoĂ»t (Bouvante-le-Bas)[9].

    Économie

    En 1992 : bois, pâturages (bovins)[9].

    Tourisme

    • Station de ski de Font d'Urle[9]. : elle possède seize pistes. Le point bas se situe Ă  Lente (1 070 m) et le point culminant Ă  La Pelouse du Lièvre Blanc (1 450 m).
    • Station climatique d'Ă©tĂ© (Lente)[9].

    Patrimoine et culture locale

    Lieux et monuments

    Fontaine de Bouvante-le-Haut.
    • L'Ă©glise Saint-Pierre de Bouvante-le-Haut du XIe siècle de Bouvante-le-Haut[9].
    • L'Ă©glise Saint-SĂ©bastien de Bouvante-le-Bas du XIXe siècle[9].
    • La fontaine publique de Bouvante-le-Haut
    • Les ruines de la chartreuse du Val-Sainte-Marie sont situĂ©es Ă  proximitĂ© du hameau des Vignes. Les boiseries exceptionnelles du couvent, confisquĂ©es par la RĂ©volution en 1791, sont aujourd'hui visibles dans l'Ă©glise de Saint-Jean-en-Royans.

    Patrimoine culturel

    C'est dans la commune de Bouvante que Pierre Pellegrini situe l'action de son roman La Branche cassée (dans le hameau de Lente).

    Patrimoine naturel

    • Multiples sites et panoramas : lac de Bouvante, gorges de la Lyonne, cirque du Val-Sainte-Marie, col de la Bataille, forĂŞt de Lente, grottes, cascades[9].
    • Parc naturel rĂ©gional du Vercors[9].
    • La forĂŞt domaniale de Lente : ancienne propriĂ©tĂ© de la chartreuse du val Sainte-Marie, cette forĂŞt, reconnue pour la diversitĂ© de ses milieux naturels, a Ă©tĂ© intĂ©grĂ©e au domaine de l'État Ă  la RĂ©volution. Cette hĂŞtraie et sapinière d’altitude produit du bois essentiellement exploitĂ© par les filières locales[23]. la forĂŞt de Lente fait partie de l'immense forĂŞt du Vercors partagĂ©e entre les dĂ©partements de la DrĂ´me et de l'Isère.

    Spéléologie

    Grotte du Brudour.

    De nombreux réseaux existent sous la forêt de Lente. Les principaux sont :

    • le scialet de l'Appel-grotte du Brudour[24] de 5 900 mètres de dĂ©veloppement ;
    • le rĂ©seau Christian Gathier[Note 3] - [25] de 327 m de dĂ©nivelĂ© pour 11 700 m de longueur ;
    • le scialet Robin[Note 4] - [26] d'une dĂ©nivellation de 231 m ;
    • plus au sud-est, le rĂ©seau des Chuats comporte quatre entrĂ©es, le scialet Abel, le scialet des Fleurs Blanches, le scialet des Deux Gardes et le scialet II des Chuats[Note 5] . Il est le deuxième plus grand rĂ©seau de la DrĂ´me avec plus de 39 000 m de galeries explorĂ©es pour une profondeur de 304 m[27] - [28].

    HĂ©raldique, logotype et devise

    Bouvante possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

    Annexes

    Vidéos

    • [vidĂ©o] We are Cavers-Scialet Robin, Adrien Ragot (mise en ligne & montage) Images: Ales Hrabec, Alexandre Lopez, Adrien Ragiot () beontherope.com. ConsultĂ© le . “3 min 33 s”.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    3. Le scialet du Toboggan a pour coordonnĂ©es 44° 55′ 30″ N, 5° 19′ 22″ E.
    4. Le scialet Robin a pour coordonnĂ©es 44° 57′ 46″ N, 5° 20′ 58″ E.
    5. Le scialet II des Chuats a pour coordonnĂ©es 44° 53′ 25″ N, 5° 20′ 12″ E.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, nom des habitants des communes des habitants de la Drôme, consulté le 16 juillet 2019
    2. Site du PNR du Vercors, page sur le lac de Bouvante, consulté le 07 octobre 2018
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. Michel de la Torre, DrĂ´me, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Bouvante.
    10. Site géoportail, page des cartes IGN
    11. Site officiel "plan séisme", carte des zones de sismicité
    12. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
    13. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 48.
    14. Xavier Delamarre, Noms de lieux celtiques de l'Europe ancienne, Éditions Errance, Arles 2012, 384 pages, (ISBN 978-2-87772-483-8), p. 85.
    15. Site de la commune de Saint-Nazaire-en-Royans, page sur l'Antiquité
    16. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 116.
    17. Site du Musée d'Histoire naturelle, page sur la météorite de Bouvante, consulté le 17 mars 2019
    18. Bouvante sur le site de l'association des maires et présidents de communautés de la Drôme (consulté le 8 mars 2015).
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    23. Site de L'ONF, page sur la forêt domaniale de Lente, consulté le 17 mars 2019
    24. « Font d'Urle et la grotte du Brudour », sur eau.amisdesparcs.fr (consulté le ).
    25. Pierre Garcin, « Un quart de siècle pour la traversée », Spéléo Magazine, Corenc, Spéléo magazine, no 50,‎ , p. 17-21 (ISSN 1629-1573).
    26. Thomas Dobelmann, Étude de cavité : le scialet Robin - réseau des Chats Perchés. Font d'Urle, commune de Bouvante (26190) : CREPS Vallon Pont-d'Arc, B.E.E.S., 1er degré Spéléologie, syndicat-speleo-canyon.org, , 110 p. (lire en ligne).
    27. Pierre-Yves Belette, Étude de cavité - Scialet II des Chuats : B.E.E.S. 1er degré spéléologie, syndicat-speleo-canyon.org, (lire en ligne [PDF]).
    28. Florent Merlet, Mémoire de cavité : Scialet II des Chuats - réseau des Chats Perchés. Font d'Urle, commune de Bouvante (26190) : CREPS Vallon Pont-d'Arc, B.E.E.S., 1er degré Spéléologie, syndicat-speleo-canyon.org, , 77 p. (lire en ligne).
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